ahou-k marino, merci pour votre commentaire que j'ai bien reçu mais qui n'apparait pas ici et auquel je ne peux donc pas répondre directement. Je suis ravie que cet atelier vous ait plu et oui, l'abonnement à la chaîne est gratuit. Belle journée !
J'aime beaucoup écrire des histoires types scénario de mangas ou autres et tomber par hasard sur une vidéo qui parle des bases de l'écriture et présente une façon de travailler différentes de la mienne c'était vraiment une bonne surprise merci et bonne continuation
Me revoilà, j'ai écrit une histoire après la lecture de la vidéo et mes notes. J'étais ravie. J'ai rajouté une consigne perso. Aujourd'hui c'est le 25 décembre! Merci Madame.
Bonjour, une belle découverte. Merci. Gourmandise était évident, les fraises du jardin ont mis leur belle robe rouge...Je mets mon texte en repos puis je lui ferais un beau costume avec mes mots. Merci de ce temps pris à l'ombre du micocoulier. Jane
Bonjour J’ai toujours aimé la sensation du stylo bille ou du stylo plume qui glisse sur le velours du papier. Toujours eu envie d’écrire, pas pour être écrivain, juste écrire comme celui qui aime dessiner. Voilà, grâce à vous, je me lance. Désert Sable, solitude, jaune, mousse, caillou, soleil, sec, Touareg, tente, thé. « Elle était seule, assise devant cette immensité. Elle respirait le désert, elle sentait ce souffle chaud, pas encore brûlant. Le soleil s’élevait doucement. Elle était calme, sereine. Elle sentait la vie. Elle était vivante, elle s’imprégnait de l’instant, ces sens étaient en éveil. Certains n’auraient vu qu’une étendue de sable parsemée de quelques roches. Rien à voir, auraient-ils dit. Elle, elle inspirait l’air chaud, juste ce qu’il faut pour réchauffer son corps et son cœur. Elle voyait une immensité qui changeait au fur et à mesure avec le lever du soleil. Elle entendait les derniers insectes qui virevoltaient avant de se mettre à l’abri du soleil brûlant jusqu’à la prochaine nuit. Entre ses doigts, elle laissait couler le sable et retenait un caillou qu’elle pouvait caresser, elle ressentait ses courbes, sa rondeur, sa douceur, elle le trouvait beau. Elle aurait pu le ranger dans sa poche pour le caresser et se souvenir de cet instant. Mais ce caillou appartenait acte désert. Elle le laissa là comme une trace de sa douleur et de sa tristesse qu’elle avait choisit de déposer sur ce sable au milieu de cette immensité. Toutes les nuances de jaune et d’ocre l’enveloppaient. Elle était prête. Il a dû entendre ses pensées. Un Touareg, sorti de la tente berbère, approchait. Il portait une chèche indigo, sa peau tannée par le soleil était éclairée par des yeux bleus clairs. Son regard est profond et rassurant. Il tient deux verres à thé. Sans un mot, il lui tend un petit verre et s’assied à ses côtés. Le verre est brûlant, un peu de mousse est restée en surface. Le parfum de la menthe vient chatouiller ses narines. Elle trempe ses lèvres dans le liquide doré. Elle ressent cette douceur sucrée qui descend le long de son œsophage, la menthe reste accrochée à ses papilles. Ils ne parlent pas, ce n’est pas nécessaire. Il n’a pas posé de questions le jour où ils se sont rencontrés. Elle lui a demandé s’il accepterait de l’emmener lors de sa prochaine traversée du désert. Elle ne sait pas pourquoi elle lui a posé cette question, elle ne savait pas vraiment comment elle était arrivée là, ni pourquoi. Son cœur était sec. Il ne lui demandera rien aujourd’hui non plus. Il y a des rencontres qui ne s’expliquent pas. Il a ressenti sa solitude, sa détresse. Il a accepté. Il lui a donne rendez-vous deux jours plus tard sans savoir si elle viendrait. Elle aurait pu changer d’avis, mais elle est venue. En silence, le voyage a commencé. Merci pour votre impulsion. Cela m’a donné du plaisir et m’a fait beaucoup de bien.
Gourmandise ( Merci Claire pour ce moment de plaisir, plaisir gustatif et plaisir d’écrire ...) ) Chou - plaisir - chocolat - Hirsinger - ami - fêter - goût - liberté - joie - savourer Voici le début de mon histoire : C'était un jour particulier. Elle l' attendait depuis 8 mois. Elle s'était depuis longtemps promis de fêter sa libération en s'offrant un ballotin de chocolats de chez son chocolatier préféré, meilleur ouvrier de France et meilleur chocolatier de la région selon tous les chocophiles qu'elle connaissait. Même sa tante, parisienne qui connaissait toutes les bonnes adresses de la capitale et d'ailleurs, qui ne jurait que par Angelina, Marcolini ou Pierre Hermé avait reconnu la suprématie des petits rectangles de chocolat jurassiens, affirmant que c'était sans doute "les meilleurs qu'elle avait jamais mangés". Aussi depuis qu'elle avait fini sa chimio, elle guettait le jour où le goût qu'elle aurait en bouche serait redevenu normal, ou les goûts de métal ou de moisissure qui ne la quittaient plus depuis plusieurs mois seraient un lointain souvenir. Elle s'en était fait la promesse, quand ce jour viendrait elle irait s'acheter un ballotin chez ...
bonjour Claire, j'aimerai pouvoir continuer. Le mot ELEPHANT les 10 mots SAVANE COULEUR MARRON POUSSIERE LUMIERE TROUPEAU FAMILLE FORCE PROTECTION SOLIDARITE PETILLANCE; la phrase "comme tous les lundi...à cet instant précis elle montait au grenier où elle pouvait se détendre devant un grand livre d'histoires. Elle ouvrait le livre et la page lui montrait une image. Elle devenait en un instant le personnage central. Elle se trouvait dans des aventures, des situations de peurs ou de joie, de vie intense. Aujourd'hui ce lundi de juillet l'image d'un éléphanteau près de sa mère l'invite à partager ses aventures.....
Merci pour ce partage ! Tout est prêt pour l'aventure : le thème, l'idée, le personnage et la situation de départ, à vous de laisser aller votre imagination pour raconter comment l'image des éléphants va emmener votre personnage dans une histoire. En pensant bien à utiliser vos 10 mots au cours du récit, cela va vous aider dans l'écriture. Bonne écriture !
mot choisi : éléphant animal, grand, matriarcat, groupe, expression “éléphant dans la maison”, oreilles, mowgli, lent, doux, gris phrase choisie : quelqu’un a dû entendre mes pensées “quelqu’un a dû entendre mes pensées. c’est ce que je me suis dit en voyant les gens autour de moi et l’expression de leurs visages. dans ce métro bondé de monde en même temps il y allait forcément y avoir quelqu’un qui allait m’entendre. je n’ai jamais été doué pour sociabiliser, je me suis toujours senti en décalage avec les autres, les sujets de conversations ne me passionnaient pas tellement mais j’y prends part pour passer le temps et faire connaissance. dû à mon reflet maussade, les gens ont commencé à m’appeler “le gris”. comme la couleur, comme ce que ça sous-entend aussi, ce qui est assez logique. selon la météo mon teint virait même parfois au gris, je portais bien ce surnom. jusqu’à aujourd’hui ma vie se résumait à la routine habituelle, je me lève le matin, je vais à l’école (puis au travail quelques années plus tard), je rentre, je mange et vais à la douche, puis je monte dans ma chambre et si je ne m’endors pas directement alors j’allumais rapidement mon ordi ou je sortais mon livre si j’avais encore de l’énergie. pas d’activités en dehors, pas de club, pas de hobbie, pas d’amis. peu d’échanges avec ma famille puis après mon départ pour la vie d’adulte je ne parlais pratiquement plus à personne. j’avais pensé à prendre un animal, un chat à vrai dire, pour le côté indépendant et en même temps chaleureux et doux, mais je me suis ravisé. je ne saurai expliquer les raisons qui m’ont fait renoncer à en adopter un, comme je ne pourrai pas non plus expliquer les raisons qui m’auraient convaincu d’en avoir un. tout m’est indifférent en fin de compte. j’ai souvent entendu dans des chansons l’expression “se sentir comme un éléphant dans une maison”, enfin je crois que c’est à peu près ça. je me suis souvent demandé ce qu’elle voulait dire car je la trouvais plutôt absurde, mais je crois que je commence à la comprendre, et je dirai même que selon mon interprétation elle me convient plutôt bien au final. un éléphant dans une maison, un élément trop gros pour l’espace où il se situe, quelqu’un qui n’est pas à sa place, qui prend trop de place. selon le point de vue on pouvait m’attribuer autant d'explications qu’il y a de sens à cette expression. j’ai grandi dans une famille uniquement composée de membres féminins. mon paternel s’étant volatilisé assez tôt. nous sommes 5 au total, je suis le seul garçon. et avec le tempérament de ma mère, autant vous dire qu’à la maison ça filait droit. en cours d’histoire j’ai appris l’existence des systèmes de matriarcat, l’inverse du patriarcat, où ce sont les femmes qui sont au centre du pouvoir, des décisions, l’inverse de notre société actuelle. mais dans certaines cultures c’est le cas comme chez les tahitiens par exemple, ou chez les éléphants aussi tiens, c’est assez drôle comme fil rouge. bref tout ça pour dire qu’en étant le seul garçon d’une; je connais pas le mot pour dire fratrie mais au féminin. une matrie? une sororité ? Bon tant pis, l’idée est là. donc déjà dans ma propre famille, l’intégration dans un groupe s’est vite montrée comme compromise. Impossible de comprendre leurs codes ou ce qui les liait, comme les règles ou cet instinct maternel, et tout un tas d'autres choses encore j’imagine. j’ai aussi fini par comprendre que certaines de mes attitudes semblaient les irriter. je les voyais toujours toutes ensembles, hyperactives, à rire, parler, glousser, se toucher les cheveux, se montrer je ne sais quoi sur leur téléphone etc. Lorsque je me trouvais en leur compagnie je me sentais extrêmement lent comparé à elles, alors que je ne pense pas l’être spécialement. mais leur frénésie me donnait parfois même le tourni et des palpitations. face à ma lenteur , certaines s’amusaient à me tirer les oreilles comme pour me “réveiller”, cela les faisait beaucoup rire. mais pas moi. donc lorsque je les voyais dans leur bulle, je les laissais entre elles, et c’était ainsi 90% du temps. Cela me fait penser qu’une fois où je regardais un dessin animé à la télévision, une de mes sœurs est arrivée en courant, a pris la télécommande et a changé le programme pour mettre une autre émission. je m’en rappelle encore très bien, je regardais le livre de la jungle, c’était mon dessin animé préféré. en y repensant assez je crois que je m'identifie un peu à mowgli, dans le sens où j’avais l’impression d’être un corps étranger et d’évoluer dans un milieu qui n’est pas le mien à l’origine. mais comme l’humain est bien fait, il s’adapte pour survivre, ce que j’ai fait aussi. pourtant à un moment donné dans le film, lorsque mowgli devient plus grand, il finit par rejoindre un village d’humains qui l’avaient découvert et il se fait recueillir par ses semblables où il a pu commencer une nouvelle vie plus en adéquation avec qui il est. je l’ai beaucoup envié et je crois que je l’envie encore aujourd’hui. je me demande quand ce sera mon tour. heureusement que je suis dans le métro.”
