Malik ben Nabi le Penseur Philosophe (1/01/1905 - 31/10/1973) ،un Grand intellectuel méconnu chez les siens, en avance de son temps. qu'Allah lui fasse miséricorde Un penseur algérien, qui a fait un saut qualitatif dans la pensée islamique moderne, et a établi des concepts et des termes intellectuels et philosophiques sans précédent. Il a été appelé par de nombreux titres, dont « le philosophe de l'époque », « le juriste de la civilisation » et « théoricien de la renaissance islamique ». Naissance et éducation Malek Bennabi est né le 1er janvier 1905 à Constantine, en Algérie, dans une famille modeste et religieuse, son père Omar était employé dans l'administration de la ville de Tébessa et sa mère, Zahira, travaillait comme tisserande. Au cours de son séjour à Paris , il a rencontré une jeune fille française qui s'est convertie à l'islam entre ses mains et s'est nommée Khadija, alors il l'a épousée, mais elle n'a pas accouché, alors il s'est remarié en Égypte en 1956. Étude et formation Il intègre le livre de mémorisation du Saint Coran à Tébessa pendant quatre ans en parallèle de ses études à l'École française jusqu'à la fin de ses études primaires et préparatoires. Son excellence académique lui permet d'obtenir une bourse pour poursuivre ses études dans la ville de Constantine , qui était enseignante de culture arabe et islamique avant l'occupation, et là il commence à s'initier à la culture française. A la fin de ses études secondaires en 1925, il voyage en France , mais revient en Algérie car il n'a pas trouvé de travail.En 1930, il retourne en France pour poursuivre ses études, mais il ne peut pas intégrer l'Institut d'études orientales. , il est donc allé à la Wireless School, où il a obtenu un certificat d'ingénieur électricien général. 1935. Emplois et responsabilités Il travaille dans la ville de Tébessa comme commis de greffe au tribunal de grande instance, et en 1927 il rejoint la ville d'Aflou, dans l'Etat de Laghouat, pour travailler dans son tribunal. Après son retour en Algérie en 1963, il occupe plusieurs postes universitaires dont le plus important est celui de conseiller pour l'enseignement supérieur, directeur de l'université d'Alger puis directeur de l'enseignement supérieur, jusqu'à ce qu'il démissionne en 1967 et se consacre à ses activités intellectuelles et militantes. L'expérience intellectuelle En 1928, il fait la connaissance du pionnier du mouvement réformateur en Algérie, le cheikh Abdelhamid Ben Badis , à la tête de l'Association des savants musulmans algériens. Il s'est engagé dans une activité intellectuelle et politique parmi les expatriés, et le titre de sa première conférence là-bas était "Pourquoi sommes-nous musulmans?" Fin décembre 1931, la police française l'interroge. Il a participé à la création de «l'Association de l'unité maghrébine» sous la tutelle du prince Chakib Arslan, et y est devenu un représentant de l'Algérie.Sa connaissance de la langue arabe après avoir bien maîtrisé la langue française. Il a concentré ses efforts dans les domaines de la pensée de la Renaissance et des études coraniques. Dans le premier, il a apporté des contributions remarquables au renouveau de la pensée islamique contemporaine. Il a souligné que la crise de la communauté musulmane est essentiellement une crise pratique et méthodologique. En conséquence , il a formulé sa théorie du changement social sur la base du principe d'efficacité et abordant ce qu'il a appelé la susceptibilité au colonialisme et la prudence de La maladie de la dépression et de l'humiliation. Il a enrichi la pensée islamique de nombreux termes en parlant de « pensées mortes » et de « pensées mortelles », de la relation entre elles, des étapes du développement de la civilisation islamique, etc. Ses livres et antiquités ont un riche dossier de dons intellectuels, ayant écrit plus de trente livres, dont "Le problème de la culture" en 1956, "La lutte intellectuelle dans les pays coloniaux" en 1960, "L'idée afro-asiatique" en 1956 et « Le Commonwealth islamique » en 1960. Parmi ses livres les plus célèbres figurent "Le phénomène coranique", "Le point de vue du monde islamique", "Les conditions de la Renaissance" et "Le problème des idées dans le monde islamique". Après sa mort, il a publié deux livres : le premier, "Le rôle du musulman et son message au XXe siècle" en 1977, et le second, "Entre la justice et l'égaré" en 1978. Dr Abdel-Sabour Shaheen a traduit plusieurs de ses livres publiés en français vers l'arabe. Décès Malik bin Nabi est décédé le 4 Shawwal 1393 correspondant au 31 octobre 1973.
