Cet épisode est vraiment ultra ultra important ! En tant qu'homme qui se forme beaucoup sur la question, ça m'a pourtant rappelé les fois où je me suis forcé, ou plutôt où j'ai cru qu'il fallait que je me force, et où la fille respectait cela. Je ne pense pas que les garçons qui se forcent soient toujours dans la même situation que les femmes qui se forcent. On s'en veut plutôt de n'avoir su jouer un rôle attendu de celui qui a toujours envie, ou capable de bander sur commande. Merci encore pour tout ce travail et bravo !
Bonjour ! Merci pour cette excellente émission que j'ai partagé au moins 2 fois ! L'obligation d'avoir des relations sexuelles pour prouver que je suis une adulte, que je suis normale, rassurer mon entourage proche, j'y ai cédé quand j'avais 19 ans. Et j'en ai souffert ! C'était à la fin des années 80 ! Il a fallu que j'attende d'avoir 45 ans, pour enfin faire ce que j'avais réellement envie de faire depuis mes 17 ans : choisir le célibat comme mode de vie valable, parce que cela me convient ! Toutes les relations sexuelles ont toujours été décevantes, pour moi, tout simplement parce que je n'en n'avais pas envie ! Il y a très peu d'hommes avec qui j'ai envie de faire l'amour ! Et il n'est pas toujours possible d'avoir des relations sexuelles avec la personne désirée, quoi qu'on en dise ! Il y a comme une injonction + ou - apparente, à l'obligation de vivre en couple et d'avoir des relations sexuelles, presque d'une manière hygiénique ! Je connais des adultes qui n'en n'ont jamais eu et qui se portent bien mieux que la moyenne des gens ! Par contre, ils sont obligés de n'en rien dire ! Les jugements sont très désagréables ! Immaturité supposée, problèmes psychologiques... Bla ! Bla ! Bla ! Je suis toujours tentée de leur rétorquer : " Occupez-vous de vos fesses, moi et mes amis abstinents, nous gérons les nôtres, comme bon nous semble ! La liberté, c'est d'avoir réellement le choix de ne pas faire le même choix que tout le monde, non ?!" D'ailleurs, on peut très bien avoir une sexualité épanouie et satisfaisante, tout.e seul.e ! Avoir la possibilité de ne plus dépendre d'un.e partenaire, pour y arriver, c'est, me semble t-il, une preuve d'indépendance, d'autonomie, de débrouillardise et donc de maturité ! Et cela donne confiance en soi ! Il y a une véritable pression sociale, sociétale même, à laquelle je trouve légitime de résister ! Parce que, objectivement, entreprendre des relations hétérosexuelles, c'est risqué, pour ne pas dire dangereux ! Pour les femmes, c'est un peu comme "le loto de la mort" , quand on voit le nombre de féminicides, en France, par an ! Et les maladies vénériennes, ce n'est pas une utopie ! Tous les messieurs ne font pas des visites régulières chez un andrologue ! Même à 50 ans, pour surveiller la prostate et les risques de cancers génitaux... C'est une source d'inquiétudes sous-jacente, refoulée, mais belle et bien là ! A t-on tiré le bon numéro ? Celui de la vie douce et facile, en toute sécurité ? La communication masculine, c'est très problématique ! Ils sont mutiques, boudeurs... Ce sont des coffres forts !
Merci pour ce podcast. En effet il y a des hommes qui ne s’en rendent pas compte. Chantage.. surtout en couple ou on nous culpabilise si l’on ne veut pas de ne pas faire « notre devoir ». Et où limite il y a ce nuage de la tromperie qui plane dans le sens où si l’on a refusé ce sera de notre faute. Lorsque l’on fini par céder cela semble tout à fait normal et donne l’impression que l’on est d’accord alors que pas du tout. Prise de conscience il y a peu, très violente et dure à digérer. Il y a un gros travail à faire sur le sujet. Mais pour avoir côtoyer pas mal d’hommes en tant que amis , aucun n’auraient admis que leur « pote » puisse être un violeur.
Petite précision, je suis une femme. Quand j'étais enfant (~4ans) j'étais très câline. Je voulais faire des bisous et des calins à tout le monde. Et même ceux qui ne voulaient pas. Ma mère a commencé à m'expliquer que forcer qql1 à faire qql chose qu'il ne voulait pas c'était etre méchante (et plus tard, elle a employé le mot d'agression). Que je ne devais jamais forcer qql1 qui n'avait pas envie. Et toujours TOUJOURS m'arrêter immédiatement dès lors que la personne manifeste sa non-envie. Moi et mon petit frère par extension, avons grandi avec le "si qql1 dit non, c'est une agression." A ce jour la question du consentement ne s'est jamais posé ni avec moi, ni avec mon frère (qui n'a jamais cédé à la pression viriliste. Il a tjr assumé d'être puceau et de ne pas avoir eu de copine. Il aime raconter que sa première fois ce soit passé après son mariage avec son premier et unique amour.) Tout ça pour dire, oui, l'éducation au consentement est essentiellement pour ne pas faire de mal aux autres, ou de mal à soi.
Merci tellement pour vos super podcasts variés, pertinents et inclusifs. C'est important aussi pour les garçons d'apprendre à respecter leur propre consentement qui est malheureusement un sujet à propos duquel on parle très peu mais quiest bien plus récurrent que ce que l'on pense. Le self-respect est sûrement aussi l'une des clés pour les hommes qui leur permet d'apprendre à respecter les femmes.
J'aime beaucoup votre podcast. Je suis surpris que dans cet épisode vous ne reveniez pas sur la définition même de consentir. Le consentement ça revient à accorder quelquechose à autrui. Ça ne veut pas forcément dire qu'on en a envie. Par conséquent, le consentement d'une femme permet juste de respecter la loi afin que la relation sexuelle ne soit pas considérée comme un viol. Cela dit il me semble évident que respecter la loi n'est pas suffisant pour être heureux. Pour que la relation sexuelle soit vertueuse pour les deux partenaires, il est clair qu'il faut que les deux en aient envie. Il n'est pas si surprenant que des femmes qui ont consenti aient pourtant des remords par la suite car une relation sexuelle sans envie doit effectivement être traumatisante. M'est avis qu'il faut augmenter le niveau d'exigence et attendre des hommes qu'ils s'assurent que la femme en ai bien envie plutôt que de se contenter d'obtenir son consentement.
