Marie Lecocq alias "Mademoiselle From Armentières" Cette demoiselle qui n'en était plus une à l'époque des faits (mariée depuis 1909) a inspiré l'une des chansons les plus célèbres outre-manche comme son équivalent français "La Madelon". Qui était-elle ? Marie Lecocq, née en 1890 (le 8 août) rue Solferino, aujourd'hui rue Paul Bert à Armentières, Marie Lecocq, veuve depuis quelques années, se remarie en 1915 (le 18 août) et devient Mme Vandewalle. Marie Lecocq était une femme courageuse qui, durant la première guerre a exercé plusieurs emplois (fileuse textile, ménagère et serveuse), du fait de l'absence des hommes, il fallait bien travailler et n'hésitait pas aussi à transmettre des ordres de la place d'Armentières jusqu'aux tranchées. C'est dans un café proche de la gare d'Armentières (Café de la Paix, rue de la gare), qu'un geste grivois sur sa personne (par un soldat Britannique) et rendue par une gifle retentissante, durant son temps de service, fit naître l'une des chansons les plus renommées, chantée, sifflotée par les Tommies accrochés au front Ouest face aux lignes Allemandes, grâce au talent d'un sergent Edward Rowland, artiste de music hall dans le civil, accompagné au piano par un sergent Canadien, le Lt Gitz Rice. Marie Lecocq a inspiré, soutenu moralement par sa douceur, sa présence et son courage, les Tommies au combat. Son exemple a fait d'elle, une véritable icône de la Femme, la Fiancée laissée au pays pour nombre de "Boys" en terre de France ou en Belgique, de toutes les armées du Commonwealth et même Américaine ! Juste après-guerre, sa célébrité lui vaut de nombreuses visites d'officiers britanniques, elle divorce et se remarie en 1926 puis le couple déménage sur Marquette. Elle y réside jusqu'à son décès en 1945 (02 juillet).
Marie Lecocq alias "Mademoiselle From Armentières"
Cette demoiselle qui n'en était plus une à l'époque des faits (mariée depuis 1909) a inspiré l'une des chansons les plus célèbres outre-manche comme son équivalent français "La Madelon".
Qui était-elle ? Marie Lecocq, née en 1890 (le 8 août) rue Solferino, aujourd'hui rue Paul Bert à Armentières, Marie Lecocq, veuve depuis quelques années, se remarie en 1915 (le 18 août) et devient Mme Vandewalle.
Marie Lecocq était une femme courageuse qui, durant la première guerre a exercé plusieurs emplois (fileuse textile, ménagère et serveuse), du fait de l'absence des hommes, il fallait bien travailler et n'hésitait pas aussi à transmettre des ordres de la place d'Armentières jusqu'aux tranchées.
C'est dans un café proche de la gare d'Armentières (Café de la Paix, rue de la gare), qu'un geste grivois sur sa personne (par un soldat Britannique) et rendue par une gifle retentissante, durant son temps de service, fit naître l'une des chansons les plus renommées, chantée, sifflotée par les Tommies accrochés au front Ouest face aux lignes Allemandes, grâce au talent d'un sergent Edward Rowland, artiste de music hall dans le civil, accompagné au piano par un sergent Canadien, le Lt Gitz Rice.
Marie Lecocq a inspiré, soutenu moralement par sa douceur, sa présence et son courage, les Tommies au combat. Son exemple a fait d'elle, une véritable icône de la Femme, la Fiancée laissée au pays pour nombre de "Boys" en terre de France ou en Belgique, de toutes les armées du Commonwealth et même Américaine !
Juste après-guerre, sa célébrité lui vaut de nombreuses visites d'officiers britanniques, elle divorce et se remarie en 1926 puis le couple déménage sur Marquette. Elle y réside jusqu'à son décès en 1945 (02 juillet).