Je me rappelle très bien de ses débuts dans l'ancienne salle de Cinéma d'Ath Douala transformée en salle des sports sous la houlette de Bachetarzi Amar. Un parcours époustouflant. Bravo 👏
Bravo Kahina, vous êtes une femme formidable.merci de passer un message pour préserver l'environnement et les déchets, saleté partout en Kabylie à l'origine les Kabyles sont propres, c'est une honte de voir notre nature dégradé.
Donnez nous leur noms ,ce qu'ils sont , leur identités ( kabyle , mozabite , chaoui , arabe ...) , leur régions , leur appartenance ( media , parti , association , syndicat...),ce qu'ils font dans la vie , chefs d'accusation, décisions de la justice a leur encontre , citez ceux qui les défendent...
@@mahchachastan3401 Les glaçantes révélations de Slimane Bouhafs au juge  Slimane Bouhafs Le procès de Bouaziz Aït Chebib, Kamira Naït Sid et Slimane Bouhafs devant le tribunal criminel de Dar El Beida. Slimane Bouhafs qui répond en dernier aux questions du juge a témoigné avoir été torturé. Kidnapping d’État ou petit arrangement entre services sécuritaires ? Slimane Bouhafs a, selon sa famille, été «enlevé» en Tunisie, le 25 août 2021, puis transféré «par force» en Algérie. Il a été placé depuis en détention. Slimane Bouhafs est appelé à la barre. Converti au christianisme, le prévenu confie qu’un imam a mis sa tête à prix 500 millions. Mais ce qui intéresse le juge c’est son éventuelle proximité avec le Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie, classée organisation terroriste par le régime depuis 2021. « Sur une supposée carte d’identité kabyle du GPK, retrouvée dans mes affaires et datant de 2012, comment elle n’a pas été retrouvée en 2016 et voilà que le DRS la retrouve en 2021 », s’étonne Slimane Bouhafs, selon un compte rendu publié par Alternew.info. Bouhafs raconte son kidnapping en Tunisie presque nu, traîné par les pieds, violenté. Le juge : ce sont des Tunisiens ? Bouhafs : Je n’en sais rien. Le juge : je te parle de ceux qui t’ont interrogé. Slimane Bouhafs répond : Mais ceux qui m’ont kidnappé, ils m’ont torturé, ils m’ont uriné dessus, ils m’ont fait boire de l’urine. Et puis je me retrouve à Antar (centre de la Sécurité militaire à Alger, NDLR), après cette arrestation mouvementée, interrogé surtout sur ma religion ». Plus loin, il souligne : « Je n’accuse pas l’État algérien, mais il y a en son sein une fraction qui n’en fait qu’a sa tête. Il y a forcément un lien entre mon kidnapping et le fait de me retrouver à Antar », selon la même source. Slimane Bouhafs raconte avec émotion. La voix étranglée, il ajoute : « Ceux qui m’ont kidnappé ne peuvent pas être autres que des terroristes daechistes. Deux groupes m’ont escorté de la frontière tunisienne jusqu’à Antar ou je suis resté 5 jours puis on m’a confié à la police ». Le juge semble peu convaincu. « Comment des terroristes te livrent à la police ? », interroge le juge. « C’est toute la question M. le juge », répond le prévenu. Concernant ses aveux consignés, Slimane Bouhafs déclare qu’ils lui ont été soutiré sous les coups et les menaces. Il balaye toute accointance avec le MAK : « Comment puis-je connaître Ferhat Mehenni ? interroge-t-il. « Je n’ai rien dit de tel, ce sont eux qui le disent ». Il déclare qu’il a connu Bouaziz Aït Chebib en prison. Le procès se poursuit à l’heure où nous écrivons ces lignes. Kidnapping d’État ou petit arrangement entre services sécuritaires ? Nous sommes le 25 août 2021, à la Cité Ettahrir, à Tunis, aux alentours de 13 heures. Trois individus en tenue civile surgissent d’une camionnette noire au matricule étranger, frappent à la porte de Slimane Bouhafs, militant et réfugié algérien exilé à Tunis depuis 2018, et l’embarquent sans ménagement. Le 29 août, la nouvelle est confirmée : Bouhafs est détenu dans un commissariat à Alger. Il est placé en détention provisoire le 1er septembre 2021, raconte jeune Afrique, dans un article sur cet enlèvement. Slimane Bouhafs (55 ans) avait déjà passé 20 mois en prison. Il a été condamné, en septembre 2016, à 3 ans de prison ferme pour «atteinte à l’islam et au prophète Mohamed» sur la base de publications sur Facebook, avant d’être libéré fin mars 2018, après avoir bénéficié de mesures de la grâce présidentielle. Synthèse L.M.
