C est ca que j'aimais pas à cette epoque...la scission et la division entre rap et rock...lascars et hardos...c etait ridicule, on venait tous du meme quartier ! Perso dans ma cité je trainais avec les 2 parties, et j'écoutais autant de snoop dogg, ntm, que de sepultura ou nirvana....ce sear dit n importe quoi, je connaissais plein de gars hip hop qui kiffaient nirvana, ou rage against the machine. Mais bon c est le reflet de l epoque, heureusement sur ce sujet ca a bien évolué quand meme et dans le bon sens
Pareil, j'avais un look de caille (mais avec un skate 😆) mais j'étais un hybride partagé entre hip-hop et gratte 🤣C'te cloisonnement musical et cette fermeture d'esprit j'ai toujours trouvé ça absurde et débile. Mais c'est vrai, comme tu dis, c'était dans l'air du temps.
Critiquer le fait que certains considérer le rap comme de la musique de Mouloud, pour finir par critiquer le grunge comme musique de riche aux cheveux gras... La sociologie qui prends le pas sur la musique.. c'est triste.
Il a raison j'ai 48 ans j'ai grandi en cité en banlieue nord Parisienne dans un milieu modeste , je comprenais pas que des enfants de riches étaient déguisés en pauvre ( une caricature de pauvre surtout ) faire aussi crado alors que tes parents on grave de l'oseille ! alors qu'on prenait soin de nous comme pas possible .. j'aime le rock hein j'ai pas de problème avec cette musique au contraire , je parle des punk à clebs qui souvent viennent de milieux privilégiés .. bonne soirée à toi .
@@minutepapillon5060 Ce qui est ironique c'est que c'est justement le rap bas de gamme qui joue ce rôle maintenant dans les beaux quartiers (les jeunes n'écoutent plus de rock)
@@minutepapillon5060j’abonde dans votre sens, j’ai bossé dans une association, blindé de bobos, ils étaient tous habillés avec des fripes, et tous avec des roulés au bec.
Des choses qui brillent, des bijoux, des bagnoles, l'anticonformisme underground qui au fond ne demandait qu'à consommer d'la de-mer comme n'importe quel petit-bourgeois. Le hip-hop a gagné, c'est devenu une référence dans l'art d'accommoder les jeunesses aux valeurs de la propriété et de la consommation. L'accumulation matérielle schlingue aujourd'hui plus que n'importe quel punk à chien, la réalité, c'est que le mythe méritocrate et l'ascension sociale ont surjoué l'inclusion dans un monde qui se devait d'exploiter toutes les marges à son avantage. Et qu'en reste-t-il ? Des collections de sneakers fabriqués par des chinois suicidaires ? Des gamins sous codéine ? Des gamines objectivées ? Des souvenirs muséifiés pour des branchés en New Balance? La glamourisation du calibre, d'la fumette, d'la mafia, de la puissance, individuelle, égocentrée, concurrentielle, opportuniste, libidineuse et vénale. La street est devenue chic, tout le monde veut en être, tout le monde s'en revendique, du trottoir gentrifié au bureaucrate en streetwear. Alors triomphe, le hip-hop a gagné, et quelle victoire, quelles valeurs, quel héritage.
Sacré Sear, egale a lui meme, toujours une pointe d’aigreur dans le bec, mais purée que c’est bon de l’entendre radoter, euh ...mais une question me turlupine en regardant ses fringues, c’est du Fila ou pas ? j’ai un doute ....🤔
Sear. Une encyclopédie de la culture hip-hop ainsi qu'une manière franche de s'exprimer et toujours avec éloquence
Sear de get busy! Son franc parler me régale a chaque fois !
Sear qui porte pas de Fila 😳!
