Le meilleur moyen de mourir de mort lente pour ses idées, c'est de collaborer. Voilà le message de Brassens, qui question lâcheté en connaissait un rayon.
José Lobo Un pauvre hère qui lance un one liner diffamatoire sur une grande figure de la culture française. Tu dois surement être autant épris de sagesse que de preuves de ce que tu avances, peut être moins, ou plus, pour ce que ça change.
Comme il était ouvert d'esprit, qu'il connaissait la musique, les sensations, il fut bien plus vivant que certains qu'ils l'écoutent et j'en suis persuadé, ne vous en déplaise, qu'il l'aurait adoré ou qu'il jubile a l'écoute de celle ci. Merci donc de ne pas être trop condescendant sur cette merveilleuse version, si vivante et réinterprétée avec charme, goût et génie. Bien a vous.
@@tonyduberrygord Ma foi, en effet, c'est fort possible. Je n'ai pas eu la chance immense qui fut la vôtre de connaître l'homme de son vivant. Je persiste pour ma part à trouver cette interprétation loin d'être à la hauteur d'un hommage digne de ce nom... mais que voulez-vous ? Ce n'est que mon point de vue, mon ressenti, qui n'ont du reste aucun intérêt et n'avaient en aucun cas l'ambition d'être érigés par qui que ce soit en pamphlet musical, voire en arrêt de mort comme vous semblez vous en offusquer. Reprenez un peu vos esprits. C’est d'une part la destinée de toute œuvre d'art que d'être tantôt malmenée, tantôt sublimée, dans la mesure où elle échappe à son auteur dès lors que celui-ci a déposé sa plume ou son pinceau. D'autre part, nous sommes bien d'accord, dans la mesure où "un tableau ne vique par celui qui le regarde", l'essentiel est encore qu'il vive, quelles que soient la sensibilité ou les affinités artistiques de ceux qui s'en réclament les auditeurs ou les spectateurs les plus avertis. Nulle compétition en ce domaine n'aurait lieu d'être, nous partageons ce constat vous et moi. Le problème, c'est ce sur quoi aboutit la marchandisation à outrance des œuvres et des biens culturels. Le fric qu'on vient chercher a faire sur le dos des poètes d'antan ou d'aujourd'hui, sous prétexte qu'on s'imagine et se décrète de la même "famille". Une façon de se forger quelque scrupule accessible sans trop d'effort, de travail, ni d'ailleurs de talent. Cependant, cher inquisiteur détenteur de vérités implacables et de certitudes absolues, s'il y a bien une qualité qui manque à bon nombre de nos contemporains et dont Brassens ne semblait pas dépourvu, c'est l'humilité. Alors, mieux vaut ne pas trop lâcher les chiens à ce sujet, mais commencer par lire beaucoup sur lui, apprendre ses textes, se laisser happer et fasciner par ses mélodies d'une complexité facétieuse, à l'image de l'homme et de l'artiste hors-pair qu'il fut et demeure, et enfin peut-être comprendre qu'il y avait sans doute bien moins de vanité dans les humbles et géniales prétentions créatrices du "maître" (terme qu'il eût probablement réprouvé, ne serait-ce que par modestie) que dans la démarche passablement commerciale de ceux qui s'en prétendent trop souvent les héritiers, signant ces "merveilleuses versions si vivantes, pleines de charme et réinterprétees avec goût et génie". Chacun ses "goûts", évidemment. Quant au dernier concept que vous citez sans complexe, nous n'en partageons pas de toute évidence, très cher ami, la même appréhension, ni la même acception. J'évite pour ma part de trop offrir en pâture ce genre de précieux substantif. En galvaudant de tels termes comme vous vous y risquez, on les atrophie, on les surfait, on les condamne à une agonie certaine de leur destination première ainsi que de celles et ceux qu'ils ont eu et/ou ont encore pour fonction d'honorer. Alors, tout de même, ayez au moins un tant soit peu de considération et de respect pour notre langue, celle qui fut l'arme unique mais imparable de Brassens contre les marchands de convictions, les fanatiques, les "imbéciles heureux qui sont nés quelque part", les flics, les militaires, les détenteurs de la moindre once d'une prétendue autorité, les goujats, les misogynes, les messalisants et leurs gourous, les réacs de tout crin, les "cons" ascendants ou descendants, les ingrats, les sachants, les croquants", les "braves gens" n'aimant "pas qu'on suive une autre route qu'eux", et tutti quanti. Et je pense qu'il n'aurait pas été très fan de "gens foutres et des gens probes" qui aiment perdre leur temps à médire "du vent furibond" dont ce dernier se "soucie comme de colin-tampon". Cordialement.
@@VoxDesperationisla question n'est pas si c'est à la hauteur, car être à la hauteur de Brassens tu en demandes bcp. après c'est les gouts et couleurs aussi. un hommage digne de ce nom n'est-ce pas de continuer à partager la musique à travers les âges ? soyons heureux que la musique se transmet de générations en générations au lieu de juger les auteurs et REPRISES (je précise, c'est fait exprès qu'elle soit dans un autre style, même si ça déplait les 1er fans de Brassens, pensons que ça permet à un autre public de le découvrir et peut-être aimer ses chansons à leur tour)
![Debout sur le zinc - 08 - La déclaration [Les Promesses]](http://i.ytimg.com/vi/5yb2URBwXIc/mqdefault.jpg)
J’aime tellement ce groupe
Non mais c'est n'importe quoi ! Où est le tempo original des paroles ? Vous avez ôté toute la signification de cette chanson !
