C'est incroyable comme beaucoup de choses se croisent, je regarde petit à petit vos vidéos et me reconnais parfois de manière choquante dans plusieurs schémas dominants me concernant (j'avais au préalable passé un questionnaire). Je suis suivie en thérapie dialectique comportementale pour un trouble borderline (de type 'quiet'), mais m'intéresse en parallèle du suivi à la thérapie des schémas, très complémentaire je trouve. C'est fascinant et ça m'aide grandement à comprendre certains comportements. Ce schéma d'atrophie de personnalité fait partie des choses les plus dures à améliorer dans mon cas, c'est très bloquant dans la vie. Même des choses bénignes comme le choix d'un parfum de glace devient un enfer car je me plaque sur la personne avec qui je suis accompagnée, et si je suis seule je ne sais plus ce qui me plaît. Merci beaucoup pour votre travail, vous aidez beaucoup de gens 🙏👋
Merci à vous pour votre témoignage et votre confiance, je ne peux que vous souhaitez de continuer comme vous le faites à prendre soin de vous. A bientôt pour de nouvelles vidéos :-)
Ca doit faire deux ans, maintenant, que je me familiarise avec cette Thérapie des Schémas. Et j'en apprends encore ! Il y a quelques mois de ça, j'ai cherché à écrire un petit texte inspiré de ce schéma. Evidemment, il se veut une allégorie, avec toutes les simplifications qui vont avec. J'aimerais vous le partager en remerciement de vos efforts sur cette chaîne youtube. Je précise que je suis moi-même concerné.e par ce schéma et qu'en vérité, ce sont des postures, des sentiments que j'essaye de décrire plutôt que des jugements que je porte. Bon, peut-être un petit peu. La colère ne s'en va pas comme ça. L'enfant, de stature frêle et délicate, était transi de ses contradictions. Son petit corps, pétri d'un clair-obscur entêtant attisant la convoitise d'une créature aux longues dents, vieillie par l'amertume et trop d'absolutisme. La créature, fausse créatrice du monde dans lequel l'enfant s'était développé, avait depuis longtemps déjà, débuté son entreprise autophage. Elle qui n'avait pas su/pu faire de son environnement, informations et expériences positives desquelles se repaître, en ressortir grandie, s'était alors retournée contre elle-même, comme une simple machine qui s'autodétruit. Voyant l'enfant débarquer, elle le vécu comme pure extension de sa personne, ne sachant pas ou plus se situer au sein d'un contexte plus large, ayant fait le choix de renoncer à tout ce qui n'était pas elle. Pourtant, l'enfant, de par ce qu'il possédait sa subjectivité propre, se plaçait encore, toujours et sans relâche aux confins de la vieille créature. Ce à quoi cette dernière ne pouvait tout bonnement pas consentir car, très certainement, se disait-elle, représentait-il sa porte de sortie. Alors, voulant le garder tout pour elle, cherchant à l'inclure comme faisant partie de ses chairs afin que ses sucs gastriques s'acheminent vers lui, elle se mit à décrire à l'enfant le plus terrible des univers. Lui inculqua que jamais personne ne viendrait à son aide. Que ses amis étaient aussi ses ennemis. Que l'Autre était mauvais, serait toujours absent. Que la force résidait dans la solitude et dans l'antagonisme et qu'en aucun cas, il ne devait se mélanger à ce monde, rempli de cons et de méchants. Et plus le corps diaphane de l'enfant semblait s'écarteler entre Espoir et Fatum, plus la vieille créature rabougrie se sentait solide et importante. Après l'avoir détourné de l'extérieur - c'est que ce vieil ogre se devait, comprenez-le, d'assurer son absolu triomphe, sa mortifère catharsis - il ficha en plein cœur de cet être-en-devenir les germes qui, à coup sûr, le métamorphoseraient en être-qui-aurait-pu-advenir. Il fit de l'enfant tissus hypertrophiés puis, vulgaire dépouille rachitique essorée à toutes les formes, tous les états. Froissant ce soi jusqu'à n'en plus finir. Il fallait coûte que coûte ligoter cette soif à l'auto-détermination, la dominer, la distordre jusqu'à