Merci infiniment ! Velours. Salopette, robe, drapé, chat, douceur, tissu, poils, automne, enfance, forêt, confort. Comme tous les jours de la semaine, à 16h40, Mme Reine retourna le sablier qui se trouvait sur le buffet de la salle d’étude. Elle fit face aux deux enfants et ils commencèrent le travail qu’elle leur avait confié afin qu’ils assimilent la leçon du jour. Les rayons du soleil, déjà obliques, créaient une douce atmosphère dans la pièce et illuminaient les vêtements de velours qu’elle leur avait confectionnés le mois précédent. Ils étaient de la même étoffe marron que Mme de Chaumières commandait chez le marchand de tissu du Boulevard de l’Aube. Elle était satisfaite de la façon dont la robe de la fillette se drapait jusqu’à ses genoux. Elle souriait en pensant au plaisir qui avait rosi les joues de l’aîné lorsqu’il avait enfilé la salopette pour la première fois. Il en appréciait visiblement le confort. Mme Reine avança vers la fenêtre aux carreaux embués, sur le rebord de laquelle se prélassait un gros chat au pelage tigré. L’automne commençait à se manifester en parant la forêt de mille couleurs flamboyantes. C’était la saison qu’elle préférait, mais bientôt le vent dénuderait les arbres, et toute cette beauté s’évanouirait. Elle observa les efforts des enfants sans les déranger. Encore quelques instants et le sablier marquerait la fin de l’exercice.
Merci pour cette vidéo. J'ai choisi gourmandise et prit comme mots mendicité, dise, gourde hantise mandibule anisé gouter gourmande, douceur et amande et la phrase comme tous les lundis.... Comme tous les lundis à 16H42, mme REINE retournait le sablier qui se trouvait dans l'entrée. Elle avait fini sa mendicité et rentrait chez elle. Elle était un peu gourde ; elle n'était pas très fut fut comme son voisinage disait d'elle. Ce jour-là en mendiant, quelqu'un lui a donné un gouter. C'était un gâteau aux amandes au gout anisé. Miam, quelle douceur sur le palais ! elle est tellement gourmande. Elle fait marcher ses mandibules lentement pour mieux apprécier. Sa hantise était que ses voisins l'aperçoivent. Alors elle est vite rentrée chez elle. Elle retourne le sablier qui se trouve à l'entrée, s'assoit sur son canapé, le temps que le sable s'écoule. Les minutes de repos sont comptées. Elle a tellement à faire car il faudra bien qu'elle retourne mendier si elle veut gagner sa journée. Le soir souvent est plus favorable. Les gens sont plus généreuses. Reine est contente. Elle a fait presque 50 euros en rentrant à 21h et elle retourne le sablier et s'endort sur son sofa. Roselyne MARQUE BOUARET. Qu'en pensez vous ?
Merci Roselyne pour ce texte. Voici un personnage qui se dessine, original, un peu surprenant, déjà caractérisé en partie dans ces courtes scènes. Peut-être pour vous le début d'une plus grande histoire !
Thème: Gourmandise Mots: gâteau, appétit, cuisson, anniversaire, fête, cramer,four, assiette, table, camarade. Aujourd'hui est un jour particulier, d'autant plus souligné en stylo rouge dans le calendrier épinglé sur le mur de ma chambre. Incapable de tenir sur mes deux jambes à l'appel de mon camarade sur la terrasse(bien qu'affairé dans la cuisine), je me précipite à sa rencontre, munis d'assiettes, non sans me réjouir de son aide pour apprêter la table au dénouement imminent de la cuisson et des amuse-gueules concoctés. Mon aînee, telle la grande aiguille d'une pendule cherchant son midi, se fit remonter les bretelles par ma mére au vu du temps émis pour sortir le gâteau aux oubliettes dans le four de la cuisinière à gaz. - pourvu qu'elle ne l'ait pas cramé ! s'écria mon père, logé sur le sofa de la salle de séjour, suspendu devant le poste téléviseur. plus de peur que de mal, l'injonction de ma mère anticipa heureusement tout désagrément à cette fête à mon honneur. Tout se devait être fin prêt pour la célébration de mon anniversaire avant l'arrivée de mes invités à l'appétit conjugué.
Thèmes : violoncelle Mots : Musique, Charnelle, Douceur, Bois, Vibration, Etreinte, Energie, Mélodie, Femme, noir et blanc Cette liste de mot a été influencée par le souvenir d'une photo en noir et blanc d'une femme étreignant son violoncelle Phrase : Quelqu’un a dû entendre mes pensées. -> Elle a dû entendre mes pensées Texte : Elle a dû entendre mes pensées. Après une semaine d’un travail intense et stressant, j’aspirai à un repos, qui je pense, était bien mérité. Le retour en train fut éprouvant entre les retards et les correspondances serrées. C’était donc éreinté et énervé que je m’engageais dans la rue où j’habitais. C’est alors que je l’entendis, d’abord une impression, puis se muant en une réalité au plus j’avançais sur le trottoir, une mélodie descendant la rue et déposant sur moi toute sa douceur. Sa musique vibrante d’émotion charnelle effaça instantanément tous mes tracas, elle me nettoya de mes énergies négatives pour me charger d’allégresse et de joie de vivre. Je me précipitai, guidé par le notes noires et blanches qui s’échappaient d’une fenêtre en rez-de-chaussée. Je m’accoudais à la rambarde, hypnotisé. Une femme jouait du violoncelle. Sans penser aux conséquences, j’escaladais et entrais. Comme si tout ceci était normal, tout en m’approchant, la femme et moi plongèrent nos yeux dans nos yeux, Je ne la connaissais pas, mais je l’aimais, je l’étreignis et lorsque mes mains touchèrent le bois de son instrument, que mon corps s’harmonisa aux vibrations des cordes, nous nous perdîmes ensemble dans un mode où plus rien n’existe, où seules demeurent les sensations et les sentiments. Elle m’avait donné ce dont j’avais besoin au moment où j’en avais le plus besoin, elle avait dû entendre mes pensées.
THÈME : rêve Mots: réverbère, lucioles, anges, sommeil, fleurs, joie, Amour, gaité, cerveau, auréole PHRASE : quelqu'un aurait dû entendre mes pensées! De mes 'joies' et peines,elle m'a évincé! 'D'amour' elle m'a exclu des maux sociaux. Alors que je ne suis qu'un bébé, je vois tout ce qui se passe. Je ne peux parler, je ne peux m'exprimer, je ne fais qu'observer. Je ne peux faire connaître ma présence qu'à travers le support artistique de mes cries et pleurs. Quand l'autre femme plus jeune partais pour le travail, je le savais car c'est en ce moment que je profitais de sa douceur. D'une 'gaité' inverterée elle s'appliquait. Elle voyait en moi un 'ange' et, moi je l'a voyait avec son 'auréole' dont j'étais seul a voir d'ailleurs. Azrael l'a suivait partout dans la cour et me fesai souvent de petits clins d'œil. Mes yeux brillaient tel un attroupement de 'Luciole' dans un cocon de verre.. C'est la bravoure de cette vielle qui m'a rendu fort aujourd'hui. Dans mon 'sommeil' je l'a voyait rester à mon chevet. J'ai rêver aussi voir Azrael l'amener lui tenant la main. A mes réveils, mon 'cerveau' tout entier refletais de la compassion a travers mes yeux de 'réverbère'. Quelq'un aurait dû entendre mes pensées. Cette nuit j'ai fais un rêve, ce matin suis allé déposer quelques 'fleurs' sur la tombe de la grand-mère !
Le mot choisi est rêve et les 10 mots sont : nuit, paisible, lune, forêt, vent, blanc, souvenir, image, espace, lent. Comme tous les lundis à 16 h 42 Madame Reine retourne le sablier qui se trouve dans l'entrée. Est-ce un rêve ou la réalité ? difficile de le dire. C'est par une nuit paisible que tout cela a commencé, une nuit de pleine lune ou elle avait eu envie de se promener dans la forêt qui jouxte le jardin de sa maison. Un petit portillon en bois orné de ferrures finement travaillées lui permettait d'accéder à la majestueuse forêt. Elle était tellement heureuse de vivre dans cette petite maison en pierres digne d'un conte de fées et héritée de sa grand-mère maternelle, dans laquelle elle venait chaque été passer les vacances scolaires. Cette nuit là, elle se remémorait les souvenirs de son enfance. Des images lui parvenaient, certaines très nettes, et d'autres plus nébuleuses, comme entourées d'un halo de lumière blanche et flottant dans l'espace autour d'elle. Le vent semblait vouloir lui parler, elle l'entendait frémir et susurrer quelque chose d'inaudible à l'oreille...
