Luigi Corraro: Merci à Norbert et tous les acteurs de ce superbe reportage.Je l'ai visionné avec une grande nostalgie et une pensée toute particulière envers tous nos anciens disparus aujourd’hui. La vie continue son petit bonhomme de chemin, mais grâce à ce reportage, nos jeunes pourront se souvenir qu'hier leurs ancêtres ont été acteurs pour une vie meilleure. Chaleureusement à tous. Luigi
Tellement émouvant ! Un bonheur de découvrir cette vidéo. Et un plaisir de revoir Monsieur Escanez. Merci pour les nouvelles générations qui ne connaissent pas forcément l'histoire de Saint-Auban. Moi je suis allée à l'école puis au collège à Chateau-Arnoux et je n'ai jamais entendu parler de l'usine pendant mon enfance. Bien dommage !
Merci pour ce beau reportage . mon mari a travaillé de nombreuses années à St Auban . Nous y avons tenu une station service durant 5 ans . Nos filles y sont allées à l'école . un bonjour particulier de René à Luigi , Nicolas et Bernard qui se reconnaitront . merci à Mer Guillot pour la promenade en Buggy.. ce commentaire vous arrive du Gard ou nous résidons maintenant !
Bonjour René, le roi du Kart à Saint-Auban. Nous nous étions rencontrés à l'hôpital de Digne au chevet de Roger... Heureux que cette vidéo vous ait plu. N'hésitez pas à la partager sans modération. Un amical salut à Josette.
Ma fille m'a fait découvrir cette video, qui m'a rempli de très fortes émotions. J'ai vécu de merveilleuses années et c'est grâce à toutes les conditions sociaux, culturelles et économiques qui existaient dans cette cité que j'ai pû moi fils d'un ouvrier immigré d'Andalousie arriver à faire des études et devenir Ingénieur ENSAM. J'ai toujours gardé les valeurs que j'ai reçues de mes parents et de tous les adultes ( ouvriers, agents de maîtrise, ingénieurs, directeurs, instituteurs, professeurs, médecins et infirmières) qui non seulement travaillaient très dur mais aussi s'intéressaient à tous les enfants de la cité. Comme il est dit dans la video par des hommes et des femmes que je revois avec amour. J'en ai même pleuré de joie. Il y avait beaucoup de solidarité et de bienveillance. Cette cité est maintenant tombé edans une énorme solitude et lorsque j'y retourne pour rendre visite à mon père qui a 93 ans et qui est tellement fier d'être St Aubanais, après avoir émigré de son village d'Andalousie. Quand on sait qu'il est arrivé à St Auban sans même savoir parler le Français et qu'il a avec son travail et le soutien de son épouse réussi à atteindre un niveau culturel et économique dont on peut être fier et faire que leurs 4 enfants ont réussi des études supérieures et progressé dans leurs vies professionnelles et familiales, nous devons reconnaître que l'usine de St Auban y est pour la plus forte raison. Beaucoup de critique peut être faite sur la base de dire que ce n'était pas normal qu'une entreprise puisse avoir un tel contrôle sur les gens dans leur vie privé et qu'une cité puisse être autant dépendant de cette entreprise. On peut aussi y voir le côté positif de ce que tout ce qui était mis à disposition, ne coûtait rien à l'état ni aux services publics, et nous avions tout ce qui se faisait de mieux en terme d'écoles, sport et activités culturelles. Sans cela nous aurions été abandonnés à ce qui étaient les conditions dans les banlieues des grandes villes. Il me semble que cela doit servir d'exemple pour ce que les entreprises devraient faire de nos jours pour s'impliquer dans les activités sociaux culturelles dans les villes proches de leurs sites de travail. Merci pour ce partage Antoine CARRILLO
les 30 glorieuses on se foutait complètement de l'écologie mais qui va payer l'addition aujourd'hui nos pauvres anciens qu'on travaillée dans des conditions sanitaires déplorables exposé à toutes sortes de produits dangereux et que pour une partie n'ont pas connu la joie de la retraite j'écris ces quelques mots pour qu'on ne les oublie pas
Je me lasse pas de regarder ce petit reportage avec nostalgie....
