Je travail en para agricole le blé conventionnel est bourré de résidus pesticide. Nous portons des masques chimique quand un camion benne du blé car il y a de nombreux résidu de pesticides dans la poussière au déchargement. Je ne mange plus de pain ici de l'agriculture conventionnel depuis.
Ces agriculteurs finissent par se suicider, on n'abîme pas la planète en toute impunité, bravo aux agriculteurs qui cultivent de manière respectueuse !
@@justinvideoman pas comparable.... mais bon dit comme ça c'est vrai qu'on va avancer !....... Rien ne nous empêche de bouffer des cides ,et en plus c'est bon pour le porte monnaie , les denrées sont moins chères !
@@lenmordeur5163 en effet, c'est pire, cf rapport sénatorial : Au niveau environnemental, le rapport s'interroge sur l’intérêt même de l’agriculture biologique. Le labour, pratiqué comme alternative aux herbicides, est ainsi susceptible de limiter les pouvoirs de rétention des sols. Les pesticides alternatifs, comme le sulfate de cuivre, « présentent parfois des profils toxicologiques et éco-toxicologiques plus défavorables que celui des produits phytopharmaceutiques traditionnels », expliquent les deux sénateurs. Surtout, le modèle bio repose sur une réduction des rendements qui oblige à mobiliser davantage de terres agricoles, « ce qui entre en contradiction avec une demande mondiale en progression ». Pour le blé tendre, par exemple, le passage au bio se traduit par une chute des rendements de 50 % à 60 %. Au final, « Il n'est pas certain que les gains environnementaux dans les grandes plaines céréalières ou les zones d'élevage du Nord de l'Europe l'emportent sur les coûts de mobilisation des terres destinées à compenser les pertes de production dans les régions du monde où le défrichement gagne quotidiennement ».
@@lenmordeur5163 en effet c'est pire: cf rapport sénatorial Au niveau environnemental, le rapport s'interroge sur l’intérêt même de l’agriculture biologique. Le labour, pratiqué comme alternative aux herbicides, est ainsi susceptible de limiter les pouvoirs de rétention des sols. Les pesticides alternatifs, comme le sulfate de cuivre, « présentent parfois des profils toxicologiques et éco-toxicologiques plus défavorables que celui des produits phytopharmaceutiques traditionnels », expliquent les deux sénateurs. Surtout, le modèle bio repose sur une réduction des rendements qui oblige à mobiliser davantage de terres agricoles, « ce qui entre en contradiction avec une demande mondiale en progression ». Pour le blé tendre, par exemple, le passage au bio se traduit par une chute des rendements de 50 % à 60 %. Au final, « Il n'est pas certain que les gains environnementaux dans les grandes plaines céréalières ou les zones d'élevage du Nord de l'Europe l'emportent sur les coûts de mobilisation des terres destinées à compenser les pertes de production dans les régions du monde où le défrichement gagne quotidiennement ».
Les pesticides dans le BIO sont d'origine ORGANIQUES tandis que ceux de l'agriculture conventionnelle sont SYNTHÉTIQUES donc pas de comparaison ce dernier est nocif pour la santé du vivant.
