Impossible à regarder, ce film, terriblement démonstratif, il finit par tuer son sujet. Sur un sujet similaire, je conseille plutôt Viol en première page (Sbatti il mostro in prima pagina), film dramatique italien de Marco Bellocchio sorti en 1972. Court, exemplaire, tandis que l'autre se vautre dans ses gros sabots. Ce n'est même pas une question de "sensibilité" mal placée: le spectateur n'a pas à subir ton film mal gaulé en tant que film, tout simplement. Viol en première page: les images d'archives avec la rue pavoisée aux différents partis politiques montre bien l'arnaque du faux choix.
@@dupontmarcel5582 Je ne suis pas du tout d'accord. Ce film reste très marquant et j'ai aimé le revoir récemment. Il y a des scènes magnifiquement chorégraphiées,, d'une très grande force visuelle et théâtrale. Ayant vécu dans le sud de l'Italie de nombreuses années, je trouve là une hyperbole des rapports de pouvoir entre les sexes, au sein de la société, dans le monde politique qui sont universels, certes, mais qui portent ici des marques spécifiques de cette culture.
Mais si mon ami, c'est une question de sensibilité, de point de vue, de codes, de morale, de subjectivité, de politique, je m'arrête là...... C'est une question de.......d'ici 5 ans ou dix tu changeras peut être d'opinions de point de vue sur ce film.... Bien à Toi. keven
@@lissamu6537 très intéressant ton point de vue sur ce film. Que j'ai vu. Il y a trop longtemps...Je me souviens du personnage du flic.....assez terrifique...qu'on ne souhaite rencontrer...hey hey
C'est regrettable : vers 1h il se trompe trois fois en parlant d'un sketch qui est dans "Les Monstres" (et non pas dans les "Nouveaux monstres") : c'est dans son fauteuil du cinéma, durant la séquence de l'exécution elle-même (et non pas à la sortie), que le mari (et non pas la femme) évoque, en se penchant vers celle-ci, un élément de décoration pour l'appartement.
![Comment arrive -t-on à la guerre ? Pierre Conesa [EN DIRECT]](http://i.ytimg.com/vi/zkLwVeaQOiA/mqdefault.jpg)
J'adore l'entendre parler je me suis tapé ses discours trois fois chaque et j'apprends toujours de nouvelles choses/nuance en les réécoutant
J'adore ce Film !! Et quelle Musique !! Pour moi 1 des Meilleurs d'Ennio Morricone
J'aime cette dame qui dit qu'il n'y a personne dans ce film de positif.......j'aime beaucoup cette réaction. ..
Impossible à regarder, ce film, terriblement démonstratif, il finit par tuer son sujet.
Sur un sujet similaire, je conseille plutôt Viol en première page (Sbatti il mostro in prima pagina), film dramatique italien de Marco Bellocchio sorti en 1972.
Court, exemplaire, tandis que l'autre se vautre dans ses gros sabots.
Ce n'est même pas une question de "sensibilité" mal placée: le spectateur n'a pas à subir ton film mal gaulé en tant que film, tout simplement.
Viol en première page: les images d'archives avec la rue pavoisée aux différents partis politiques montre bien l'arnaque du faux choix.
montrent
@@dupontmarcel5582 Je ne suis pas du tout d'accord. Ce film reste très marquant et j'ai aimé le revoir récemment. Il y a des scènes magnifiquement chorégraphiées,, d'une très grande force visuelle et théâtrale. Ayant vécu dans le sud de l'Italie de nombreuses années, je trouve là une hyperbole des rapports de pouvoir entre les sexes, au sein de la société, dans le monde politique qui sont universels, certes, mais qui portent ici des marques spécifiques de cette culture.
Mais si mon ami, c'est une question de sensibilité, de point de vue, de codes, de morale, de subjectivité, de politique, je m'arrête là......
C'est une question de.......d'ici 5 ans ou dix tu changeras peut être d'opinions de point de vue sur ce film....
Bien à Toi.
keven
@@lissamu6537
très intéressant ton point de vue sur ce film. Que j'ai vu. Il y a trop longtemps...Je me souviens du personnage du flic.....assez terrifique...qu'on ne souhaite rencontrer...hey hey
C'est regrettable : vers 1h il se trompe trois fois en parlant d'un sketch qui est dans "Les Monstres" (et non pas dans les "Nouveaux monstres") : c'est dans son fauteuil du cinéma, durant la séquence de l'exécution elle-même (et non pas à la sortie), que le mari (et non pas la femme) évoque, en se penchant vers celle-ci, un élément de décoration pour l'appartement.