1ère idée : valeur d'échange et valeur d'usage des marchandises 4:141:28 2ème idée : valeur ajoutée de travail dans une marchvandise 15:55 3ème idée : extension du capital versus accumulation de plus-value : avance de financement et procès de production 25:40 4ème idée : dimension historique et prophétique 38:00
Merci, j’ai tout compris ! Je vais réécouter pour me mettre les choses bien en mémoire. Je n’ai jamais lu Marx( par flemme ?), grâce à vous je vais combler un manque.
Marx c'et costaud, essaye d'abord des vulgarisateurs, l'important c'est d'e degager les grandes concepts, et comprendre que la lutte des classes est au centre de tout, et que ce sont bien les possédants qui la mènent contre nous, pas l'inverse
@@mxmx-hz7li j'ajouterais que les possédants sont multiples et variés. Souvent on parle de la bourgeoisie et de la petite bourgeoisie. Mais, à l'intérieur de la bourgeoisie il existe diverses fractions en lutte. La prise de pouvoir par l'une d'elles indique une période historique. Par exemple, la prise de pouvoir des banques indique l'entrée dans la période historique impérialiste.
Amazing video, I hope you'll do more of them if you still enjoy doing them. I'd love to see a video on how Metroid and Metroid Prime communicate functions through design choices. (Like upgrades in-game logos as well as overall weapon and upgrade design and animations)
C'est central de comprendre la fétichisation de la marchandise, pour essayer d'échapper à l'aliénation (par intermittence). Ca suppose un peu d'humilité, c'est-à-dire d"'abdiquer la position de "sujet" qui permet au capitalisme de maintenir l'illusion démocratique.
Pour résumer la pensée de Marx, on peut dire que celle-ci est une pensée de là dé-mystification du rapport qu’entretiennent les hommes entre eux. Autrement dit, elle révèle au grand jour le fonctionnement réel des relations sociales, ce qui permet d’en dissiper les illusions et les mythes, entretenue pas l’idéologie bourgeoise dominante, qui tendent à naturaliser les faits sociaux: tout en tout temps c’est toujours passé comme cela, il est impossible que les relations s’organisent autrement.
À ce sujet une expression de Marx résume ce que vous disiez : "le fétichisme de la marchandise", étant compris que le salarié est lui-même une marchandise pas comme les autres.
@@yannickbossard6902 le fétichisme de la marchandise est plutôt la démonstration que les marchandises n'ont pas de valeur en soit mais n'ont de valeur que d'être produites dans le cadre de rapports marchands. Autrement dit, ce sont ces rapports spécifiques (marchands) entre les hommes (et non entre les choses) qui confère aux marchandises leurs valeurs. Surtout, ce rapport, loin d'être une nécessité physique ou biologique, est situé historiquement : la valeur économique est spécifique aux systèmes marchands, dont le capitalisme est une des formes possibles, mais n'est pas universelle à toutes les formes d'organisation passées.
Sur la "polémique" (11:15) À l'ère du jetable et de la marchandise gadget, inutile, voir totalement toxique, de quelle validation parlons nous ? On peut citer pléthore d'exemples de "marchandises", souvent abstraites ou conceptuelles qui se vendent (validation...d'une utilité ) mais qui n'ont aucune utilité ou bienfait social, c'est tout le problème du profit et de la satisfaction nombriliste des capitalistes en herbe et dans une plus grande mesure des consommateurs aliéné par la marchandise.
À l'ère impérialiste le fétichisme de la marchandise vient de ce que la haute finance est au pouvoir et de ce que l'accumulation de plus-value fétichisée, vouée à l'accroissement des fortunes, est prioritaire. Un second aspect est que l'ère impérialiste est une ère de démolition des anciens empires.