Pas vraiment très utile de regarder ce documentaire : tout est dans le titre. Une condamnation a priori et sans procès. Ce documentaire manque de rigueur scientifique : un médecin est malade d'un cancer et accuse son voisin agriculteur d'en être la cause. Ses compétences de médecin ne lui permettent pas de faire le lien de cause à effet, ce sont des épidémiologistes qui, en étudiant avec une grande rigueur de nombreuses observations, sont à même de confirmer ou d'infirmer un tel lien. Comment le journaliste peut-il répéter cette affirmation comme si c'était une donnée incontestable ? Un peu plus loin dans le reportage une brève séquence de quelques secondes donne la parole à l'autorité Regionale de Santé qui affirme que le taux de cancer dans le quartier objet du premier reportage est conforme à la moyenne Dans la région. Un peu plus loin le reportage évoque le cas d'une personne de 45ans qui développe une maladie de Parkinson et l'attribue aux pesticides. Sans aucunement étayer ce lien de cause à effet. Qu'est-ce qui prouve que cette maladie n'est pas plutôt liée à son dentifrice ? Encore plus loin le reportage évoque un lien entre le Glyphosate et le lymphome non hodgkinien : une étude épidémiologique menée sur 300 000 personnes ayant utilisé le Glyphosate (essentiellement des agriculteurs et des jardiniers) a conclu que la prévalence de ce lymphome est 5% inférieure dans cette population par rapport à la population en général. Un toxicologie qui intervient à plusieurs reprises indique que les phytosanitaires présentent un risque, et qu'il y a un risque d'effet cocktail lié à l'exposition à plusieurs produits simultanément. Et ça me paraît tout à fait correct. Cela ne dit rien sur la gravité du risque. La première étape est de mesurer le risque : par exemple un verre de vin par jour augmente de 10% le risque de cancer du sein. Qu'en est-il des pesticides ? Aucun élément scientifique de mesure de ces risques n'est donné. Par contre un fait référence à des "on dit que...", "tout le monde sait que..." qui n'ont rien de scientifique et ne contiennent aucun élément factuel de mesure. Nous vivons avec une multitude de risques : en fumant une cigarette, en buvant du vin, en traversant une route, en conduisant une voiture où tout simplement en se promenant dans la campagne alors qu'un météorite peut nous tomber sur la tête. Le dernier risque est ignoré de la majorité de la population car il est très faible. Tous les autres qui sont emminament plus importants n'ont pas conduit à des interdictions mais à des mesures de limitation du risque : messages d'avertissement sur les paquets de cigarettes, interdiction de la vente d'alcool aux mineurs, limitations de vitesse pour en citer quelques unes. Le reportage ne donne aucune information sur cette mesure du risque et je n'en ai pas connaissance de mon côté. C'est pourtant une information primordiale pour mesurer l'importance à accorder ou non à ce sujet. Et puis, en non-dit, il y a l'idée qu'une agriculture sans produit phytosanitaire serait meilleure. Mais cela est loin d'être prouvé. Il y a d'abord la question de la quantité : arrivera-t-on à nourrir tout le monde ? Et à un prix acceptable ? Tous les ans ? Il y a ensuite la question de la qualité : des fruits piqués par des insectes, des légumes envahis de champignons pathogènes, des céréales contaminées par des mauvaises herbes parfois mortelles (coquelicots.. .) sont-ils meilleurs pour la santé que ces même fruits, légumes où céréales cultivées de façon conventionnelles ? Mais il y a aussi l'option d'une alimentation produite dans des usines, hors sol. C'est encore marginal mais cela existe. Quand l'agriculture française essentiellement familiale (encore) aura disparu, est-ce l'avenir ? Le témoignage de l'agriculteur interviewé m'a ému. Il a d'abord eu beaucoup de retenue face à ce médecin, un proche voisin, qui depuis des années le traite d'empoisonneur via des tribunaux, la presse et les médias sociaux. Si ce médecin a une fois prescrit du Mediator, est-il un empoisonneur ? I'agriculteur se dit blessé d'être accusé d'être un empoisonneur et je comprends bien ce sentiment. Il est d'ailleurs partagé par la grande majorité des agriculteurs qui depuis des années reçoivent ces accusations à titre collectif et presque quotidiennement de la part des partis écologistes, des activistes environnementaux ainsi que de la quasi totalité des médias qui relaient sans filtre leurs slogans à base de "pesticides", "Glyphosate" et "mega-bassines". Le résultat est que les enfants d'agriculteurs ne veulent souvent plus faire le métier de leurs parents ; et en dehors de ce vivier, rares sont les personnes capables de s'engager dans de telles entreprises. Il ne restera bientôt plus que les Gafam pour investir dans ces fermes. Et alors, adieu veaux, vaches, cochons... Mais aussi l'Epoisse, le Langres, le Camembert, le poulet de Bresse, la rate du Fouquet où de l'île de Ré, les huîtres de Belon ou de Cancale...
