Diagnostic très juste sur la professionnalisation de la politique. Comme vous le dites justement, tout le monde se proclame maintenant "anti-système" pour se distinguer d'un système politique gangréné...
Merci pour le partage de cette vidéo, très intéressante (en fait quand il y a Usul, c'est souvent le cas) :) Petite réf d'Usul aux insoumis par analogie à Podemos (env 54:00). Si on gagne, on lâche rien !
Aujourd'hui c'est dimanche comme chaque dimanche et ce dimanche nous allons parler des conférences. On distingue deux types de conférence: les conférences avec Usul et les conférence sans Usul. Les premières sont les conférences intéressantes et les autres les conférences chiantes.
Et comme le disait Marcel Achard: “Je veux bien que les gens regardent leur montre quand je donne une conférence. Ce que je ne supporte pas, c’est qu’ils la portent à leur oreille pour vérifier qu’elle n’est pas arrêtée.”
Bonjour, je ne suis pas d'une classe "populaire", je suis d'une classe peut etre, mais je suis francais, j'ai le bac, je connais pas mal de choses peutetre plus que la moyenne, ... et j'entend beaucoup parler de démocratie populaire, citoyenne, de MOUVEMENTS CITOYENS ... bon, ca parait bien de faire une meilleure démocratie par le peuple, les mouvements citoyens.. mais j'entend ce mot partout, et n'étant affilié à aucun parti... je ne sais pas OU sont ces fameux mouvements citoyens, qui sont censé faire participer le peuple, dont je crois faire partie, meme si je ne suis pas ouvrier. OU, participer à la "cityenneté" et démocratie populaire? Non parque les beaux discours flous et bonnes intentions ca va un moment, mais ... quand et ou est-ce qu'on "participe" à la vie publique, sans etre dans un parti ? ni une association particulière sur un sujet donné. C'est quand le débat? Merci.
a 1:25:16 , l'intervenant dit a Usul qu'Usul a dit : «je ne suis ni de droite ni de gauche». Usul a toujours été clair sur le fait qu'il est de gauche, y compris sur ce débat. Il y a des gens qui entendent ce qui leur plait. De plus, l'intervenant n'est pas tres clair, est-il pour un pouvoir du peuple partiel (50% de l'Assemblee Nationale constituee de citoyens tires au sort par exemple) ou juste pour une revocation des elus a mi-mandat comme le propose Melenchon ; je penche pour les 2 options perso.
Les gouvernants sont devenus des gestionnaires, les universitaires ont été poussés à produire davantage, les étudiants ont été contraints à ne penser leur avenir qu’au sein de l’entreprise et les médias ont endormi les masses. C’est que la démocratie n’est plus : bienvenue en *MEDIOCRATIE* . Le terme de « *médiocratie* » caractérise « le gouvernement de la classe moyenne ». Avec le temps, son acception a évolué. Elle définit aujourd’hui « *la domination des médiocres* », « ce stade moyen hissé au rang d’autorité » La faute à qui ? Sans doute d’abord à une *cohorte d’imposteurs* qui ont pu s’ériger en experts et délivrer du matin au soir leurs recettes toutes faites pour que « le pays s’en sorte » - de la pure novlangue orwellienne. Mais aussi à nous-mêmes qui *avons laissé* impunément s’installer et prospérer ceux que l’écrivain allemand Hans-Magnus Enzensberger qualifie d’« *analphabètes secondaires* ». Et nous, citoyens qui subissons cette exigence permanente de rendement, cette « torture », *pensons-nous seulement à des moyens concrets de remise en cause de cette abjection économique, sociétale ?* Non. Ce renoncement, cette apathie généralisée, s’expliquent par le fait que les citoyens sont de plus en plus *biberonnés au lait télévisuel qui affaiblit les cerveaux et annihile toute contre-offensive intellectuelle.