L'empire moderne, un stade pré-imperialiste. Avant l'impérialisme, les banquiers soutenaient les empereurs et les rois. À l'écroulement de ces empires et de ces royautés, les banquiers qui les soutenaient, prennent le pouvoir et constituent l'impérialisme, pouvoir de la haute finance sur l'économie. Quand adviendra l'écroulement de la haute finance (ça peut être une faillite à cause du poids de la dette) le capital qui soutenait la haute finance par son activité économique, prend le pouvoir et constitue le capitalisme, pouvoir de l'industrie sur l'ensemble de l'économie. Ceci définit trois stades historiques : les empires modernes (pouvoir des empereurs et des rois), l'impérialisme (pouvoir des banquiers et de la haute finance) et ensuite le capitalisme (pouvoir de l'industrie et des industriels)
« 20:06 … le travail pourquoi c'est une marchandise spéciale et bien parce que c'est la seule marchandise qui crée de la valeur lorsqu'elle est utilisée lorsqu'elle est consommée » « 21:02 …par exemple cette gourde et bien cette gourde dedans qu'est-ce qu'il y a va y avoir des machines qui vont avoir travaillé le métal puis il va y avoir le prix du métal lui-même va y avoir le prix qui a été payé pour la peinture le prix pour les pistolet de la peinture et tout ça donc ça c'est les moyens de production c'est la première partie de la valeur de cette gourde » Aujourd’hui ceci dit ne vaut plus. Au début de l’industrialisation peut-être, ou pour un autre type de société. Aujourd’hui il vaut mieux écouter quelqu’un comme Jancovicis parler de l’urbanisation et l’introduction de l’exploitation du charbon, le gaz, le pétrole, le nucléaire, le soleil etc etc pour conduire des machines. Les machines et le pétrole remplace l’homme comme source d’énergie. Marx est dépassé par le développement et les faits dans ce domaine.
Friot ne rattache pas le salaire à la compétence! Malheureux! LE SALAIRE EST RATTACHé à LA PERSONNE! Et le niveau de salaire dans une échelle de & à 3 ou 4 est fonction pas seulement de "compétences" mais d'un parcours de vie, d'activités, et aussi de compétences.
Bon apres si ca marcher si bien...depuis le temps on le saurait...😅....merci pour les idees sur le papier cest toujours bon 😮 Mais vus ce que v1 fais a la chine et la Russie et autre 🥥 Desole mais je vote en touche
Au temps de Marx, le capitalisme était dominé par les empereurs et les rois, ceux-ci présidaient au destin des nations et ils étaient soutenus par les banquiers... Au reversement des empereurs et des rois, les banquiers ont pu prendre les manettes du pouvoir établissant l'impérialisme des actionnaires. Aujourd'hui, le capitalisme est dominé par l'impérialisme des actionnaires. Celui-ci dirige, oriente et donne un sens impérialiste à la production capitaliste... Au renversement des impérialismes, le capitalisme pourra établir son propre pouvoir, à dimension, non plus nationale et impérialiste, mais continentale. (c'est pourquoi on ne parlera plus d'impérialisme français ou japonais par exemple, mais de capitalisme européen ou extrême-oriental)
@@christianreynier2120 très bien. Ce qu'il faut bien comprendre c'est que la lutte des classes c'est d'abord la lutte des classes bourgeoises entr'elles : les bourgeoisies libérale, artisanale, foncière, industrielle, banquière ou commerçante se font une guerre économique sans frein. L'impérialisme voit la bourgeoisie banquière ou actionnariale dominer et piller. Le capitalisme verra la domination de la bourgeoisie industrielle triompher...
1ère idée : valeur d'échange et valeur d'usage des marchandises 4:14 1:28
2ème idée : valeur ajoutée de travail dans une marchvandise 15:55
3ème idée : extension du capital versus accumulation de plus-value : avance de financement et procès de production 25:40
4ème idée : dimension historique et prophétique 38:00
Merci, j’ai tout compris ! Je vais réécouter pour me mettre les choses bien en mémoire. Je n’ai jamais lu Marx( par flemme ?), grâce à vous je vais combler un manque.
