اشتقتلكن - الأب فادي تابت - اشتقتلكن

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  • Опубликовано: 27 окт 2024

Комментарии • 12

  • @YousifSbeit
    @YousifSbeit Месяц назад

    ابونا الله يعطيك الصحه والعافيه ويزيدك نعمه وبركه. انا اتابعك باستمرار من كندا واتلذذ بسماع نصائحك

  • @adelemsallem3487
    @adelemsallem3487 Год назад

    الله يرحم كل اهل ويطول بعمر الموجودين

  • @montahaelias1518
    @montahaelias1518 Год назад

    كل ما اسمعها ابكي

  • @maersh798
    @maersh798 Год назад

    الله يرحمهم الله يحميك ويحفظك يارب ابو نا فادي

  • @Amiramoushi
    @Amiramoushi Год назад

    الله يرحمهم والعمر الك ياابونا الغالي 🙏🙏🙏

  • @rarepearl4160
    @rarepearl4160 11 месяцев назад

    بابا 😭😭😭 يا بابا 😢

  • @helendawood8868
    @helendawood8868 4 года назад

    الله يرحم الميتين ويطول عمر العايشين يارب

  • @goodman5217
    @goodman5217 3 года назад

    ‏الله ‏يرحمهم

  • @ignaceignace4242
    @ignaceignace4242 2 года назад

    Oui, en effet, Nos défunts ne sont pas morts...Ils sont plus Vivants que nous; ayant dépassés notre étroitesse et finitude pour être dores et déjà unis et soudés au Sein de l'Éternel...Ainsi soit-il, Amen 🙏🏻🙏🏻🙏🏻
    "Le Fou du Christ"
    Je prie 🙏🏻...donc je vis...
    sur la Terre Sainte du Liban 🇱🇧 Éternel...
    avec la Grâce du Dieu Tout-puissant d'Amour ❤️❤️❤️...Amen 🙏🏻🙏🏻🙏🏻
    Pensée pour ceux qui nous ont précédés à la Vraie Vie...
    Du moins si leur voix si pure
    est trop vague pour nos sens,
    Leur âme en secret murmure
    de plus intimes accents;
    au fond des cœurs qui sommeillent,
    leurs souvenirs qui s’éveillent
    se pressent de tous côtés,
    comme d’arides feuillages
    que rapportent les orages
    au tronc qui les a portés!
    L’enfant dont la mort cruelle
    vient de vider le berceau,
    qui tomba de la mamelle
    au lit glacé du tombeau;
    tous ceux enfin dont la vie
    un jour ou l’autre ravie,
    emporte une part de nous,
    murmurent sous la poussière:
    ‘‘Vous qui voyez la lumière,
    vous souvenez-vous de nous ?’’
    Ah ! Vous pleurer est le bonheur suprême,
    mânes chéris de quiconque a des pleurs!
    Vous oublier c’est s’oublier soi-même:
    N’êtes-vous pas un débris de nos cœurs ?
    En avançant dans notre obscur voyage,
    du doux passé l’horizon est plus beau,
    en deux moitiés notre âme se partage,
    et la meilleure appartient au tombeau!
    Dieu du pardon! Leur Dieu! Dieu de leurs pères!
    Toi que leur bouche a si souvent nommé!
    Entends pour eux les larmes de leurs frères!
    Prions pour eux, nous qu’ils ont tant aimé!
    Mais, s’ils parlaient à l’ami qui les pleure,
    s’ils nous disaient comment ils sont heureux,
    de tes desseins nous devancerions l’heure,
    avant ton jour nous volerions vers eux.
    Où vivent-ils ? Quel astre à leur paupière
    répand un jour plus durable et plus doux?
    Vont-ils peupler ces îles de lumière?
    Ou planent-ils entre le ciel et nous?
    Ah ! Dans ton sein que leur âme se noie!
    Mais garde-nous nos places dans leur cœur;
    eux qui jadis ont goûté notre joie,
    pouvons-nous être heureux sans leur bonheur?
    Ils furent ce que nous sommes,
    poussière, jouet du vent!
    Fragiles comme les hommes,
    faibles comme le néant!
    Si leurs pieds souvent glissèrent,
    si leurs lèvres transgressèrent
    quelque lettre de Ta Loi,
    O Père, ô Juge suprême!
    Ah! Ne les vois pas eux-même,
    ne regarde en eux que Toi !
    Mais Toi, Seigneur, Tu possèdes
    Ta propre Immortalité!
    Tout le bonheur que Tu cèdes
    Accroît Ta Félicité!
    Tu dis au soleil d’éclore,
    et le jour ruisselle encore…
    Tu dis au temps d’enfanter,
    et l’éternité docile,
    jetant les siècles par mille,
    les répand sans les compter !
    Les mondes que Tu répares
    devant Toi vont rajeunir,
    Et jamais Tu ne sépares
    le passé de l’avenir;
    Tu vis…Et tu vis…Les âges,
    inégaux pour Tes ouvrages,
    sont tous égaux sous Ta main;
    et jamais Ta voix ne nomme,
    Hélas ! Ces trois mots de l’homme:
    Hier, aujourd’hui, demain !
    O Père de la nature,
    Source, abîme de tout bien,
    rien à Toi ne se mesure,
    Ah! Ne te mesure à rien!
    Mets, ô Divine Clémence,
    mets Ton Poids dans la balance,
    si tu pèses le néant!
    Triomphe ô Vertu Suprême!
    En Te contemplant Toi-même,
    triomphe en nous pardonnant !

    Alphonse De Lamartine
    Présenté par "Le Fou du Christ"
    Je prie 🙏🏻…donc je vis…
    sur La Terre Sainte du Liban 🇱🇧 Eternel...
    avec La Grâce du Dieu Tout-Puissant d'Amour ❤❤❤...Amen 🙏🏻🙏🏻🙏🏻

  • @normayacoub1410
    @normayacoub1410 Год назад

    😢

  • @toptell9766
    @toptell9766 5 лет назад

    الله يرحمهم ،اكيد هنن مع المسيح والعذراء نيالهن

  • @hnaatourani5598
    @hnaatourani5598 4 года назад

    🙏🏼🙏🏼❤❤🌷🌷