Baraka Allahoufikoum pour ce podcast et cette intervention. Il est important de souligner que notre époque actuelle diffère considérablement de celle des années 60 et 70, période durant laquelle nos parents et grands-parents ont émigré. À cette époque, beaucoup d’entre eux étaient sans qualification et leur objectif principal était de s’intégrer en France pour améliorer leur situation, espérant vivre mieux qu’en Afrique. Nous ne pouvons pas comparer cette situation à celle du père de Warren Buffet, qui enseignait la bourse à son fils. Les mentalités étaient différentes et les conditions économiques également (USA vs France des années 60). Investir, par exemple, suppose déjà de disposer de capitaux, ce qui était difficile à l’époque. La première génération d’immigrés vivait dans des conditions précaires, notamment dans les bidonvilles, en Île-de-France, par exemple. En évoquant l’éducation, il est vrai qu’à l’école, on ne nous enseigne pas comment créer un business ou investir. Mais avant d’arriver à cette étape, il est essentiel d’apprendre à bien gérer son argent. Ce n’est qu’ensuite que l’on peut envisager l’investissement et l’entrepreneuriat. Il est crucial de comprendre que le système éducatif a été conçu pour former des travailleurs salariés, destinés à servir les élites, et non pour encourager une compétition directe avec celles-ci. Concernant la question de savoir pourquoi nos parents (la majorité, bien sûr, sans généraliser) n'ont pas créé d’entreprises dans les années 60 et 70, cela doit être mis en contexte. C’était une époque totalement différente, avec des réalités sociales et économiques très éloignées des nôtres. Nous, la génération actuelle, avons la chance de pouvoir nous adapter aux évolutions technologiques et aux outils numériques qui facilitent le lancement d’un business, parfois même depuis chez soi. Dans les années 60 et 70, la majorité des parents et grands-parents travaillaient dans des usines comme celles de Peugeot, par exemple, souvent dans des métiers manuels, et il y avait peu de jeunes de la seconde génération à accéder à l’université. L’élite intellectuelle était donc limitée, et la possibilité d’accéder à des emplois de bureau restait encore marginale. C’était une époque marquée par d'autres enjeux, où beaucoup de nos parents se sont éloignés de la pratique religieuse, leur priorité étant de travailler pour subvenir aux besoins de leur famille. Il est donc important de comprendre que cette nouvelle mentalité d'indépendance financière et d’entrepreneuriat, portée par les business en ligne, est relativement récente. Dans les années 80, le concept de business sur Internet n’existait même pas, et les smartphones, les réseaux sociaux, et la digitalisation des entreprises étaient encore de lointains projets. Ce que l’on peut retenir aujourd’hui, c’est qu’avec la permission d’Allah, tout est désormais possible, même pour ceux qui n'ont pas suivi de longues études. L’accès à l'information, aux outils et aux opportunités est plus facile qu’il ne l’a jamais été, et il suffit de saisir les chances qui se présentent. Enfin, en ce qui concerne l’éducation des enfants, il est vrai qu'une partie de la communauté ne porte pas une attention particulière aux études, pour des raisons diverses, et certains parents n’ont ni le niveau scolaire ni la motivation nécessaires pour enseigner à leurs enfants à la maison. Cela devient encore plus complexe lorsque l'un des parents, notamment la mère, vient du "bled" et ne maîtrise pas bien le français (encore une fois je ne généralise pas). Il n'existe donc pas de solution universelle pour l'éducation des enfants, cela dépend vraiment des moyens, de la situation familiale et des ressources disponibles. Chaque cas doit être évalué individuellement, et l'accompagnement des enfants se doit d’être personnalisé. Baraka Allahoufikoum pour ce podcast, une chaîne encore trop sous-estimée. Qu’Allah facilite tous tes projets ! Et un petit mot personnel : tes miniatures sont vraiment bien réalisées ! Allahumma barik 🙂
Toujours au top tes vedios moi-même j'ai quitté la Belgique pour allé m'installer au Maroc ou j'ai créé ma société depuis 5ans et hmdl je regrette rien surtout mon entreprise et devenu grande aujourd'hui 👌🇲🇦🇲🇦🇧🇪
Salam 3alaykum wa ra7matulah. barakalah fik pour ces podcast et invités de qualité Juste une remarque qui pourrait à mon avis améliorer le flow du podcast serait de moins interrompre les invités pour qu'ils aillent au fond de leurs pensées et pourquoi pas revoir les transitions. Qu’Allah te préserve akhi ainsi que tes proches, amin.
