Wonderful, excellent! Quelle dexterite. J'aime bien ma belle culture.... Partagez partout au monde. Soyons fiers de notre culture, chers freres et soeurs wasangari batonou et boo....
Belle histoire . Transmission de griot qui est notre culture et ce qui fait de nous ce qu'on est . Les seko.....C'est la réalité ignoré par la nouvelle génération rattrapons notre culture svp
Je suis a la recherche du musicien Yarou Diguidirou. Toute personne qui aurait son contact est priee de bien vouloir me le transmettre (Dr. Ibrahima Seck, New Orleans, Louisiana: birimaseck@hotmail.com). Je viens de découvrir ce monument. Pourvu qu'il soit vivant et qu'on puisse le voir un jour au Festival de jazz de New Orleans. Une question: Bariba et Baatonou désignent-ils le meme groupe humain ?
Les barubibu ou baatombu (forme contractée de Barutombu) sont les habitants d’une vaste aire géographique nommée Baru Tem (terre baatonu) ou Baru wuu (village baatonu) appelé Baru wu. Le singulier de Baatombu est Baatonu, dérivé de « tonu » 'homme', et la langue parlée par les Baatombu est le Baatonum ou Bariba . La transcription française du Baru Wuu connaitra une altération car le colonisateur, à cette époque, avait des difficultés linguistiques et phonétiques vis à vis des langues à ton. C’est ainsi que malencontreusement le Baru Wuu s’écrira désormais Borgou et ce nom demeure ainsi encore aujourd’hui dans les annales de l’histoire. Les habitants s’appellent baatombu ou Baru Bibu (fils du Baru Wuu ou Borgou) et parlent la langue baatonum. Ils sont ensemble avec les Boko/Busa les traditionnels propriétaires et souverains du territoire Borgu. Comme c’est le cas encore aujourd’hui, l’ancien “Pays BARIBA” ou “BORGU” était une zone géographique dirigée par les BOKO/BUSA (appelés Boo au Bénin) et les BAATOMBU. En République du Bénin, les BOKO sont dominants dans les sous-préfectures de SEGBANA et de KALALE, ( ils s’appellent eux même les BOO alors qu’au Nigéria ceux qui parlent cette langue l’appellent BOKO, BUSA ou encore BOKOBARU selon leur région) alors que les BAATOMBU le sont non seulement dans tout le reste de l’ancien département du BORGOU ( c’est-à-dire les sous préfectures de Kandi, Banikoara, Bemberekè, Sinendé, N’Dali, Nikki, Parakou, Pèrèrè, Gogounou, Tchaourou), mais aussi dans l’ATACORA dans les sous-préfectures de Kérou, Kouandé, Wassa-Tobré, Wassa-Péhunco. Au Nigéria, les BOKO/BUSA sont dominant au Borgu Local Government Area (LGA) de la Niger State, au Kaïama LGA de Kwara State, et au district de Bagudo LGA de Illo à Kebbi State. Les Baatombu eux sont majoritaires dans le Barutem Local Government Area de l’Etat de Kwara. La culture des Boko/Busa et des Baatombu sont très similaires. Le « pays » BORGU a été dirigé depuis sa fondation par les WASSANGARI, descendant de KISIRA, qui y serait arrivé vers les années 11O6. (confer : “Members of the Kisira migration intermarried with the indigenous Boko/Busa inhabitants and eventually became the ruling class, the Wassangari”). La dynastie a prospérée longtemps et a atteint son apogé dans une région près de Babana au Nigéria, appelée SWALLA (le nom de ce lieu serait dérivé de « a su wa la » en langue Boo ou Boko, signifiant « il nous est venu ici ». avant de se disperser respectivement vers BUSSA, ILLO et finalement au 14è siècle vers NIKKI. Donc les Boo/ Boko/Busa sont les souverains traditionnelles de cette pays qu’est BORGU. Bertho dans un livre publié en 1945 souligna à cet effet que les anciens rois de Nikki ayant le titre de « SINABOKO » n’ont pas une origine bariba, même s’ils ont régné sur tout les baribas. Ces derniers auraient selon lui des origines BUSSANCHE (Mandè), Bussanché n’est rien d’autre que le mot Haoussa pour désigner les BOKO ou Busa. D’ailleurs il est connu que certaines villes des Baatombu telles que Bembérèkè, ont des Rois, bien que parlant bariba aujourd’hui, sont d’origine Boo/Boko. Faut-il rappeler que Bio GUERA chef de guerre du Roi CHABI Prouka de Nikki est Boo ? Ne serait-ce pas pour cette raison que les Boo ou Boko appellent les Baatombu « zoana » c’est-à-dire 'esclave' ou « vassal » ? Le Roi de Nikki quand à lui est appelé « Zoki » c’est-à-dire « Roi vassal ». En tout cas au Bénin, jusqu’à preuve du contraire, le Roi de Nikki est le roi des Baatombu et des Boko. Au Nigéria, les plus grand centres Urbain des Boko sont Okuta et Ilesha, toutefois, les villes Yashikera et Kenu sont les deux plus puissantes traditionnelles villes ayant un lien direct avec Nikki. Leur parenté culturelle aux gens de la région de Nikki ( Boo, Mokole) est prouvé par leurs identiques cicatrices raciales faciales. Rappelons qu’à Kèrou et Kouandé, les marques faciales sont différentes. Le moins qu’on puisse dire c’est qu’aujourd’hui après des mariages interethniques entre Boo et Baatombu, la plupart d’entre eux parlent Baatonum. D’ailleurs c’est la raison pour laquelle le mot « BARIBA » est souvent utilisé pour désigner l’ensemble ethnique ( Baatombu----Boko/Busa) comme l’a Illustré Dunglas en 1952. En effet, nous voyons clairement qu’au temps même de l’installation de nos ancêtres dans le BORGU, les Bariba étaient déjà divisés en plusieurs tribus : il y avait en premier lieu les Boo/Boko les nobles, ceux même qui étaient là avant la migration de KISIRA, après il y a les descendants de KISIRA, et puis les tribus communes et/ou métissées…Seul les Boko avaient à cette époque là le droit de porter les pantalons réservés aux nobles. Message fort à l’endroit de nos cousins Boo de Bouka, au nord-Ouest de Nikki, qui aujourd’hui perdent ou ont déjà perdu leur langues au profit du Baatonum, sans oublier les Boko originelles de Kaïma ou de New Busa qui disent parler le Bokobaru ou le Bisa à l’opposition de ceux de BUSSA, ILLO et de WAWA qui eux assument l’appellation de leur langues comme étant le Busa ou le Boko… Dans tous les cas chers frères et sœurs, nos cultures et histoires restent les mêmes et le métissage a tellement marché qu’on pourrait difficilement prouver qu’on est aujourd’hui différent. Ceci nous amène à notre prochain point.Qu’est donc le groupe socioculturel GANDO ? Les Gando parlent la langue peulh encore appelée Fulfulde, mais ils sont ethniquement issus des Boko et des Baatombu. Ils sont différents des Captifs fait par les Peuls, lors des guerres ou razzia, leurs esclaves ( eux les peulhs ont coutume de les appeler" Maatchoubè" et les bariba les appellent "Maré-yô) . En effet, les enfants considérés par leur familles comme étant dangereux, soit parce qu’à leur naissance ils sont sortis des pieds en premier ou parce que leur dentition à commencé par le haut, sont confiés à un bourreau chargé de les exécuter ou alors ils sont abandonnés la nuit aux abords d’un troupeau de bœufs. Lorsque les bœufs ne fuient pas le bébé, les Peulhs adoptent l’enfant et l’élève avec du lait de vache si non, l’enfant est tué. La plupart de ceux qui avaient la chance d’avoir leur vie sauve étaient les enfants des familles proches de celle royale, (bariba ou boo) ...Eux avaient la chance d'être confiés aux peulhs chargés de les "guérir". Et même si chez les peuls, le traitement de ces "enfants sorciers" s'apparente d'un regard extérieur à celui des " maré yô" ou " matchoubé" (esclaves peulh de guerre ou autres.. il est important de faire cette différence qui est