Faut bien alcool Faut bien qu'j'te quitte j'suis trop vieux pour tes jeux Qu'est-ce que tu veux on s'est trop aimé, Trop haï, ce que tu m'as donné Tu ne me l'avais que prêté J'ai été invincible, tonitruant Défenseur de la pureté des dames Tu me diras, ça t'arrangeait bien Tu pouvais me garder plus longtemps Jusqu'au petit matin souvent A vingt ans on veut mourir Et à presque quarante, on, veut rester. Alors salut Tu trouveras bien un fou avec mes yeux qui t'aimera Un désemparé que tu pourras chérir Quelques témoins du temps passé Se souviendront bien du jeune homme trébuchant Et de notre histoire d'amour Je ne t'ai jamais bu par ennui Je t'ai toujours bu par passion Pour être d'un bond tout méchant ou tout bon. Alors salut Vingt ans de vie commune Au coucher, au réveil Des coups derrière la tête, Et puis tout ces animaux bizarre Que tu élèves chez toi Ces singes grimaçant, Ces perroquet dont le bec dégouline De cervelles humaines, tous ces serpents Monstrueux d'effroi et aux corps Affreusement glacés Faut bien alcool Faut bien qu'j'te quitte Tant que je ne parlais qu'aux oiseaux multicolores Aux filles nues et belles Tant que je buvais qu'entre leur seins je ne dis pas, C'est vrai que grâce à toi J'ai eu des femmes que je ne méritait pas C'est vrai que je connais tous les bars de la ville Et d'autres encore C'est vrai, que j'ai parlé à Dieu Et qu'on ne s'entend pas du tout Même, tout est vrai Faut bien alcool Faut bien qu'j'te quitte la prise est débranchée Impossible de souffler dans l'harmonica Je ne veux plus coucher avec toi Au prix de ma vie Je ne veux plus, que tu sois princesse Tu n'est qu'une sorcière aux seins gris Ton ventre si blanc, dans le temps N'est plus qu'un marais infâme Ou les crabes et les crapauds s'entretuent Je ne veux plus que les ressorts de mon crânes S'éparpillent au hasard des bars Et que les clowns, éblouis par la foule Saluent leur gloire flétrie Ah ma belle fleur vénéneuse tu complotes avec la folie Tu complotes trop Faut bien alcool Faut bien qu'j'te quitte J'aime les femmes dont les yeux s'étonnent que les oiseaux s'envolent Rends moi mes ailes, ma véritable destiné Rends moi mon sexe, mon amarre terrestre Qu'est-ce que ça peut te faire que j'aille voir d'autres gonzesse Je t'ai aimé, juré, immobile au coin du bar Les yeux perdus dans le Mississipi A midi plaqué, ou l'ombre même s'ennuie Je t'ai aimé, juré Y'a vingt ans déjà, L'avenue aux rivages ensorcelants m'a pris dans ses bras Je me suis laissé porter jusqu'à l'intoxe, Sous les néons caressants Par des infirmiers trébuchants A la perverse tendresse Nous avons joué tous les rôles toi et moi L'homme brisé, l'homme réussi Le héros impuissant, l'ivrogne d'azur L'homme de talent, Celui qui on ne la fait pas. Celui à qui on fait tout J'ai vécu dans la débauche, des sentiments C'est vrai, tout est vrai, je ne renie rien. Faut bien alcool, Faut bien que je te quitte, Il est encore temps Pour le jeter sur le papier Faut remonter le temps Et retrouver la véritable couleur du moment Où le cœur à souffert et aimé Et retrouver toute l'ardeur Restituer Et puis je veux que ceux que j'aime Que ceux qui m'aiment, Cessent d'avoir du chagrin Faut bien alcool , Faut bien que je te quitte... ( Richard Bohringer )
Faut bien.... peut être, je suis pas sûr, mais le contraire non plus , ces gens ont beaucoup de temps pour boire, sans doute ont ils effectivement trop bus, boire trop et tout le temps fait perdre toutes les bonnes sensations que l'alcool peut apporter.