Très intéressant, on m'a fait découvrir cet auteur ... Le fait qu'il était proche de Nasser est-il dû au fait qu'il adhérait aux thèses Pan-Arabistes, alors qu'il "contredit" Ibn Khaldoun sur cette question de "3assabia" ? Je continue ma découverte
Les Intellectuelles musulmans à l'ire et étudié : Malek bennabi René guénon Mohamed Iqbal Hamza Benaïssa Seyyid hossein nasr Sofiane Meziani Saïd Ramadan Al-Bouti Sayyid Ala Maududi Sayyid Qutb Farid Al-Ansari Saïd Nursî Mohamed AbdAllah Draz Muhammad Hamduillah
Vous pouvez tout lire en fait mais pour se forger un système de pensée et une méthodologie qui vous soit vraiment utile rien de mieux que l'œuvre de Bennabi . Là il n'y a pas photo comme on dit .
Mr El Hamri vous n'avez pas encore trouvé quelqu'un pour vous remettre en place ?! Ignare et prétentieux que vous êtes vous n'avez pas le talent pour comprendre la pensée de Bennabi et encore moins pour la présenter.
Jai trouver quil tourner autour du pot et quil a beaucoup brasser du vent dans sa présentation de ce personnage, benabi n'avait pas l'air d'être une lumière mis à part le concept de colonisabilité je vois pas ceux quil a apporter de nouveau, et encore je suis pas sur que sa soit 100% de lui. Sa pensée me semble très évasive, et confuse, et très inutile. Jai cru comprendre quil voulait fédérer le chiisme au sunnisme, erreur fatale et quil reprochait à Qutub d'avoir enlever le mot civilisé deuxième erreur fatale, cela montre que benabi ete ignorant et pas assez élevé intellectuellement pour ne pas comprendre quil y ai incompatibilité du chiisme et du mot civilisé avec la pureté de l"Islam. Sadi Qutub avait compris que la religion civile ete une impureté. Puis il a occulté toute lhistoire du califat ottoman comme si ces califat là ne comptait pas vraiment jai ressenti que ce type est malade.
Excellente émission sur Bennabi. Merci.
Malik ben Nabi le Penseur Philosophe (1/01/1905 - 31/10/1973) ،un Grand intellectuel méconnu chez les siens, en avance de son temps. qu'Allah lui fasse miséricorde
Un penseur algérien, qui a fait un saut qualitatif dans la pensée islamique moderne, et a établi des concepts et des termes intellectuels et philosophiques sans précédent. Il a été appelé par de nombreux titres, dont « le philosophe de l'époque », « le juriste de la civilisation » et « théoricien de la renaissance islamique ».
Naissance et éducation
Malek Bennabi est né le 1er janvier 1905 à Constantine, en Algérie, dans une famille modeste et religieuse, son père Omar était employé dans l'administration de la ville de Tébessa et sa mère, Zahira, travaillait comme tisserande.
Au cours de son séjour à Paris , il a rencontré une jeune fille française qui s'est convertie à l'islam entre ses mains et s'est nommée Khadija, alors il l'a épousée, mais elle n'a pas accouché, alors il s'est remarié en Égypte en 1956.
Étude et formation
Il intègre le livre de mémorisation du Saint Coran à Tébessa pendant quatre ans en parallèle de ses études à l'École française jusqu'à la fin de ses études primaires et préparatoires.
Son excellence académique lui permet d'obtenir une bourse pour poursuivre ses études dans la ville de Constantine , qui était enseignante de culture arabe et islamique avant l'occupation, et là il commence à s'initier à la culture française.
A la fin de ses études secondaires en 1925, il voyage en France , mais revient en Algérie car il n'a pas trouvé de travail.En 1930, il retourne en France pour poursuivre ses études, mais il ne peut pas intégrer l'Institut d'études orientales. , il est donc allé à la Wireless School, où il a obtenu un certificat d'ingénieur électricien général. 1935.
Emplois et responsabilités
Il travaille dans la ville de Tébessa comme commis de greffe au tribunal de grande instance, et en 1927 il rejoint la ville d'Aflou, dans l'Etat de Laghouat, pour travailler dans son tribunal.
Après son retour en Algérie en 1963, il occupe plusieurs postes universitaires dont le plus important est celui de conseiller pour l'enseignement supérieur, directeur de l'université d'Alger puis directeur de l'enseignement supérieur, jusqu'à ce qu'il démissionne en 1967 et se consacre à ses activités intellectuelles et militantes.
L'expérience intellectuelle
En 1928, il fait la connaissance du pionnier du mouvement réformateur en Algérie, le cheikh Abdelhamid Ben Badis , à la tête de l'Association des savants musulmans algériens.
Il s'est engagé dans une activité intellectuelle et politique parmi les expatriés, et le titre de sa première conférence là-bas était "Pourquoi sommes-nous musulmans?" Fin décembre 1931, la police française l'interroge.