@@mahchachastan3401 Procès des militants à Alger : les accusés dénoncent des « actes de tortures Le procès de plusieurs militants qui s’est ouvert au tribunal criminel de Dar El Beidha a révélé les horreurs que subissent les détenus, notamment au moment de leurs arrestations et durant les interrogatoires. Ainsi, un jeune accusé dans ce dossier nommé « Rachad », a dénoncé la torture qu’il a subi lors de son arrestation. Appelé à la barre, le jeune Yasser a raconté qu’il a subi plusieurs jours de torture et d’humiliation. « J’ai subi 3 jours de torture dans les locaux de la police », a-t-il raconté, précisant qu’un « officier des services à Magenta, a pissé sur moi. On m´a dénudé et pris en photo pour m´humilier davantage », a-t-il raconté courageusement. Le récit macabre du jeune Yasser n’en finit toujours pas. Il a ajouté que « les déclarations contenues dans le PV ont été fabriquées par les services. Je n´ai rien déclaré de tel, ni impliqué les personnes ici présentes ». Après ses aveux et dénonciations du jeune accusé, Saïd Boudour, défenseur des droits de l’homme et journaliste à Oran lui emboite le pas. « Nous sommes les victimes d´une machination et l´odeur de la torture plane sur ce dossier », a-t-il dit d’emblée. Il rappelle et dénonce les tortures qu´il aurait subi de la part de 5 agents de police. « j´ai été frappé, blessé, insulté et humilié », a-t-il encore dit, rappelant que « devant le médecin légiste, les policiers ont refusé que le médecin m´examine. Je salue le courage de cette dame qui leur a tenu tête… J´ai demandé à voir le procureur on me l´a refusé. Je ne connais aucun de ceux qui sont dans le box. A part Chouicha et son épouse dans le cadre de la ligue des droits de l´homme ». Ces graves révélations reviennent à chaque procès de détenus politiques. Concernant le réquisitoire, le procureur a requis 20 ans de prison contre tous les accusés. Le procès se poursuit toujours.
@@mahchachastan3401 Affaire Larbaa Nath Irathen : Des innocents kabyles condamnés à la peine de mort ! Le verdict dans le procès en appel de l’affaire dite Larbaa Nath Irathen est tombé, ce lundi 23 octobre. La condamnation à mort a été confirmée pour 38 accusés. Le régime algérien, dont les services secrets ont orchestré et perpétrés de bout en bout les incendies de l’été 2021 en Kabylie et le meurtre de Djamel Bensmain, règle ainsi son compte avec le peuple kabyle insoumis dans une parodie de procès. La Kabylie entière crie au scandale, alors que des algériens font semblant d’ignorer que les vrais coupables de ces crimes est la junte militaire. Après une semaine de plaidoiries, la chambre criminelle près la Cour d’Alger a prononcé, aujourd’hui lundi, son verdict dans l’affaire du meurtre du jeune Djamel Bensmain, le 11 août 2021, à Larbaa Nath Irathen (Tizi Wezzu), et les incendies criminels perpétrés en Kabylie durant la même période. Malheureusement, des kabyles innocents ont été condamnés dans un procès politique par excellence, où le régime algérien a décidé de sévir contre la Kabylie, visant particulièrement ses militants indépendantistes. Ainsi, sur les 94 accusés, dont 75 en détention, 38 ont été condamnés à la peine de mort, alors qu’ils étaient 49 à écoper de la même peine en première instance. Quatorze autres accusés ont été condamnés à trois ans de prison ferme, huit