ce qu'elle s'étiole ou bien - au fond, l'horrible goule n'en avait cure - se putréfie en une bouffonesque et viscérale tendance à la sujétion. Il n'y avait pas de verrou plus coriace que celui placé à l'intérieur. Enfin, voulant parachever son œuvre odieuse, l'inconsciente créature en bonne démiurge qu'elle était, fit à l'enfant miroiter moult promesses de liberté. Quel intérêt d'explorer terres inconnues, si à ses côtés, tout était déjà rendu possible ? Les contraintes bien tenues à distance... ne parlons même pas des conséquences. Et l'enfant ? me direz-vous. Etait-il parvenu à se dépêtrer de cet ô combien dramatique merdier ? espérant secrètement m'entendre vous répondre un grand « oui », suivi de longues tirades sur les inépuisables capacités de ce p'tit-bout-d'soi à défier sa propre homéostasie. Les desseins malveillants du vilain croque-mitaine avaient malheureusement portés leurs fruits. L'enfant atrophié était à présent lui aussi, rempli de haine et d'effroi. Replié sur lui-même, bipède origami. Enchaîné à sa contemplation, il avait pourtant conscience que quelque chose n'allait pas. Alternait frénétiquement entre divers récits antinomiques et ce, sans jamais arriver à les départager. Processus relativement énergivore, illustre producteur de cortisol que l'enfant s'empressait de noyer sous les endomorphines.
Bonjour . Comme d'habitude, excellente vidéo. Par contre, j'ai du mal à faire la différence avec le schéma de recherche de reconnaissance ? Est ce que le schéma de dépendance est principal et le schéma de reconnaissance est un schéma secondaire ?
Oui c'est possible mais cela dépend du fonctionnement de chaque personne. Pour pouvoir le dire avec exactitude, il faudra pouvoir en discuter en entretien avec un thérapeute formé aux schémas de personnalité. Merci pour votre message :)
Bonjour, Vidéo très intéressante. Je me demande s'il n'est pas "facile" de confondre ce schéma avec celui d'autiste de type asperger (surtout pour les femmes qui camouflent plus facilement les traits autistiques que les hommes) et à quoi pourrait-on faire la différence ? J'ai pu constater que les asperger sont très très fusionnels et dans le tout ou rien (noir ou blanc) et j'ai l'impression que ce schéma est beaucoup la dedans aussi. Comment savoir pour un psychologue s'il s'agit d'asperger ou de personnalité atrophiée par la fusion ? Aussi est-il possible de faire ce genre de thérapie avec un asperger ?
à priori oui c'est possible, à adapter à la sévérité des troubles et en prenant en compte les comportements-problèmes qui peuvent être prioritaires à traiter s'ils sont présent (crises émotionnelles, méfiance excessive envers le thérapeute ou difficulté à créer le lien thérapeutique nécessaire à la prise en charge, isolement social profond, scénario-suicidaire...)
comprendre parfois ne suffit pas, il faudra entreprendre un changement de positionnement, et si possible un changement de comportement dans son quotidien
Bonjour, je me demandais, à quand une description du schéma de surcontrôle émotionnel? :) Je serais aussi curieuse de vous entendre expliciter l'association que vous avez évoquée une fois (je ne me souviens plus dans quel vidéo par contre) entre le fait de se reconnaitre partiellement dans plusieurs schémas (voire tous), et la probabilité de souffrir d'un trouble de la personnalité. Cette évocation m'avait du coup légèrement inquiétée, ayant en effet l'impression d'avoir tiré profit de presque tous vos vidéos sur les schémas, dans l'optique d'une meilleure compréhension de moi-même et d'autrui. Peut-être qu'une simple clarification/justification de la nature du lien que vous avez mentionné entre les deux (se reconnaitre dans tous les schémas -- je dois préciser qu'il ne s'agit pas dans mon cas d'une reconnaissance totale et complète dans tous les schémas, loin s'en faut -- ET souffrir d'un trouble de la personnalité) m'aiderait à y voir plus clair. En tous les cas, un grand merci pour vos partages, et bonne continuité!
