Oui, en effet, Nos défunts ne sont pas morts...Ils sont plus Vivants que nous; ayant dépassés notre étroitesse et finitude pour être dores et déjà unis et soudés au Sein de l'Éternel...Ainsi soit-il, Amen 🙏🏻🙏🏻🙏🏻 "Le Fou du Christ" Je prie 🙏🏻...donc je vis... sur la Terre Sainte du Liban 🇱🇧 Éternel... avec la Grâce du Dieu Tout-puissant d'Amour ❤️❤️❤️...Amen 🙏🏻🙏🏻🙏🏻 Pensée pour ceux qui nous ont précédés à la Vraie Vie... Du moins si leur voix si pure est trop vague pour nos sens, Leur âme en secret murmure de plus intimes accents; au fond des cœurs qui sommeillent, leurs souvenirs qui s’éveillent se pressent de tous côtés, comme d’arides feuillages que rapportent les orages au tronc qui les a portés! L’enfant dont la mort cruelle vient de vider le berceau, qui tomba de la mamelle au lit glacé du tombeau; tous ceux enfin dont la vie un jour ou l’autre ravie, emporte une part de nous, murmurent sous la poussière: ‘‘Vous qui voyez la lumière, vous souvenez-vous de nous ?’’ Ah ! Vous pleurer est le bonheur suprême, mânes chéris de quiconque a des pleurs! Vous oublier c’est s’oublier soi-même: N’êtes-vous pas un débris de nos cœurs ? En avançant dans notre obscur voyage, du doux passé l’horizon est plus beau, en deux moitiés notre âme se partage, et la meilleure appartient au tombeau! Dieu du pardon! Leur Dieu! Dieu de leurs pères! Toi que leur bouche a si souvent nommé! Entends pour eux les larmes de leurs frères! Prions pour eux, nous qu’ils ont tant aimé! Mais, s’ils parlaient à l’ami qui les pleure, s’ils nous disaient comment ils sont heureux, de tes desseins nous devancerions l’heure, avant ton jour nous volerions vers eux. Où vivent-ils ? Quel astre à leur paupière répand un jour plus durable et plus doux? Vont-ils peupler ces îles de lumière? Ou planent-ils entre le ciel et nous? Ah ! Dans ton sein que leur âme se noie! Mais garde-nous nos places dans leur cœur; eux qui jadis ont goûté notre joie, pouvons-nous être heureux sans leur bonheur? Ils furent ce que nous sommes, poussière, jouet du vent! Fragiles comme les hommes, faibles comme le néant! Si leurs pieds souvent glissèrent, si leurs lèvres transgressèrent quelque lettre de Ta Loi, O Père, ô Juge suprême! Ah! Ne les vois pas eux-même, ne regarde en eux que Toi ! Mais Toi, Seigneur, Tu possèdes Ta propre Immortalité! Tout le bonheur que Tu cèdes Accroît Ta Félicité! Tu dis au soleil d’éclore, et le jour ruisselle encore… Tu dis au temps d’enfanter, et l’éternité docile, jetant les siècles par mille, les répand sans les compter ! Les mondes que Tu répares devant Toi vont rajeunir, Et jamais Tu ne sépares le passé de l’avenir; Tu vis…Et tu vis…Les âges, inégaux pour Tes ouvrages, sont tous égaux sous Ta main; et jamais Ta voix ne nomme, Hélas ! Ces trois mots de l’homme: Hier, aujourd’hui, demain ! O Père de la nature, Source, abîme de tout bien, rien à Toi ne se mesure, Ah! Ne te mesure à rien! Mets, ô Divine Clémence, mets Ton Poids dans la balance, si tu pèses le néant! Triomphe ô Vertu Suprême! En Te contemplant Toi-même, triomphe en nous pardonnant !
Alphonse De Lamartine Présenté par "Le Fou du Christ" Je prie 🙏🏻…donc je vis… sur La Terre Sainte du Liban 🇱🇧 Eternel... avec La Grâce du Dieu Tout-Puissant d'Amour ❤❤❤...Amen 🙏🏻🙏🏻🙏🏻
ابونا الله يعطيك الصحه والعافيه ويزيدك نعمه وبركه. انا اتابعك باستمرار من كندا واتلذذ بسماع نصائحك
الله يرحم كل اهل ويطول بعمر الموجودين
كل ما اسمعها ابكي
الله يرحمهم الله يحميك ويحفظك يارب ابو نا فادي
الله يرحمهم والعمر الك ياابونا الغالي 🙏🙏🙏
بابا 😭😭😭 يا بابا 😢
الله يرحم الميتين ويطول عمر العايشين يارب
الله يرحمهم
Oui, en effet, Nos défunts ne sont pas morts...Ils sont plus Vivants que nous; ayant dépassés notre étroitesse et finitude pour être dores et déjà unis et soudés au Sein de l'Éternel...Ainsi soit-il, Amen 🙏🏻🙏🏻🙏🏻
"Le Fou du Christ"
Je prie 🙏🏻...donc je vis...