![Dans le mur, quoi qu’il en coûte ? François Lenglet [EN DIRECT]](http://i.ytimg.com/vi/1tTksQL2kqs/mqdefault.jpg)
![Felix "Unfair" | [Stray Kids : SKZ-PLAYER]](http://i.ytimg.com/vi/Oswujxm2Ag0/mqdefault.jpg)
Faut pousser les créateurs de contenus comme lui
Baraka Allahoufikoum pour ce podcast et cette intervention. Il est important de souligner que notre époque actuelle diffère considérablement de celle des années 60 et 70, période durant laquelle nos parents et grands-parents ont émigré. À cette époque, beaucoup d’entre eux étaient sans qualification et leur objectif principal était de s’intégrer en France pour améliorer leur situation, espérant vivre mieux qu’en Afrique. Nous ne pouvons pas comparer cette situation à celle du père de Warren Buffet, qui enseignait la bourse à son fils. Les mentalités étaient différentes et les conditions économiques également (USA vs France des années 60). Investir, par exemple, suppose déjà de disposer de capitaux, ce qui était difficile à l’époque. La première génération d’immigrés vivait dans des conditions précaires, notamment dans les bidonvilles, en Île-de-France, par exemple.
En évoquant l’éducation, il est vrai qu’à l’école, on ne nous enseigne pas comment créer un business ou investir. Mais avant d’arriver à cette étape, il est essentiel d’apprendre à bien gérer son argent. Ce n’est qu’ensuite que l’on peut envisager l’investissement et l’entrepreneuriat. Il est crucial de comprendre que le système éducatif a été conçu pour former des travailleurs salariés, destinés à servir les élites, et non pour encourager une compétition directe avec celles-ci.
Concernant la question de savoir pourquoi nos parents (la majorité, bien sûr, sans généraliser) n'ont pas créé d’entreprises dans les années 60 et 70, cela doit être mis en contexte. C’était une époque totalement différente, avec des réalités sociales et économiques très éloignées des nôtres. Nous, la génération actuelle, avons la chance de pouvoir nous adapter aux évolutions technologiques et aux outils numériques qui facilitent le lancement d’un business, parfois même depuis chez soi.
Dans les années 60 et 70, la majorité des parents et grands-parents travaillaient dans des usines comme celles de Peugeot, par exemple, souvent dans des métiers manuels, et il y avait peu de jeunes de la seconde génération à accéder à l’université. L’élite intellectuelle était donc limitée, et la possibilité d’accéder à des emplois de bureau restait encore marginale. C’était une époque marquée par d'autres enjeux, où beaucoup de nos parents se sont éloignés de la pratique religieuse, leur priorité étant de travailler pour subvenir aux besoins de leur famille.
Il est donc important de comprendre que cette nouvelle mentalité d'indépendance financière et d’entrepreneuriat, portée par les business en ligne, est relativement récente. Dans les années 80, le concept de business sur Internet n’existait même pas, et les smartphones, les réseaux sociaux, et la digitalisation des entreprises étaient encore de lointains projets.
Ce que l’on peut retenir aujourd’hui, c’est qu’avec la permission d’Allah, tout est désormais possible, même pour ceux qui n'ont pas suivi de longues études. L’accès à l'information, aux outils et aux opportunités est plus facile qu’il ne l’a jamais été, et il suffit de saisir les chances qui se présentent.
Enfin, en ce qui concerne l’éducation des enfants, il est vrai qu'une partie de la communauté ne porte pas une attention particulière aux études, pour des raisons diverses, et certains parents n’ont ni le niveau scolaire ni la motivation nécessaires pour enseigner à leurs enfants à la maison. Cela devient encore plus complexe lorsque l'un des parents, notamment la mère, vient du "bled" et ne maîtrise pas bien le français (encore une fois je ne généralise pas). Il n'existe donc pas de solution universelle pour l'éducation des enfants, cela dépend vraiment des moyens, de la situation familiale et des ressources disponibles. Chaque cas doit être évalué individuellement, et l'accompagnement des enfants se doit d’être personnalisé.
Baraka Allahoufikoum pour ce podcast, une chaîne encore trop sous-estimée. Qu’Allah facilite tous tes projets ! Et un petit mot personnel : tes miniatures sont vraiment bien réalisées ! Allahumma barik 🙂
Salam aleykoum Top la viédeo ! tabarakallah
Toujours au top tes vedios moi-même j'ai quitté la Belgique pour allé m'installer au Maroc ou j'ai créé ma société depuis 5ans et hmdl je regrette rien surtout mon entreprise et devenu grande aujourd'hui 👌🇲🇦🇲🇦🇧🇪
Salam 3alaykum wa ra7matulah. barakalah fik pour ces podcast et invités de qualité
Juste une remarque qui pourrait à mon avis améliorer le flow du podcast serait de moins interrompre les invités pour qu'ils aillent au fond de leurs pensées et pourquoi pas revoir les transitions.
Qu’Allah te préserve akhi ainsi que tes proches, amin.
Je vis à agadir. En famille avec 1 an. Budget, 3 000e par mois .