Rêve , amour , desir , passion , colère , trahison J'imagine une vie d' amour dans les bras de mon âme soeur , celui qui m'acceptera telle que je suis . Ce rêve me fait rire , me remplit de desir
Quelqu’un a dû entendre mes pensées. Mon esprit a vogué, et dans ce silence, j’eu l’impression que ce fut audible. Elle se recoiffa, puis laissa glisser ses mains sur son pantalon de velours. Le tissu roula légèrement sous ses doigts, comme des petits bourrelets. Je remarquais sa brillance. C’était l’hiver, le salon de thé était à moitié rempli. Les fenêtres légèrement embuées, par endroits, nous permettait de noter la différence de chaleur entre l’intérieur et l’extérieur. La douceur de ce moment était palpable. On n’entendait aucun bruit, si ce n’est le léger tintement des tasses sur les coupelles. Elle portait une veste « couture » très chic, je me demandais d’où elle venait et où elle allait avec des vêtements d’une telle qualité.
Merci Claire pour vos vidéos tellement intéressants qui nous aident à démarrer. Thème: Désert Mots spontanés: sable, soleil, vent, brûlure, vide, dunes, oasis, sec, chameau, eau. Comme tous les lundis à 16h42, Marie-Reine retourne le sablier qui se trouve dans l'entrée du vestibule de son appartement du centre-ville. C'est un minuscule sablier mais il lui rappelle plein de souvenirs de son périple dans le désert du Sahara. Et, à chaque fois qu'elle retourne son sablier, un souvenir différent afflue à l'esprit de Marie-Reine. Ce soir, après une promenade dans les rues enneigées de la ville, elle sent sur son visage la brûlure du vent, elle voit le soleil se coucher au-delà des dunes de sable roux. Son chameau la porte vers l'oasis tant espéré. Sa gourde est à sec. Elle scrute le vide devant elle et croit distinguer au loin un campement entouré de fiers palmiers. Aussitôt arrivée, elle se précipite au puits afin de s'y désaltérer de son eau fraîche.
Merci à vous Johanne pour vos retours, c'est un grand plaisir de vous lire. Quel bonheur ce matin de partir un peu dans le désert aux côtés de Marie-Reine !
THEME : VELOURS Mes mots : DOUCEUR, PANTALON, AMOUR, DETOUR, REGARD, ROUGE,CALINS,PAS, GANT,MAINS. Quelqu’un doit entendre mes pensées. C’est insensé, depuis plusieurs jours, j’ai la désagréable sensation qu’on entre dans ma tête. Qu’on anticipe mes actions, qu’on scrute mes sentiments, que quelqu’un se retrouve partout sur mon chemin. Qui est-ce ? D’où vient ce quelqu’un ? Que veut-il ? Ce matin, tandis que je prenais soin de mes orchidées Vanda et de leurs magnifiques fleurs d’un velours rouge et soyeux, il m’a semblé entrevoir une forme fureter à pas de loup, derrière le cabanon du jardin. Une petite silhouette aux contours mal définis, plutôt fluette et impossible à identifier, m’est apparue. Alors que je l’épiais, elle a filé furtivement. Au détour du bassin aux nénuphars, elle s’est figée. Avec une infinie douceur, elle a capturé un nymphéa violet dans ses mains gantées de velours de soie noire. En voyant cette mystérieuse créature s’éloigner, j’ai remarqué qu’elle était affublée d’un curieux pantalon en velours côtelé vert bouteille. Ce genre d’attribut, on ne peut plus désuet, ne se porte plus du tout aujourd’hui ! D’où peut bien sortir ce personnage ? De mon imagination ? Du monde réel ou fantastique ? J’ai tenté sans succès de capter son regard. Je n’ai même pas pu déterminer s’il s’agissait d’un homme ou bien d’une femme. Sa taille et sa stature toute menue me font penser qu’il pourrait peut-être même s’agir d’un enfant ou d’un adolescent. L’esprit embrouillé et gagné par la torpeur, je me réfugie dans le fauteuil en rotin qui me tend les bras, sur la terrasse devant la serre. Je me love dans un plaid, rouge comme l’amour, qui semble m’attendre. Apollon, le chat de la maison, à l’affut derrière une imposante jardinière d’hortensias bleus, s’invite alors sur mes genoux. Machinalement, j’entreprends de caresser sa douce fourrure de veloutine grise. Il a l’air d’apprécier les copieux câlins dont je l’honore. Son ronronnement me berce et m’invite à la réflexion, voire à l’introspection. J’ai besoin de comprendre. Je tente donc de faire le point sur les anecdotes qui se sont produites, depuis le début de la semaine. J’ai eu l’impression, aux moments les plus anodins, de ressentir une présence, mais aussi parfois, de voir surgir mirage, hallucination ou fantôme. Je me suis sentie investie, voire colonisée, par une entité envahissante mais non agressive. Plutôt bienveillante, elle m’a apporté beaucoup de douceur. Depuis, j’ai comme l’impression d’être enveloppée d’une matière velouteuse et délicate. Je me sens observée mais aussi protégée, ensorcelée autant qu’éclairée, un peu perdue mais étonnamment en sécurité. Instinctivement, je cherche et rassemble autour de moi, tous mes accessoires et objets velouteux chargés de particules bienfaitrices à même de m’apaiser. Je pense avoir créé de toute pièce cet être fantomatique et éthéré. Pourquoi ? J’en ressentais sans doute cruellement le besoin, à un moment charnière de mon existence. Je change de vie, très bientôt : déménagement, emploi, environnement amical … C’est un peu compliqué à négocier. Comment ? Mon moi intérieur, la corde sur laquelle je vibre, a résonné pour que mon corps et mon esprit transforment mes émotions en énergie positive. Le bien-être que je ressens, maintenant, me prouve à quel point c’était nécessaire. Accompagné de mon petit farfadet, qui s’impose maintenant clairement comme entièrement vêtu de velours orangé, je me sens prête pour avancer vers demain. Merci à toi petit mon compagnon de velours.
A mon avis, il s'agit plutôt de psychothérapie que d'ateliers d'écriture proprement dits. Le but est de vous faire "oser" écrire et publier quelque chose, pas d'écrire quelque chose de bon ni de découvrir votre propre style, ni surtout de vous corriger (horreur !) ou même de vous améliorer. A ce sujet, j'ai été frappé de remarquer qu'au travers des nombreuses propositions revenues, c'était en général plus ou moins toujours le même style qui se dégageait (et qui a peu d'intérêt à mon avis). Pourtant les propositions initiales ne semblent pas mauvaises, (pourquoi pas en effet), et les incipit proposés sont suffisamment neutres (sauf peut-être les deux derniers) pour autoriser n'importe quel style. Je pense que les auteurs, même ceux qui semblent le réclamer, ne souhaitent pas réellement qu'on donne son avis personnel sur leur texte, sinon l'inévitable "oh là là que c'est beau" de rigueur (toute critique argumentée serait considérée comme une attaque personnelle - et même si on comprend bien que l'organisatrice n'a pas le temps ni l'envie de commenter en détail tous les retours). Donc, si c'est pour vous aider à vous lancer, OK. Au-delà, je serais nettement plus mitigé. Il faudrait vraiment désacraliser l'écriture, d'une part, et apprendre à laisser son ego au vestiaire, d'autre part. Mais là, c'est pas gagné...
theme: violoncelle La silhouette est imprécise, mais il la reconnait. Cela ne vient pas de la scéne toute illuminée, mais de sa myopie. Il n'empêche qu'il admire l'artiste quu'elle est devenue. Son violoncelle une prolongation d'elle-même. L'archet s'envole tel un battement d'aile d'un oiseau et vient effleurer précisément ces notes qui me transportant dans un mode paralléle. Un monde qu'elle m'a reusé, u monde où je n'aurai pas ma place, un monde qui m'est interdit. Un monde qui ne sied pas à un berger. Et pourtant, commet pouvait elle effacer ces huit jours de folie, de promenades, de baignades, de nuits délicieuses. Mais elle l'a fait. Son art avant tout.
Quelqu'un a dû entendre mon appel. Dans cet environnement sauvage et inquiétant, je cherche ma route parmi cette immensité sablonneuse. Parfois, un acacia croise mon chemin. Comment a-t-il pu pousser à cet endroit, loin de tout, seul, isolé sous ce soleil de plomb qui m'assoiffe de plus en plus ? Je cherche un point d'eau où j'espère retrouver mes congénères. Mais tomber sur un tel endroit dans la savane relève du miracle en cette saison... J'erre seul dans cette partie de l'Afrique depuis maintenant trop longtemps et, même si je semble impressionnant de part ma stature, mes forces me lâchent de jour en jour, ma puissance n'est plus que feu de paille et je vais bientôt m'effondrer, non par manque d'eau ou de nourriture, mais à cause de l'isolement que je subis depuis que des braconniers nous ont traqués et attaqués. J'ai réussi à échapper à leurs fusils mais je ne sais combien des miens sont tombés sous leurs balles et ont été mutilés. J'erre seul dans cette immensité à la recherche des miens ; la poussière brûlante entre dans mes yeux et brûle ma cornée. J'avance sans rien voir, le ventre vide, le cœur serré, le corps desséché, ne faisant confiance qu'à mon instinct pour guide. La chaleur accablante m'étourdit, je titube, je me sens vaciller. Se peut-il que ma vie s'arrête là, au milieu de nulle part ? Dans un dernier sursaut je barris et j'entends plus au loin ces sons si familiers qui me donnent la force d'avancer. Ils me guident. J'avance malgré le vent des sables vers ceux qui vont me sauver.
