Mon douleur by Inaïa Chinate

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Mao: FL Studio
Vidéo: capcut and ai video
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**** Lyrics ****
Nos pas résonnaient, en cadence, sur les quais
Les promesses chuchotées, dans un futur qu'on peignait
Ton regard était mon phare, dans le flot de la foule
À tes cotés, tout semblait si simple, si doux
Puis tu t'es éclipsé
Mon phare s'est éteint, je suis perdu, délaissé
J’ai marché sous la pluie, sans abri, corps et coeur
Chaque goutte un tourment, le souvenir, notre heure
Même en fermant les yeux, ton ombre reste là
Plus je fuis ton visage, et plus il s'approcha
Et aujourd'hui je pleure
Car tu es mon douleur, ma solitude, mon leurre
J’ai cru voir nos rires, nos mains entrelacées
Des rêves évanouis, en larmes, effacés
Dans le miroir brisé, je cherche ton reflet
Et à travers le temps, je suis seul, incomplet
Le ciel est mon miroir
Tes adieux, mon histoire, la nuit tombe, il est tard
La lune éclaire la scène, d'un amour qui se déchire
Perdu dans cette peine, mon âme se retire
Cherchant ta chaleur, dans l'écho de la ville
Mais seul reste le froid, et la rue indocile
Et voilà que je tremble
Ton absence, un temple, de souvenirs, qui assemble
Sous la pluie qui se calme, l'aurore commence à poindre
Des étoiles s'éteignent, et mes larmes rejoignent
Un océan de chagrin, où notre amour s'est noyé
Je chuchote ton nom, dans la brise, égaré
Le jour se lève, sans toi
Tes mots résonnent, ma voix, perd son chemin, dans le froid
Je trace seul mon chemin, sous la voute étoilée
Des souvenirs s'égrènent, en silence, voilés
Les lumières de la ville, scintillent, s'étiolent
Sur les pavés mouillés, où notre histoire s'envole
Et la nuit me serre fort
Dans ses bras, je cherche encore, ton sourire, mon trésor
Je marche sans but, sous le ciel noir et lourd
Chaque pas répète, ton nom, mon amour écourté
Dans le vent quelque part, ta voix semble me narguer
Avec le parfum du passé, qui doucement m'enserre
Paris s'endort, mais pas mes regrets, pas l'espoir
Je te cherche sans cesse, dans les étoiles, chaque soir
Les cafés se vident, sur les trottoirs mouillés
Des rires s’éclipsent, dans la nuit étoilée
Les lueurs s'éteignent, tout doucement, je traîne
Je vois nos souvenirs, à chaque coin de rue sémés
Paris s'endort, et moi, je verse une larme
Dans l'ombre de ton absence, je perds mon âme