* La société du spectacle est redoutable tant est grande sa capacité à tuer la moindre tentative de résistance. Tout peut être récupéré pour être plus présentable. De nos jours, il est clair que l'on ne peut plus : « La corruption menace indéfiniment la démocratie, mais du principe de démocratie désormais corrompu découle un nouveau régime qui répond au nom de "gouvernance" ». Pourquoi ? Parce que, selon Alain Deneault, nous croyons encore à l’idée d’un hypothétique « ruissellement économique ». Nous nous imaginons que l’enrichissement de certains finira bien par nous profiter un jour. Nous oublions, mais l’auteur nous le rappelle, que la richesse appelle la richesse et qu’elle n’alimentera que l’entre-soi : « en 2013 […] les Chinois fortunés avaient placé 658 milliards de dollars dans les paradis fiscaux. Ces données sont continuellement en hausse. » Il ne devrait pas être nécessaire d’en rajouter pour provoquer une *colère citoyenne légitime*. Nous devrions depuis longtemps *former un bloc consistant, tous unis !* *Comment s’en sortir* ? L’auteur de La Médiocratie propose une *solution radicale* développée en conclusion de son livre : « *Procéder à une rupture des logiques pernicieuses et destructives. Collectivement s’affranchir. Rompre ensemble. Co-rompre.* » L’objectif à atteindre est séduisant mais excessivement ambitieux et délicat tant l’entreprise de sape intellectuelle a commencé tôt. *Tant que l’esprit est en veille, il y a encore de l’espoir d'autant plus que nous sommes beaucoup plus puissants que nous avons été conditionnés à le croire.* (Alain Deneault, contre le « penser mou » - "La Médiocratie")
La meilleure question du fil ! Merci de la poser ! On est un petit ciné-café qui a ouvert y'a 6 mois à Lyon (à la Croix-Rousse). Pour la faire courte, c'est une salle de ciné associative avec des canapés, un bistrot et un vidéo-club qui essaie de montrer des longs et des courts métrages, du pro et de l'amateur, de la fiction et du docu, pour refaire de la salle de ciné un lieu collectif (c'est notre slogan :p ). Pour la faire longue, voilà notre site : aquarium-cine-cafe.fr/ Si t'es dans le coin, viens donc nous dire bonjour !
" Je ne me considère pas comme une femme politique" , 10 secondes plus tard : " Nous, les politiques, on a .." Par ailleurs, il est douteux de sa part de reléguer la position anti-politique ( en tant qu'opposition à la représentation ) aux sentiments, aux ressentis ( exactement comme Chirac avec les constats fait sur la vie en banlieue). Ce n'est pas juste un ressenti, c'est une position politique, idéologique !
Les mouvements citoyens se heurtent aux obstacles de la politique institutionnelle, parfois (pas toujours) parce qu'ils refusent d'entrer dans le jeu des élections. Or c'est en hackant de l'intérieur le système que nous imposerons des transformations nécessaires, institutionnelles notamment. Même si ça prend du temps.
Pourquoi pas, mais je pensais avant tout aux législatives, dans lesquelles des candidats citoyens comme NPG, ou ceux d'A nous la démocratie !, défendront des propositions de transformation du système politique pour les placer à l'agenda parlementaire.
Le réformisme des sociaux-démocrates visaient dès le départ à "hacker" de l'intérieur le système, bonjour ce que ça a donné ... À supposer même qu'on en arrive pas au degré de dégradation atteint par le Parti "Socialiste", hacker le système de l'intérieur est une utopie. Vous supposez un jeu de forces en votre faveur, ou simplement possible à construire, or les résistances institutionnelles sont phénoménales. Regarder les procédés anti-démocratiques pratiqués par les institutions européennes pour lessiver Tsipras en quelques mois et le rendre similaire aux types du PASOK (équivalent grec du PS). Et encore, regardez ne serait-ce que le "projet" politique porté par Notre-Dame des Landes. Je veux dire, des communautés autonomes il y en a quelques dizaines en France, dans le cadre de NDDL ils ont droit à la venue des CRS et des flashball dès lors qu'ils veulent continuer de défendre leur conception de la politique. Et je ne crois pas que NDDL soit d'une très grande offensive envers le capitalisme ou le système en général. À supposer que vous parveniez à laisser entrevoir la plus minuscule possibilité de changer le système de l'intérieur, je crois que vous n'imaginez pas les résistances institutionnelles et les déferlements de violence qui se déchaîneraient sur vous. "Hacker" le système de l'intérieur est l'autre nom de l'asservissement politique.