Bonjour et merci pour votre questions que l'on me pose souvent. Tout d'abord merci pour votre confiance, et votre assiduité vis-à-vis de ces vidéos, je suis contente de savoir qu'elles vous ont été utiles. Si vous ne correspondez que partiellement il est possible que ce soit plutôt des dysfonctionnements qu'une pathologie psy à proprement parler. Cela pourrait se traiter en psychothérapie TCC sans passer par la case "médecin et traitement". Mais pour pouvoir identifier chez vous un éventuel trouble de la personnalité, ou pas, il faudrait consulter un psychiatre compétent dans ce domaine particulier (qui émerge depuis peu de temps, d'où la nécessité de bien choisir le médecin qui pourra établir ou invalider ce diagnostic). Très bonne journée PS : Le schéma de Surcontrôle émotionnel (le dernier des 18 schéma que je n'avais pas encore filmé, effectivement, bravo !) aura lieu le 20 sept à midi. Si vous avez un compte facebook, vous pouvez me suivre, j'y affiche les prochaines thématiques : facebook.com/MarionMartinellipsy
@@LaPsychiatrieduSoleil Merci pour cette réponse, ainsi que pour la date du vidéo sur le Surcontrôle émotionnel (il arrive beaucoup plus rapidement que je ne l'aurais espéré, hihi). Bonne journée à vous aussi!
Oui tout est possible, mais ce n'est pas pour autant une vérité générale, pour approfondir cela, il est bien de demander de l'aide à un professionnel de santé compétent dans ce domaine (psychologue de préférence). Marion
Ça ressemble à une relation de contrôle -dependance. Une codependance , emprise . Manque d'autonomie. L autre veut qu on s en remette à lui, il croit savoir mieux que nous ce qui est meilleur pour nous. Si on y consent, c'est par déconnexion avec soi-même. Un truc anaclitique , de délégation de la responsabilité personnelle. L égalité, l altérité, la confiance, respect et considération comme adulte, ne seront pas presents. Ce sera toxique.hyper- fusionnement.
C'est incroyable comme beaucoup de choses se croisent, je regarde petit à petit vos vidéos et me reconnais parfois de manière choquante dans plusieurs schémas dominants me concernant (j'avais au préalable passé un questionnaire). Je suis suivie en thérapie dialectique comportementale pour un trouble borderline (de type 'quiet'), mais m'intéresse en parallèle du suivi à la thérapie des schémas, très complémentaire je trouve. C'est fascinant et ça m'aide grandement à comprendre certains comportements. Ce schéma d'atrophie de personnalité fait partie des choses les plus dures à améliorer dans mon cas, c'est très bloquant dans la vie. Même des choses bénignes comme le choix d'un parfum de glace devient un enfer car je me plaque sur la personne avec qui je suis accompagnée, et si je suis seule je ne sais plus ce qui me plaît. Merci beaucoup pour votre travail, vous aidez beaucoup de gens 🙏👋
Merci à vous pour votre témoignage et votre confiance, je ne peux que vous souhaitez de continuer comme vous le faites à prendre soin de vous. A bientôt pour de nouvelles vidéos :-)
Vs etes supere❤❤❤❤❤❤❤jai.eu.10
Ca doit faire deux ans, maintenant, que je me familiarise avec cette Thérapie des Schémas. Et j'en apprends encore !
Il y a quelques mois de ça, j'ai cherché à écrire un petit texte inspiré de ce schéma. Evidemment, il se veut une allégorie, avec toutes les simplifications qui vont avec. J'aimerais vous le partager en remerciement de vos efforts sur cette chaîne youtube. Je précise que je suis moi-même concerné.e par ce schéma et qu'en vérité, ce sont des postures, des sentiments que j'essaye de décrire plutôt que des jugements que je porte. Bon, peut-être un petit peu. La colère ne s'en va pas comme ça.
L'enfant, de stature frêle et délicate, était transi de ses contradictions. Son petit corps, pétri d'un clair-obscur entêtant attisant la convoitise d'une créature aux longues dents, vieillie par l'amertume et trop d'absolutisme.
La créature, fausse créatrice du monde dans lequel l'enfant s'était développé, avait depuis longtemps déjà, débuté son entreprise autophage. Elle qui n'avait pas su/pu faire de son environnement, informations et expériences positives desquelles se repaître, en ressortir grandie, s'était alors retournée contre elle-même, comme une simple machine qui s'autodétruit.