Je suis tout à fait d’accord, et c’est bien la première fois que je vois ce type de commentaire. Je pense que le consentement ne suffit pas, et personnellement je ne souhaiterais pas coucher avec une femme qui consent mais qui ne me désire pas. Quelle tristesse de consentir à coucher avec quelqu’un alors qu’on n’a pas de désir !
Parfois (souvent?), la femme se laisse faire par peur, par pression, pour cesser d'être harcelée. Elle ne dit pas "non"... Mais peut-on vraiment définir cela comme du consentement?
Ce audio sur sexe sans consentement me fait écho. J'ai vécu plusieurs fois cette expérience : on se retrouve à avoir un rapport sexuel qu'on n' a pas désiré. J'essaie de me rappeler de ce que je pouvais ressentir à ce moment là et pourquoi j'en étais arrivée à me laisser faire. Au départ, il y a une rencontre et un avant sympathique et amical, on est souriante, gentille et l'homme croît que l'on a envie, on se laisse faire parce que on sent coupable d'un possible agichement. Après, c'est terrible, on se sent mal, sale, honteuse doublé d'un dégout profond. Et à l'âge que j'ai, je me souviens de ce moment là des années après...
On a grandi dans une société qui nous fait intégrer qu'une fille qui a suscité le désir d'un mec ne peut plus se défiler sinon elle est une "allumeuse". Évidemment le pendant masculin de l'allumeuse n'existe pas. L'allumeuse, c'est le concept qui va bien pour faire comprendre aux filles qu'elles doivent coucher avec un mec passé un certain "stade". Par exemple si tu es avec un mec chez lui, quand il aura envie de coucher avec toi, même si pour X raisons à ce moment là tu ne veux plus, bah tu crois que en tant que meuf tu dois le faire quand même.
@@lafrancetartuffe euh moi personnellement ça ne risque pas de m'arriver. Mais pourquoi ? Pourquoi une fille ne pourrait pas aller chez un mec sans forcément avoir prévu le déroulement de la soirée au centième de seconde ?
@@lafrancetartuffe "Ne vas pas chez lui" "Elle est stupide ou malhonnête ou les deux" donc c'est de sa faute mais pas de celle du mec qui décide de la violer, c'est ça ? Tu sais pas lire ? "si pour X raisons à ce moment là tu ne veux plus" si la meuf veut plus elle a le droit de refuser non ? Tu peux penser qu'elle est stupide ou malhonnête, on s'en fout. Si elle ne veut pas, alors elle ne veut pas et la forcer veut dire la violer. C'est tout, c'est pas plus compliqué que ça. Vu comment tu penses, évites d'inviter des femmes chez toi, parce que si elles veulent partir, tu trouveras ça normal de les violer, et c'est très gênant. Mais t'en a conscience donc on peut dès aujourd'hui prévenir le pire en évitant que tu invites qui que ce soit. 👍
Merci pour cette vidéo c’était très intéressant ! Et merci d’avoir parlé de la situation où l’homme peut aussi être dans la position de victime et être forcée. En tant que féministe je peux comprendre que ça peut être délicat car on a peur que ça soit repris par des masculinistes par exemple contre nous pour décrédibiliser le fait que ce sont majoritairement les femmes les victimes mais c’est très important qu’on en parle et qu’on écoute sans préjugés les témoignages de ces hommes. C’est important car même en étant féministe on a biensur internalisé des stéréotypes comme tout le monde depuis le plus jeune âge et la déconstruction des stéréotypes, comme ici l’hypersexualité présumée des hommes, est un continuum. Je pense que cette pression sociale d’être hypersexuel vient en grande partie des autres hommes et d’eux même qui se disent qu’ils doivent tjs avoir envie, qu’ils ne sont pas un vrai homme si ce n’est pas le cas etc donc je pense qu’il y a de la culpabilité aussi, je pense aussi que c’est lié à de l’homophobie (« si tu n’as pas tout le temps envie de baiser c’est que tu dois être gay pcq un vrai homme a tout le temps envie de baiser » )mais c’est important de parler du rôle des femmes aussi, et la réaction de l’interviewé qui a rigolé lorsqu’elle a entendu le témoignage du gars et ne la pas pris au sérieux tout de suite montre l’importance d’en parler et de se déconstruire nous même les femmes, car ayant internalisé l’idée que les hommes sont hypersexuels on va voir comme anormal le fait qu’il n’ait parfois pas envie et cela peut nous conduire à insister, à le culpabiliser de ne pas avoir envie et à force d’insister il peut finir par « accepter ». Si nous, les femmes féministes n’en parlont pas qui va le faire ? Nous savons que les hommes victimes de viol sont beaucoup moins pris au sérieux, ils culpabilisent et n’en parlent pas. Il y a des hommes victimes et ils ne méritent pas moins notre soutien et notre empathie. J’ai réalisé que cette situation inverse où l’homme pouvait être victime dans un rapport sexuel pouvait exister notamment grâce au compte instagram @tubandes (à la base adressé aux hommes pour déconstruire leurs stéréotypes et préjugés et notamment leur apprendre à respecter le consentement des femmes) que je vous conseille qui avait partagé des témoignages anonymes d’hommes qui racontaient que ça leur était arrivé
De plus comme très peu d’hommes victimes en parlent car ils savent qu’ils ne seront pas pris au sérieux, on a très peu de chiffres et de statistiques à ce sujet.
Pour ne pas reproduire des actions de ce type il faut en avoir conscience et en parler. En avoir conscience permet de ne pas nous même faire subir cette pression à un homme si il nous dit qu’il n’a pas envie, ne pas insister et ne pas le faire culpabiliser de ne pas avoir envie. Lui faire comprendre qu’il a le droit de ne pas avoir envie, qu’il est légitime comme n’importe qui. Et ça revient à ce que vous dite et à comment l’interviewé éduque son fils qui est une très bonne chose je pense : lui apprendre à respecter son propre consentement pour respecter celui des autres (ex : ne pas lui imposer des bisous non désirés de la part de proches etc.).
