À chaque fois vous transmettez des émotions fortes et sincères à travers le quotidien de nous autres coureurs, je suis heureux de constater la concordance des propos qui ressortent de ce film et des idées que je partage avec d'autres coursiers avec lesquels j'échange. Depuis "Philosophie d'un grimpeur" vous m'amenez à réfléchir sur mon sport différemment, à m'interroger sur des principes fondamentaux qui le composent et je vous en suis reconnaissant. Continuez la production de film aussi intéressant que ceux-ci car vous êtes ceux qui retranscrive la sincérité de notre sport à travers les personnes que vous interrogés. Merci pour ce moment
Magnifique document , touchant, si vrai, qui démontre s'il en est encore besoin , que l'argent détruit tout . Le cyclisme était un sport d'ouvriers, de petites gens, le riche ne s'abaisse pas à transpirer , ni à se carboniser dans une côte...Aujourd'hui il reste quelques courses à saucisson dans une campagne perdue, les sorties entre copains , le bonheur des départs matinaux . Le reste, comme le foot , l'athlétisme, n'est qu'un grand cirque qui rapporte beaucoup à ceux qui ne transpirent pas ...
Merci pour ce film, très touchant et très intéressant ! La fin est très métaphorique de ce qu'est devenu le cyclisme comme culture populaire urbaine. Il ne reste plus rien, plus que quelques fantômes qui font des tours de circuit dans un désintéressement général. L'ivrogne et le cyclisme en sont au même état de dégradation.
Maël C. Un peu d’espoir voyons ! Je vous assure que le cyclisme comme culture populaire urbaine est toujours bien vivant, même à Paris, il a juste changé de visage ;)
@@sofianvitry8458 vrai, t’façon le type qui fait son Foucault il a oublié de parler des dentistes de Longchamp. Le prestige de la souffrance est devenu un truc de cadre supérieur qui doit justifier son salaire tout en gardant la classe en lâchant sa thune dans la dentisterie : les britanniques les appellent les MAMILs (Middle Aged Men In Lycra). Mais ouais après la culture urbaine est bien vivante et va perdurer comme celle du skate.
@@robinbantigny8640 j'en suis témoin, parmi tant d'autres, à chaque Alleycat d'ailleurs. Quand un mec bombarde à 45km/h en vélo cargo, se fait renverser, se relève d'emblée pour repartir à 45 jusqu'à l'arrivée, j'appelle pas ça un fantôme
Ma première licence en 70 au VCL , début de saison à Chelles dossard no 22 comme Jean Pierre Monserré champion du monde l'année précédente en Angleterre je trouvais que c'était un bon signe! Une course chaque dimanche dans toute la région parisienne encore beaucoup de pavés. ..démontage des dérailleurs l'hiver pour monter les pignons fixes ( la vélocité! ) , les gamelles évidemment ! Bon je raconte ma vie OK. ..
Je pratique le vélo depuis 2 ans, le seul problème quand il évoque que le vélo n'attire pas les mecs des quartiers populaires c'est le coût, aujourd'hui les prix des vélos pour rester compétitif est totalement dingue.
7:50 C'est quoi ce ramassis de conneries ? Si les jeunes de banlieue ne s’intéresse pas au vélo, c'est déjà par contrainte d’accessibilité, autant financière que pratique (peu de magasin de vélo, espaces mal aménager, peut être pas la place de garder un vélo chez eux), et aussi par les mentalités de vieil homme comme ce monsieur. Si ils font du foot, c'est parce qu'ils n'ont littéralement besoin que d'un ballon et de descendre de chez eux. Et une peur de l’effort ? Pitié, vous avez vu le nombre de salle de sports en banlieue et la forte fréquentation de celle ci ???
C'est pas dans la culture non plus quand j'étais jeune(minime,cadet)on me vanner plus que ce qu'on me féliciter. Coter finance c'est vraie dans les années 70 on pouvait ce faire 1000 franc sur une course et les vélo coutait 10000F aujourd'hui tu te fais 30euros les vélo coutent 3000. Ont peut trouver des carbone des années 90 à 600euros pour un jeunes une aide ou plus de prime aiderait. Quand au aménagement pour un jeune ça peut faire peur mais beaucoup s'entraine normalement en ville.