(parce qu'après tout on est un ciné :p ) je ne saurais que trop vous conseiller le film "le président" d'Henri Verneuil avec Jean Gabin. Un film subtile qui montre bien l'éternelle ambiguité entre engagement personnel, politique et financier sur fond de 4e République, de création européenne et de dévaluation monétaire (déjà!). Pas moyen d'en tirer une conclusion politique claire mais ça montre bien à quel point nous payons/soldons encore actuellement des conflits socio-politiques historiques (et à quel point le cinéma c'est génia)l ! JbPianiste : quand tu dis "Hacker le système de l'intérieur est l'autre nom de l'asservissement politique", je comprends pas trop le fond de ta pensée... Toute action contestataire, disons "intra-systémique" (vote blanc, constituante, tirage au sort ou autres), ne serait pas réaliste selon toi ?
Merci l'Aquarium pour la rediffusion de ce beau débat.
Merci à vous de l'avoir organisé ;)
A quand le prochain ? Maintenant que la campagne commence pour de bon...
Aujourd'hui c'est dimanche, comme chaque dimanche...
C'était très agréable, grand merci pour la captation et l'upload.
Merci NkThor, tout le plaisir est pour nous !
Merci pour cette * Emission*.
Le mec pose un bon diagnostic en intro. Deux bons débattants. De bonnes questions de la salle...
Diagnostic très juste sur la professionnalisation de la politique. Comme vous le dites justement, tout le monde se proclame maintenant "anti-système" pour se distinguer d'un système politique gangréné...
Merci pour le partage de cette vidéo, très intéressante (en fait quand il y a Usul, c'est souvent le cas) :)
Petite réf d'Usul aux insoumis par analogie à Podemos (env 54:00). Si on gagne, on lâche rien !
Merci ! On réiterera dès qu'on pourra !
Ce rappel de 36 15 Usul en plein face ! Pouah le coup de vieux
Un petit peu de nostalgie ne fait jamais de mal ^^
Oui bien sur ! Mais j'ai plus aucune raison de me lever le dimanche moi... d'ailleurs je me lève plus du coup
C'est pour ça qu'on l'a poster qu'en fin de soirée ! Histoire d'être sûr que tu serais debout ;)
Aujourd'hui c'est dimanche comme chaque dimanche et ce dimanche nous allons parler des conférences. On distingue deux types de conférence: les conférences avec Usul et les conférence sans Usul. Les premières sont les conférences intéressantes et les autres les conférences chiantes.
Et comme le disait Marcel Achard: “Je veux bien que les gens regardent leur montre quand je donne une conférence. Ce que je ne supporte pas, c’est qu’ils la portent à leur oreille pour vérifier qu’elle n’est pas arrêtée.”
Bonjour, je ne suis pas d'une classe "populaire", je suis d'une classe peut etre, mais je suis francais, j'ai le bac, je connais pas mal de choses peutetre plus que la moyenne, ... et j'entend beaucoup parler de démocratie populaire, citoyenne, de MOUVEMENTS CITOYENS ... bon, ca parait bien de faire une meilleure démocratie par le peuple, les mouvements citoyens.. mais j'entend ce mot partout, et n'étant affilié à aucun parti... je ne sais pas OU sont ces fameux mouvements citoyens, qui sont censé faire participer le peuple, dont je crois faire partie, meme si je ne suis pas ouvrier. OU, participer à la "cityenneté" et démocratie populaire? Non parque les beaux discours flous et bonnes intentions ca va un moment, mais ... quand et ou est-ce qu'on "participe" à la vie publique, sans etre dans un parti ? ni une association particulière sur un sujet donné.