quand même notoire. Les gando, avaient leur cabanes à côté du bétail et étaient chargés de faire paître les bœufs.. Ils faut souligner qu’après des années de " traitement" chez les peuls, et après que les bariba aient compris qu’il s’agissait d’une abomination, les gando ont été libérés par les peulhs, qui leur ont donné quelques boeufs, et leur ont raconté leur histoire. Mais ces " enfants bariba," ayant perdu tout de leur culture baatonu jusqu'à leur langue maternelles, mais conscient de leur appartenance a la dynastie des baatombu, et ne sachant plus de quel village bariba ou boo ils sont issue (puisque les peuls sont des nomades), ils ont crée leur village à côté du village bariba le plus proche. Car cette pratique se faisait à très grande échelles. C'est ainsi que les villages "gando" sont annexés à chaque village bariba. Et d'ailleurs dans les régions comme Kalalé, les gando sont majoritaires. Quand aux " Matchoubè", ils n'ont jamais eu leur indépendance. Cette habitude s’est arrêté vers les années 1800 environs. IL FAUT SOULIGNER QU'IL A FALLU DES GENERATIONS, AVANT QU'UN GANDO N'AIT LE DROIT DE SE MARIER à UN PEULH OU A UN BARIBA. LE GANDO ETAIT OBLIGE DE SE TROUVER UNE FEMME GANDO. L'histoire des gando reste " la salle histoire des bariba". Aujourd'hui, il y a des bariba nobles qui sont nés par les pieds ou ayant sorti les dents par le haut en premier sans qu'ils ne soient discriminés
Fierté d'appartenir à ce groupe socio-culturel baatonu, en particulier aux Seko koro.
Suis Bariba et fière de ma culture
J'ai toujours des frissons quand je savoure les sons. Un monument de la culture baribas. Je suis de l'être.rip yaru
Wonderful, excellent! Quelle dexterite. J'aime bien ma belle culture.... Partagez partout au monde. Soyons fiers de notre culture, chers freres et soeurs wasangari batonou et boo....
MrDunkass j'adore cet musique
j'étais tout petit quand mon père jouait cette musique plaine de leçon. j'aime ma culture
❤❤❤🎉🎉Yarou euh oui
Belle histoire . Transmission de griot qui est notre culture et ce qui fait de nous ce qu'on est . Les seko.....C'est la réalité ignoré par la nouvelle génération rattrapons notre culture svp
Merci
This is awesome. I am proud to be a Baatonu.
Dors en paix papa
puis je avoir un des morceaux de dassagaté? une de ses chanson les plus connu dont je connais pas le titre
Dassagaté ou Dassabouté?
who's from perere?
Me...
Je suis a la recherche du musicien Yarou Diguidirou. Toute personne qui aurait son contact est priee de bien vouloir me le transmettre (Dr. Ibrahima Seck, New Orleans, Louisiana: birimaseck@hotmail.com).
Je viens de découvrir ce monument. Pourvu qu'il soit vivant et qu'on puisse le voir un jour au Festival de jazz de New Orleans. Une question: Bariba et Baatonou désignent-ils le meme groupe humain ?
Les barubibu ou baatombu (forme contractée de Barutombu) sont les habitants d’une vaste aire géographique nommée Baru Tem (terre baatonu) ou Baru wuu (village baatonu) appelé Baru wu. Le singulier de Baatombu est Baatonu, dérivé de « tonu » 'homme', et la langue parlée par les Baatombu est le Baatonum ou Bariba . La transcription française du Baru Wuu connaitra une altération car le colonisateur, à cette époque, avait des difficultés linguistiques et phonétiques vis à vis des langues à ton. C’est ainsi que malencontreusement le Baru Wuu s’écrira désormais Borgou et ce nom demeure ainsi encore aujourd’hui dans les annales de l’histoire. Les habitants s’appellent baatombu ou Baru Bibu (fils du Baru Wuu ou Borgou) et parlent la langue baatonum. Ils sont ensemble avec les Boko/Busa les traditionnels propriétaires et souverains du territoire Borgu.