Il est important d’en parler même si les situations où une femme est victime et un homme victime ne sont pas comparables dans le sens où les hommes ont surtout cette peur d’être moquée alors que les femmes ont davantage peur d’être tué par l’homme dans ce genre de situation. Les femmes ont peur physiquement des hommes car elles savent qu’ils sont plus forts physiquement qu’elle et que si ils voulaient être violents avec elle ils pourraient. Alors que les hommes n’ont généralement pas peur physiquement des femmes
Un truc vachement important qui a été traité de travers je trouve : toute la partie autour 11:50 sur le sujet "prendre du plaisir à être forcée". Je pense que la question est terriblement floue, il faut définir et rappeler les termes. De quel plaisir on parle ? On peut forcer quelqu'un à avoir un orgasme, et c'est particulièrement traumatisant pour certaines victimes de viol. L'orgasme est étroitement lié au plaisir, donc quand un sondage demande "peut-on prendre du plaisir à être forcé.e", il est inévitable que beaucoup entendent "peut-on ressentir du plaisir en étant forcé.e" et c'est très problématique. Et qu'est-ce qu'on entend par "forcer" ? Parce qu'il y a des fantasmes, du role-play, des kink, et il y a mille niveaux de réalités, de sincérité et d'acceptation dans le fait d'être forcé. C'est tellement délicat de résumer toutes ces nuances en une question adressée à 1000 inconnus.
Moi aussi je suis un garçon et J'ai eu de nombreux rapports non consentis avec mes ex copines, et certains de mes amis aussi. Vous avez l'air de ne pas avoir conscience de ce cas de figure, les rôles peuvent s'inverser. Le passage où vois dites "J'ai failli rire"... m'as. Beaucoup déstabilisé. De plus vous ressentez le besoin de justifier ce cas de figure par une injonction masculine systémique (qu'en savez vous d'ailleurs, ne parlez pas au nom des hommes) alors que dans les cas que je connais et que j'ai vécu... On parle bien d'un homme qui cède à une femme. Et ce ne sont pas que des cas isolés qui sont arrivé une fois, mais avec répétition. Je pense que la plupart des hommes on dû le vivre aussi.
Je suis sidérée que tu n’es eu qu’un like et aucune réponse à ton commentaire .je venais juste moi même d’émettre un avis semblable au tien ,la seule différence est que je parle en tant que femme . Je crois que c’est podcast sont très intéressants mais beaucoup trop féministe. Ça me gêne
Incroyable podcast, passionnant et fait beaucoup réfléchir ! J’ai pris note des 40 min et y ai rajouté des réflexions personnels... en tout cas top merci beaucoup!
A propos du consentement, une fois après un rdv un mec m'a demandé s'il pouvait m'embrasser. Pourquoi pas, même si je suis d'avis que ce genre d'acte se fait au feeling. Mais soit. Je tiens à préciser qu'y avait 0 ambiguïté entre nous et il ne me plaisait pas et je lui faisais bien sentir (sans être méchante hein). Peut-être l'a t-il senti mais il a voulu forcer. 1er forcage. Donc je lui ai dit "désolée, non". Il allait partir, il s'est ravisé et m'a quand même embrassée "sur la joue". Quelle horreur. Second forcage. D'y penser j'ai des frissons de dégoût, j'abuse même pas. Et j'ai pas bougé tellement j'étais hébétée. À QUEL MOMENT il se passe ça dans la tête de quelqu'un ? À quel moment un "non" explicite peut quand même inciter à FAIRE la chose ? putain mais l'horreur. Et là c'était "juste" un bisou et j'ai pas su bouger. Donc je peux facilement imaginer si ça avait été autre chose. Bref. Remballez votre fierté un moment.
Beaucoup de filles m'ont dit " Ta pas de copine ? Comment ça se fait ? " Non pas que je ne veuille pas, bien au contraire. Mais c'est juste que j'ai tellement peur d'importuner et de passer pour un mec qui ne pense qu'à ça, que mon réflexe de défense c'est juste de ne jamais parler aux filles. Du coup elles ont eu beau me dire qu'il fallait que je m'exprime, ça reste plus fort que moi. Résultat c'est une solitude certaine qui se profile.
Celles qui posent ces questions sont indiscrètes et stupides. Vous pouvez répondre : Ben moi je questionne pas les gens sur leur vie privée. La gêne changera de côté.
Pour ma première fois, j'ai dis une phrase qui a été mal interpréter par mon copain de l'époque. Il l'a pris pour une proposition à l'acte et quand il a demander confirmation, je n'ai pas oser lui dire non. Je n'en avais pas envie, je ne me sentais pas prête, mais j'avais peur de le décevoir et je me sentais coupable d'avoir dit quelque chose qui sous-entendait que j'avais envie de coucher avec lui donc j'ai accepté. Je n'ai eu aucun plaisir et je suis pas certaine qu'il en ait eu lui-même. Deux semaines après il m'a quitté, je n'ai jamais su s'il y avait un lien, puisque je n'ai pas écouter ses explications. Mais ça m'a beaucoup marqué pendant plusieurs mois. Il m'a fallu 6 mois pour en parler avec une amie et pendant plusieurs années c'était comme un tabou pour moi. Je n'ai pas eu de répulsion envers tout ce qui touche au sexe, mais je me sentais coupable d'avoir accepter un acte dont je ne voulais pas et ça m'arrive encore de me sentir mal à l'aise en repensant à ce qui s'est passé. Encore aujourd'hui, je suis mélanger entre l'envie de savoir ce qu'à ressenti mon ex et lui dire ce que j'ai vécu (étant donné on en a jamais parlé et que je ne pense pas qu'il est comprit que je n'en avais pas envie) et ne jamais en parler avec lui.
La dernière fois que j'ai expliqué à un prétendant que s'il avait envie de m'embrasser, je préférerais qu'il me demande à haute voix plutôt que d'essayer de décrypter mon pseudo langage corporel. Sa réponse : "j'aurais l'impression d'être un petit garçon, généralement les femmes non féministes apprécient mes initiatives" .. D'autres femmes m'expliquent que "c'est quand meme vachement plus sexy de se faire prendre par surprise contre un mur". Tout ca parce qu'on se fait remplir la tete par les films, la television ou meme des romans, de ce qui est sexy et virile. Il y a 10 ans, expliquer qu'on devait arrêter les préliminaires pour enfiler une capote, ca avait l'air rebutant et pas très sexy. Aujourd'hui, dans toutes les séries ou les films, cette pause est devenue anodine et entre parfaitement dans le rythme. J'ose imaginer que dans 10 ans, les futures generations s'offusqueront de ne voir ni capote ni consentement lorsqu'ils visionneront ces "classiques" parce qu'ils auront appris à prendre leur temps et à se parler lors de leurs futurs rapports sexuels. Meme pour un simple plan cul.
