Maurice Bourgue, né le 6 novembre 1939 à Avignon, est un hautboïste, chambriste, compositeur et chef d'orchestre français. Biographie Modifier Maurice Bourgue naît le 6 novembre 1939 à Avignon[1]. Il fait ses études au Conservatoire national supérieur de musique de Paris dans les classes de hautbois d'Étienne Baudo et de musique de chambre de Fernand Oubradous. Il obtient un Premier prix de hautbois en 1958 et un Premier prix de musique de chambre en 1959. Il remporte ensuite les premiers prix des concours internationaux suivants : Genève 1963, Birmingham 1965, Munich 1967, Prague 1968, Budapest 1970[1]. Maurice Bourgue est appelé en 1967 par Charles Munch à l'Orchestre de Paris, où il restera hautbois solo jusqu'en 1979[1]. Il se produit parallèlement en soliste[1], sous la direction de chefs prestigieux (Claudio Abbado, Daniel Barenboïm, Riccardo Chailly, John Eliot Gardiner), et entreprend une activité de direction d'orchestre, en France comme à l'étranger. Depuis 1972, il consacre une part importante de ses activités à la musique de chambre au sein de l'Octuor à vent qui porte son nom et dont il est le fondateur, constitué de musiciens de l'Orchestre de Paris[1]. Il enregistrera plusieurs disques avec cette formation. En 1979, il est nommé professeur de hautbois au Conservatoire de Paris, poste qu'il occupe jusqu'en 1992, lorsqu'il prend en main la classe de hautbois du Conservatoire de Genève, jusqu'en 2011[1]. Directeur musical de l'Académie Internationale de Musique de Chambre Sándor Végh, Maurice Bourgue déploie une activité pédagogique continue, tant au sein des conservatoires de Paris et de Genève, que lors de master-classes qu'il anime à Budapest, Londres, Lausanne, Moscou, Oslo, Jérusalem, ou Kyoto. Créateur d'œuvres de Berio (Chemins IV, 1975) et de Dutilleux (Les Citations, 1991)[1], Maurice Bourgue a enregistré un grand nombre de disques, dont plusieurs ont été récompensés. Marié à Colette, née Kling, pianiste et antiquaire aux puces de Saint-Ouen, marché Vernaison.
Brillant orchestre, vraiment ( la prise de son est un peu lointaine). Et Maurice Bourgue, idole des hautboïstes ... à l'époque il était jeune et chevelu ! toujours si extraordinaire et si modeste.
Brawo ! Piękne wykonanie, warto posłuchać.
i know it is kinda randomly asking but does anyone know of a good website to stream new series online?
Music START: 5:05
Belo!
MERCI
I saw bach is present !!! 0:38
Maurice Bourgue, né le 6 novembre 1939 à Avignon, est un hautboïste, chambriste, compositeur et chef d'orchestre français.
Biographie
Modifier
Maurice Bourgue naît le 6 novembre 1939 à Avignon[1].
Il fait ses études au Conservatoire national supérieur de musique de Paris dans les classes de hautbois d'Étienne Baudo et de musique de chambre de Fernand Oubradous. Il obtient un Premier prix de hautbois en 1958 et un Premier prix de musique de chambre en 1959. Il remporte ensuite les premiers prix des concours internationaux suivants : Genève 1963, Birmingham 1965, Munich 1967, Prague 1968, Budapest 1970[1].
Maurice Bourgue est appelé en 1967 par Charles Munch à l'Orchestre de Paris, où il restera hautbois solo jusqu'en 1979[1].
Il se produit parallèlement en soliste[1], sous la direction de chefs prestigieux (Claudio Abbado, Daniel Barenboïm, Riccardo Chailly, John Eliot Gardiner), et entreprend une activité de direction d'orchestre, en France comme à l'étranger.
Depuis 1972, il consacre une part importante de ses activités à la musique de chambre au sein de l'Octuor à vent qui porte son nom et dont il est le fondateur, constitué de musiciens de l'Orchestre de Paris[1]. Il enregistrera plusieurs disques avec cette formation.
En 1979, il est nommé professeur de hautbois au Conservatoire de Paris, poste qu'il occupe jusqu'en 1992, lorsqu'il prend en main la classe de hautbois du Conservatoire de Genève, jusqu'en 2011[1].
Directeur musical de l'Académie Internationale de Musique de Chambre Sándor Végh, Maurice Bourgue déploie une activité pédagogique continue, tant au sein des conservatoires de Paris et de Genève, que lors de master-classes qu'il anime à Budapest, Londres, Lausanne, Moscou, Oslo, Jérusalem, ou Kyoto.
Créateur d'œuvres de Berio (Chemins IV, 1975) et de Dutilleux (Les Citations, 1991)[1], Maurice Bourgue a enregistré un grand nombre de disques, dont plusieurs ont été récompensés.
Marié à Colette, née Kling, pianiste et antiquaire aux puces de Saint-Ouen, marché Vernaison.
Brillant orchestre, vraiment ( la prise de son est un peu lointaine). Et Maurice Bourgue, idole des hautboïstes ... à l'époque il était jeune et chevelu ! toujours si extraordinaire et si modeste.
qu arrive t il à Bourgue ?.... cette lourdeur mécanique
Жаль,звукооператор лажовый
c est lourd comme présentation et viellot
on a l impression que Bourgue vieillit mal légato omni présent peu convaincant ambiance quasi nulle que se passe t il????
ouf après cette présentation pompeuse inutile voire ridicule on respire enfin bravo l artiste meme si vous n ètes pas dans votre assiette