Comme c’est le cas encore aujourd’hui, l’ancien “Pays BARIBA” ou “BORGU” était une zone géographique dirigée par les BOKO/BUSA (appelés Boo au Bénin) et les BAATOMBU. En République du Bénin, les BOKO sont dominants dans les sous-préfectures de SEGBANA et de KALALE, ( ils s’appellent eux même les BOO alors qu’au Nigéria ceux qui parlent cette langue l’appellent BOKO, BUSA ou encore BOKOBARU selon leur région) alors que les BAATOMBU le sont non seulement dans tout le reste de l’ancien département du BORGOU ( c’est-à-dire les sous préfectures de Kandi, Banikoara, Bemberekè, Sinendé, N’Dali, Nikki, Parakou, Pèrèrè, Gogounou, Tchaourou), mais aussi dans l’ATACORA dans les sous-préfectures de Kérou, Kouandé, Wassa-Tobré, Wassa-Péhunco. Au Nigéria, les BOKO/BUSA sont dominant au Borgu Local Government Area (LGA) de la Niger State, au Kaïama LGA de Kwara State, et au district de Bagudo LGA de Illo à Kebbi State. Les Baatombu eux sont majoritaires dans le Barutem Local Government Area de l’Etat de Kwara. La culture des Boko/Busa et des Baatombu sont très similaires.
Le « pays » BORGU a été dirigé depuis sa fondation par les WASSANGARI, descendant de KISIRA, qui y serait arrivé vers les années 11O6. (confer : “Members of the Kisira migration intermarried with the indigenous Boko/Busa inhabitants and eventually became the ruling class, the Wassangari”). La dynastie a prospérée longtemps et a atteint son apogé dans une région près de Babana au Nigéria, appelée SWALLA (le nom de ce lieu serait dérivé de « a su wa la » en langue Boo ou Boko, signifiant « il nous est venu ici ». avant de se disperser respectivement vers BUSSA, ILLO et finalement au 14è siècle vers NIKKI.
Donc les Boo/ Boko/Busa sont les souverains traditionnelles de cette pays qu’est BORGU. Bertho dans un livre publié en 1945 souligna à cet effet que les anciens rois de Nikki ayant le titre de « SINABOKO » n’ont pas une origine bariba, même s’ils ont régné sur tout les baribas. Ces derniers auraient selon lui des origines BUSSANCHE (Mandè), Bussanché n’est rien d’autre que le mot Haoussa pour désigner les BOKO ou Busa. D’ailleurs il est connu que certaines villes des Baatombu telles que Bembérèkè, ont des Rois, bien que parlant bariba aujourd’hui, sont d’origine Boo/Boko. Faut-il rappeler que Bio GUERA chef de guerre du Roi CHABI Prouka de Nikki est Boo ? Ne serait-ce pas pour cette raison que les Boo ou Boko appellent les Baatombu « zoana » c’est-à-dire 'esclave' ou « vassal » ? Le Roi de Nikki quand à lui est appelé « Zoki » c’est-à-dire « Roi vassal ». En tout cas au Bénin, jusqu’à preuve du contraire, le Roi de Nikki est le roi des Baatombu et des Boko.