En plus c'est des conneries ! Une fois j'ai demandé à une fille si je pouvais l'embrasser, elle m'a avouée plus tard que c'était un des trucs les plus sexy qu'on lui ai jamais dit. Depuis je demande l'autorisation pour certains trucs, et ça marche !
Ben, pour le truc de "se faire embrasser contre un mur", franchement j'ai envie de dire ça dépend de l'ambiance haha ! Si vous vous chauffez toute la soirée et que c'est entendu et évident, je peux comprendre que l'envie soit là... Après je suis plutôt d'avis qu'embrasser qqun c'est un truc qui se fait très naturellement (et c'est aussi très facile de refuser et on n'est pas considérées comme des "allumeuses" si on fait ça d'ailleurs..). Mais c'est sûr que si un mec qui me plaît bcp me demande, ça ne va évidemment pas me rebuter ^^
Sur la question du consentement masculin, j'aimerais dire que quelque part, la situation est encore pire que pour les femmes. S'il est bien sûr atroce de forcer une femme à coucher sans son consentement, il me semble qu'en fait la question n'est même pas posé pour les garçons. Ce n'est même pas un sujet et surtout en couple. On part du principe "qu'ils ont tout le temps envie". Vous imaginez une rhétorique pareille pour les femmes. Si on couchait avec vous sans vous demander parce que vous "avez tout le temps envie" et que le conditionnement culturel avait réussi à vous le faire croire ?
Complètement d'accord ! Ni les hommes, ni les femmes n'ont les bonnes clés pour parler de leur sexualité . On est tous coincés dans des rôles et des cases et ça commence à devenir étouffant . Mais comment amener une forme de dialogue , avec un partenaire d'une nuit par exemple ? Dans un couple c'est peut-être plus simple - même si ça demande de briser certains dictats également - parce qu'il y a l'amour qui permet de faciliter les choses . Mais quand on a envie de s'amuser avec d'autres partenaires !? La communication c'est un enfer ... Alors qu'on aurait tous à y gagner . "J'aime faire ci et ça, je l'aime comme ça, je donne autant et si ça marche, j'aimerai te revoir. La capote est obligatoire, pas de violence improvisée, pas de gorge profonde etc..." Dans l'idéal on pourrait déposer un cahier des charges , mais en réalité ça semble impossible à mettre en place.
@@vinzstow Je crois qu'il faut qu'on apprenne à jouer carte sur table genre "ok, on sait tous les deux de quoi on a envie mais d'abord faut préciser COMMENT on en a envie" J'imagine que si ça devient un réflex commun à tous ça aura plus rien de "tue l'amour"
@@Calamity_Jem Je pense que nous avons tendance à complexifier et que les choses ne sont pas aussi compliquées que ça. Je me dis que le plus simple est d'en parler, de demander, de proposer.
@@emelpuck5437 Les choses ne sont pas compliquées pour toi parce que tu ne te poses peut-être pas beaucoup de questions et que tu ne te met pas à la place d'une femme. Peut-être que je me trompe à ton sujet, mais les hommes à qui je parle et qui savent de quoi il en retournent au sujet du consentement n'avancent pas qu'on a "tendance à tout complexifier" .
Ça m'est arrivé avec un collègue. Dîner et café chez lui. La tronche pitoyable lorsqu'il a compris que non je n'allais pas couché avec lui parce que j'avais accepté de monter chez lui. J'avais 20 ans et j'étais encore naïve. Il m'a pourri la vie après ça au taf'. Et puis le souvenir d'autres garçons adorables et d'une galanterie incroyable.
Il y a aussi le problème de certaines relations, où même en demandant où en s'inquiétant, en cherchant le dialogue, l'autre peux décider de "faire plaisir" à l'autre ( homme où femme) d'ou l'importance d'avoir une discussion avant . Et si ça se passe spontanement, qu'un simple geste où un mot puisse arrêter l'acte et permettra une ouverture à la discussion
Ce podcast tombe à pique : j'ai vecu ca il y'a quelques semaines en allant chez un homme ou la soirée ne devait etre que jeux de société avec un couple d'amis à lui et apres voir le feu d'artifice.il y'a bien en eu le jeu de société et quand le couple d'amis et partie cette homme à eu rapport non consenti avec moi je lui ai dit non il entendait par là oui j'ai complétement dissocier...et pourtant tout mon corps lui disait non mais il a quand meme forcé
Je me souviens quand j'ai compris quelque chose d'essentiel : les femmes aussi aiment le sexe. J'ai l'impression que c'est un mythe assez répandu chez les jeunes hommes selon lequel les femmes aiment moins le sexe que les hommes. Je devais avoir 19-20 ans quand j'ai pleinement compris ça, c'est si TARD ! Je comprends maintenant que j'ai du avoir des comportements nuls avec ma première copine, et qu'avec le recul, j'ai peut-être abusé de ma position de "petit ami" pour faire l'amour, "après tout c'est normal on est en couple", et elle devais le penser aussi. C'est assez douloureux d'y repenser... Maintenant, je n'hésite pas à en parler avant, à demander l'autorisation pour certains actes, à déceler au mieux les gestes de l'autre qui trahissent un manque de désir. Je trouve tout cela plus facile, de par le simple fait de savoir qu'une femme peut avoir autant envie de moi que je peux avoir envie d'elle.
oh et bien bravo je connais tellement d'hommes qui n'ont toujours pas réalisé voire accepté qu'une femme aussi a besoin et envie de sexe et que ce n'est ni bien ni mal, ce sont des désirs et instinct de base, juste nous n'avons pas le droit de les exprimer. Deux choix, soit on les exprime et on se fait humilier (on est une chaudasse) soit on les réprime et on passe dans le club des frustrées, dont font partie beaucoup de femmes. Oui la femme aussi connaît le manque de sexe, pourtant on croule sous les propositions mais...on a la barrière du jugement qui nous empêche d'accepter mais aussi le besoin d'être aimée pour se donner, d'avoir confiance (parce qu'un mauvais partenaire peut faire très mal). Celles qui s'en fiche et y vont quand même, sont épanouies sexuellement mais on souvent des coups de blues parce que leurs partenaires ne rappellent jamais ce qui fout un coup à l'estime de soi. Quel que soit notre comportement on sera toujours une salope, si l'on a couché ou salope si l'on n'a pas voulu...quelle triste impasse, comment en est-on arrivé là ?