Marx c'et costaud, essaye d'abord des vulgarisateurs, l'important c'est d'e degager les grandes concepts, et comprendre que la lutte des classes est au centre de tout, et que ce sont bien les possédants qui la mènent contre nous, pas l'inverse
C'est super cool mais ça doit pas dispenser de lire dans le texte 😉
@@mxmx-hz7li j'ajouterais que les possédants sont multiples et variés. Souvent on parle de la bourgeoisie et de la petite bourgeoisie. Mais, à l'intérieur de la bourgeoisie il existe diverses fractions en lutte. La prise de pouvoir par l'une d'elles indique une période historique. Par exemple, la prise de pouvoir des banques indique l'entrée dans la période historique impérialiste.
Merci pour cette émission.
Amazing video, I hope you'll do more of them if you still enjoy doing them. I'd love to see a video on how Metroid and Metroid Prime communicate functions through design choices. (Like upgrades in-game logos as well as overall weapon and upgrade design and animations)
C'est central de comprendre la fétichisation de la marchandise, pour essayer d'échapper à l'aliénation (par intermittence). Ca suppose un peu d'humilité, c'est-à-dire d"'abdiquer la position de "sujet" qui permet au capitalisme de maintenir l'illusion démocratique.
Merci, ça sert toujours... ;)
Pour résumer la pensée de Marx, on peut dire que celle-ci est une pensée de là dé-mystification du rapport qu’entretiennent les hommes entre eux. Autrement dit, elle révèle au grand jour le fonctionnement réel des relations sociales, ce qui permet d’en dissiper les illusions et les mythes, entretenue pas l’idéologie bourgeoise dominante, qui tendent à naturaliser les faits sociaux: tout en tout temps c’est toujours passé comme cela, il est impossible que les relations s’organisent autrement.
À ce sujet une expression de Marx résume ce que vous disiez : "le fétichisme de la marchandise", étant compris que le salarié est lui-même une marchandise pas comme les autres.
@@yannickbossard6902 le fétichisme de la marchandise est plutôt la démonstration que les marchandises n'ont pas de valeur en soit mais n'ont de valeur que d'être produites dans le cadre de rapports marchands. Autrement dit, ce sont ces rapports spécifiques (marchands) entre les hommes (et non entre les choses) qui confère aux marchandises leurs valeurs. Surtout, ce rapport, loin d'être une nécessité physique ou biologique, est situé historiquement : la valeur économique est spécifique aux systèmes marchands, dont le capitalisme est une des formes possibles, mais n'est pas universelle à toutes les formes d'organisation passées.
Sur la "polémique" (11:15) À l'ère du jetable et de la marchandise gadget, inutile, voir totalement toxique, de quelle validation parlons nous ? On peut citer pléthore d'exemples de "marchandises", souvent abstraites ou conceptuelles qui se vendent (validation...d'une utilité ) mais qui n'ont aucune utilité ou bienfait social, c'est tout le problème du profit et de la satisfaction nombriliste des capitalistes en herbe et dans une plus grande mesure des consommateurs aliéné par la marchandise.
À l'ère impérialiste le fétichisme de la marchandise vient de ce que la haute finance est au pouvoir et de ce que l'accumulation de plus-value fétichisée, vouée à l'accroissement des fortunes, est prioritaire. Un second aspect est que l'ère impérialiste est une ère de démolition des anciens empires.
J'estime que l'impérialisme, pouvoir global de la haute finance, est un stade pré-capitaliste.
L'empire moderne, un stade pré-imperialiste.
Avant l'impérialisme, les banquiers soutenaient les empereurs et les rois. À l'écroulement de ces empires et de ces royautés, les banquiers qui les soutenaient, prennent le pouvoir et constituent l'impérialisme, pouvoir de la haute finance sur l'économie.
Quand adviendra l'écroulement de la haute finance (ça peut être une faillite à cause du poids de la dette) le capital qui soutenait la haute finance par son activité économique, prend le pouvoir et constitue le capitalisme, pouvoir de l'industrie sur l'ensemble de l'économie.