autres à cinq ans, six à vingt ans et un à dix ans de prison. Par ailleurs, 27 autres personnes accusées dans le même dossier ont été acquittées. Les familles kabyles, qui ont perdu des dizaines des leurs dans ces incendies criminels ont refusé de se constituer partie civile. En effet, elles savent pertinemment que les personnes arrêtées et accusées dans cette affaire ne sont pas les vrais coupables. Le père du défunt Djamel Bensmain, qui était auparavant prudent dans ses déclarations, refusant d’accuser à tort ‘’ses frères kabyles‘’ a malheureusement changé de discours. Certainement, ce changement d’attitude s’est produit sous la pression des services secrets algériens, qui voulaient coûte que coûte incriminer la Kabylie. Malgré les preuves tangibles (photos et vidéos) montrant que le jeune Djamel Bensmain a été assassiné à l’intérieur du fougon de la police algérienne par des agents des services secrets avant de le livrer à la foule, la justice algérienne a décidé de condamner des kabyles innocents à la peine capitale. Certains parmi eux n’étaient même pas présents sur les lieux du crime et étaient en train d’éteindre les feux ravageant les villages kabyles lorsque le jeune de Miliana a été assassiné, et de surcroit, en face du commissariat de police
BRAVOS !❤FEMME COURAGEUSE INTELLIGENTE ! TRÈS INTÉRESSANTE ! MERCI POUR L'ALGÉRIE ❤
Je me rappelle très bien de ses débuts dans l'ancienne salle de Cinéma d'Ath Douala transformée en salle des sports sous la houlette de Bachetarzi Amar. Un parcours époustouflant. Bravo 👏
Un exemple à suivre.Bravo Madame et bonne continuation.
الى الأمام كهينة واصلي لا تملي ستصلين الى البطولة الإفريقية وتلميدالية العالمية وتشرفين الجزائر مثل الملاكمة خليف
Wow on été top🎉🎉
Bravo Kahina, vous êtes une femme formidable.merci de passer un message pour préserver l'environnement et les déchets, saleté partout en Kabylie à l'origine les Kabyles sont propres, c'est une honte de voir notre nature dégradé.
Adherhem rebi thabot ekemyorwen 👍👍
👍👍👍👍👍👍👍👍👍👍
Pourquoi vous n'allez pas à la rencontre des 250 prisonniers d'opinions qui croupissent en prison ?
Donnez nous leur noms ,ce qu'ils sont , leur identités ( kabyle , mozabite , chaoui , arabe ...) , leur régions , leur appartenance ( media , parti , association , syndicat...),ce qu'ils font dans la vie , chefs d'accusation, décisions de la justice a leur encontre , citez ceux qui les défendent...
En cas de réponse , limitez vous a ce qui est demandé, pas plus et pas autre chose.
@@mahchachastan3401 Les glaçantes révélations de Slimane Bouhafs au juge
 Slimane Bouhafs
Le procès de Bouaziz Aït Chebib, Kamira Naït Sid et Slimane Bouhafs devant le tribunal criminel de Dar El Beida. Slimane Bouhafs qui répond en dernier aux questions du juge a témoigné avoir été torturé.
Kidnapping d’État ou petit arrangement entre services sécuritaires ?
Slimane Bouhafs a, selon sa famille, été «enlevé» en Tunisie, le 25 août 2021, puis transféré «par force» en Algérie. Il a été placé depuis en détention.
Slimane Bouhafs est appelé à la barre. Converti au christianisme, le prévenu confie qu’un imam a mis sa tête à prix 500 millions.
Mais ce qui intéresse le juge c’est son éventuelle proximité avec le Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie, classée organisation terroriste par le régime depuis 2021.