Lire ce genre de commentaire me rassure. Si tous pouvaient raisonner comme toi... et 19/20 ans, finalement par rapport a la moyenne des autres garçons, c'est assez tôt pour t'en être rendu compte. Je pense que tu es plus censé et plus empathique que la majorité. Maintenant tout ton travail est de passer le mot à tes confrères !
@@cathy266 en un commentaire tu viens de résumer ce que j'ai toujours essayé d'expliquer aux hommes qui pensaient avoir une sexualité moins épanouissante que la notre, sous prétexte qu'on avait le choix. Alors que comme tu dis... il y a tous ces codes et ces jugements qui nous pesent dessus et qui peuvent parfois nous empêcher d'y aller ou d'exprimer nos désirs + les mauvais partenaires qu'il faut "trier", déceler au préalable, ou même faire face pour pouvoir simplement obtenir du sexe...
J'ai eu un sujet comme ça sur le consentement dans l'acte de soin. Est-ce qu'une fois que le patient est admis à l'hôpital, son consentement est irréversible durant tout son séjour dans l'établissement. Et la réponse est "non" évidemment. Ça paraît logique que la personne puisse changer d'avis à tout moment. Ce serait grave sinon. Mais bon, pour les hommes c'est vraiment compliqué. Ils n'entendent que ce qu'ils veulent entendre. Et je pense qu'il faut être clair avec eux dès le départ. Si il y en a un qui nous invite chez lui et qu'on sait qu'on risque de passer à la casserole et bien on ne va pas au rendez-vous, point bar. Sinon ça peut vite mal tourner. A partir du moment où l'on se retrouve dans leur territoire, il n'y a plus de "je ne veux pas" qui tiennent. De toute manière on apprend la vie par nos erreurs n'est-ce pas?
Je ne suis pas d'accord sur la partie ´territoire de l'homme je ne me priverai pas de dire non si je ne veux pas franchir une étape, que cela soit celle d'un bisou, de s'arrêter aux préliminaires et de dire stop pour la pénétration ou encore pour une pratique que je n'ai pas envie de faire, que cela soit sur le moment ou pour toujours! Par exemple, je peux avoir bien voulu hier mais ne pas vouloir aujourd'hui ! Donc si on va au rendez vous et on dit stop quand Ca dépasse nos envies, il faut en parler 😊
Pour le consentement au soin, je suis tout à fait d'accord, pour le reste , pas vraiment. Le terme "passer à la casserole" veut tout dire , et là je trouve que c'est cher payer ses "erreurs".
Drôle d'hospitalité que de penser qu'on peut faire n'importe quoi à quelqu'un dès l'instant où il se trouve chez nous, sur notre territoire...En tant que femme, ça ne te viendrais même pas à l'idée de forcer qui que ce soit à quoi que ce soit, sous prétexte que tu l'a invité chez toi...Il est vrai que c'est notre responsabilité à tou(te)s de rester prudent(e) et de bien connaître quelqu'un avant de le suivre, mais en aucun cas cette imprudence peut servir d'excuse à l'agression. Cela doit être (ou devenir) clair pour tous.
A propos du film : on ne connaît pas l'âge des hommes interrogés. Ce serait pourtant très intéressant. Car en vieillissant on a acquis les mots, le langage propre à la sexualité et surmonté certaines pudeurs : on dit les choses et on sait mieux entendre les réponses
Ya une règle que je respecte c est que mes rdv se passe toujours en public et quand je vais chez la personne c est qu il m est devenu familier et que j ai décidé de passer à l l'acte,jamais avant, sa évite beaucoup de malentendus.
C’est bien de respecter une règle de prudence (qui n’est dans aucune loi) C’est bcp mieux de respecter la loi qui interdit les viols. Au passage, quand tu expliques tes règles qui t’ont protégées jusqu’ici, tu risques de culpabiliser des victimes qui n’auraient pas pu/su le faire.
Les hommes aussi bien que les femmes sont coincés dans les stéréotypes de genre : un homme doit être un mâle conquérant et soit-disant" viril" et une femme douce et soumise. De toute façon la vraie sexualité qui apprend le respect de l'autre est tabou. Face à cette question les gens se retrouvent face à leurs blocages et cela fait peur...
Dans une relation amoureuse, l'injonction de défi ou de challenge prime sur le désir, l'entendement, et le consentement. Sans ces derniers, l'Amour est surréaliste. CSN
Je crois peu au "fantasme de l'égalité" chez les gars (ou les nanas).... II me semble que la vision de l'homme est biaisée dès le départ, et qu'un mélange d'égoisme et de paresse intellectuelle font qu'ils ne se préoccupent parfois tout simplement pas du consentement de leur partenaire.... les filles manquant aussi parfois de recul; l'éducation : le remède ?
Concernant l'éducation sexuelle je serai meme pour des groupes choisis par leurs participants. Et multiple. Si la meme personne a autant de cours homme, femme, non genré, sur Les rapports de couple et de célibat ... Cela permettrais de montrer plusieurs cas de figure et de permettre aussi parfois une certaine intimité pour libérer la parole.
J'ai une amie qui est amenée à dispenser des cours d'éducation sexuelle chez les jeunes. En Suisse. Elle m'expliquait qu'il est indispensable de poser les base en commun mais aussi de faire de petits groupes. Dans ces groupes à certains moments il ne mélange pas toujours les genres. Dans ces moments que ce soit pour les groupes de fille comme garçon, la parole se libére. Bref qu'il est important d'avoir plusieurs étapes et plusieurs types de groupes dans le processus. L'idée que à moment ils consistuent eux même leur groupe est très pertinente.
Dans la réception féminine du consentement, j'aimerais pointer une chose. Il faut faire attention de ne pas coucher avec des garçons qui n'ont pas vérifié votre consentement ou qui n'en ont pas les moyens. Sinon, vous favorisez un comportement "jenfoutsite" des hommes au regard du consentement. Dans ce cadre, il faut faire attention au sexe lorsque vous êtes alcoolisées. C'est ok de baiser sous beaucoup d'alcool, si vous êtes en accord avec ça dès le départ, mais dîtes-vous que les hommes qui viendront vers vous dans cet état, eux n'en auront aucune idée. Et vous allez donc vous donner à des profiteurs et des "jenfoutistes" alors que "les mecs biens" eux n'iront pas draguer des nanas trop alcoolisées ne pouvant être sûrs de leur consentement.