@@claudiamonures Bonjour Claudia ! Un grand merci à vous pour ce superbe texte, si fort et touchant. Je suis ravie que cet atelier vous l'ait inspiré et vous remercie pour votre partage 🌟
J'ai adoré faire cet exercice ! Voici ce que j'ai imaginé (je vous laisse deviner le thème 😊) : "Cela fait des mois qu’il pleut. Enfermé chez lui, derrière sa fenêtre, Bertrand contemple le rideau d’eau qui s’abat derrière la vitre. Les arbres sont devenus presque transparents, au loin, comme des ectoplasmes tristes et englués de pluie. Dans la pièce, qui sent le vieux papier et le vieux garçon, une petite musique pénètre doucement ses tympans. Certainement le voisin qui a mis un disque pour accompagner sa déprime. Qu’est-ce ? Quel instrument ? quel compositeur ? Bertrand se concentre pour reconnaître les sons qui arrivent à lui en sourdine, comme au travers d’une couche d’ouate. Il lui semble reconnaître une flûte. Et cette voix ? Bertrand fronce les sourcils, plisse les yeux et, ah ! c’est du violon. Non, du violoncelle ! C’est alors que son esprit s’envole. Comme un oiseau qui serait passé au-dessus des nuages, ses souvenirs reviennent en cette mille et unième journée gris terne. Son cœur devient bleu, bleu comme l’azur ! bleu, comme les yeux de Faustine. Ah Faustine ! Faustine ! L’a-t-il aimé cette fille quand il chantait dans les chœurs de Radio France, à sa belle époque. Faustine et son violoncelle, l’archer qui virevolte sur les cordes de l’instrument bien calé entre ses cuisses. Il s’avoue qu’il aurait ardemment désiré être le bois du luth quand elle jouait, les yeux fermés de béatitude, parcourant les touches de ses doigts fins et précis, la volute tout contre son épaule, si près de son cou. Le violoncelle de Faustine, sa voix de sirène qui l’a ensorcelé et l’a noyé dans ses regrets. Il n’a jamais osé. Même pas un café au bar des musiciens après un concert réussi, rien ! ça aurait pourtant dû être facile. Quel idiot vraiment ! Le violoncelle langoureux de la trop belle Faustine lui tord les souvenirs comme sa mauvaise vodka lui tord les boyaux. Alors, comme un pauvre vieux garçon emprisonné dans sa tour de pluie et d’amertume, Bertrand s’évade, tout seul, dans son passé, au son à peine audible du violoncelle de Faustine."
Je trouve que ça démarrait pas mal, notamment la phrase "Les arbres sont devenus presque transparents, au loin, comme des ectoplasmes tristes et englués de pluie." (la dernière aussi), mais après ça redevient plus conventionnel. Au moins il n'y a pas de grossières fautes de français... Bon, j'arrête là, je pense que commenter en détail ne serait pas vraiment utile dans ce cadre.
le mot choisi est: Reve c était un jour particulier,habituellement peuplée ,notre maison est vide.je contemple les tableaux accroches aux murs du salon,avec un sentiment de les voir pour la première fois.ne serait ce la lumière transperceant
suite du texte les rideaux qui transforma la couleur chaude,harmonieuse du grand tableau du salon en un tableau terne,sans ame. mais ou sont ils partis? en voyage organise? dans ce cas,mon projet est tombe a l eau.j esperai planifier un voyage avec toute la famille durant la saison estivale. mon projet consiste a finaliser mon roman ,tenter.de réussir rapidement son édition et annoncer cet événement a ma famille lors de notre voyage.est ce que mon projet est mis en échec ? une sensation étrange ébranla tout mon être,a cet instant,j entend une voix douce m appeler :réveilles toi ma fille ,tu vas être en retard pour ton lycée ! ce n était qu' un rêve... les mots choisis : Rêve , espoir ,aspiration ,projet , famille ,réussite ,voyage , amie , saison, avenir ,événement.
J'ai vraiment beaucoup aimé les mots et les phrases proposées. Merci à vous ! (2 extraits, un peu longs, désolée, mais c'est difficile de séquencer 'sa prose' 😄😃) : ".... Lors d’une escale à La Havane, Le Capitaine au long cours déambulait nonchalamment dans les ruelles écrasées de chaleur de la ville. Soudain il entendit des notes de musique et des sons totalement inconnus de lui. Il s’approcha, ému de l’harmonie qui régnait à ce moment précis. Les murs lézardés des immeubles alentour disparurent, comme par enchantement, pour la laisser apparaître. Et ELLE apparut. A présent il ne voyait plus qu’ELLE et son violoncelle… et leurs courbes, celles de l’instrument de musique… et celles de la musicienne. ...Mais l’esprit de Mme Reine y revient encore chaque lundi, pour retourner le sablier à 16h42 dans l’entrée. La seule distraction de la semaine de son vivant… la seule pièce qu’elle était autorisée à traverser une seule fois par semaine, lui laissant espérer une fuite possible. Et ainsi elle serait redevenue la « Señora Reina » ! Si seulement elle était parvenue à franchir le seuil de cette maudite entrée ! Le cours de sa vie, sans son capitaine de mari, aurait emprunté une voie bien différente…"
Merci beaucoup Lucia pour vos retours ! Et surtout pour ces 2 extraits qui donnent à la fois très envie de connaître toute l'histoire et à la fois permettent aux imaginaires de s'envoler ! Belle journée à vous 🌛
J' imagine une vie d' amour Dan's les bras de mon âme soeur , celui qui me comprendra et m' acceptera avec mes defauts . Ce rêve me faisait vivre qune partie de ma vie
Rêve ; objectif, amour, pitié,haine, voyage, découvrir sansible Se réveiller un matin ,se préparer avec seule objectif en tête que la journée soit agréable. Mais les aléas de la vie nous exigent à être prudent et à vivre avec méfiance. On a presque toujours un poids a porter que même la méditation n'arrive pas à nous aider à se débarrasser de tout la haine qui veut nous aveugler Mais par pitié mon Dieu délibère nous de tous ses maux qui nous tracassent et qui nous empêchent de découvrir la splendeur de la nature. L'amour que nous porte les branches d'arbres à travers le vent qui souffle et qui voyage pour venir caresser nos beaux visages. Aussi sansible que soit mon doux rêve
@@erbinefrancois790 En éprouvant vos émotions, vous les acceptez et à travers votre poésie, vous nous livrez une belle leçon de méditation! Merci de nous avoir préparé une belle journée.
Soif Chameau Espace Etoiles Eilat Civilisation Bedouin Chapeau Femme Voiture Elle avait l air mysterieuse mais je l'ai reconnue .on etait en route pour eilat quand survint cet incident qui allait chambouler pas mal de choses.Notre autobus avait percute un chameau sur cette route infinissable .ce chameau faisait parti des excursions organisee par l' un des grands hotels de la mer morte et la femme avait ete projetee àu sol. Je descendit du bus pour porter secours et je vois par terre cette femme soudain je m exclama! C elle .. je ne l ai pas rencontree depuis l eçole ,ou nous etions il y a 5 ans encore. Elle etait allonge avec son grand chale noire..je pousssais un cri! Virginiiiie c est pas possible.ce n est pas toi … ici.. une voiture de secours style jeep arrivait deja soulevant une montagne de poussiere. En dehors de toute civilisation nous voilames sous un ciel plein d etoiles 10 ans apres nous etre separe elle et moi ,et nous voila a nouveau a s echanger des regards et des sourires ,tout ca grace a un mince incident. Tu as soif lui demanda je ?oui oui me dit elle ..je sortis de dessous mon chapeau de bedouin une bouteille que je joignis a ses levres. Dans cet espace irreel nous nous permires de partir dans nos reves les plus fous .
Zohra ouvrit les yeux, la vieille Moulkheir était en train de lui parler. "Regarde ma fille, ce jardin est pour toi et ces trois arbustes sont ta recoltes. Je sais ils sont encore petits mais ils grandiront et te donneront une belle récolté. Grâce à eux tu n'auras plus ni faim ni soif. Son cerveau émergeait du sommeil. Elle se souvint que Moulkheir, sa belle mère était morte depuis deux mois et que cela faisait moins d'un mois qu'elle était ici dans ce pays si bizarre. Elle narrivait pas à s'habituer au froid. Elle avait laissé le ciel bleu sans un nuage de son pays pour venir ici dans le nord de la France où il faisait toujours froid, où le ciel était toujours gris... Elle alla à la fenêtre, regarda dehors et fut choquée. Tout était blanc. Elle ne compris pas. Elle courru reveller son mari Sliman qui dormait encore. Réveille toi, reveille toi, je ne sais pas ce qu'il se passe, je ne sais pas qui s'est amusé a renverser du sucre dehors. Sliman se leva, alla à la fenêtre "ce n'est que le givre" "Le givre ? Quel pays bizarre, elle ne s'y habituerait jamais"
Merci beaucoup pour cette histoire, petit fragment de vie qui peut rester ainsi ou si vous en avez envie servir de support à une histoire plus longue...
@@ateliersdecriturelunedeplume C'est une histoire vraie, celle de ma grand-mère, celle de ma famille, j'aimerai la raconter mais c'est très difficile de faire vivre des personnages sans qu'ils soient des personnages de papier. Donc je ne sais par où commencer.
@@saidaelballi7038 Ce que vous avez écrit ici peut être un début ou faire partie de l'histoire. Vous pouvez peut-être aussi faire les autres ateliers proposés ici en les ramenant à votre récit (je ne sais pas si ça marcherait avec tous)...ou encore trouver une personne qui puisse vous accompagner dans votre travail d'écriture ! Bonne continuation dans ce beau projet !
Bonjour Madame, Merci pour tout. A bientôt.
Merci et à bientôt 😊
ahou-k marino, merci pour votre commentaire que j'ai bien reçu mais qui n'apparait pas ici et auquel je ne peux donc pas répondre directement. Je suis ravie que cet atelier vous ait plu et oui, l'abonnement à la chaîne est gratuit. Belle journée !
J'aime beaucoup écrire des histoires types scénario de mangas ou autres et tomber par hasard sur une vidéo qui parle des bases de l'écriture et présente une façon de travailler différentes de la mienne c'était vraiment une bonne surprise merci et bonne continuation
Merci beaucoup Valentin ! Pour le commentaire et la participation à l'atelier ! Et très belle journée !
Me revoilà, j'ai écrit une histoire après la lecture de la vidéo et mes notes. J'étais ravie.
J'ai rajouté une consigne perso.
Aujourd'hui c'est le 25 décembre! Merci Madame.
Bravo !!!!! ✨
Bonjour, une belle découverte. Merci. Gourmandise était évident, les fraises du jardin ont mis leur belle robe rouge...Je mets mon texte en repos puis je lui ferais un beau costume avec mes mots. Merci de ce temps pris à l'ombre du micocoulier. Jane
Merci beaucoup Jane et belle écriture, gourmande, à vous 🌟
Bonjour
J’ai toujours aimé la sensation du stylo bille ou du stylo plume qui glisse sur le velours du papier. Toujours eu envie d’écrire, pas pour être écrivain, juste écrire comme celui qui aime dessiner.
Voilà, grâce à vous, je me lance.
Désert
Sable, solitude, jaune, mousse, caillou, soleil, sec, Touareg, tente, thé.