Je suis daccord. Je vien de banlieue. J'ai toujours kiffer le vélo. Mais devinez quoi pas de club proche de chez moi. Le prix du vélo on en parle pas. J'avais pas 1€ à mon enfance alors un vélo on oublie et c'etait le foot à 3€40 l'année, je m'en souviens encore. Et j'avais même pas de crampons. Mon premier salaire est partie dans un vélo en alu biensur :' Même aujourd'hui avec mon vélo carbonne j'ai pas les moyen d'avoir des roue carbonne. On à des champions en puissance dans les banlieue.. et je suis certains que nombreux serais les jeunes qui adorerait le vélo, le tour et regarder par des millions de français, ma passion vien de la. Mais par manque de moyens et la profussion de club de foot et autre sport (Atlhetisme, sport de combat) ça n'aide pas..
Si ça vous intéresse, je viens de couvrir le Tour des Francs 1993 dans mon podcast qui revisite les chroniques de Pierre Foglia, un journaliste québécois : mbe.io/rf . L'épisode le plus populaire ? « Les plombiers de Marseille. » Bonne écoute ! Si ça pollue votre page, je peux enlever ce commentaire... ;-)
les remarques à 8:23 sur les mecs des cités sont totalement fausse, la preuve étant que dans les sports de combats, sports où l'on souffre le plus, où on est le plus rabaissé, les adhérents proviennent majoritairement des cités ...
Pour ce qui est de l’aspect visuel, les casques et lunettes, ce n’est que son avis. Perso je prefere ça à l’ancienne époque ou les mecs n’avaient aucun styles et on ne voyait que leurs grimaces. Le vélo c’est plus que ça, et ce genre d’avis ( le sien et le mien) n’est que subjectif, cela dépend fortement des générations. On est très souvent, quand on vieillit, dans le « c’était mieux avant »
Philippe Bordas, habité par le vélo. Très touchant.
À chaque fois vous transmettez des émotions fortes et sincères à travers le quotidien de nous autres coureurs, je suis heureux de constater la concordance des propos qui ressortent de ce film et des idées que je partage avec d'autres coursiers avec lesquels j'échange. Depuis "Philosophie d'un grimpeur" vous m'amenez à réfléchir sur mon sport différemment, à m'interroger sur des principes fondamentaux qui le composent et je vous en suis reconnaissant.
Continuez la production de film aussi intéressant que ceux-ci car vous êtes ceux qui retranscrive la sincérité de notre sport à travers les personnes que vous interrogés.
Merci pour ce moment
Merci infiniment pour votre message.
Magnifique document , touchant, si vrai, qui démontre s'il en est encore besoin , que l'argent détruit tout . Le cyclisme était un sport d'ouvriers, de petites gens, le riche ne s'abaisse pas à transpirer , ni à se carboniser dans une côte...Aujourd'hui il reste quelques courses à saucisson dans une campagne perdue, les sorties entre copains , le bonheur des départs matinaux . Le reste, comme le foot , l'athlétisme, n'est qu'un grand cirque qui rapporte beaucoup à ceux qui ne transpirent pas ...
Très belle tranche de vie du quartier.
Merci
Excellent documentaire !
Très beau documentaire ! Bravo pour ce joli boulot !
Merci pour ce film, très touchant et très intéressant ! La fin est très métaphorique de ce qu'est devenu le cyclisme comme culture populaire urbaine. Il ne reste plus rien, plus que quelques fantômes qui font des tours de circuit dans un désintéressement général. L'ivrogne et le cyclisme en sont au même état de dégradation.
Maël C. Un peu d’espoir voyons ! Je vous assure que le cyclisme comme culture populaire urbaine est toujours bien vivant, même à Paris, il a juste changé de visage ;)
@@sofianvitry8458 vrai, t’façon le type qui fait son Foucault il a oublié de parler des dentistes de Longchamp. Le prestige de la souffrance est devenu un truc de cadre supérieur qui doit justifier son salaire tout en gardant la classe en lâchant sa thune dans la dentisterie : les britanniques les appellent les MAMILs (Middle Aged Men In Lycra). Mais ouais après la culture urbaine est bien vivante et va perdurer comme celle du skate.
@@robinbantigny8640 j'en suis témoin, parmi tant d'autres, à chaque Alleycat d'ailleurs. Quand un mec bombarde à 45km/h en vélo cargo, se fait renverser, se relève d'emblée pour repartir à 45 jusqu'à l'arrivée, j'appelle pas ça un fantôme
Bravo il faut continuer , notre sport est en train de mourir et il faut l'ouvrir et s'interroger ... vaux court métrage aide à sa...Bravo
Excellent comme à votre habitude. Très fort en émotion
Très jolie reportage, empreint de nostalgie et de vérités.
Superbe documentaire
très beau documentaire , il fait venir en Belgique , là il aurai des prises de vue par courses incroyable à par les vaches...