@@arvetemecha et pourquoi ne pas vouloir des OGM résistants aux insectes et maladies qui permettent de diminuer l'usage de pesticides ? Pourquoi refuser les OGM résistants aux sécheresses qui demandent moins d'eau ? Et même les OGM résistants au glyphosate permettent d'économiser des herbicides ! Au lieu d'en utiliser plusieurs (et des pires) on en utilise qu'un qui est le moins toxique des pesticides (le glyphosate). Au passage les OGM résistants au glyphosate ont permis de diminuer l'usage d'herbicides de 25% aux USA/canada... Et les alternatives sont pires (autres pesticides ou labour ou culture sur brûlis ou tout recouvrir de plastique)
Je travail en para agricole le blé conventionnel est bourré de résidus pesticide. Nous portons des masques chimique quand un camion benne du blé car il y a de nombreux résidu de pesticides dans la poussière au déchargement.
Je ne mange plus de pain ici de l'agriculture conventionnel depuis.
Reportage à faire diffuser au maximum
Tout va bien, nous apiculteurs ont va bien avec nos abeilles, je répète tout va bien 😢
Les médicaments c’est bon pour l’homme 😂le gros délire
Le pire c'est ce qui ne se voit pas , ne sent pas .....🐞🐞🐞🐞🐞🐞🐞🐞🐞
Ces agriculteurs finissent par se suicider, on n'abîme pas la planète en toute impunité, bravo aux agriculteurs qui cultivent de manière respectueuse !
y en a pas beaucoup
@@loose1967 de plus en plus, et tout va très bien pour eux
Si les pesticides n'étaient pas dangereux, on ne les appellerai pas "icides".
Maintenant, sachant ça, demandez vous à quoi ça sert !
Tous sans exception
La surprise, c'est qu'il y en a partout.
Qque ne ferait on pas poyr le profit personnel?????🐢🍀❤💚💛🍀🐢
Avoir de la richesse est vivre dans le vis et le PÉCHÉ.
Toutes ses pathologies que les docteurs annoncent la cause le chimique il interagir bisarment cour/moyen/longterme comme disent les effets collatéraux
L'argent,le profit vous perdra
Et ils en vente
1VRAIS CRIMINEL ET IL SE VENTE DE PLUS ET IL PARLE DE RESPECT DE VOISINAGE
j en sais quelque chose j habite dans le lauragais
MONSANTO LE POTE BUSH
Bien sûr de mèche avec les industriels et les politiques l'argent 😮😮😮😮😮😮
Sans compter les interactions de mélange du cocktail chimique qui donne une bombe ATOMIQUE
Car plus puissant c'est pour cela que de plus en plus jeune
Les chaimtrail
Vous vous protéger et nous le peuplement ont broutes comme des???¿?😮😮😮😮😮😮
Sans compter les CHEMTRAIN
Un Cancer du sang a ton avis ?¿?
Cette mondialisation américaine
Longue vie aux magasins BIO 🙏
Le Bio utilise aussi des pesticides y compris de synthèse et éternels
@@justinvideoman pas comparable.... mais bon dit comme ça c'est vrai qu'on va avancer !....... Rien ne nous empêche de bouffer des cides ,et en plus c'est bon pour le porte monnaie , les denrées sont moins chères !