« Elle était seule, assise devant cette immensité. Elle respirait le désert, elle sentait ce souffle chaud, pas encore brûlant. Le soleil s’élevait doucement. Elle était calme, sereine. Elle sentait la vie. Elle était vivante, elle s’imprégnait de l’instant, ces sens étaient en éveil. Certains n’auraient vu qu’une étendue de sable parsemée de quelques roches. Rien à voir, auraient-ils dit.
Elle, elle inspirait l’air chaud, juste ce qu’il faut pour réchauffer son corps et son cœur. Elle voyait une immensité qui changeait au fur et à mesure avec le lever du soleil. Elle entendait les derniers insectes qui virevoltaient avant de se mettre à l’abri du soleil brûlant jusqu’à la prochaine nuit. Entre ses doigts, elle laissait couler le sable et retenait un caillou qu’elle pouvait caresser, elle ressentait ses courbes, sa rondeur, sa douceur, elle le trouvait beau. Elle aurait pu le ranger dans sa poche pour le caresser et se souvenir de cet instant. Mais ce caillou appartenait acte désert. Elle le laissa là comme une trace de sa douleur et de sa tristesse qu’elle avait choisit de déposer sur ce sable au milieu de cette immensité. Toutes les nuances de jaune et d’ocre l’enveloppaient. Elle était prête.
Il a dû entendre ses pensées. Un Touareg, sorti de la tente berbère, approchait. Il portait une chèche indigo, sa peau tannée par le soleil était éclairée par des yeux bleus clairs. Son regard est profond et rassurant. Il tient deux verres à thé. Sans un mot, il lui tend un petit verre et s’assied à ses côtés. Le verre est brûlant, un peu de mousse est restée en surface. Le parfum de la menthe vient chatouiller ses narines. Elle trempe ses lèvres dans le liquide doré. Elle ressent cette douceur sucrée qui descend le long de son œsophage, la menthe reste accrochée à ses papilles.
Ils ne parlent pas, ce n’est pas nécessaire. Il n’a pas posé de questions le jour où ils se sont rencontrés. Elle lui a demandé s’il accepterait de l’emmener lors de sa prochaine traversée du désert. Elle ne sait pas pourquoi elle lui a posé cette question, elle ne savait pas vraiment comment elle était arrivée là, ni pourquoi. Son cœur était sec. Il ne lui demandera rien aujourd’hui non plus. Il y a des rencontres qui ne s’expliquent pas. Il a ressenti sa solitude, sa détresse. Il a accepté. Il lui a donne rendez-vous deux jours plus tard sans savoir si elle viendrait. Elle aurait pu changer d’avis, mais elle est venue. En silence, le voyage a commencé.
Merci pour votre impulsion. Cela m’a donné du plaisir et m’a fait beaucoup de bien.
Faute de frappe
Remplacer acte par à ce
Merci pour ce début d'histoire ! Je vous souhaite d'avoir su garder l'impulsion pour continuer à écrire ☺
Gourmandise ( Merci Claire pour ce moment de plaisir, plaisir gustatif et plaisir d’écrire ...) )
Chou - plaisir - chocolat - Hirsinger - ami - fêter - goût - liberté - joie - savourer
Voici le début de mon histoire :
C'était un jour particulier. Elle l' attendait depuis 8 mois.
Elle s'était depuis longtemps promis de fêter sa libération en s'offrant un ballotin de chocolats de chez son chocolatier préféré, meilleur ouvrier de France et meilleur chocolatier de la région selon tous les chocophiles qu'elle connaissait. Même sa tante, parisienne qui connaissait toutes les bonnes adresses de la capitale et d'ailleurs, qui ne jurait que par Angelina, Marcolini ou Pierre Hermé avait reconnu la suprématie des petits rectangles de chocolat jurassiens, affirmant que c'était sans doute "les meilleurs qu'elle avait jamais mangés". Aussi depuis qu'elle avait fini sa chimio, elle guettait le jour où le goût qu'elle aurait en bouche serait redevenu normal, ou les goûts de métal ou de moisissure qui ne la quittaient plus depuis plusieurs mois seraient un lointain souvenir. Elle s'en était fait la promesse, quand ce jour viendrait elle irait s'acheter un ballotin chez ...
Hmmmmmmm, les bons chocolats de chez..... Un grand merci à toi Claire !
Une vidéo formidable pour se lancer dans l'écriture ou améliorer ses pratiques !
Merci Claire pour cette belle initiative ✨✨✨
Merci beaucoup Isabelle, je te souhaite un bel été et de bons moments d'écriture !
bonjour Claire, j'aimerai pouvoir continuer. Le mot ELEPHANT les 10 mots SAVANE COULEUR MARRON POUSSIERE LUMIERE TROUPEAU FAMILLE FORCE PROTECTION SOLIDARITE PETILLANCE;
la phrase "comme tous les lundi...à cet instant précis elle montait au grenier où elle pouvait se détendre devant un grand livre d'histoires. Elle ouvrait le livre et la page lui montrait une image. Elle devenait en un instant le personnage central. Elle se trouvait dans des aventures, des situations de peurs ou de joie, de vie intense. Aujourd'hui ce lundi de juillet l'image d'un éléphanteau près de sa mère l'invite à partager ses aventures.....
Merci pour ce partage ! Tout est prêt pour l'aventure : le thème, l'idée, le personnage et la situation de départ, à vous de laisser aller votre imagination pour raconter comment l'image des éléphants va emmener votre personnage dans une histoire. En pensant bien à utiliser vos 10 mots au cours du récit, cela va vous aider dans l'écriture. Bonne écriture !
Merci beaucoup ça m'a fait vraiment plaisir de tombé sur votre vidéo.
Mon Thème : Rêve.
Merci Marie et belle écriture avec et en rêve ✨
mot choisi : éléphant
animal, grand, matriarcat, groupe, expression “éléphant dans la maison”, oreilles, mowgli, lent, doux, gris
phrase choisie : quelqu’un a dû entendre mes pensées
“quelqu’un a dû entendre mes pensées. c’est ce que je me suis dit en voyant les gens autour de moi et l’expression de leurs visages. dans ce métro bondé de monde en même temps il y allait forcément y avoir quelqu’un qui allait m’entendre. je n’ai jamais été doué pour sociabiliser, je me suis toujours senti en décalage avec les autres, les sujets de conversations ne me passionnaient pas tellement mais j’y prends part pour passer le temps et faire connaissance. dû à mon reflet maussade, les gens ont commencé à m’appeler “le gris”. comme la couleur, comme ce que ça sous-entend aussi, ce qui est assez logique. selon la météo mon teint virait même parfois au gris, je portais bien ce surnom. jusqu’à aujourd’hui ma vie se résumait à la routine habituelle, je me lève le matin, je vais à l’école (puis au travail quelques années plus tard), je rentre, je mange et vais à la douche, puis je monte dans ma chambre et si je ne m’endors pas directement alors j’allumais rapidement mon ordi ou je sortais mon livre si j’avais encore de l’énergie. pas d’activités en dehors, pas de club, pas de hobbie, pas d’amis. peu d’échanges avec ma famille puis après mon départ pour la vie d’adulte je ne parlais pratiquement plus à personne. j’avais pensé à prendre un animal, un chat à vrai dire, pour le côté indépendant et en même temps chaleureux et doux, mais je me suis ravisé. je ne saurai expliquer les raisons qui m’ont fait renoncer à en adopter un, comme je ne pourrai pas non plus expliquer les raisons qui m’auraient convaincu d’en avoir un. tout m’est indifférent en fin de compte. j’ai souvent entendu dans des chansons l’expression “se sentir comme un éléphant dans une maison”, enfin je crois que c’est à peu près ça. je me suis souvent demandé ce qu’elle voulait dire car je la trouvais plutôt absurde, mais je crois que je commence à la comprendre, et je dirai même que selon mon interprétation elle me convient plutôt bien au final. un éléphant dans une maison, un élément trop gros pour l’espace où il se situe, quelqu’un qui n’est pas à sa place, qui prend trop de place. selon le point de vue on pouvait m’attribuer autant d'explications qu’il y a de sens à cette expression. j’ai grandi dans une famille uniquement composée de membres féminins. mon paternel s’étant volatilisé assez tôt. nous sommes 5 au total, je suis le seul garçon. et avec le tempérament de ma mère, autant vous dire qu’à la maison ça filait droit. en cours d’histoire j’ai appris l’existence des systèmes de matriarcat, l’inverse du patriarcat, où ce sont les femmes qui sont au centre du pouvoir, des décisions, l’inverse de notre société actuelle. mais dans certaines cultures c’est le cas comme chez les tahitiens par exemple, ou chez les éléphants aussi tiens, c’est assez drôle comme fil rouge. bref tout ça pour dire qu’en étant le seul garçon d’une; je connais pas le mot pour dire fratrie mais au féminin. une matrie? une sororité ? Bon tant pis, l’idée est là. donc déjà dans ma propre famille, l’intégration dans un groupe s’est vite montrée comme compromise. Impossible de comprendre leurs codes ou ce qui les liait, comme les règles ou cet instinct maternel, et tout un tas d'autres choses encore j’imagine. j’ai aussi fini par comprendre que certaines de mes attitudes semblaient les irriter. je les voyais toujours toutes ensembles, hyperactives, à rire, parler, glousser, se toucher les cheveux, se montrer je ne sais quoi sur leur téléphone etc. Lorsque je me trouvais en leur compagnie je me sentais extrêmement lent comparé à elles, alors que je ne pense pas l’être spécialement. mais leur frénésie me donnait parfois même le tourni et des palpitations. face à ma lenteur , certaines s’amusaient à me tirer les oreilles comme pour me “réveiller”, cela les faisait beaucoup rire. mais pas moi. donc lorsque je les voyais dans leur bulle, je les laissais entre elles, et c’était ainsi 90% du temps. Cela me fait penser qu’une fois où je regardais un dessin animé à la télévision, une de mes sœurs est arrivée en courant, a pris la télécommande et a changé le programme pour mettre une autre émission. je m’en rappelle encore très bien, je regardais le livre de la jungle, c’était mon dessin animé préféré. en y repensant assez je crois que je m'identifie un peu à mowgli, dans le sens où j’avais l’impression d’être un corps étranger et d’évoluer dans un milieu qui n’est pas le mien à l’origine. mais comme l’humain est bien fait, il s’adapte pour survivre, ce que j’ai fait aussi. pourtant à un moment donné dans le film, lorsque mowgli devient plus grand, il finit par rejoindre un village d’humains qui l’avaient découvert et il se fait recueillir par ses semblables où il a pu commencer une nouvelle vie plus en adéquation avec qui il est. je l’ai beaucoup envié et je crois que je l’envie encore aujourd’hui. je me demande quand ce sera mon tour. heureusement que je suis dans le métro.”