C'est quand le débat? Merci.
a 1:25:16 , l'intervenant dit a Usul qu'Usul a dit : «je ne suis ni de droite ni de gauche». Usul a toujours été clair sur le fait qu'il est de gauche, y compris sur ce débat. Il y a des gens qui entendent ce qui leur plait. De plus, l'intervenant n'est pas tres clair, est-il pour un pouvoir du peuple partiel (50% de l'Assemblee Nationale constituee de citoyens tires au sort par exemple) ou juste pour une revocation des elus a mi-mandat comme le propose Melenchon ; je penche pour les 2 options perso.
Les gouvernants sont devenus des gestionnaires, les universitaires ont été poussés à produire davantage, les étudiants ont été contraints à ne penser leur avenir qu’au sein de l’entreprise et les médias ont endormi les masses. C’est que la démocratie n’est plus : bienvenue en *MEDIOCRATIE* .
Le terme de « *médiocratie* » caractérise « le gouvernement de la classe moyenne ». Avec le temps, son acception a évolué. Elle définit aujourd’hui « *la domination des médiocres* », « ce stade moyen hissé au rang d’autorité »
La faute à qui ? Sans doute d’abord à une *cohorte d’imposteurs* qui ont pu s’ériger en experts et délivrer du matin au soir leurs recettes toutes faites pour que « le pays s’en sorte » - de la pure novlangue orwellienne.
Mais aussi à nous-mêmes qui *avons laissé* impunément s’installer et prospérer ceux que l’écrivain allemand Hans-Magnus Enzensberger qualifie d’« *analphabètes secondaires* ».
Et nous, citoyens qui subissons cette exigence permanente de rendement, cette « torture », *pensons-nous seulement à des moyens concrets de remise en cause de cette abjection économique, sociétale ?* Non.
Ce renoncement, cette apathie généralisée, s’expliquent par le fait que les citoyens sont de plus en plus *biberonnés au lait télévisuel qui affaiblit les cerveaux et annihile toute contre-offensive intellectuelle.*
La société du spectacle est redoutable tant est grande sa capacité à tuer la moindre tentative de résistance. Tout peut être récupéré pour être plus présentable.
De nos jours, il est clair que l'on ne peut plus : « La corruption menace indéfiniment la démocratie, mais du principe de démocratie désormais corrompu découle un nouveau régime qui répond au nom de "gouvernance" ».
Pourquoi ? Parce que, selon Alain Deneault, nous croyons encore à l’idée d’un hypothétique « ruissellement économique ». Nous nous imaginons que l’enrichissement de certains finira bien par nous profiter un jour. Nous oublions, mais l’auteur nous le rappelle, que la richesse appelle la richesse et qu’elle n’alimentera que l’entre-soi : « en 2013 […] les Chinois fortunés avaient placé 658 milliards de dollars dans les paradis fiscaux. Ces données sont continuellement en hausse. » Il ne devrait pas être nécessaire d’en rajouter pour provoquer une *colère citoyenne légitime*. Nous devrions depuis longtemps *former un bloc consistant, tous unis !*
*Comment s’en sortir* ? L’auteur de La Médiocratie propose une *solution radicale* développée en conclusion de son livre :
« *Procéder à une rupture des logiques pernicieuses et destructives. Collectivement s’affranchir. Rompre ensemble. Co-rompre.* »
L’objectif à atteindre est séduisant mais excessivement ambitieux et délicat tant l’entreprise de sape intellectuelle a commencé tôt.
*Tant que l’esprit est en veille, il y a encore de l’espoir d'autant plus que nous sommes beaucoup plus puissants que nous avons été conditionnés à le croire.*
(Alain Deneault, contre le « penser mou » - "La Médiocratie")
bonjour c était très pertinent. mais au fait c est quoi l aquarium ciné?