Faut bien alcool
Faut bien qu'j'te quitte
j'suis trop vieux pour tes jeux
Qu'est-ce que tu veux on s'est trop aimé,
Trop haï, ce que tu m'as donné
Tu ne me l'avais que prêté
J'ai été invincible, tonitruant
Défenseur de la pureté des dames
Tu me diras, ça t'arrangeait bien
Tu pouvais me garder plus longtemps
Jusqu'au petit matin souvent
A vingt ans on veut mourir
Et à presque quarante, on, veut rester.
Alors salut
Tu trouveras bien un fou avec mes yeux qui t'aimera
Un désemparé que tu pourras chérir
Quelques témoins du temps passé
Se souviendront bien du jeune homme trébuchant
Et de notre histoire d'amour
Je ne t'ai jamais bu par ennui
Je t'ai toujours bu par passion
Pour être d'un bond tout méchant ou tout bon.
Alors salut
Vingt ans de vie commune
Au coucher, au réveil
Des coups derrière la tête,
Et puis tout ces animaux bizarre
Que tu élèves chez toi
Ces singes grimaçant,
Ces perroquet dont le bec dégouline
De cervelles humaines, tous ces serpents
Monstrueux d'effroi et aux corps
Affreusement glacés
Faut bien alcool
Faut bien qu'j'te quitte
Tant que je ne parlais qu'aux oiseaux multicolores
Aux filles nues et belles
Tant que je buvais qu'entre leur seins
je ne dis pas,
C'est vrai que grâce à toi
J'ai eu des femmes que je ne méritait pas
C'est vrai que je connais tous les bars de la ville
Et d'autres encore
C'est vrai, que j'ai parlé à Dieu
Et qu'on ne s'entend pas du tout
Même, tout est vrai
Faut bien alcool
Faut bien qu'j'te quitte
la prise est débranchée
Impossible de souffler dans l'harmonica
Je ne veux plus coucher avec toi
Au prix de ma vie
Je ne veux plus, que tu sois princesse
Tu n'est qu'une sorcière aux seins gris
Ton ventre si blanc, dans le temps
N'est plus qu'un marais infâme
Ou les crabes et les crapauds s'entretuent
Je ne veux plus que les ressorts de mon crânes
S'éparpillent au hasard des bars
Et que les clowns, éblouis par la foule
Saluent leur gloire flétrie
Ah ma belle fleur vénéneuse tu complotes avec la folie
Tu complotes trop
Faut bien alcool
Faut bien qu'j'te quitte
J'aime les femmes dont les yeux s'étonnent
que les oiseaux s'envolent
Rends moi mes ailes, ma véritable destiné
Rends moi mon sexe, mon amarre terrestre
Qu'est-ce que ça peut te faire que j'aille voir d'autres gonzesse
Je t'ai aimé, juré, immobile au coin du bar
Les yeux perdus dans le Mississipi
A midi plaqué, ou l'ombre même s'ennuie
Je t'ai aimé, juré
Y'a vingt ans déjà,
L'avenue aux rivages ensorcelants m'a pris dans ses bras
Je me suis laissé porter jusqu'à l'intoxe,
Sous les néons caressants
Par des infirmiers trébuchants
A la perverse tendresse
Nous avons joué tous les rôles toi et moi
L'homme brisé, l'homme réussi
Le héros impuissant, l'ivrogne d'azur
L'homme de talent,
Celui qui on ne la fait pas.
Celui à qui on fait tout
J'ai vécu dans la débauche, des sentiments
C'est vrai, tout est vrai, je ne renie rien.
Faut bien alcool,
Faut bien que je te quitte,
Il est encore temps
Pour le jeter sur le papier
Faut remonter le temps
Et retrouver la véritable couleur du moment
Où le cœur à souffert et aimé
Et retrouver toute l'ardeur
Restituer
Et puis je veux que ceux que j'aime
Que ceux qui m'aiment,
Cessent d'avoir du chagrin
Faut bien alcool ,
Faut bien que je te quitte...
( Richard Bohringer )
Faut bien.... peut être, je suis pas sûr, mais le contraire non plus , ces gens ont beaucoup de temps pour boire, sans doute ont ils effectivement trop bus, boire trop et tout le temps fait perdre toutes les bonnes sensations que l'alcool peut apporter.
L'album de Léonard"requins drôles" est à écouter.
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