Ceci définit trois stades historiques : les empires modernes (pouvoir des empereurs et des rois), l'impérialisme (pouvoir des banquiers et de la haute finance) et ensuite le capitalisme (pouvoir de l'industrie et des industriels)
« 20:06
… le travail pourquoi c'est une marchandise spéciale et bien parce que c'est la seule marchandise qui crée de la valeur lorsqu'elle est utilisée lorsqu'elle est consommée »
« 21:02
…par exemple cette gourde et bien cette gourde dedans qu'est-ce qu'il y a va y avoir des machines qui vont avoir travaillé le métal puis il va y avoir le prix du métal lui-même va y avoir le prix qui a été payé pour la peinture le prix pour les pistolet de la peinture et tout ça donc ça c'est les moyens de production c'est la première partie de la valeur de cette gourde »
Aujourd’hui ceci dit ne vaut plus. Au début de l’industrialisation peut-être, ou pour un autre type de société. Aujourd’hui il vaut mieux écouter quelqu’un comme Jancovicis parler de l’urbanisation et l’introduction de l’exploitation du charbon, le gaz, le pétrole, le nucléaire, le soleil etc etc pour conduire des machines. Les machines et le pétrole remplace l’homme comme source d’énergie. Marx est dépassé par le développement et les faits dans ce domaine.
Mettez un bidon de pétrole devant un sac de farine et regardez si ça fait du pain.
Je vous donne entièrement raison : Jancovici est très intéressant à écouter...
Friot ne rattache pas le salaire à la compétence! Malheureux! LE SALAIRE EST RATTACHé à LA PERSONNE!
Et le niveau de salaire
dans une échelle de & à 3 ou 4 est fonction pas seulement de "compétences" mais d'un parcours de vie, d'activités, et aussi de compétences.
ah l’opium du prolo.....Poutine se marre doucement
Commentaire débile
vous pourriez trouver des titres plus accrocheur car des vidéos aux mêmes titres/vignette yen a des centaines
Marx 💟
Bon apres si ca marcher si bien...depuis le temps on le saurait...😅....merci pour les idees sur le papier cest toujours bon 😮
Mais vus ce que v1 fais a la chine et la Russie et autre 🥥
Desole mais je vote en touche
Au temps de Marx, le capitalisme était dominé par les empereurs et les rois, ceux-ci présidaient au destin des nations et ils étaient soutenus par les banquiers...
Au reversement des empereurs et des rois, les banquiers ont pu prendre les manettes du pouvoir établissant l'impérialisme des actionnaires.
Aujourd'hui, le capitalisme est dominé par l'impérialisme des actionnaires. Celui-ci dirige, oriente et donne un sens impérialiste à la production capitaliste...
Au renversement des impérialismes, le capitalisme pourra établir son propre pouvoir, à dimension, non plus nationale et impérialiste, mais continentale.
(c'est pourquoi on ne parlera plus d'impérialisme français ou japonais par exemple, mais de capitalisme européen ou extrême-oriental)
Un peu fouilli tout ça...
@@christianreynier2120
je comprends très bien votre commentaire bien
@@andre-xk1wx ça c'était la révolution française...Marx se battait contre la bourgeoisie devenue classe pour soi et dominante.
@@christianreynier2120 très bien. Ce qu'il faut bien comprendre c'est que la lutte des classes c'est d'abord la lutte des classes bourgeoises entr'elles : les bourgeoisies libérale, artisanale, foncière, industrielle, banquière ou commerçante se font une guerre économique sans frein.
L'impérialisme voit la bourgeoisie banquière ou actionnariale dominer et piller. Le capitalisme verra la domination de la bourgeoisie industrielle triompher...
Et selon Mahomet ça donne quoi ?
Pouvez vous foutre de la gueule des religieux. Vous faites pas mieux avec vos références dépassées 😂😂😂
Tiens un idiot qui suit les formations de LFI !? Il faut de tout pour faire un monde