C'est le principe d'une reprise mon gars c'est plus moderne. Il faut rappeler que c'est un album pour enfants
C'est très subjectif
Mais quel abruti pedant
L'art n'est pas supposé être limité dans des normes étriquées comme l'est ta mentalité
Le meilleur moyen de mourir de mort lente pour ses idées, c'est de collaborer. Voilà le message de Brassens, qui question lâcheté en connaissait un rayon.
José Lobo Un pauvre hère qui lance un one liner diffamatoire sur une grande figure de la culture française.
Tu dois surement être autant épris de sagesse que de preuves de ce que tu avances, peut être moins, ou plus, pour ce que ça change.
A mon humble avis, le chant n'est pas à la hauteur...
Quelle honte cette version. Georges doit l'écouter "en se tapant le cul par terre".
Comme il était ouvert d'esprit, qu'il connaissait la musique, les sensations, il fut bien plus vivant que certains qu'ils l'écoutent et j'en suis persuadé, ne vous en déplaise, qu'il l'aurait adoré ou qu'il jubile a l'écoute de celle ci. Merci donc de ne pas être trop condescendant sur cette merveilleuse version, si vivante et réinterprétée avec charme, goût et génie. Bien a vous.
@@tonyduberrygord
Ma foi, en effet, c'est fort possible.
Je n'ai pas eu la chance immense qui fut la vôtre de connaître l'homme de son vivant.
Je persiste pour ma part à trouver cette interprétation loin d'être à la hauteur d'un hommage digne de ce nom... mais que voulez-vous ? Ce n'est que mon point de vue, mon ressenti, qui n'ont du reste aucun intérêt et n'avaient en aucun cas l'ambition d'être érigés par qui que ce soit en pamphlet musical, voire en arrêt de mort comme vous semblez vous en offusquer. Reprenez un peu vos esprits.
C’est d'une part la destinée de toute œuvre d'art que d'être tantôt malmenée, tantôt sublimée, dans la mesure où elle échappe à son auteur dès lors que celui-ci a déposé sa plume ou son pinceau.
D'autre part, nous sommes bien d'accord, dans la mesure où "un tableau ne vique par celui qui le regarde", l'essentiel est encore qu'il vive, quelles que soient la sensibilité ou les affinités artistiques de ceux qui s'en réclament les auditeurs ou les spectateurs les plus avertis.
Nulle compétition en ce domaine n'aurait lieu d'être, nous partageons ce constat vous et moi.
Le problème, c'est ce sur quoi aboutit la marchandisation à outrance des œuvres et des biens culturels. Le fric qu'on vient chercher a faire sur le dos des poètes d'antan ou d'aujourd'hui, sous prétexte qu'on s'imagine et se décrète de la même "famille". Une façon de se forger quelque scrupule accessible sans trop d'effort, de travail, ni d'ailleurs de talent.
Cependant, cher inquisiteur détenteur de vérités implacables et de certitudes absolues, s'il y a bien une qualité qui manque à bon nombre de nos contemporains et dont Brassens ne semblait pas dépourvu, c'est l'humilité. Alors, mieux vaut ne pas trop lâcher les chiens à ce sujet, mais commencer par lire beaucoup sur lui, apprendre ses textes, se laisser happer et fasciner par ses mélodies d'une complexité facétieuse, à l'image de l'homme et de l'artiste hors-pair qu'il fut et demeure, et enfin peut-être comprendre qu'il y avait sans doute bien moins de vanité dans les humbles et géniales prétentions créatrices du "maître" (terme qu'il eût probablement réprouvé, ne serait-ce que par modestie) que dans la démarche passablement commerciale de ceux qui s'en prétendent trop souvent les héritiers, signant ces "merveilleuses versions si vivantes, pleines de charme et réinterprétees avec goût et génie". Chacun ses "goûts", évidemment. Quant au dernier concept que vous citez sans complexe, nous n'en partageons pas de toute évidence, très cher ami, la même appréhension, ni la même acception. J'évite pour ma part de trop offrir en pâture ce genre de précieux substantif. En galvaudant de tels termes comme vous vous y risquez, on les atrophie, on les surfait, on les condamne à une agonie certaine de leur destination première ainsi que de celles et ceux qu'ils ont eu et/ou ont encore pour fonction d'honorer. Alors, tout de même, ayez au moins un tant soit peu de considération et de respect pour notre langue, celle qui fut l'arme unique mais imparable de Brassens contre les marchands de convictions, les fanatiques, les "imbéciles heureux qui sont nés quelque part", les flics, les militaires, les détenteurs de la moindre once d'une prétendue autorité, les goujats, les misogynes, les messalisants et leurs gourous, les réacs de tout crin, les "cons" ascendants ou descendants, les ingrats, les sachants, les croquants", les "braves gens" n'aimant "pas qu'on suive une autre route qu'eux", et tutti quanti.
Et je pense qu'il n'aurait pas été très fan de "gens foutres et des gens probes" qui aiment perdre leur temps à médire "du vent furibond" dont ce dernier se "soucie comme de colin-tampon".
Cordialement.
@@VoxDesperationisla question n'est pas si c'est à la hauteur, car être à la hauteur de Brassens tu en demandes bcp. après c'est les gouts et couleurs aussi. un hommage digne de ce nom n'est-ce pas de continuer à partager la musique à travers les âges ? soyons heureux que la musique se transmet de générations en générations au lieu de juger les auteurs et REPRISES (je précise, c'est fait exprès qu'elle soit dans un autre style, même si ça déplait les 1er fans de Brassens, pensons que ça permet à un autre public de le découvrir et peut-être aimer ses chansons à leur tour)