@@lenmordeur5163 en effet, c'est pire, cf rapport sénatorial :
Au niveau environnemental, le rapport s'interroge sur l’intérêt même de l’agriculture biologique. Le labour, pratiqué comme alternative aux herbicides, est ainsi susceptible de limiter les pouvoirs de rétention des sols. Les pesticides alternatifs, comme le sulfate de cuivre, « présentent parfois des profils toxicologiques et éco-toxicologiques plus défavorables que celui des produits phytopharmaceutiques traditionnels », expliquent les deux sénateurs. Surtout, le modèle bio repose sur une réduction des rendements qui oblige à mobiliser davantage de terres agricoles, « ce qui entre en contradiction avec une demande mondiale en progression ». Pour le blé tendre, par exemple, le passage au bio se traduit par une chute des rendements de 50 % à 60 %. Au final, « Il n'est pas certain que les gains environnementaux dans les grandes plaines céréalières ou les zones d'élevage du Nord de l'Europe l'emportent sur les coûts de mobilisation des terres destinées à compenser les pertes de production dans les régions du monde où le défrichement gagne quotidiennement ».
@@lenmordeur5163 en effet c'est pire: cf rapport sénatorial
Au niveau environnemental, le rapport s'interroge sur l’intérêt même de l’agriculture biologique. Le labour, pratiqué comme alternative aux herbicides, est ainsi susceptible de limiter les pouvoirs de rétention des sols. Les pesticides alternatifs, comme le sulfate de cuivre, « présentent parfois des profils toxicologiques et éco-toxicologiques plus défavorables que celui des produits phytopharmaceutiques traditionnels », expliquent les deux sénateurs. Surtout, le modèle bio repose sur une réduction des rendements qui oblige à mobiliser davantage de terres agricoles, « ce qui entre en contradiction avec une demande mondiale en progression ». Pour le blé tendre, par exemple, le passage au bio se traduit par une chute des rendements de 50 % à 60 %. Au final, « Il n'est pas certain que les gains environnementaux dans les grandes plaines céréalières ou les zones d'élevage du Nord de l'Europe l'emportent sur les coûts de mobilisation des terres destinées à compenser les pertes de production dans les régions du monde où le défrichement gagne quotidiennement ».
Les pesticides dans le BIO sont d'origine ORGANIQUES tandis que ceux de l'agriculture conventionnelle sont SYNTHÉTIQUES donc pas de comparaison ce dernier est nocif pour la santé du vivant.
Pas vraiment très utile de regarder ce documentaire : tout est dans le titre. Une condamnation a priori et sans procès.
Ce documentaire manque de rigueur scientifique : un médecin est malade d'un cancer et accuse son voisin agriculteur d'en être la cause.
Ses compétences de médecin ne lui permettent pas de faire le lien de cause à effet, ce sont des épidémiologistes qui, en étudiant avec une grande rigueur de nombreuses observations, sont à même de confirmer ou d'infirmer un tel lien.
Comment le journaliste peut-il répéter cette affirmation comme si c'était une donnée incontestable ?
Un peu plus loin dans le reportage une brève séquence de quelques secondes donne la parole à l'autorité Regionale de Santé qui affirme que le taux de cancer dans le quartier objet du premier reportage est conforme à la moyenne Dans la région.
Un peu plus loin le reportage évoque le cas d'une personne de 45ans qui développe une maladie de Parkinson et l'attribue aux pesticides. Sans aucunement étayer ce lien de cause à effet. Qu'est-ce qui prouve que cette maladie n'est pas plutôt liée à son dentifrice ?
Encore plus loin le reportage évoque un lien entre le Glyphosate et le lymphome non hodgkinien : une étude épidémiologique menée sur 300 000 personnes ayant utilisé le Glyphosate (essentiellement des agriculteurs et des jardiniers) a conclu que la prévalence de ce lymphome est 5% inférieure dans cette population par rapport à la population en général.
Un toxicologie qui intervient à plusieurs reprises indique que les phytosanitaires présentent un risque, et qu'il y a un risque d'effet cocktail lié à l'exposition à plusieurs produits simultanément. Et ça me paraît tout à fait correct.
Cela ne dit rien sur la gravité du risque.
La première étape est de mesurer le risque : par exemple un verre de vin par jour augmente de 10% le risque de cancer du sein. Qu'en est-il des pesticides ?
Aucun élément scientifique de mesure de ces risques n'est donné. Par contre un fait référence à des "on dit que...", "tout le monde sait que..." qui n'ont rien de scientifique et ne contiennent aucun élément factuel de mesure.