La meilleure question du fil ! Merci de la poser ! On est un petit ciné-café qui a ouvert y'a 6 mois à Lyon (à la Croix-Rousse). Pour la faire courte, c'est une salle de ciné associative avec des canapés, un bistrot et un vidéo-club qui essaie de montrer des longs et des courts métrages, du pro et de l'amateur, de la fiction et du docu, pour refaire de la salle de ciné un lieu collectif (c'est notre slogan :p ). Pour la faire longue, voilà notre site : aquarium-cine-cafe.fr/ Si t'es dans le coin, viens donc nous dire bonjour !
" Je ne me considère pas comme une femme politique" , 10 secondes plus tard : " Nous, les politiques, on a .."
Par ailleurs, il est douteux de sa part de reléguer la position anti-politique ( en tant qu'opposition à la représentation ) aux sentiments, aux ressentis ( exactement comme Chirac avec les constats fait sur la vie en banlieue). Ce n'est pas juste un ressenti, c'est une position politique, idéologique !
La fille députée elle parle trop d'elle et de sa salade
usul toujours assez nuancé et posé
1:27:00 ?
Et elle pensait qu'il n'aurait pas de majorité...
Les mouvements citoyens se heurtent aux obstacles de la politique institutionnelle, parfois (pas toujours) parce qu'ils refusent d'entrer dans le jeu des élections. Or c'est en hackant de l'intérieur le système que nous imposerons des transformations nécessaires, institutionnelles notamment. Même si ça prend du temps.
Par "hacker le système de l'intérieur" tu parles du vote blanc ou...?
Pourquoi pas, mais je pensais avant tout aux législatives, dans lesquelles des candidats citoyens comme NPG, ou ceux d'A nous la démocratie !, défendront des propositions de transformation du système politique pour les placer à l'agenda parlementaire.
Le réformisme des sociaux-démocrates visaient dès le départ à "hacker" de l'intérieur le système, bonjour ce que ça a donné ... À supposer même qu'on en arrive pas au degré de dégradation atteint par le Parti "Socialiste", hacker le système de l'intérieur est une utopie. Vous supposez un jeu de forces en votre faveur, ou simplement possible à construire, or les résistances institutionnelles sont phénoménales. Regarder les procédés anti-démocratiques pratiqués par les institutions européennes pour lessiver Tsipras en quelques mois et le rendre similaire aux types du PASOK (équivalent grec du PS). Et encore, regardez ne serait-ce que le "projet" politique porté par Notre-Dame des Landes. Je veux dire, des communautés autonomes il y en a quelques dizaines en France, dans le cadre de NDDL ils ont droit à la venue des CRS et des flashball dès lors qu'ils veulent continuer de défendre leur conception de la politique. Et je ne crois pas que NDDL soit d'une très grande offensive envers le capitalisme ou le système en général. À supposer que vous parveniez à laisser entrevoir la plus minuscule possibilité de changer le système de l'intérieur, je crois que vous n'imaginez pas les résistances institutionnelles et les déferlements de violence qui se déchaîneraient sur vous. "Hacker" le système de l'intérieur est l'autre nom de l'asservissement politique.
(parce qu'après tout on est un ciné :p ) je ne saurais que trop vous conseiller le film "le président" d'Henri Verneuil avec Jean Gabin. Un film subtile qui montre bien l'éternelle ambiguité entre engagement personnel, politique et financier sur fond de 4e République, de création européenne et de dévaluation monétaire (déjà!). Pas moyen d'en tirer une conclusion politique claire mais ça montre bien à quel point nous payons/soldons encore actuellement des conflits socio-politiques historiques (et à quel point le cinéma c'est génia)l !
JbPianiste : quand tu dis "Hacker le système de l'intérieur est l'autre nom de l'asservissement politique", je comprends pas trop le fond de ta pensée... Toute action contestataire, disons "intra-systémique" (vote blanc, constituante, tirage au sort ou autres), ne serait pas réaliste selon toi ?
campagne " Nous en Démocratie " :
- avis de jeunes avec la politique + découverte de mouvements citoyens -
wearereadynow.net/nousendemocratie/
"Péter des abribus". Ca c'était débile :(