C est ca que j'aimais pas à cette epoque...la scission et la division entre rap et rock...lascars et hardos...c etait ridicule, on venait tous du meme quartier ! Perso dans ma cité je trainais avec les 2 parties, et j'écoutais autant de snoop dogg, ntm, que de sepultura ou nirvana....ce sear dit n importe quoi, je connaissais plein de gars hip hop qui kiffaient nirvana, ou rage against the machine. Mais bon c est le reflet de l epoque, heureusement sur ce sujet ca a bien évolué quand meme et dans le bon sens
Pareil, j'avais un look de caille (mais avec un skate 😆) mais j'étais un hybride partagé entre hip-hop et gratte 🤣C'te cloisonnement musical et cette fermeture d'esprit j'ai toujours trouvé ça absurde et débile. Mais c'est vrai, comme tu dis, c'était dans l'air du temps.
même a cette epok il était aigris ...
Critiquer le fait que certains considérer le rap comme de la musique de Mouloud, pour finir par critiquer le grunge comme musique de riche aux cheveux gras...
La sociologie qui prends le pas sur la musique.. c'est triste.
Il a raison j'ai 48 ans j'ai grandi en cité en banlieue nord Parisienne dans un milieu modeste , je comprenais pas que des enfants de riches étaient déguisés en pauvre ( une caricature de pauvre surtout ) faire aussi crado alors que tes parents on grave de l'oseille ! alors qu'on prenait soin de nous comme pas possible .. j'aime le rock hein j'ai pas de problème avec cette musique au contraire , je parle des punk à clebs qui souvent viennent de milieux privilégiés .. bonne soirée à toi .
Je veux pas me prétendre sociologue mais les textes hiphop ont dans la quasi entièreté d'entre eux des messages sociaux
Les clichés font l'humanité
@@minutepapillon5060 Ce qui est ironique c'est que c'est justement le rap bas de gamme qui joue ce rôle maintenant dans les beaux quartiers (les jeunes n'écoutent plus de rock)
@@minutepapillon5060j’abonde dans votre sens, j’ai bossé dans une association, blindé de bobos, ils étaient tous habillés avec des fripes, et tous avec des roulés au bec.
💯👑🔥
Des choses qui brillent, des bijoux, des bagnoles, l'anticonformisme underground qui au fond ne demandait qu'à consommer d'la de-mer comme n'importe quel petit-bourgeois. Le hip-hop a gagné, c'est devenu une référence dans l'art d'accommoder les jeunesses aux valeurs de la propriété et de la consommation. L'accumulation matérielle schlingue aujourd'hui plus que n'importe quel punk à chien, la réalité, c'est que le mythe méritocrate et l'ascension sociale ont surjoué l'inclusion dans un monde qui se devait d'exploiter toutes les marges à son avantage. Et qu'en reste-t-il ? Des collections de sneakers fabriqués par des chinois suicidaires ? Des gamins sous codéine ? Des gamines objectivées ? Des souvenirs muséifiés pour des branchés en New Balance? La glamourisation du calibre, d'la fumette, d'la mafia, de la puissance, individuelle, égocentrée, concurrentielle, opportuniste, libidineuse et vénale. La street est devenue chic, tout le monde veut en être, tout le monde s'en revendique, du trottoir gentrifié au bureaucrate en streetwear. Alors triomphe, le hip-hop a gagné, et quelle victoire, quelles valeurs, quel héritage.
L'americain qui a vendu 3 millions d'exemplaire, avant ça il est passé par l'auto prod.
Sacré Sear, egale a lui meme, toujours une pointe d’aigreur dans le bec, mais purée que c’est bon de l’entendre radoter, euh ...mais une question me turlupine en regardant ses fringues, c’est du Fila ou pas ? j’ai un doute ....🤔
Je préfère Sear lui-même à Sear.
Une personne authentique et sans concession. Je le remercie pour sa lumière qui en a guidé plus d'un...
... SEARPILLÈRE ...
Reals knows !
"Un jour, ils nous demanderont pardon, à genoux"... Voilà, nous y sommes ! 😏
il était deja vieux mdr
sear est né calvitié, faut le savoir
Hein voilà 🤣🤣🤣
C’est écrit dans mon livre 😉👌
@@dannywild 🤣🤣🤣🤣
@@royazmusic7784 😉👍