Merci à vous pour ce début d'histoire !
Merci pour cette vidéo !
Merci Claire pour cet atelier inspirant, ma plume s'affole ;)
Merci Marie et bonne écriture 😊🌛
Merci beaucoup 🤗
Merci infiniment !
Velours.
Salopette, robe, drapé, chat, douceur, tissu, poils, automne, enfance, forêt, confort.
Comme tous les jours de la semaine, à 16h40, Mme Reine retourna le sablier qui se trouvait sur le buffet de la salle d’étude. Elle fit face aux deux enfants et ils commencèrent le travail qu’elle leur avait confié afin qu’ils assimilent la leçon du jour.
Les rayons du soleil, déjà obliques, créaient une douce atmosphère dans la pièce et illuminaient les vêtements de velours qu’elle leur avait confectionnés le mois précédent. Ils étaient de la même étoffe marron que Mme de Chaumières commandait chez le marchand de tissu du Boulevard de l’Aube. Elle était satisfaite de la façon dont la robe de la fillette se drapait jusqu’à ses genoux. Elle souriait en pensant au plaisir qui avait rosi les joues de l’aîné lorsqu’il avait enfilé la salopette pour la première fois. Il en appréciait visiblement le confort.
Mme Reine avança vers la fenêtre aux carreaux embués, sur le rebord de laquelle se prélassait un gros chat au pelage tigré. L’automne commençait à se manifester en parant la forêt de mille couleurs flamboyantes. C’était la saison qu’elle préférait, mais bientôt le vent dénuderait les arbres, et toute cette beauté s’évanouirait.
Elle observa les efforts des enfants sans les déranger. Encore quelques instants et le sablier marquerait la fin de l’exercice.
Un grand merci pour votre partage, c'est très beau et cela donne envie de découvrir la suite, bravo à vous !
@@ateliersdecriturelunedeplume Merci beaucoup de votre retour ! Si seulement je connaissais la suite :-D
Merci pour cette vidéo. J'ai choisi gourmandise et prit comme mots mendicité, dise, gourde hantise mandibule anisé gouter gourmande, douceur et amande et la phrase comme tous les lundis....
Comme tous les lundis à 16H42, mme REINE retournait le sablier qui se trouvait dans l'entrée.
Elle avait fini sa mendicité et rentrait chez elle. Elle était un peu gourde ; elle n'était pas très fut fut comme son voisinage disait d'elle.
Ce jour-là en mendiant, quelqu'un lui a donné un gouter. C'était un gâteau aux amandes au gout anisé. Miam, quelle douceur sur le palais ! elle est tellement gourmande. Elle fait marcher ses mandibules lentement pour mieux apprécier. Sa hantise était que ses voisins l'aperçoivent. Alors elle est vite rentrée chez elle. Elle retourne le sablier qui se trouve à l'entrée, s'assoit sur son canapé, le temps que le sable s'écoule. Les minutes de repos sont comptées. Elle a tellement à faire car il faudra bien qu'elle retourne mendier si elle veut gagner sa journée. Le soir souvent est plus favorable. Les gens sont plus généreuses. Reine est contente. Elle a fait presque 50 euros en rentrant à 21h et elle retourne le sablier et s'endort sur son sofa.
Roselyne MARQUE BOUARET. Qu'en pensez vous ?
Merci Roselyne pour ce texte. Voici un personnage qui se dessine, original, un peu surprenant, déjà caractérisé en partie dans ces courtes scènes. Peut-être pour vous le début d'une plus grande histoire !
@@ateliersdecriturelunedeplume MERCI
Thème: Gourmandise
Mots: gâteau, appétit, cuisson, anniversaire, fête, cramer,four, assiette, table, camarade.
Aujourd'hui est un jour particulier, d'autant plus souligné en stylo rouge dans le calendrier épinglé sur le mur de ma chambre. Incapable de tenir sur mes deux jambes à l'appel de mon camarade sur la terrasse(bien qu'affairé dans la cuisine), je me précipite à sa rencontre, munis d'assiettes, non sans me réjouir de son aide pour apprêter la table au dénouement imminent de la cuisson et des amuse-gueules concoctés.
Mon aînee, telle la grande aiguille d'une pendule cherchant son midi, se fit remonter les bretelles par ma mére au vu du temps émis pour sortir le gâteau aux oubliettes dans le four de la cuisinière à gaz.
- pourvu qu'elle ne l'ait pas cramé ! s'écria mon père, logé sur le sofa de la salle de séjour, suspendu devant le poste téléviseur.
plus de peur que de mal, l'injonction de ma mère anticipa heureusement tout désagrément à cette fête à mon honneur. Tout se devait être fin prêt pour la célébration de mon anniversaire avant l'arrivée de mes invités à l'appétit conjugué.
Merci beaucoup pour ce début d'histoire enjoué et vif, j'aime beaucoup l'image de la grande aiguille ☺
@@ateliersdecriturelunedeplume merci pour vos encouragements
🌸Merci🙏
Merci à vous Térésa et bonne écriture ✨
Thèmes : violoncelle
Mots : Musique, Charnelle, Douceur, Bois, Vibration, Etreinte, Energie, Mélodie, Femme, noir et blanc
Cette liste de mot a été influencée par le souvenir d'une photo en noir et blanc d'une femme étreignant son violoncelle
Phrase : Quelqu’un a dû entendre mes pensées. -> Elle a dû entendre mes pensées
Texte :
Elle a dû entendre mes pensées. Après une semaine d’un travail intense et stressant, j’aspirai à un repos, qui je pense, était bien mérité. Le retour en train fut éprouvant entre les retards et les correspondances serrées.
C’était donc éreinté et énervé que je m’engageais dans la rue où j’habitais. C’est alors que je l’entendis, d’abord une impression, puis se muant en une réalité au plus j’avançais sur le trottoir, une mélodie descendant la rue et déposant sur moi toute sa douceur. Sa musique vibrante d’émotion charnelle effaça instantanément tous mes tracas, elle me nettoya de mes énergies négatives pour me charger d’allégresse et de joie de vivre. Je me précipitai, guidé par le notes noires et blanches qui s’échappaient d’une fenêtre en rez-de-chaussée. Je m’accoudais à la rambarde, hypnotisé. Une femme jouait du violoncelle. Sans penser aux conséquences, j’escaladais et entrais. Comme si tout ceci était normal, tout en m’approchant, la femme et moi plongèrent nos yeux dans nos yeux, Je ne la connaissais pas, mais je l’aimais, je l’étreignis et lorsque mes mains touchèrent le bois de son instrument, que mon corps s’harmonisa aux vibrations des cordes, nous nous perdîmes ensemble dans un mode où plus rien n’existe, où seules demeurent les sensations et les sentiments.
Elle m’avait donné ce dont j’avais besoin au moment où j’en avais le plus besoin, elle avait dû entendre mes pensées.
THÈME : rêve
Mots: réverbère, lucioles, anges, sommeil, fleurs, joie, Amour, gaité, cerveau, auréole
PHRASE : quelqu'un aurait dû entendre mes pensées!
De mes 'joies' et peines,elle m'a évincé!
'D'amour' elle m'a exclu des maux sociaux.
Alors que je ne suis qu'un bébé, je vois tout ce qui se passe. Je ne peux parler, je ne peux m'exprimer, je ne fais qu'observer. Je ne peux faire connaître ma présence qu'à travers le support artistique de mes cries et pleurs.
Quand l'autre femme plus jeune partais pour le travail, je le savais car c'est en ce moment que je profitais de sa douceur. D'une 'gaité' inverterée elle s'appliquait.
Elle voyait en moi un 'ange' et, moi je l'a voyait avec son 'auréole' dont j'étais seul a voir d'ailleurs. Azrael l'a suivait partout dans la cour et me fesai souvent de petits clins d'œil. Mes yeux brillaient tel un attroupement de 'Luciole' dans un cocon de verre..
C'est la bravoure de cette vielle qui m'a rendu fort aujourd'hui. Dans mon 'sommeil' je l'a voyait rester à mon chevet. J'ai rêver aussi voir Azrael l'amener lui tenant la main. A mes réveils, mon 'cerveau' tout entier refletais de la compassion a travers mes yeux de 'réverbère'.
Quelq'un aurait dû entendre mes pensées.
Cette nuit j'ai fais un rêve, ce matin suis allé déposer quelques 'fleurs' sur la tombe de la grand-mère !
Un grand merci pour cette histoire onirique. Les "yeux de réverbère", c'est très beau !
Le mot choisi est rêve et les 10 mots sont : nuit, paisible, lune, forêt, vent, blanc, souvenir, image, espace, lent.
Comme tous les lundis à 16 h 42 Madame Reine retourne le sablier qui se trouve dans l'entrée. Est-ce un rêve ou la réalité ? difficile de le dire. C'est par une nuit paisible que tout cela a commencé, une nuit de pleine lune ou elle avait eu envie de se promener dans la forêt qui jouxte le jardin de sa maison. Un petit portillon en bois orné de ferrures finement travaillées lui permettait d'accéder à la majestueuse forêt. Elle était tellement heureuse de vivre dans cette petite maison en pierres digne d'un conte de fées et héritée de sa grand-mère maternelle, dans laquelle elle venait chaque été passer les vacances scolaires. Cette nuit là, elle se remémorait les souvenirs de son enfance. Des images lui parvenaient, certaines très nettes, et d'autres plus nébuleuses, comme entourées d'un halo de lumière blanche et flottant dans l'espace autour d'elle. Le vent semblait vouloir lui parler, elle l'entendait frémir et susurrer quelque chose d'inaudible à l'oreille...
Merci Joelle, et bravo ! J'aime beaucoup ce début d'histoire 💕
Rêve , amour , desir , passion , colère , trahison
J'imagine une vie d' amour dans les bras de mon âme soeur , celui qui m'acceptera telle que je suis .