Il a participé à la création de «l'Association de l'unité maghrébine» sous la tutelle du prince Chakib Arslan, et y est devenu un représentant de l'Algérie.Sa connaissance de la langue arabe après avoir bien maîtrisé la langue française.
Il a concentré ses efforts dans les domaines de la pensée de la Renaissance et des études coraniques. Dans le premier, il a apporté des contributions remarquables au renouveau de la pensée islamique contemporaine. Il a souligné que la crise de la communauté musulmane est essentiellement une crise pratique et méthodologique. En conséquence , il a formulé sa théorie du changement social sur la base du principe d'efficacité et abordant ce qu'il a appelé la susceptibilité au colonialisme et la prudence de La maladie de la dépression et de l'humiliation.
Il a enrichi la pensée islamique de nombreux termes en parlant de « pensées mortes » et de « pensées mortelles », de la relation entre elles, des étapes du développement de la civilisation islamique, etc.
Ses livres et antiquités
ont un riche dossier de dons intellectuels, ayant écrit plus de trente livres, dont "Le problème de la culture" en 1956, "La lutte intellectuelle dans les pays coloniaux" en 1960, "L'idée afro-asiatique" en 1956 et « Le Commonwealth islamique » en 1960.
Parmi ses livres les plus célèbres figurent "Le phénomène coranique", "Le point de vue du monde islamique", "Les conditions de la Renaissance" et "Le problème des idées dans le monde islamique".
Après sa mort, il a publié deux livres : le premier, "Le rôle du musulman et son message au XXe siècle" en 1977, et le second, "Entre la justice et l'égaré" en 1978. Dr Abdel-Sabour Shaheen a traduit plusieurs de ses livres publiés en français vers l'arabe.
Décès
Malik bin Nabi est décédé le 4 Shawwal 1393 correspondant au 31 octobre 1973.
Très intéressant, merci.
Très intéressant.
Sallam écrire pour lui est une thérapie c'est très bien dit bien que le terme coquetterie c'est féminin😊
as salam aleykoum où pouvons nous trouver les détails des différents opposant Malik Bennabi et Ibn Badis, Said Qutb etc...?
Très intéressant, on m'a fait découvrir cet auteur ...
Le fait qu'il était proche de Nasser est-il dû au fait qu'il adhérait aux thèses Pan-Arabistes, alors qu'il "contredit" Ibn Khaldoun sur cette question de "3assabia" ?
Je continue ma découverte
❤
Les Intellectuelles musulmans à l'ire et étudié :
Malek bennabi
René guénon
Mohamed Iqbal
Hamza Benaïssa
Seyyid hossein nasr
Sofiane Meziani
Saïd Ramadan Al-Bouti
Sayyid Ala Maududi
Sayyid Qutb
Farid Al-Ansari
Saïd Nursî
Mohamed AbdAllah Draz
Muhammad Hamduillah
N'oublie pas aussi Al Ghazali et Al Farabi
Vous avez oublié le grand Ali Shariati
Vous pouvez tout lire en fait mais pour se forger un système de pensée et une méthodologie qui vous soit vraiment utile rien de mieux que l'œuvre de Bennabi . Là il n'y a pas photo comme on dit .
@@tymmou2421 je confirme pour Malek Bennabi
Sans oublier cheikh Mohamed Eghazali
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Ministre Algérien
Mr El Hamri vous n'avez pas encore trouvé quelqu'un pour vous remettre en place ?! Ignare et prétentieux que vous êtes vous n'avez pas le talent pour comprendre la pensée de Bennabi et encore moins pour la présenter.
Jai trouver quil tourner autour du pot et quil a beaucoup brasser du vent dans sa présentation de ce personnage, benabi n'avait pas l'air d'être une lumière mis à part le concept de colonisabilité je vois pas ceux quil a apporter de nouveau, et encore je suis pas sur que sa soit 100% de lui.
Sa pensée me semble très évasive, et confuse, et très inutile.
Jai cru comprendre quil voulait fédérer le chiisme au sunnisme, erreur fatale et quil reprochait à Qutub d'avoir enlever le mot civilisé deuxième erreur fatale, cela montre que benabi ete ignorant et pas assez élevé intellectuellement pour ne pas comprendre quil y ai incompatibilité du chiisme et du mot civilisé avec la pureté de l"Islam.
Sadi Qutub avait compris que la religion civile ete une impureté.
Puis il a occulté toute lhistoire du califat ottoman comme si ces califat là ne comptait pas vraiment jai ressenti que ce type est malade.
Pour toi
Tu a lu ces livres dans sont entièreté ?
Très intéressant