Perturbations en Syntropie 3 Plessage de noisetiers et de saules. De la lumière pour les basilics...

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  • Опубликовано: 28 сен 2024
  • Comment je "plesse" (plesser = plier) des noisetiers et un saule Meursault et ce que j'attends de cette perturbation dans une optique de mise en pratique de la syntropie. Je me renseigne sur la syntropie depuis seulement trois jours en découvrant ses principes et ses actions de base qui, je trouve, rejoignent davantage que la permaculture, mes actions depuis Novembre dernier, notamment avec les nombreux plessis effectués en forêt. La perturbation est la 3e clé de la syntropie. Originellement et intentionnellement, on pourrait parler de la perturbation comme le fait de changer le milieu, selon l'exemple de l'animal qui change continuellement l'espace où il se trouve, en broutant par exemple... le plessi rejoint ainsi l'action des animaux sur terre. Prenez un autre exemple que les ruminants, comme le castor et ses plessis et trognes naturelles qu'il fait!
    Voir • Qu'est-ce que la syntr... et des textes "professionels" sur la syntropie pour appuyer ma vidéo :
    "L’agriculture syntropique ou agroforesterie successionnelle est née au Brésil. Elle a été conceptualisée dans les années 80 par Ernst Götsch, agriculteur et chercheur suisse, qui a tout au long de sa vie développé des techniques qui concilient production agricole et régénération du paysage et des sols au Brésil.
    ... C'est une nouvelle proposition de lecture de l'écosystème qui permet à l'agriculteur de chercher ses réponses en utilisant un autre raisonnement, bien différent de celui auquel nous sommes habitués. L'agriculture syntropique est constituée d'un cadre théorique et pratique dans lequel les processus naturels sont traduits en interventions agricoles dans leur forme, leur fonction et leur dynamique
    Son application pratique est visible sur la ferme d'Ernst (Bahia, Brésil), avec la recomposition de 410 hectares de terres dégradées, la résurgence de 14 sources et la réapparition d’espèces de la faune indigène."
    (voir : assosyntropique.wixsite.com/france/l-agriculture-syntropique-c-est-quoi)
    et:
    "L’agriculture syntropique, évidente réconciliation des Humains avec la Nature
    « C’est quoi la nature pour vous ? » Cette question aura laissé sans voix pas mal d’agriculteurs interviewés dans les 7 pays que j’ai déjà visités… Mais les agriculteurs formés à l’agriculture syntropique sont beaucoup plus à l’aise avec le sujet.
    Une parcelle de bananiers en cours de « syntropisation » à Murwillumbah, côte Est Australienne.
    Le principe de base de cette nouvelle forme d’agriculture - oui encore une ! - est de cesser d’opposer nature et agriculture, avec l’idée que la puissance des écosystèmes peut être démultipliée grâce à l’action de l’homme dans l’objectif de produire de la nourriture.
    la syntropie est la caractéristique du monde vivant à tendre vers de plus en plus d’organisation, vers une complexification de plus en plus élevée. C’est le contraire de l’entropie, phénomène qui fait tendre la matière inanimée vers l’ordre et le désordre et donc la destruction. En 30 ans, Ernst Gotsch a développé au Brésil une agriculture qui se définit par la création plutôt que par la destruction, par l’harmonie plutôt que le désordre.
    Le vie est basée sur des processus qui évoluent de formes simples à complexes. Chaque espèce sur la planète et chaque être humain a une fonction dans notre grand système. .....
    .l’agriculture syntropique accélère les processus naturels
    On peut développer une agriculture à partir de cette philosophie, en faisant en sorte que les systèmes agricoles favorisent la vie à travers la photosynthèse en premier lieu. Le but est de créer plus de vie et de fertilité des sols, un système prospère et d’abondance. Pour cela il faut supprimer les procédés entropiques, c’est à dire de destruction, comme la culture sur brûlis, l’usage d’engins trop lourds ou puissants, les fertilisants chimiques et les pesticides.
    ....
    Toujours prêt à couper les branches
    On ne verra jamais Ernst Gotsch se balader sans son couteau Bowie ; l’une des bases techniques de l’agroforesterie successionnelle est la taille des arbres, qui crée un flux massif de matière organique ligneuse vers le sol pour aider au développement des champignons et (re)construire les sols.
    ... « la taille augmente la croissance des racines et induit un changement dans les mycorhizes de la plante. La plante produit plus d’acide gibbérellique, hormone favorisant la croissance de la plante. Les symbioses favorisent la vie autour de la rhizosphère et donc la production de nutriments pour la plante. ! Enfin, les plantes taillées ont un taux de photosynthèse plus important, ce qui veut dire plus de carbone séquestré »... ce qui prendrait 100 ans dans la nature est atteint en 10 ans.
    Un autre principe essentiel est d’imiter la succession verticale d’une forêt avec 3 étages, et aussi de varier les cycles : annuel, pluriannuel, pérenne.
    (voir la page web en entier : agriculture-de-conservation.com/L-agriculture-syntropique-evidente-reconciliation-des-Humains-avec-la-Nature.html)

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