« Sur une supposée carte d’identité kabyle du GPK, retrouvée dans mes affaires et datant de 2012, comment elle n’a pas été retrouvée en 2016 et voilà que le DRS la retrouve en 2021 », s’étonne Slimane Bouhafs, selon un compte rendu publié par Alternew.info.
Bouhafs raconte son kidnapping en Tunisie presque nu, traîné par les pieds, violenté.
Le juge : ce sont des Tunisiens ?
Bouhafs : Je n’en sais rien.
Le juge : je te parle de ceux qui t’ont interrogé.
Slimane Bouhafs répond : Mais ceux qui m’ont kidnappé, ils m’ont torturé, ils m’ont uriné dessus, ils m’ont fait boire de l’urine. Et puis je me retrouve à Antar (centre de la Sécurité militaire à Alger, NDLR), après cette arrestation mouvementée, interrogé surtout sur ma religion ».
Plus loin, il souligne : « Je n’accuse pas l’État algérien, mais il y a en son sein une fraction qui n’en fait qu’a sa tête. Il y a forcément un lien entre mon kidnapping et le fait de me retrouver à Antar », selon la même source.
Slimane Bouhafs raconte avec émotion. La voix étranglée, il ajoute : « Ceux qui m’ont kidnappé ne peuvent pas être autres que des terroristes daechistes. Deux groupes m’ont escorté de la frontière tunisienne jusqu’à Antar ou je suis resté 5 jours puis on m’a confié à la police ». Le juge semble peu convaincu. « Comment des terroristes te livrent à la police ? », interroge le juge. « C’est toute la question M. le juge », répond le prévenu. Concernant ses aveux consignés, Slimane Bouhafs déclare qu’ils lui ont été soutiré sous les coups et les menaces.
Il balaye toute accointance avec le MAK : « Comment puis-je connaître Ferhat Mehenni ? interroge-t-il. « Je n’ai rien dit de tel, ce sont eux qui le disent ». Il déclare qu’il a connu Bouaziz Aït Chebib en prison. Le procès se poursuit à l’heure où nous écrivons ces lignes.
Kidnapping d’État ou petit arrangement entre services sécuritaires ?
Nous sommes le 25 août 2021, à la Cité Ettahrir, à Tunis, aux alentours de 13 heures. Trois individus en tenue civile surgissent d’une camionnette noire au matricule étranger, frappent à la porte de Slimane Bouhafs, militant et réfugié algérien exilé à Tunis depuis 2018, et l’embarquent sans ménagement. Le 29 août, la nouvelle est confirmée : Bouhafs est détenu dans un commissariat à Alger. Il est placé en détention provisoire le 1er septembre 2021, raconte jeune Afrique, dans un article sur cet enlèvement.
Slimane Bouhafs (55 ans) avait déjà passé 20 mois en prison. Il a été condamné, en septembre 2016, à 3 ans de prison ferme pour «atteinte à l’islam et au prophète Mohamed» sur la base de publications sur Facebook, avant d’être libéré fin mars 2018, après avoir bénéficié de mesures de la grâce présidentielle.
Synthèse L.M.
@@mahchachastan3401 Procès des militants à Alger : les accusés dénoncent des « actes de tortures
Le procès de plusieurs militants qui s’est ouvert au tribunal criminel de Dar El Beidha a révélé les horreurs que subissent les détenus, notamment au moment de leurs arrestations et durant les interrogatoires.
Ainsi, un jeune accusé dans ce dossier nommé « Rachad », a dénoncé la torture qu’il a subi lors de son arrestation. Appelé à la barre, le jeune Yasser a raconté qu’il a subi plusieurs jours de torture et d’humiliation.
« J’ai subi 3 jours de torture dans les locaux de la police », a-t-il raconté, précisant qu’un « officier des services à Magenta, a pissé sur moi. On m´a dénudé et pris en photo pour m´humilier davantage », a-t-il raconté courageusement.
Le récit macabre du jeune Yasser n’en finit toujours pas. Il a ajouté que « les déclarations contenues dans le PV ont été fabriquées par les services. Je n´ai rien déclaré de tel, ni impliqué les personnes ici présentes ».