@vinzstow waow, donc de victimes elles passent coupables, bravo ! Parce que ces pauvres messieurs ne pourront pas se contrôler et en plus ça nuira aux gentils messieurs qui n'y sont pour rien... Donc ne buvez pas d'alcool, et si vous en buvez c'est à vos risques et périls, faudra pas vous plaindre après ?!
Te poserais tu la question, de savoir si un homme est bien consentant s'il est alcoolisé ? Pourquoi voire une fille alcoolisé comme un être passif qui se fait draguer par des profiteurs. Une fille alcoolisé peut très bien draguer un garçon, si le garçon répond positivement à ses avances ça fait de lui un salaud ?
Il n y a pas que les garçons les hommes adultes aussi . C est incroyable et la femme se demande ce qu elle a pu faire pour que la situation évolue ainsi. J ai un âge certain et la situation n évolue pas
vive la binarité "les filles d'un côté les garçons de l'autre" c'est la pire idée: tout ce qui est dit est valable dans tous les camps, c'est justement pour ça qu'il y a un grave manque de connaissances chez les garçons concernant le concentement et la vulve Tout le monde doit pouvoir avoir accès à la même information. Et puis de toute façon s'ils rigolent, et alors ? ça donne souvent l'occasion d'en discuter et ouvre des débats, permet aux jeunes de poser des questions secondement, vous excluez les personnes non-binaires, ce qui est complétement horrible. 50% des jeunes trans tentent de se suicider, vouloir les mettre dans des cases juste parce qu'il ont un appareil génital spécifique ça s'appelle de l'agression/transphobie. c'est pas comme ça que ça va s'améliorer. Emission intéressante mais j'ai vraiment pas aimé la fin quand on dit "oh la la c'est surtout les femmes qui se font agresser". Oui, c'est un fait, mais la façon dont vous le dites minimise beaucoup la situation des autres genres.
Très très intéressant. Je trouve néanmoins un peu dommage de n'avoir pas d'homme pour cette émission. Bien que je comprenne que l'émission se focalise sur le documentaire de Delphine Dhilly, il n'est (il semblerait) plus disponible, donc cela produit une écoute biaisée, ou partielle des propos. On a envie d'avoir cette "vue d'ensemble" donnée par le documentaire. Merci pour les références en descriptions!
Delfine Dhilly a dit qu'il serait intéressant de faire un documentaire sur ces hommes et leur rapport à ce consentement, face à ces injonctions de la société qui font qu'un homme est virile ou non, pourquoi un refus une non possibilité de la communication est pour eux un "oui". Nous devons être patientes et patients pour connaître le point de vue du sexe opposé. Le documentaire se base sur des relations hétérosexuelles et une lumière sur la communauté LGBTQ+ pourrait encore plus ouvrir les yeux à tout le monde car, malheureusement, cette communauté reste toujours dans l'ombre.
le documentaire est bien disponible il est juste sortie plus tard de quand à été mise en ligne cette vidéo qui est vraiment intéressante. Je te donne le lien du documentaire si tu le cherches toujours -> ruclips.net/video/8Lqye0w4MH8/видео.html
Donc même sur le consentement des filles/femmes, il faudrait l’avis d’hommes, hommes qui s’expriment partout, tout le temps et sur tout. Même sur l’avortement. Mais t’as pas honte ?
Oui c’est évident qu’un peu de jeu fait partie de la séduction 🤷🏻♀️ ça ne veut pas dire que c’est grave et que c’est un non consentement,c’est juste que les femmes aiment bien faire attendre et se faire désirer .je trouve que vous avez tendance à trop analyser en profondeur et à trop intellectualiser .c’est nocif au final
d'autre part... quand un mec est respectueux avec une fille... gentil... prevenant, il est taxé de "moue".. pas viril.. on le prend pour un sous homme limite... je pense aussi qu'il faut remettre en question leducation des filles et qu'elles s'interrogent aussi... cest quoi la virilite pour une fille?
Ce n'est pas l'éducation des filles qu'il faut remettre en question mais la construction de la masculinité dans nos sociétés. Ce n'est pas que dans la tête des femmes qu'un homme qui ne répond pas à certains critères comme le fait d'être viril, musclé, etc. n'est pas considéré comme un "vrai" homme, mais c'est dans la conscience collective...
Ca vient clairement de l'éducation ce problème avant tout. Le virilisme c'est prouvé aux autres hommes qu'on est bien dans la bonne norme masculine. Bien sûr que les femmes sont socialisées aussi à accepter cela, mais beaucoup que les hommes étant donné qu'elles le subissent !
Shannon L’angoisse de devenir indésirable en devenant trop prévenant est un réel ressenti des hommes, souvent inspiré par l’observation des succès et des déconvenues des autres garçons. On peut le regretter, mais c’est comme ça! Et tout ce que vous avez à répondre, c’est si nous sommes plusieurs à préférer le bad boy, ou avoir trouvé des gars gentils fades, ben c’est pas de notre faute; c’est la construction de la masculinité dans nos sociétés, la conscience collective. Dommage, pour rester courtois!
Si vous êtes assez c... pour céder sans avoir envie, faut vous en prendre à vous mêmes... Vous dites non et vous y restez, c'est pas difficile. Je ne parle pas évidemment de contrainte, qui est à gerber et est un viol, mais de dire oui par "lassitude" ou par gentillesse ou pour passer à autre chose.
La personne qui continue à initier un rapport alors que l'autre personne dit non est à gerber. Et puis ça a clairement été dit qu'il y avait la peur qu'il y ait de la violence, que ça passe à un viol beaucoup plus traumatisant si la personne continue à dire non ou à se débattre.
@@FlecheDeFer non, sidérer, ce n'est pas bander, c'est lorsque votre corps bous paralyse et fait voyager votre esprit ailleurs, pour ne pas vivre ce qui vient. Renseignez-vous, lisez, vous vous rendrez compte que c'est bien plus compliqué ....
Finalement, la meilleure solution pour être un homme ayant les bonnes valeurs masculines sans avoir les mauvaises et sans subir d'inconvénient est d'être autiste et d'avoir une apparence masculine très marquée. L'autisme permet d'avoir un sens de la justice exacerbé et une difficulté à voir, analyser et comprendre les codes sociaux. De cette manière, on évite les comportements malveillants. Et avoir un physique impressionnant permet d'éviter le harcèlement suscité par l'autisme et le fait de ne pas coller à la norme. Je dis cela car en y pensant, c'est exactement ce qui m'est arrivé. Je rajouterai le fait d'avoir un père autiste avec un sens du devoir exacerbé. Il s'occuper des tâches domestiques avec brio car lui aussi n'avait pas incorporé que c'était une affaire de femme.