Ce rêve me fait rire , me remplit de desir
Quelqu’un a dû entendre mes pensées. Mon esprit a vogué, et dans ce silence, j’eu l’impression que ce fut audible.
Elle se recoiffa, puis laissa glisser ses mains sur son pantalon de velours.
Le tissu roula légèrement sous ses doigts, comme des petits bourrelets. Je remarquais sa brillance.
C’était l’hiver, le salon de thé était à moitié rempli. Les fenêtres légèrement embuées, par endroits, nous permettait de noter la différence de chaleur entre l’intérieur et l’extérieur.
La douceur de ce moment était palpable. On n’entendait aucun bruit, si ce n’est le léger tintement des tasses sur les coupelles.
Elle portait une veste « couture » très chic, je me demandais d’où elle venait et où elle allait avec des vêtements d’une telle qualité.
Merci pour ce fragment d'histoire, voici déjà une belle et vraie atmosphère...
Merci Claire pour vos vidéos tellement intéressants qui nous aident à démarrer. Thème: Désert Mots spontanés: sable, soleil, vent, brûlure, vide, dunes, oasis, sec, chameau, eau.
Comme tous les lundis à 16h42, Marie-Reine retourne le sablier qui se trouve dans l'entrée du vestibule de son appartement du centre-ville. C'est un minuscule sablier mais il lui rappelle plein de souvenirs de son périple dans le désert du Sahara. Et, à chaque fois qu'elle retourne son sablier, un souvenir différent afflue à l'esprit de Marie-Reine. Ce soir, après une promenade dans les rues enneigées de la ville, elle sent sur son visage la brûlure du vent, elle voit le soleil se coucher au-delà des dunes de sable roux. Son chameau la porte vers l'oasis tant espéré. Sa gourde est à sec. Elle scrute le vide devant elle et croit distinguer au loin un campement entouré de fiers palmiers. Aussitôt arrivée, elle se précipite au puits afin de s'y désaltérer de son eau fraîche.
Merci à vous Johanne pour vos retours, c'est un grand plaisir de vous lire. Quel bonheur ce matin de partir un peu dans le désert aux côtés de Marie-Reine !
style bref et concis, je me suis délecté
THEME : VELOURS
Mes mots :
DOUCEUR,
PANTALON, AMOUR, DETOUR, REGARD, ROUGE,CALINS,PAS, GANT,MAINS.
Quelqu’un doit entendre mes pensées. C’est insensé, depuis plusieurs jours, j’ai la désagréable sensation qu’on entre dans ma tête. Qu’on anticipe mes actions, qu’on scrute mes sentiments, que quelqu’un se retrouve partout sur mon chemin.
Qui est-ce ? D’où vient ce quelqu’un ? Que veut-il ?
Ce matin, tandis que je prenais soin de mes orchidées Vanda et de leurs magnifiques fleurs d’un velours rouge et soyeux, il m’a semblé entrevoir une forme fureter à pas de loup, derrière le cabanon du jardin. Une petite silhouette aux contours mal définis, plutôt fluette et impossible à identifier, m’est apparue. Alors que je l’épiais, elle a filé furtivement. Au détour du bassin aux nénuphars, elle s’est figée. Avec une infinie douceur, elle a capturé un nymphéa violet dans ses mains gantées de velours de soie noire.
En voyant cette mystérieuse créature s’éloigner, j’ai remarqué qu’elle était affublée d’un curieux pantalon en velours côtelé vert bouteille. Ce genre d’attribut, on ne peut plus désuet, ne se porte plus du tout aujourd’hui ! D’où peut bien sortir ce personnage ? De mon imagination ? Du monde réel ou fantastique ?
J’ai tenté sans succès de capter son regard. Je n’ai même pas pu déterminer s’il s’agissait d’un homme ou bien d’une femme. Sa taille et sa stature toute menue me font penser qu’il pourrait peut-être même s’agir d’un enfant ou d’un adolescent.
L’esprit embrouillé et gagné par la torpeur, je me réfugie dans le fauteuil en rotin qui me tend les bras, sur la terrasse devant la serre. Je me love dans un plaid, rouge comme l’amour, qui semble m’attendre. Apollon, le chat de la maison, à l’affut derrière une imposante jardinière d’hortensias bleus, s’invite alors sur mes genoux. Machinalement, j’entreprends de caresser sa douce fourrure de veloutine grise. Il a l’air d’apprécier les copieux câlins dont je l’honore. Son ronronnement me berce et m’invite à la réflexion, voire à l’introspection.
J’ai besoin de comprendre. Je tente donc de faire le point sur les anecdotes qui se sont produites, depuis le début de la semaine. J’ai eu l’impression, aux moments les plus anodins, de ressentir une présence, mais aussi parfois, de voir surgir mirage, hallucination ou fantôme. Je me suis sentie investie, voire colonisée, par une entité envahissante mais non agressive. Plutôt bienveillante, elle m’a apporté beaucoup de douceur. Depuis, j’ai comme l’impression d’être enveloppée d’une matière velouteuse et délicate. Je me sens observée mais aussi protégée, ensorcelée autant qu’éclairée, un peu perdue mais étonnamment en sécurité. Instinctivement, je cherche et rassemble autour de moi, tous mes accessoires et objets velouteux chargés de particules bienfaitrices à même de m’apaiser.
Je pense avoir créé de toute pièce cet être fantomatique et éthéré.
Pourquoi ? J’en ressentais sans doute cruellement le besoin, à un moment charnière de mon existence. Je change de vie, très bientôt : déménagement, emploi, environnement amical … C’est un peu compliqué à négocier.
Comment ? Mon moi intérieur, la corde sur laquelle je vibre, a résonné pour que mon corps et mon esprit transforment mes émotions en énergie positive.
Le bien-être que je ressens, maintenant, me prouve à quel point c’était nécessaire. Accompagné de mon petit farfadet, qui s’impose maintenant clairement comme entièrement vêtu de velours orangé, je me sens prête pour avancer vers demain. Merci à toi petit mon compagnon de velours.
Merci à toi Evelyne et merci aussi à ton malicieux et tendre compagnon de velours, quelle belle histoire !
A mon avis, il s'agit plutôt de psychothérapie que d'ateliers d'écriture proprement dits. Le but est de vous faire "oser" écrire et publier quelque chose, pas d'écrire quelque chose de bon ni de découvrir votre propre style, ni surtout de vous corriger (horreur !) ou même de vous améliorer. A ce sujet, j'ai été frappé de remarquer qu'au travers des nombreuses propositions revenues, c'était en général plus ou moins toujours le même style qui se dégageait (et qui a peu d'intérêt à mon avis). Pourtant les propositions initiales ne semblent pas mauvaises, (pourquoi pas en effet), et les incipit proposés sont suffisamment neutres (sauf peut-être les deux derniers) pour autoriser n'importe quel style. Je pense que les auteurs, même ceux qui semblent le réclamer, ne souhaitent pas réellement qu'on donne son avis personnel sur leur texte, sinon l'inévitable "oh là là que c'est beau" de rigueur (toute critique argumentée serait considérée comme une attaque personnelle - et même si on comprend bien que l'organisatrice n'a pas le temps ni l'envie de commenter en détail tous les retours). Donc, si c'est pour vous aider à vous lancer, OK. Au-delà, je serais nettement plus mitigé. Il faudrait vraiment désacraliser l'écriture, d'une part, et apprendre à laisser son ego au vestiaire, d'autre part. Mais là, c'est pas gagné...
C'est trés intèressant
Merci beaucoup et très belle journée !
Bravo
Merci !
theme: violoncelle
La silhouette est imprécise, mais il la reconnait. Cela ne vient pas de la scéne toute illuminée, mais de sa myopie. Il n'empêche qu'il admire l'artiste quu'elle est devenue. Son violoncelle une prolongation d'elle-même. L'archet s'envole tel un battement d'aile d'un oiseau et vient effleurer précisément ces notes qui me transportant dans un mode paralléle. Un monde qu'elle m'a reusé, u monde où je n'aurai pas ma place, un monde qui m'est interdit. Un monde qui ne sied pas à un berger.
Et pourtant, commet pouvait elle effacer ces huit jours de folie, de promenades, de baignades, de nuits délicieuses. Mais elle l'a fait. Son art avant tout.
Merci beaucoup pour cette scène qui se dessine toute en finesse 😊
Quelqu'un a dû entendre mon appel.
Dans cet environnement sauvage et inquiétant, je cherche ma route parmi cette immensité sablonneuse. Parfois, un acacia croise mon chemin. Comment a-t-il pu pousser à cet endroit, loin de tout, seul, isolé sous ce soleil de plomb qui m'assoiffe de plus en plus ?
Je cherche un point d'eau où j'espère retrouver mes congénères. Mais tomber sur un tel endroit dans la savane relève du miracle en cette saison...
J'erre seul dans cette partie de l'Afrique depuis maintenant trop longtemps et, même si je semble impressionnant de part ma stature, mes forces me lâchent de jour en jour, ma puissance n'est plus que feu de paille et je vais bientôt m'effondrer, non par manque d'eau ou de nourriture, mais à cause de l'isolement que je subis depuis que des braconniers nous ont traqués et attaqués.
J'ai réussi à échapper à leurs fusils mais je ne sais combien des miens sont tombés sous leurs balles et ont été mutilés.
J'erre seul dans cette immensité à la recherche des miens ; la poussière brûlante entre dans mes yeux et brûle ma cornée. J'avance sans rien voir, le ventre vide, le cœur serré, le corps desséché, ne faisant confiance qu'à mon instinct pour guide.
La chaleur accablante m'étourdit, je titube, je me sens vaciller. Se peut-il que ma vie s'arrête là, au milieu de nulle part ?
Dans un dernier sursaut je barris et j'entends plus au loin ces sons si familiers qui me donnent la force d'avancer. Ils me guident. J'avance malgré le vent des sables vers ceux qui vont me sauver.
Merci pour votre vidéo. Voici le 1er texte que j'écris grâce à vous.