Nous vivons avec une multitude de risques : en fumant une cigarette, en buvant du vin, en traversant une route, en conduisant une voiture où tout simplement en se promenant dans la campagne alors qu'un météorite peut nous tomber sur la tête.
Le dernier risque est ignoré de la majorité de la population car il est très faible. Tous les autres qui sont emminament plus importants n'ont pas conduit à des interdictions mais à des mesures de limitation du risque : messages d'avertissement sur les paquets de cigarettes, interdiction de la vente d'alcool aux mineurs, limitations de vitesse pour en citer quelques unes.
Le reportage ne donne aucune information sur cette mesure du risque et je n'en ai pas connaissance de mon côté.
C'est pourtant une information primordiale pour mesurer l'importance à accorder ou non à ce sujet.
Et puis, en non-dit, il y a l'idée qu'une agriculture sans produit phytosanitaire serait meilleure.
Mais cela est loin d'être prouvé.
Il y a d'abord la question de la quantité : arrivera-t-on à nourrir tout le monde ? Et à un prix acceptable ? Tous les ans ?
Il y a ensuite la question de la qualité : des fruits piqués par des insectes, des légumes envahis de champignons pathogènes, des céréales contaminées par des mauvaises herbes parfois mortelles (coquelicots.. .) sont-ils meilleurs pour la santé que ces même fruits, légumes où céréales cultivées de façon conventionnelles ?
Mais il y a aussi l'option d'une alimentation produite dans des usines, hors sol. C'est encore marginal mais cela existe. Quand l'agriculture française essentiellement familiale (encore) aura disparu, est-ce l'avenir ?
Le témoignage de l'agriculteur interviewé m'a ému.
Il a d'abord eu beaucoup de retenue face à ce médecin, un proche voisin, qui depuis des années le traite d'empoisonneur via des tribunaux, la presse et les médias sociaux. Si ce médecin a une fois prescrit du Mediator, est-il un empoisonneur ?
I'agriculteur se dit blessé d'être accusé d'être un empoisonneur et je comprends bien ce sentiment. Il est d'ailleurs partagé par la grande majorité des agriculteurs qui depuis des années reçoivent ces accusations à titre collectif et presque quotidiennement de la part des partis écologistes, des activistes environnementaux ainsi que de la quasi totalité des médias qui relaient sans filtre leurs slogans à base de "pesticides", "Glyphosate" et "mega-bassines".
Le résultat est que les enfants d'agriculteurs ne veulent souvent plus faire le métier de leurs parents ; et en dehors de ce vivier, rares sont les personnes capables de s'engager dans de telles entreprises. Il ne restera bientôt plus que les Gafam pour investir dans ces fermes. Et alors, adieu veaux, vaches, cochons... Mais aussi l'Epoisse, le Langres, le Camembert, le poulet de Bresse, la rate du Fouquet où de l'île de Ré, les huîtres de Belon ou de Cancale...
Avec des OGM résistants aux insectes et maladies, pas besoin de pesticides mais vous préférez les pesticides non?
ben les OGM sont utilisés principalement pour résister...aux pesticides. C'est d'ailleurs la variété phare des maïs Monsanto, résistant au glyphosate.
@@arvetemecha et pourquoi ne pas vouloir des OGM résistants aux insectes et maladies qui permettent de diminuer l'usage de pesticides ?
Pourquoi refuser les OGM résistants aux sécheresses qui demandent moins d'eau ?
Et même les OGM résistants au glyphosate permettent d'économiser des herbicides ! Au lieu d'en utiliser plusieurs (et des pires) on en utilise qu'un qui est le moins toxique des pesticides (le glyphosate).
Au passage les OGM résistants au glyphosate ont permis de diminuer l'usage d'herbicides de 25% aux USA/canada... Et les alternatives sont pires (autres pesticides ou labour ou culture sur brûlis ou tout recouvrir de plastique)
En fait ta gueules