Voyant l'enfant débarquer, elle le vécu comme pure extension de sa personne, ne sachant pas ou plus se situer au sein d'un contexte plus large, ayant fait le choix de renoncer à tout ce qui n'était pas elle.
Pourtant, l'enfant, de par ce qu'il possédait sa subjectivité propre, se plaçait encore, toujours et sans relâche aux confins de la vieille créature. Ce à quoi cette dernière ne pouvait tout bonnement pas consentir car, très certainement, se disait-elle, représentait-il sa porte de sortie.
Alors, voulant le garder tout pour elle, cherchant à l'inclure comme faisant partie de ses chairs afin que ses sucs gastriques s'acheminent vers lui, elle se mit à décrire à l'enfant le plus terrible des univers. Lui inculqua que jamais personne ne viendrait à son aide. Que ses amis étaient aussi ses ennemis. Que l'Autre était mauvais, serait toujours absent. Que la force résidait dans la solitude et dans l'antagonisme et qu'en aucun cas, il ne devait se mélanger à ce monde, rempli de cons et de méchants.
Et plus le corps diaphane de l'enfant semblait s'écarteler entre Espoir et Fatum, plus la vieille créature rabougrie se sentait solide et importante.
Après l'avoir détourné de l'extérieur - c'est que ce vieil ogre se devait, comprenez-le, d'assurer son absolu triomphe, sa mortifère catharsis - il ficha en plein cœur de cet être-en-devenir les germes qui, à coup sûr, le métamorphoseraient en être-qui-aurait-pu-advenir. Il fit de l'enfant tissus hypertrophiés puis, vulgaire dépouille rachitique essorée à toutes les formes, tous les états. Froissant ce soi jusqu'à n'en plus finir.
Il fallait coûte que coûte ligoter cette soif à l'auto-détermination, la dominer, la distordre jusqu'à ce qu'elle s'étiole ou bien - au fond, l'horrible goule n'en avait cure - se putréfie en une bouffonesque et viscérale tendance à la sujétion. Il n'y avait pas de verrou plus coriace que celui placé à l'intérieur.
Enfin, voulant parachever son œuvre odieuse, l'inconsciente créature en bonne démiurge qu'elle était, fit à l'enfant miroiter moult promesses de liberté. Quel intérêt d'explorer terres inconnues, si à ses côtés, tout était déjà rendu possible ? Les contraintes bien tenues à distance... ne parlons même pas des conséquences.
Et l'enfant ? me direz-vous. Etait-il parvenu à se dépêtrer de cet ô combien dramatique merdier ? espérant secrètement m'entendre vous répondre un grand « oui », suivi de longues tirades sur les inépuisables capacités de ce p'tit-bout-d'soi à défier sa propre homéostasie.
Les desseins malveillants du vilain croque-mitaine avaient malheureusement portés leurs fruits. L'enfant atrophié était à présent lui aussi, rempli de haine et d'effroi. Replié sur lui-même, bipède origami.
Enchaîné à sa contemplation, il avait pourtant conscience que quelque chose n'allait pas. Alternait frénétiquement entre divers récits antinomiques et ce, sans jamais arriver à les départager.
Processus relativement énergivore, illustre producteur de cortisol que l'enfant s'empressait de noyer sous les endomorphines.
Merci à vous pour ce partage !
Donc on ce fait chier et on manque de vitalité ? (sorry vulgaire, très réducteur mais direct car je vois bien de quoi vous parlez).
Bonjour . Comme d'habitude, excellente vidéo. Par contre, j'ai du mal à faire la différence avec le schéma de recherche de reconnaissance ? Est ce que le schéma de dépendance est principal et le schéma de reconnaissance est un schéma secondaire ?
Oui c'est possible mais cela dépend du fonctionnement de chaque personne. Pour pouvoir le dire avec exactitude, il faudra pouvoir en discuter en entretien avec un thérapeute formé aux schémas de personnalité. Merci pour votre message :)
Bonjour,
Vidéo très intéressante. Je me demande s'il n'est pas "facile" de confondre ce schéma avec celui d'autiste de type asperger (surtout pour les femmes qui camouflent plus facilement les traits autistiques que les hommes) et à quoi pourrait-on faire la différence ? J'ai pu constater que les asperger sont très très fusionnels et dans le tout ou rien (noir ou blanc) et j'ai l'impression que ce schéma est beaucoup la dedans aussi.
