Bonjour. Je n'ai rien à ajouter à la réflexion de ces deux dames. Je partage complètement leur ressenti. Une dimension supplémentaire pour ces deux dames : elles sont encore suffisamment jeunes pour espérer fonder un foyer. Ce qui n'est plus mon cas. Par conséquent si l'on reste trop longtemps célibataire il y a un deuil d'enfant à faire. A mon âge ce deuil est fait mais l'autre peur qui arrive avec l'âge : la peur de vieillir seule. Personne ne mérite de vivre seul à moins que ce soit un choix complètement assumé. Mais si ce n'est pas le cas, c'est particulièrement injuste. Le problème, c'est que les hommes qui ont une cinquantaine d'années ne veulent plus d'engager, l'amour fait peur, les contraintes font peurs. Quant aux hommes chrétiens, force est de constater qu'ils ne sont pas légion, libres, dans nos églises. Maintenant il faut également arrêter de penser qu'une vie de couple est une panacée. A mon âge (bientôt 59 ans) on souhaite plutôt un compagnon qui partagera de l'intimité, des hobbies, qui s'intéressent à nous : un ami, un amant mais pas forcément un mari qui demandera à ce qu'on lui repasse ses chemises ! Je carricature évidemment mais l'esprit est là. L'amour est une denrée très rare et qu'il faut, lorsqu'on a la chance de le croiser, en prendre soin comme le plus grand des trésors que l'on découvre sur terre. L'amour ne nous appartient pas, nous en sommes simplement dépositaire.
C'est vrai que chaque phase de la vie et du célibat à ses propres défis ! Et la peur de vieillir seul et les difficultés de la vie à affronter seule sont très difficile. On parle un peu de ça dans l'épisode "le célibat et l'altérité" avec Esther, et des implications pour développer des communautés d'église qui accueille les célibataires. Bonne suite à toi, que Dieu te donne de la force dans tes défis.
Bonjour. Je n'ai rien à ajouter à la réflexion de ces deux dames. Je partage complètement leur ressenti. Une dimension supplémentaire pour ces deux dames : elles sont encore suffisamment jeunes pour espérer fonder un foyer. Ce qui n'est plus mon cas. Par conséquent si l'on reste trop longtemps célibataire il y a un deuil d'enfant à faire. A mon âge ce deuil est fait mais l'autre peur qui arrive avec l'âge : la peur de vieillir seule. Personne ne mérite de vivre seul à moins que ce soit un choix complètement assumé. Mais si ce n'est pas le cas, c'est particulièrement injuste. Le problème, c'est que les hommes qui ont une cinquantaine d'années ne veulent plus d'engager, l'amour fait peur, les contraintes font peurs. Quant aux hommes chrétiens, force est de constater qu'ils ne sont pas légion, libres, dans nos églises. Maintenant il faut également arrêter de penser qu'une vie de couple est une panacée. A mon âge (bientôt 59 ans) on souhaite plutôt un compagnon qui partagera de l'intimité, des hobbies, qui s'intéressent à nous : un ami, un amant mais pas forcément un mari qui demandera à ce qu'on lui repasse ses chemises ! Je carricature évidemment mais l'esprit est là. L'amour est une denrée très rare et qu'il faut, lorsqu'on a la chance de le croiser, en prendre soin comme le plus grand des trésors que l'on découvre sur terre. L'amour ne nous appartient pas, nous en sommes simplement dépositaire.
C'est vrai que chaque phase de la vie et du célibat à ses propres défis ! Et la peur de vieillir seul et les difficultés de la vie à affronter seule sont très difficile. On parle un peu de ça dans l'épisode "le célibat et l'altérité" avec Esther, et des implications pour développer des communautés d'église qui accueille les célibataires.
Bonne suite à toi, que Dieu te donne de la force dans tes défis.