sur la Terre Sainte du Liban 🇱🇧 Éternel...
avec la Grâce du Dieu Tout-puissant d'Amour ❤️❤️❤️...Amen 🙏🏻🙏🏻🙏🏻
Pensée pour ceux qui nous ont précédés à la Vraie Vie...
Du moins si leur voix si pure
est trop vague pour nos sens,
Leur âme en secret murmure
de plus intimes accents;
au fond des cœurs qui sommeillent,
leurs souvenirs qui s’éveillent
se pressent de tous côtés,
comme d’arides feuillages
que rapportent les orages
au tronc qui les a portés!
L’enfant dont la mort cruelle
vient de vider le berceau,
qui tomba de la mamelle
au lit glacé du tombeau;
tous ceux enfin dont la vie
un jour ou l’autre ravie,
emporte une part de nous,
murmurent sous la poussière:
‘‘Vous qui voyez la lumière,
vous souvenez-vous de nous ?’’
Ah ! Vous pleurer est le bonheur suprême,
mânes chéris de quiconque a des pleurs!
Vous oublier c’est s’oublier soi-même:
N’êtes-vous pas un débris de nos cœurs ?
En avançant dans notre obscur voyage,
du doux passé l’horizon est plus beau,
en deux moitiés notre âme se partage,
et la meilleure appartient au tombeau!
Dieu du pardon! Leur Dieu! Dieu de leurs pères!
Toi que leur bouche a si souvent nommé!
Entends pour eux les larmes de leurs frères!
Prions pour eux, nous qu’ils ont tant aimé!
Mais, s’ils parlaient à l’ami qui les pleure,
s’ils nous disaient comment ils sont heureux,
de tes desseins nous devancerions l’heure,
avant ton jour nous volerions vers eux.
Où vivent-ils ? Quel astre à leur paupière
répand un jour plus durable et plus doux?
Vont-ils peupler ces îles de lumière?
Ou planent-ils entre le ciel et nous?
Ah ! Dans ton sein que leur âme se noie!
Mais garde-nous nos places dans leur cœur;
eux qui jadis ont goûté notre joie,
pouvons-nous être heureux sans leur bonheur?
Ils furent ce que nous sommes,
poussière, jouet du vent!
Fragiles comme les hommes,
faibles comme le néant!
Si leurs pieds souvent glissèrent,
si leurs lèvres transgressèrent
quelque lettre de Ta Loi,
O Père, ô Juge suprême!
Ah! Ne les vois pas eux-même,
ne regarde en eux que Toi !
Mais Toi, Seigneur, Tu possèdes
Ta propre Immortalité!
Tout le bonheur que Tu cèdes
Accroît Ta Félicité!
Tu dis au soleil d’éclore,
et le jour ruisselle encore…
Tu dis au temps d’enfanter,
et l’éternité docile,
jetant les siècles par mille,
les répand sans les compter !
Les mondes que Tu répares
devant Toi vont rajeunir,
Et jamais Tu ne sépares
le passé de l’avenir;
Tu vis…Et tu vis…Les âges,
inégaux pour Tes ouvrages,
sont tous égaux sous Ta main;
et jamais Ta voix ne nomme,
Hélas ! Ces trois mots de l’homme:
Hier, aujourd’hui, demain !
O Père de la nature,
Source, abîme de tout bien,
rien à Toi ne se mesure,
Ah! Ne te mesure à rien!
Mets, ô Divine Clémence,
mets Ton Poids dans la balance,
si tu pèses le néant!
Triomphe ô Vertu Suprême!
En Te contemplant Toi-même,
triomphe en nous pardonnant !
Alphonse De Lamartine
Présenté par "Le Fou du Christ"
Je prie 🙏🏻…donc je vis…
sur La Terre Sainte du Liban 🇱🇧 Eternel...
avec La Grâce du Dieu Tout-Puissant d'Amour ❤❤❤...Amen 🙏🏻🙏🏻🙏🏻
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الله يرحمهم ،اكيد هنن مع المسيح والعذراء نيالهن
🙏🏼🙏🏼❤❤🌷🌷