Comment savoir pour un psychologue s'il s'agit d'asperger ou de personnalité atrophiée par la fusion ? Aussi est-il possible de faire ce genre de thérapie avec un asperger ?
à priori oui c'est possible, à adapter à la sévérité des troubles et en prenant en compte les comportements-problèmes qui peuvent être prioritaires à traiter s'ils sont présent (crises émotionnelles, méfiance excessive envers le thérapeute ou difficulté à créer le lien thérapeutique nécessaire à la prise en charge, isolement social profond, scénario-suicidaire...)
Bonjour, merci pour vos vidéos mais quel dommage que vous n’utilisiez pas un micro cravate afin d’améliorer le son des vidéos.
Merci, je le note :-)
Donc en comprenant, on peut s'en sortir totalement ou non?
comprendre parfois ne suffit pas, il faudra entreprendre un changement de positionnement, et si possible un changement de comportement dans son quotidien
Merci marion je comprends mieux 👍
Merci à vous pour votre retour
Bonjour,
je me demandais, à quand une description du schéma de surcontrôle émotionnel? :)
Je serais aussi curieuse de vous entendre expliciter l'association que vous avez évoquée une fois (je ne me souviens plus dans quel vidéo par contre) entre le fait de se reconnaitre partiellement dans plusieurs schémas (voire tous), et la probabilité de souffrir d'un trouble de la personnalité. Cette évocation m'avait du coup légèrement inquiétée, ayant en effet l'impression d'avoir tiré profit de presque tous vos vidéos sur les schémas, dans l'optique d'une meilleure compréhension de moi-même et d'autrui. Peut-être qu'une simple clarification/justification de la nature du lien que vous avez mentionné entre les deux (se reconnaitre dans tous les schémas -- je dois préciser qu'il ne s'agit pas dans mon cas d'une reconnaissance totale et complète dans tous les schémas, loin s'en faut -- ET souffrir d'un trouble de la personnalité) m'aiderait à y voir plus clair.
En tous les cas, un grand merci pour vos partages, et bonne continuité!
Bonjour et merci pour votre questions que l'on me pose souvent. Tout d'abord merci pour votre confiance, et votre assiduité vis-à-vis de ces vidéos, je suis contente de savoir qu'elles vous ont été utiles. Si vous ne correspondez que partiellement il est possible que ce soit plutôt des dysfonctionnements qu'une pathologie psy à proprement parler. Cela pourrait se traiter en psychothérapie TCC sans passer par la case "médecin et traitement". Mais pour pouvoir identifier chez vous un éventuel trouble de la personnalité, ou pas, il faudrait consulter un psychiatre compétent dans ce domaine particulier (qui émerge depuis peu de temps, d'où la nécessité de bien choisir le médecin qui pourra établir ou invalider ce diagnostic).
Très bonne journée
PS : Le schéma de Surcontrôle émotionnel (le dernier des 18 schéma que je n'avais pas encore filmé, effectivement, bravo !) aura lieu le 20 sept à midi. Si vous avez un compte facebook, vous pouvez me suivre, j'y affiche les prochaines thématiques :
facebook.com/MarionMartinellipsy
@@LaPsychiatrieduSoleil Merci pour cette réponse, ainsi que pour la date du vidéo sur le Surcontrôle émotionnel (il arrive beaucoup plus rapidement que je ne l'aurais espéré, hihi). Bonne journée à vous aussi!
Est-ce qu'une personne narcissique peut aussi avoir une personnalité atrophiée ?
Oui tout est possible, mais ce n'est pas pour autant une vérité générale, pour approfondir cela, il est bien de demander de l'aide à un professionnel de santé compétent dans ce domaine (psychologue de préférence).
Marion
Ça ressemble à une relation de contrôle -dependance. Une codependance , emprise . Manque d'autonomie. L autre veut qu on s en remette à lui, il croit savoir mieux que nous ce qui est meilleur pour nous. Si on y consent, c'est par déconnexion avec soi-même. Un truc anaclitique , de délégation de la responsabilité personnelle. L égalité, l altérité, la confiance, respect et considération comme adulte, ne seront pas presents. Ce sera toxique.hyper- fusionnement.