Au Nigéria, les plus grand centres Urbain des Boko sont Okuta et Ilesha, toutefois, les villes Yashikera et Kenu sont les deux plus puissantes traditionnelles villes ayant un lien direct avec Nikki. Leur parenté culturelle aux gens de la région de Nikki ( Boo, Mokole) est prouvé par leurs identiques cicatrices raciales faciales. Rappelons qu’à Kèrou et Kouandé, les marques faciales sont différentes. Le moins qu’on puisse dire c’est qu’aujourd’hui après des mariages interethniques entre Boo et Baatombu, la plupart d’entre eux parlent Baatonum. D’ailleurs c’est la raison pour laquelle le mot « BARIBA » est souvent utilisé pour désigner l’ensemble ethnique ( Baatombu----Boko/Busa) comme l’a Illustré Dunglas en 1952. En effet, nous voyons clairement qu’au temps même de l’installation de nos ancêtres dans le BORGU, les Bariba étaient déjà divisés en plusieurs tribus : il y avait en premier lieu les Boo/Boko les nobles, ceux même qui étaient là avant la migration de KISIRA, après il y a les descendants de KISIRA, et puis les tribus communes et/ou métissées…Seul les Boko avaient à cette époque là le droit de porter les pantalons réservés aux nobles. Message fort à l’endroit de nos cousins Boo de Bouka, au nord-Ouest de Nikki, qui aujourd’hui perdent ou ont déjà perdu leur langues au profit du Baatonum, sans oublier les Boko originelles de Kaïma ou de New Busa qui disent parler le Bokobaru ou le Bisa à l’opposition de ceux de BUSSA, ILLO et de WAWA qui eux assument l’appellation de leur langues comme étant le Busa ou le Boko… Dans tous les cas chers frères et sœurs, nos cultures et histoires restent les mêmes et le métissage a tellement marché qu’on pourrait difficilement prouver qu’on est aujourd’hui différent.
Ceci nous amène à notre prochain point.Qu’est donc le groupe socioculturel GANDO ?
Les Gando parlent la langue peulh encore appelée Fulfulde, mais ils sont ethniquement issus des Boko et des Baatombu. Ils sont différents des Captifs fait par les Peuls, lors des guerres ou razzia, leurs esclaves ( eux les peulhs ont coutume de les appeler" Maatchoubè" et les bariba les appellent "Maré-yô) . En effet, les enfants considérés par leur familles comme étant dangereux, soit parce qu’à leur naissance ils sont sortis des pieds en premier ou parce que leur dentition à commencé par le haut, sont confiés à un bourreau chargé de les exécuter ou alors ils sont abandonnés la nuit aux abords d’un troupeau de bœufs. Lorsque les bœufs ne fuient pas le bébé, les Peulhs adoptent l’enfant et l’élève avec du lait de vache si non, l’enfant est tué. La plupart de ceux qui avaient la chance d’avoir leur vie sauve étaient les enfants des familles proches de celle royale, (bariba ou boo) ...Eux avaient la chance d'être confiés aux peulhs chargés de les "guérir". Et même si chez les peuls, le traitement de ces "enfants sorciers" s'apparente d'un regard extérieur à celui des " maré yô" ou " matchoubé" (esclaves peulh de guerre ou autres.. il est important de faire cette différence qui est quand même notoire. Les gando, avaient leur cabanes à côté du bétail et étaient chargés de faire paître les bœufs.. Ils faut souligner qu’après des années de " traitement" chez les peuls, et après que les bariba aient compris qu’il s’agissait d’une abomination, les gando ont été libérés par les peulhs, qui leur ont donné quelques boeufs, et leur ont raconté leur histoire. Mais ces " enfants bariba," ayant perdu tout de leur culture baatonu jusqu'à leur langue maternelles, mais conscient de leur appartenance a la dynastie des baatombu, et ne sachant plus de quel village bariba ou boo ils sont issue (puisque les peuls sont des nomades), ils ont crée leur village à côté du village bariba le plus proche. Car cette pratique se faisait à très grande échelles. C'est ainsi que les villages "gando" sont annexés à chaque village bariba. Et d'ailleurs dans les régions comme Kalalé, les gando sont majoritaires. Quand aux " Matchoubè", ils n'ont jamais eu leur indépendance. Cette habitude s’est arrêté vers les années 1800 environs. IL FAUT SOULIGNER QU'IL A FALLU DES GENERATIONS, AVANT QU'UN GANDO N'AIT LE DROIT DE SE MARIER à UN PEULH OU A UN BARIBA. LE GANDO ETAIT OBLIGE DE SE TROUVER UNE FEMME GANDO. L'histoire des gando reste " la salle histoire des bariba". Aujourd'hui, il y a des bariba nobles qui sont nés par les pieds ou ayant sorti les dents par le haut en premier sans qu'ils ne soient discriminés
j'adore cette musique franchement
il est dans le Borgou au Bénin