Quoi ? Je connais pleins d'homme qui ont intégré toutes ces notions féministes et qui n'ont pas eu besoin d'être autiste. Franchement, si on lit ton commentaire en diagonal on comprend : "faut être autiste pour faire la vaisselle"
@@emels1199 Effectivement, en me relisant, j'aurais du préciser que je parlais de mon cas personnel et que c'est de cette façon que j'explique ma masculinité aujourd'hui comme le fruit de cette expérience de jeunesse. Le virilisme dans le corps grâce à des avantages génétiques principalement mais une absence de virilisme dans l'esprit de part mon éducation et mes troubles autistiques et le fait d'avoir eu pour exemple un père qui assumait tout tandis que ma mère était une bipolaire clouée au lit. J'espère que c'est plus clair. Je ne recommande cela à personne au passage. Le fait d'avoir une mère bipolaire est particulièrement destructeur, je ne souhaite cela à personne.
Une fille qui consent elle va toucher son partenaire, le caresser...participer au coït. Si elle ne bouge pas, que l'expression de son visage est triste, embarassé ou horrifié...c'est qu'il y a un malaise. Ça se voit si la fille ne veut pas...faut arrêter hein.
Min 26:30 je suis anti-bisous, je remercie le covid pour ça. Ces rituels de famille à lécher la pomme de gens que tu croises une fois dans l'année ça m'agace. Et mes enfants ne feront de bisous à personne. Le "fait un bisous à la dame", que tu ne connais même pas je trouve ça naze. Autant je suis pour le tactile, qui va te faire rentrer dans la bulle de quelq'un et marque une confiance mutuelle. Mais le bisou baveux de Tonton ou tata, c'est mort.
C’est t’on un jour posé la question pour les hommes ? Ne sont ils pas parfois fatigués de leurs journées ?et si on les caresse on sait que 99% des fois leurs corps auront une réaction favorable alors que leur cerveau dit non …
Là aussi, l'homme ne doit pas craindre de dire je suis crevé, la femme aimante comprendra. Personne ne DOIT être un distributeur automatique de plaisir
Mais en même temps si la fille ça l’amuse de jouer un peu avec le mec. C’est peut-être pas un jeu que pour eux peut-être que pour les filles aussi nan. Enfin certaines en tout cas. Desfois dire nan pour se faire désirer et prier c’est aussi quelque part pour flatter notre ego. Par contre si le mec devient violent ne serait ce que psychologiquement là on sort du jeu et on se barre c’est tout. Mais en vrai dans la séduction la femme a quelque part le pouvoir puisque c’est elle qui décide au final qu’elle couche ou qu’elle couche pas c’est elle qui l’a voulu. A elle à se respecter dans le sens à s’écouter et à faire ce que elle elle veut vraiment sans se laisser influencer par l’intimidation ou la culpabilité ou que sais je
C'est pas explusif aux femmes. En tant qu'homme, j'ai moi aussi été dans le cas où je flirtait juste pour me faire désirer, sans vouloir aller plus loin. J'ai été en quelle que sorte un allumeur. Bon c'est pas arrivé souvent, mais je note qu'à chaque fois, la femme n'a pas été rancunière ou violente.
bah oui elles sont jamais clair, c'est toujours ambigu avec les femmes, déjà elles ont presque jamais envie. Et elles sont toujours à te narguer à jouer à j'ai envie j'ai plus envie, j'ai reenvie, c'est bon quoi y'en à marre de ce cirque. Faudrait qu'elles se décoincent un peu et qu'on puisse leur demander si elles veulent baiser et qu'elles disent oui facilement, hors là y'a des gars qui ont fait le test sur RUclips et sur 1000 demandes aucune fille n'a voulu, alors que l'inverse presque tous les gars on accepté même beaucoup qui avaient une copine, ceux qui ont refusé c'est juste qu'ils sentaient l'arnaque ou étaient timide.
@@drefhill c'est faux de dire qu'on a presque jamais envie... et c'est ambigu parce que sûrement qu'elle ne se sent pas suffisamment en confiance avec toi. Si tu laisses place à la communication, peut etre qu elle aura l occasion de t'exprimer ce qu'elle veut réellement. Parfois certaines ne savent pas, et c'est ok. Pas la peine de s'imaginer qu'elle le veut. Parfois j'ai l'impression que les hommes se font des films, qu'ils s'imaginent ce qu'ils les arrangenent. Voient des signes ou il n'y en a pas et voient pas les signes quand il y en a. Alors oui je suis daccord pour dire que l'ambiguïté peut vous perdre. Mais c'est aussi a vous de la casser, cette ambiguïté. Sinon c'est peut être aussi qu elle vous arrange........
Monoï Monoï les femmes on autant envie que les hommes tu n’as pas l’air d’y connaître grand chose. Arrête de croire qu’elle te nargue non stop tu te fais des films arrête de te donner autant d’importance !
Monoï faut pas confondre une femme qui joue avec une femme qui n’en a vraiment pas envie... et il ne faut pas non plus confondre une femme qui n’a jamais envie de sexe avec une femme qui n’a jamais envie de toi...
Non aucun plaisir quand on est objetisée, oui si c un jeu de rapport de forces et que la femme garde son pouvoir. Oui le thème : résister ou se donner : moi je pense que résister c se respecter car s'estimer. Ça s'apprend en posant ses LIMITES.
Exactement. J'ai remarqué que plus in mec était soucieux de notre propre plaisir, plus il avait des chances de poser des questions et de communiquer. Alors que ceux qui se font des films et qui pensent a performer, et obtenir ce plaisir, ce corps, s'enferment dans leur désir et se deconnectent totalement de la personne qui se tient en face, jusqu a parfois nier ou oublier que l'autre a peut être pas l'envie... Finalement, l'ego est surpuissant et est la cause de tous problèmes.
Sur le désir feminin, tout est question d'attirance et de contexte. On peut crusher sur un mec en soirée tout de suite, aller le voir, passer la soirée avec et coucher avec parce qu'on en a envie.. Voilà ! Il faut le consentement féminin et masculin Et quand une femme dit NON c'est non.. Alors allez gérez vos frustrations les mecs.. Les femmes aussi on se fait rembarrer on nous dit non et on est pas des harceleuses ou violeuses en série O hommes à entendre le non sans problème et le respect du corps et de la psyché féminine et le respect des limites exprimées.. NON NON NON c'est non !!
