Dans les pays développés, ces petits agriculteurs sont les moteurs de l économie rurale, ils sont très appréciés et aidé,j espère que ça sera de même chez nous un jour, la société en générale doit respecter ces métiers, et surtout les jeunes au lieu de penser à fuir tout le temps.
Dans une Kabylie libre et indépendante , tout ces agriculteurs seront soutenus et mis de l’avant ! . Et la la Kabylie sortira de la misère , et sera protégée des incendies criminels ! . Les jeunes kabyles ne seront plus obligés de fuir jusqu'à mourir en mer méditerranée ! . La Kabylie va enfin retrouver sa dignité , sa stabilité et son épanouissement !
Bjr. Introduire la mécanisation dans des terrains aussi pentus que ceux de la montagne Kabyle est improbable voir souvent impossible. Il me semble plus judicieux de revenir à une petite agriculture familiale de type jardinée qui trouverait son épanouissement sur les parcelles les moins accidentées. Pour tout un tas de contraintes actuelles (insensée et forte démographie, rétrécissement des terres agricoles au profit de l’habitat, changement climatique, etc ...), l’agriculture Kabyle ne peut être que complémentaire à d’autres secteurs économiques pourvoyeurs de richesses comme le tourisme, l’artisanat, les services et la petite industrie. Pour se faire, il faut remettre massivement la population au travail de la terre, prise conscience des enjeux nécessaires ... En généralisant cette agriculture jardinée comme le faisaient jadis nos anciens, il y aura à la clé une production qualitative et même quantitative qui trouvera son écoulement naturel en cycle court dans des marchés de proximité qu’il faut réinventer. Cultiver 2000 hectares de blé d’un seul tenant n’est pas possible di tmourt Takvaïlite, multiplier partout où c’est possible des lopins de 1000 m2 bien amendés pour atteindre de très bons rendements en céréales ou en légumes c’est largement possible ! Planter des fruitiers sur les pentes c’est également possible et souhaitable ! Autre argument, revenons sur Terre ... Installer des immenses silos ainsi qu’une méga industrie minotière à Tizi-Ouzou ou Touvirets ou Vgayth n’est pas imaginable, construire des micros moulins associatifs et villageois c’est faisable et rentable au profit du plus grand nombre ! Idem concernant la production de l’huile d’olive, l’élevage familial de bestiaux, l’arboriculture fruitière, l’apiculture, le maraîchage et plein d’autres choses encore. La mobilisation de tous est nécessaire, il en va de l’intérêt économique de la région comme de celui de notre environnement largement saccagé de nos jours. Arrêtons le massacre .... Remettre du monde dans les champs de montagnes c’est éviter la propagation des incendies meurtriers mais aussi stopper les dépôts sauvages d’ordures qui s’amoncellent le long de nos routes ... Tanmirt.
Dans les pays développés, ces petits agriculteurs sont les moteurs de l économie rurale, ils sont très appréciés et aidé,j espère que ça sera de même chez nous un jour, la société en générale doit respecter ces métiers, et surtout les jeunes au lieu de penser à fuir tout le temps.
Dans une Kabylie libre et indépendante , tout ces agriculteurs seront soutenus et mis de l’avant ! . Et la la Kabylie sortira de la misère , et sera protégée des incendies criminels ! .
Les jeunes kabyles ne seront plus obligés de fuir jusqu'à mourir en mer méditerranée ! .
La Kabylie va enfin retrouver sa dignité , sa stabilité et son épanouissement !
Bjr. Introduire la mécanisation dans des terrains aussi pentus que ceux de la montagne Kabyle est improbable voir souvent impossible. Il me semble plus judicieux de revenir à une petite agriculture familiale de type jardinée qui trouverait son épanouissement sur les parcelles les moins accidentées. Pour tout un tas de contraintes actuelles (insensée et forte démographie, rétrécissement des terres agricoles au profit de l’habitat, changement climatique, etc ...), l’agriculture Kabyle ne peut être que complémentaire à d’autres secteurs économiques pourvoyeurs de richesses comme le tourisme, l’artisanat, les services et la petite industrie. Pour se faire, il faut remettre massivement la population au travail de la terre, prise conscience des enjeux nécessaires ... En généralisant cette agriculture jardinée comme le faisaient jadis nos anciens, il y aura à la clé une production qualitative et même quantitative qui trouvera son écoulement naturel en cycle court dans des marchés de proximité qu’il faut réinventer. Cultiver 2000 hectares de blé d’un seul tenant n’est pas possible di tmourt Takvaïlite, multiplier partout où c’est possible des lopins de 1000 m2 bien amendés pour atteindre de très bons rendements en céréales ou en légumes c’est largement possible ! Planter des fruitiers sur les pentes c’est également possible et souhaitable !
Autre argument, revenons sur Terre ... Installer des immenses silos ainsi qu’une méga industrie minotière à Tizi-Ouzou ou Touvirets ou Vgayth n’est pas imaginable, construire des micros moulins associatifs et villageois c’est faisable et rentable au profit du plus grand nombre ! Idem concernant la production de l’huile d’olive, l’élevage familial de bestiaux, l’arboriculture fruitière, l’apiculture, le maraîchage et plein d’autres choses encore. La mobilisation de tous est nécessaire, il en va de l’intérêt économique de la région comme de celui de notre environnement largement saccagé de nos jours. Arrêtons le massacre ....
Remettre du monde dans les champs de montagnes c’est éviter la propagation des incendies meurtriers mais aussi stopper les dépôts sauvages d’ordures qui s’amoncellent le long de nos routes ...
Tanmirt.