@@claudiamonures Bonjour Claudia ! Un grand merci à vous pour ce superbe texte, si fort et touchant. Je suis ravie que cet atelier vous l'ait inspiré et vous remercie pour votre partage 🌟
@@ateliersdecriturelunedeplume Bonjour,.merci beaucoup pour votre commentaire qui m'encourage à continuer. Belle journée à vous.
vous m'avez fait voyager, merci pour cette pensée à l'endroit de mon continent
Wahou
J'ai adoré faire cet exercice ! Voici ce que j'ai imaginé (je vous laisse deviner le thème 😊) : "Cela fait des mois qu’il pleut. Enfermé chez lui, derrière sa fenêtre, Bertrand contemple le rideau d’eau qui s’abat derrière la vitre. Les arbres sont devenus presque transparents, au loin, comme des ectoplasmes tristes et englués de pluie. Dans la pièce, qui sent le vieux papier et le vieux garçon, une petite musique pénètre doucement ses tympans. Certainement le voisin qui a mis un disque pour accompagner sa déprime.
Qu’est-ce ? Quel instrument ? quel compositeur ? Bertrand se concentre pour reconnaître les sons qui arrivent à lui en sourdine, comme au travers d’une couche d’ouate.
Il lui semble reconnaître une flûte. Et cette voix ? Bertrand fronce les sourcils, plisse les yeux et, ah ! c’est du violon. Non, du violoncelle !
C’est alors que son esprit s’envole. Comme un oiseau qui serait passé au-dessus des nuages, ses souvenirs reviennent en cette mille et unième journée gris terne. Son cœur devient bleu, bleu comme l’azur ! bleu, comme les yeux de Faustine.
Ah Faustine ! Faustine ! L’a-t-il aimé cette fille quand il chantait dans les chœurs de Radio France, à sa belle époque. Faustine et son violoncelle, l’archer qui virevolte sur les cordes de l’instrument bien calé entre ses cuisses. Il s’avoue qu’il aurait ardemment désiré être le bois du luth quand elle jouait, les yeux fermés de béatitude, parcourant les touches de ses doigts fins et précis, la volute tout contre son épaule, si près de son cou.
Le violoncelle de Faustine, sa voix de sirène qui l’a ensorcelé et l’a noyé dans ses regrets. Il n’a jamais osé. Même pas un café au bar des musiciens après un concert réussi, rien ! ça aurait pourtant dû être facile. Quel idiot vraiment !
Le violoncelle langoureux de la trop belle Faustine lui tord les souvenirs comme sa mauvaise vodka lui tord les boyaux. Alors, comme un pauvre vieux garçon emprisonné dans sa tour de pluie et d’amertume, Bertrand s’évade, tout seul, dans son passé, au son à peine audible du violoncelle de Faustine."
Je pense avoir deviné 😉 merci pour le partage de ce beau récit, c'est déjà toute une histoire qui se dessine !
Je trouve que ça démarrait pas mal, notamment la phrase "Les arbres sont devenus presque transparents, au loin, comme des ectoplasmes tristes et englués de pluie." (la dernière aussi), mais après ça redevient plus conventionnel. Au moins il n'y a pas de grossières fautes de français... Bon, j'arrête là, je pense que commenter en détail ne serait pas vraiment utile dans ce cadre.
le mot choisi est: Reve
c était un jour particulier,habituellement peuplée ,notre maison est vide.je contemple les tableaux accroches aux murs du salon,avec un sentiment de les voir pour la première fois.ne serait ce la lumière transperceant
suite du texte
les rideaux qui transforma la couleur chaude,harmonieuse du grand tableau du salon en un tableau terne,sans ame.
mais ou sont ils partis? en voyage organise?
dans ce cas,mon projet est tombe a l eau.j esperai planifier un voyage avec toute la famille durant la saison estivale.
mon projet consiste a finaliser mon roman ,tenter.de réussir rapidement son édition et annoncer cet événement a ma famille lors de notre voyage.est ce que mon projet est mis en échec ?
une sensation étrange ébranla tout mon être,a cet instant,j entend une voix douce m appeler :réveilles toi ma fille ,tu vas être en retard pour ton lycée !
ce n était qu' un rêve...
les mots choisis :
Rêve , espoir ,aspiration ,projet ,
famille ,réussite ,voyage ,
amie , saison, avenir ,événement.
@@zohralouali9393 Merci beaucoup Zohra pour ce début d'histoire rêveuse, et bonne continuation dans l'écriture 😊
J'ai vraiment beaucoup aimé les mots et les phrases proposées. Merci à vous ! (2 extraits, un peu longs, désolée, mais c'est difficile de séquencer 'sa prose' 😄😃) :
".... Lors d’une escale à La Havane, Le Capitaine au long cours déambulait nonchalamment dans les ruelles écrasées de chaleur de la ville. Soudain il entendit des notes de musique et des sons totalement inconnus de lui. Il s’approcha, ému de l’harmonie qui régnait à ce moment précis. Les murs lézardés des immeubles alentour disparurent, comme par enchantement, pour la laisser apparaître. Et ELLE apparut. A présent il ne voyait plus qu’ELLE et son violoncelle… et leurs courbes, celles de l’instrument de musique… et celles de la musicienne.
...Mais l’esprit de Mme Reine y revient encore chaque lundi, pour retourner le sablier à 16h42 dans l’entrée. La seule distraction de la semaine de son vivant… la seule pièce qu’elle était autorisée à traverser une seule fois par semaine, lui laissant espérer une fuite possible. Et ainsi elle serait redevenue la « Señora Reina » ! Si seulement elle était parvenue à franchir le seuil de cette maudite entrée ! Le cours de sa vie, sans son capitaine de mari, aurait emprunté une voie bien différente…"
Merci beaucoup Lucia pour vos retours ! Et surtout pour ces 2 extraits qui donnent à la fois très envie de connaître toute l'histoire et à la fois permettent aux imaginaires de s'envoler ! Belle journée à vous 🌛
@@ateliersdecriturelunedeplume merci... A vous aussi, belle journée.
J' imagine une vie d' amour Dan's les bras de mon âme soeur , celui qui me comprendra et m' acceptera avec mes defauts . Ce rêve me faisait vivre qune partie de ma vie
Rêve ; objectif, amour, pitié,haine, voyage, découvrir sansible
Se réveiller un matin ,se préparer avec seule objectif en tête que la journée soit agréable. Mais les aléas de la vie nous exigent à être prudent et à vivre avec méfiance. On a presque toujours un poids a porter que même la méditation n'arrive pas à nous aider à se débarrasser de tout la haine qui veut nous aveugler
Mais par pitié mon Dieu délibère nous de tous ses maux qui nous tracassent et qui nous empêchent de découvrir la splendeur de la nature. L'amour que nous porte les branches d'arbres à travers le vent qui souffle et qui voyage pour venir caresser nos beaux visages. Aussi sansible que soit mon doux rêve
Merci beaucoup pour ce doux rêve sensible et très belle journée !
votre touche d'écriture est bien poétique, j'adore
@@voumandongalagaetan4849 merci
@@erbinefrancois790 En éprouvant vos émotions, vous les acceptez et à travers votre poésie, vous nous livrez une belle leçon de méditation! Merci de nous avoir préparé une belle journée.
Soif
Chameau
Espace
Etoiles
Eilat
Civilisation
Bedouin
Chapeau
Femme
Voiture
Elle avait l air mysterieuse mais je l'ai reconnue .on etait en route pour eilat quand survint cet incident qui allait chambouler pas mal de choses.Notre autobus avait percute un chameau sur cette route infinissable .ce chameau faisait parti des excursions organisee par l' un des grands hotels de la mer morte et la femme avait ete projetee àu sol. Je descendit du bus pour porter secours et je vois par terre cette femme soudain je m exclama! C elle .. je ne l ai pas rencontree depuis l eçole ,ou nous etions il y a 5 ans encore.
Elle etait allonge avec son grand chale noire..je pousssais un cri! Virginiiiie c est pas possible.ce n est pas toi … ici..
une voiture de secours style jeep arrivait deja soulevant une montagne de poussiere.
En dehors de toute civilisation nous voilames sous un ciel plein d etoiles 10 ans apres nous etre separe elle et moi ,et nous voila a nouveau a s echanger des regards et des sourires ,tout ca grace a un mince incident.
Tu as soif lui demanda je ?oui oui me dit elle ..je sortis de dessous mon chapeau de bedouin une bouteille que je joignis a ses levres.
Dans cet espace irreel nous nous permires de partir dans nos reves les plus fous .
Merci beaucoup pour le partage de cette histoire de désert et de retrouvailles ☺
Zohra ouvrit les yeux, la vieille Moulkheir était en train de lui parler. "Regarde ma fille, ce jardin est pour toi et ces trois arbustes sont ta recoltes. Je sais ils sont encore petits mais ils grandiront et te donneront une belle récolté. Grâce à eux tu n'auras plus ni faim ni soif.
Son cerveau émergeait du sommeil. Elle se souvint que Moulkheir, sa belle mère était morte depuis deux mois et que cela faisait moins d'un mois qu'elle était ici dans ce pays si bizarre. Elle narrivait pas à s'habituer au froid. Elle avait laissé le ciel bleu sans un nuage de son pays pour venir ici dans le nord de la France où il faisait toujours froid, où le ciel était toujours gris...
Elle alla à la fenêtre, regarda dehors et fut choquée. Tout était blanc. Elle ne compris pas. Elle courru reveller son mari Sliman qui dormait encore. Réveille toi, reveille toi, je ne sais pas ce qu'il se passe, je ne sais pas qui s'est amusé a renverser du sucre dehors.
Sliman se leva, alla à la fenêtre "ce n'est que le givre"
"Le givre ? Quel pays bizarre, elle ne s'y habituerait jamais"
Merci beaucoup pour cette histoire, petit fragment de vie qui peut rester ainsi ou si vous en avez envie servir de support à une histoire plus longue...
@@ateliersdecriturelunedeplume
C'est une histoire vraie, celle de ma grand-mère, celle de ma famille, j'aimerai la raconter mais c'est très difficile de faire vivre des personnages sans qu'ils soient des personnages de papier. Donc je ne sais par où commencer.
@@saidaelballi7038 Ce que vous avez écrit ici peut être un début ou faire partie de l'histoire. Vous pouvez peut-être aussi faire les autres ateliers proposés ici en les ramenant à votre récit (je ne sais pas si ça marcherait avec tous)...ou encore trouver une personne qui puisse vous accompagner dans votre travail d'écriture ! Bonne continuation dans ce beau projet !
…. Merci
Merci Vladimir !