Ma première licence en 70 au VCL , début de saison à Chelles dossard no 22 comme Jean Pierre Monserré champion du monde l'année précédente en Angleterre je trouvais que c'était un bon signe! Une course chaque dimanche dans toute la région parisienne encore beaucoup de pavés. ..démontage des dérailleurs l'hiver pour monter les pignons fixes ( la vélocité! ) , les gamelles évidemment ! Bon je raconte ma vie OK. ..
Je pratique le vélo depuis 2 ans, le seul problème quand il évoque que le vélo n'attire pas les mecs des quartiers populaires c'est le coût, aujourd'hui les prix des vélos pour rester compétitif est totalement dingue.
Super video!!
Bonjour je suis débutant jai 62ans je suis de Pantin. Et jai envie de participer. Au course de vélo ça me tient à cœur merci
top ce film
Il y a un truc poetique dans ce film.
7:50 C'est quoi ce ramassis de conneries ? Si les jeunes de banlieue ne s’intéresse pas au vélo, c'est déjà par contrainte d’accessibilité, autant financière que pratique (peu de magasin de vélo, espaces mal aménager, peut être pas la place de garder un vélo chez eux), et aussi par les mentalités de vieil homme comme ce monsieur.
Si ils font du foot, c'est parce qu'ils n'ont littéralement besoin que d'un ballon et de descendre de chez eux. Et une peur de l’effort ? Pitié, vous avez vu le nombre de salle de sports en banlieue et la forte fréquentation de celle ci ???
C'est pas dans la culture non plus quand j'étais jeune(minime,cadet)on me vanner plus que ce qu'on me féliciter. Coter finance c'est vraie dans les années 70 on pouvait ce faire 1000 franc sur une course et les vélo coutait 10000F aujourd'hui tu te fais 30euros les vélo coutent 3000. Ont peut trouver des carbone des années 90 à 600euros pour un jeunes une aide ou plus de prime aiderait. Quand au aménagement pour un jeune ça peut faire peur mais beaucoup s'entraine normalement en ville.
surtout que les salles de boxes sont bien remplies de gars de banlieues, et entre la boxe et le vélo, en terme de souffrance, y a pas photo ...
Je suis daccord. Je vien de banlieue. J'ai toujours kiffer le vélo. Mais devinez quoi pas de club proche de chez moi. Le prix du vélo on en parle pas. J'avais pas 1€ à mon enfance alors un vélo on oublie et c'etait le foot à 3€40 l'année, je m'en souviens encore. Et j'avais même pas de crampons. Mon premier salaire est partie dans un vélo en alu biensur :' Même aujourd'hui avec mon vélo carbonne j'ai pas les moyen d'avoir des roue carbonne. On à des champions en puissance dans les banlieue.. et je suis certains que nombreux serais les jeunes qui adorerait le vélo, le tour et regarder par des millions de français, ma passion vien de la. Mais par manque de moyens et la profussion de club de foot et autre sport (Atlhetisme, sport de combat) ça n'aide pas..
Trop bien. Triste. Qui a gagné?
Bravo La Bordure !
Si ça vous intéresse, je viens de couvrir le Tour des Francs 1993 dans mon podcast qui revisite les chroniques de Pierre Foglia, un journaliste québécois : mbe.io/rf
. L'épisode le plus populaire ? « Les plombiers de Marseille. » Bonne écoute ! Si ça pollue votre page, je peux enlever ce commentaire... ;-)
Lui il va manger du saucisson mortel l expression excellent j adore le vélo
ca me donne juste envie de faire un PROUT !!!
les remarques à 8:23 sur les mecs des cités sont totalement fausse, la preuve étant que dans les sports de combats, sports où l'on souffre le plus, où on est le plus rabaissé, les adhérents proviennent majoritairement des cités ...
Lisez le livre!
Pour ce qui est de l’aspect visuel, les casques et lunettes, ce n’est que son avis. Perso je prefere ça à l’ancienne époque ou les mecs n’avaient aucun styles et on ne voyait que leurs grimaces. Le vélo c’est plus que ça, et ce genre d’avis ( le sien et le mien) n’est que subjectif, cela dépend fortement des générations. On est très souvent, quand on vieillit, dans le « c’était mieux avant »
Bref, des clichés énormes sur les banlieues et leurs habitants.
En même temps c'est pas faux
Le mec il critique il nes jamais monter sur un vélo 🚲
Pas que des amateurs dans le peloton. T'as des gars de Saint Michel et direct énergie
y a des amateurs de saint michel
ruclips.net/video/ZTeqM5gciH8/видео.html je préfère la version chantée de ce qu'il dit.
Les mecs de banlieue ils préférent resté dans leur merde en position victimaire.. Incompatible avec le cyclisme