Affaire de Sex: Bongo aide ce président Français a assassiner son conseiller René Journiac.

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  • Опубликовано: 30 сен 2024
  • Centrafrique : sexe et crime, quand Valéry Giscard d'Estaing couchait avec la femme de Bokassa et faisait assassiner son rival
    Nous allons vous raconter une histoire sordide qui oscille entre sexe, pouvoir et assassinat. C’est une histoire cachée que vous n’allez trouver nulle part ailleurs. Une Histoire sécrète.
    6 février 1980, le président Ahmadou Ahidjo du Cameroun se rend discrètement à Ngaoundéré pour accueillir dans le secret loin de tous les regards René Journiac, grand conseiller pour les questions africaines du président français Valéry Giscard d'Estaing. Ahmadou Ahidjo aperçoit l’avion qui transporte Journiac au loin, il se rend sur le tarmac afin de suivre les manœuvres d’approche de l’avion. Subitement, on entend un bruit énorme semblable à une grosse explosion, une épaisse couche de fumée noire se forme et l’avion disparaît. L’avion du "Monsieur Afrique " du président Français Giscard vient de subir un crash sous les regards du président Ahmadou Ahidjo et de l’ambassadeur de France au Cameroun. Tous les occupants de l’appareil meurent sur le champ. Aucun survivant.
    Que s’est-il passé ?
    Fait curieux, cet événement très grave passe sous silence au Cameroun et en France ; personne n’en parle. On se serait attendu à ce que cet accident fasse la "Une" de Cameron Tribune et de la presse française. Mais que non ! c’était comme s’il fallait absolument cacher cet accident et maintenir dans le secret la rencontre avortée entre Ahidjo et Journiac, mais pour quelles raisons ?
    En réalité, René Journiac a été purement assassiné par le Président Français Valéry Giscard d'Estaing avec la complicité du Président Omar Bongo du Gabon. En effet, l’avion qui transportait René Journiac du Gabon au Cameroun était un avion du président Omar Bongo. Les services français ont pris la peine d’y installer une bombe qui a sauté au moment de l’atterrissage de l’avion au Cameroun, à Ngaoundéré, en incognito, loin de tous les regards.
    Quel est le mobile du crime ? Pourquoi a-ton assassiné le magistrat René Journiac ?
    1er août 1979, Valéry Giscard d'Estaing charge son conseiller pour les affaires africaines, René Journiac de ramener à la raison le président de la Centrafrique Bokassa qui voulait se rapprocher de Kadhafi, alors en guerre avec la France au Niger. Giscard a décidé que l'Empereur Bokassa doit partir et il envoie Journiac lui transmettre le message. Bokassa, gris de rage après les réprimandes de Journiac, brandit sa canne d'ébène et donne impulsivement à Journiac un coup de canne sur la tête. Il bondit sur celui-ci pour le gifler et le rudoyer. Les membres du protocole réussissent à attraper le Président Bokassa pour calmer sa fureur, c’est un gros incident diplomatique. Journiac repart en France furieux en préparant des opérations pour remplacer immédiatement Bokassa.
    Journiac et Valéry Giscard d'Estaing ont décidé de faire payer à Bokassa cet affront.
    L’intervention d’un contingent français, le 20 septembre 1979, par l’entremise de "l'opération Barracuda", mit fin au règne de Bokassa, alors que celui-ci était en visite en Libye. Ainsi, le lendemain, Bokassa est déposé avec le concours des parachutistes français.

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