Après ses aveux et dénonciations du jeune accusé, Saïd Boudour, défenseur des droits de l’homme et journaliste à Oran lui emboite le pas. « Nous sommes les victimes d´une machination et l´odeur de la torture plane sur ce dossier », a-t-il dit d’emblée. Il rappelle et dénonce les tortures qu´il aurait subi de la part de 5 agents de police.
« j´ai été frappé, blessé, insulté et humilié », a-t-il encore dit, rappelant que « devant le médecin légiste, les policiers ont refusé que le médecin m´examine. Je salue le courage de cette dame qui leur a tenu tête… J´ai demandé à voir le procureur on me l´a refusé. Je ne connais aucun de ceux qui sont dans le box. A part Chouicha et son épouse dans le cadre de la ligue des droits de l´homme ».
Ces graves révélations reviennent à chaque procès de détenus politiques. Concernant le réquisitoire, le procureur a requis 20 ans de prison contre tous les accusés. Le procès se poursuit toujours.
@@mahchachastan3401 Affaire Larbaa Nath Irathen : Des innocents kabyles condamnés à la peine de mort !
Le verdict dans le procès en appel de l’affaire dite Larbaa Nath Irathen est tombé, ce lundi 23 octobre. La condamnation à mort a été confirmée pour 38 accusés. Le régime algérien, dont les services secrets ont orchestré et perpétrés de bout en bout les incendies de l’été 2021 en Kabylie et le meurtre de Djamel Bensmain, règle ainsi son compte avec le peuple kabyle insoumis dans une parodie de procès. La Kabylie entière crie au scandale, alors que des algériens font semblant d’ignorer que les vrais coupables de ces crimes est la junte militaire.
Après une semaine de plaidoiries, la chambre criminelle près la Cour d’Alger a prononcé, aujourd’hui lundi, son verdict dans l’affaire du meurtre du jeune Djamel Bensmain, le 11 août 2021, à Larbaa Nath Irathen (Tizi Wezzu), et les incendies criminels perpétrés en Kabylie durant la même période. Malheureusement, des kabyles innocents ont été condamnés dans un procès politique par excellence, où le régime algérien a décidé de sévir contre la Kabylie, visant particulièrement ses militants indépendantistes. Ainsi, sur les 94 accusés, dont 75 en détention, 38 ont été condamnés à la peine de mort, alors qu’ils étaient 49 à écoper de la même peine en première instance. Quatorze autres accusés ont été condamnés à trois ans de prison ferme, huit autres à cinq ans, six à vingt ans et un à dix ans de prison.
Par ailleurs, 27 autres personnes accusées dans le même dossier ont été acquittées. Les familles kabyles, qui ont perdu des dizaines des leurs dans ces incendies criminels ont refusé de se constituer partie civile. En effet, elles savent pertinemment que les personnes arrêtées et accusées dans cette affaire ne sont pas les vrais coupables.
Le père du défunt Djamel Bensmain, qui était auparavant prudent dans ses déclarations, refusant d’accuser à tort ‘’ses frères kabyles‘’ a malheureusement changé de discours. Certainement, ce changement d’attitude s’est produit sous la pression des services secrets algériens, qui voulaient coûte que coûte incriminer la Kabylie. Malgré les preuves tangibles (photos et vidéos) montrant que le jeune Djamel Bensmain a été assassiné à l’intérieur du fougon de la police algérienne par des agents des services secrets avant de le livrer à la foule, la justice algérienne a décidé de condamner des kabyles innocents à la peine capitale. Certains parmi eux n’étaient même pas présents sur les lieux du crime et étaient en train d’éteindre les feux ravageant les villages kabyles lorsque le jeune de Miliana a été assassiné, et de surcroit, en face du commissariat de police
Béni-Douala!!! P.!!! J'ai arrêté la vidéo.
Pourquoi
Pour lui apparemment elle devait dire Ath Douala ! Ridicule