Un document riche en histoire et en émotions . Félicitations chaleureuses à leurs auteurs pour ce superbe travail
Très très beau reportage qui donne " la chair de poule" nostalgie
Luigi Corraro: Merci à Norbert et tous les acteurs de ce superbe reportage.Je l'ai visionné avec une grande nostalgie et une pensée toute particulière envers tous nos anciens disparus aujourd’hui. La vie continue son petit bonhomme de chemin, mais grâce à ce reportage, nos jeunes pourront se souvenir qu'hier leurs ancêtres ont été acteurs pour une vie meilleure. Chaleureusement à tous. Luigi
Merci pour ce beau petit reportage !!!!
super !!un gros merci,beaucoup de nostalgie de voir ce reportage,cité car je suis saintaubanaise.
Tellement émouvant ! Un bonheur de découvrir cette vidéo. Et un plaisir de revoir Monsieur Escanez. Merci pour les nouvelles générations qui ne connaissent pas forcément l'histoire de Saint-Auban. Moi je suis allée à l'école puis au collège à Chateau-Arnoux et je n'ai jamais entendu parler de l'usine pendant mon enfance. Bien dommage !
Merci pour ce beau reportage . mon mari a travaillé de nombreuses années à St Auban . Nous y avons tenu une station service durant 5 ans . Nos filles y sont allées à l'école . un bonjour particulier de René à Luigi , Nicolas et Bernard qui se reconnaitront . merci à Mer Guillot pour la promenade en Buggy.. ce commentaire vous arrive du Gard ou nous résidons maintenant !
Bonjour René, le roi du Kart à Saint-Auban. Nous nous étions rencontrés à l'hôpital de Digne au chevet de Roger... Heureux que cette vidéo vous ait plu. N'hésitez pas à la partager sans modération. Un amical salut à Josette.
Merci ...
Ma fille m'a fait découvrir cette video, qui m'a rempli de très fortes émotions. J'ai vécu de merveilleuses années et c'est grâce à toutes les conditions sociaux, culturelles et économiques qui existaient dans cette cité que j'ai pû moi fils d'un ouvrier immigré d'Andalousie arriver à faire des études et devenir Ingénieur ENSAM. J'ai toujours gardé les valeurs que j'ai reçues de mes parents et de tous les adultes ( ouvriers, agents de maîtrise, ingénieurs, directeurs, instituteurs, professeurs, médecins et infirmières) qui non seulement travaillaient très dur mais aussi s'intéressaient à tous les enfants de la cité. Comme il est dit dans la video par des hommes et des femmes que je revois avec amour. J'en ai même pleuré de joie. Il y avait beaucoup de solidarité et de bienveillance.
Cette cité est maintenant tombé edans une énorme solitude et lorsque j'y retourne pour rendre visite à mon père qui a 93 ans et qui est tellement fier d'être St Aubanais, après avoir émigré de son village d'Andalousie. Quand on sait qu'il est arrivé à St Auban sans même savoir parler le Français et qu'il a avec son travail et le soutien de son épouse réussi à atteindre un niveau culturel et économique dont on peut être fier et faire que leurs 4 enfants ont réussi des études supérieures et progressé dans leurs vies professionnelles et familiales, nous devons reconnaître que l'usine de St Auban y est pour la plus forte raison.
Beaucoup de critique peut être faite sur la base de dire que ce n'était pas normal qu'une entreprise puisse avoir un tel contrôle sur les gens dans leur vie privé et qu'une cité puisse être autant dépendant de cette entreprise. On peut aussi y voir le côté positif de ce que tout ce qui était mis à disposition, ne coûtait rien à l'état ni aux services publics, et nous avions tout ce qui se faisait de mieux en terme d'écoles, sport et activités culturelles. Sans cela nous aurions été abandonnés à ce qui étaient les conditions dans les banlieues des grandes villes.
Il me semble que cela doit servir d'exemple pour ce que les entreprises devraient faire de nos jours pour s'impliquer dans les activités sociaux culturelles dans les villes proches de leurs sites de travail.
Merci pour ce partage
Antoine CARRILLO
beau reportage de votre vie ;ou j'ai passé des vacances dans une famille qui travaillait chez vous.
michel
les 30 glorieuses on se foutait complètement de l'écologie mais qui va payer l'addition aujourd'hui nos pauvres anciens qu'on travaillée dans des conditions sanitaires déplorables exposé à toutes sortes de produits dangereux et que pour une partie n'ont pas connu la joie de la retraite j'écris ces quelques mots pour qu'on ne les oublie pas