On pourrait aussi évoquer le consentement des hommes en cas de paternité..ce serait bien que les femmes soient moins lourdes lorsqu'elles réclament un mome à leur conjoint et que ce dernier est obligé de répeter 100 fois qu'il en veut pas
Alors oui le porno aggrave l image de la femme dans la societe, mais rien n est fait d obligatoire pour expliquer a toute la population que le porno c est un moment personnelle et un moment de détente, et que l amour c est complètement different. Les gens qui ne font pas la different la sa devient grave. Dans le cas où la grand majorité font la diff, le porno ne devient plus un problème majeur parce que l image de la femme soumise a mon avis vient essentiellement de la, car c est les premier image d un garçon qui ne connaît rien a l amour et donc il se construit sa sexualité autour du porno, qu il en a conscience ou pas.
@@Tohkar Un partenaire peut dire oui pour un acte "lambda" et non pour l'une ou l'autre position ou activité sexuelle en fait. Donc il y à une forme de nuance mais ca se rapproche davantage d'un enchaînement de oui/non que la nuance de gris habituelle.
Lorsqu'une femme veut coucher, il est presque impossible lui dire non, par peur de se faire lourder. Le consentement concerne tout les mondes, les hommes comme les femmes.
@@pierretteperdrix5706 : Cela ne m'est jamais arrivé à moi personnellement. Ceci dit, lorsqu'un homme est violent avec sa femme, et que cette femme reste quand même, vous dites quoi, qu'il n'en vaut pas la peine, pourtant beaucoup reste. C'est bien triste mais c'est comme ça. La pression psychologique existe dans un couple, que se soit du coté masculin ou féminin. Là où je veux en venir, c'est que cette chaine parle des hommes, mais jamais de ce qu'ils subissent comme pression provenant des femmes, uniquement l'inverse.
@@mickaelegalite8335 peut-être parce qu’il faudrait que tu réalises que nous vivons en patriarcat depuis le début des temps. Et que tu réalise qu’être homme ne fait pas de toi une victime du système dont tu jouis
Les hommes n'osent pas demander parce qu'ils savent que la fille va probablement dire non. Ca n'a rien a faire avec l'érotisme. Les hommes ont horreur de se faire refuser. Dommage que vous semblez encore tout mettre sure le dos des filles et des femmes dans cette émission.
Il y a une part de vérité dans ce que tu dis, mais il y a aussi un tabou énorme qui pèse en général autour de la sexualité entre les femmes et les hommes. C'est vrai que beaucoup d'himmes sont éduqués comme des enfants rois et qu'ils ne supportent pas la frustration ou etre rejeté par les femmes. Mais je pense aussi que ce n'est pas que du a ca. Il y a un rôle à prendre des 2 cotés. Ils doivent également avoir peur être désinformés, pas assez attentifs aux femmes, mais trop a eux mêmes...
Il y a beaucoup de femmes qui n'acceptent pas qu'on leur refuse l'acte sexuel et qui deviennent odieuses et violentes, je pense qu'elles le sont beaucoup plus que les hommes qui ont l'habitude du refus.
@@astrolol3532Donc un homme ne travaille pas. Il n'a pas d'autres preoccupations et de responsabilite dans la vie que du sexe ? Et si la femme ne pense qu'ainsi n'est-ce pas le debut de l'harcelement moral ? Il y aura toujours un moment ou l'homme de par sa nature ne voudra pas ca peut prendre deux semaines tou comme un mois. Mais est-ce qu'il va se faire comprendre ?
Faut que les femmes arrêtent d'avoir peur de perdre leur homme si elles n'ont pas envie. Faut qu'elles arrêtent de faire semblant de consentir, ou faire semblant de jouir pour avoir la paix, ou les 2 lol
@@Muahahaw Bien sûr que j'ai écouté l'épisode, mais la racine des problèmes c'est que beaucoup de femmes ne savent pas se faire respecter. Ce n'est pas une faute, c'est un atavisme résultant de toute une éducation durant des millénaires.
Je me rappelle qu'a mes 15 ans mon mec m'a dit "je sais que vous dites non mais en fait ça veut dire oui" et que j'ai rencontré beaucoup d'hommes qui voient comme impensable qu,une femme puisse prendre en main son désir et aller chercher et acter. C'est ouf.......
Une des raisons du malentendu, c'est la coquetterie de la femme. Elle aime séduire, on le voit avec cette manie féminine des selfies. Et les mecs en face croient à fond que c'est une invitation
@@astrolol3532 ils croient ce qu'ils VEULENT. Fzut accepter à un moment que les hommes soient juste égoistes et égocentriques. Le procès Mazan le prouve. Dans ce cas elle dormait carrément donc ou est l'excuse ? Et puis même, le nombre de femmes "moches" qui se font violer aussi ... c'est quoi l'excuse la ?
Je me demande ce qu'une femme pense de son mec qui accepte sans sourciller son non consentement, ne va-t-elle pas imaginer que son mec ne s'intéresse plus voire pas à elle
Je suis cette femme dont tu parles, et ce garçon, en me respectant de cette manière à multiples reprises, a gagné beaucoup de valeur à mes yeux. Je me souviens lui dire "en fait, non..." après des préliminaires, qu'il accepte, qu'on en discute ou pas, puis qu'on s'endorme tout les deux sourire aux lèvres de cet échange plein de compassion et de compréhension. Après, je me souviens aussi que dans tout le chemin parcouru jusque là, j'ai ressenti et pensé des choses qui m'ont fait me questionner; je veux dire par là que chacun fait avec ce qu'il a, son expérience et sa compréhension de soi/de l'autre.
@@VictoireRenard c'est vrai que je me suis mal exprimé quand je dis"...qu'une femme pense de son mec..." car ça fait trop penser à un couple établi et stable où bien évidement le passage à l'acte n'est plus de rigueur où très souvent les simples câlins suffisent à la soudure du couple . Je pensais plutôt a un couple "débutant" se "cherchant" encore, dans les début d'une relation....le gars émets, d'une manière ou d'une autre, une proposition de partie de jambes en l'air et au premier "non j'ai pas envie" retourne à sa console vidéo sans rechigner...je suis sur que beaucoup de filles vont penser..: "bon il préfère son ordi plutôt que moi"
Oui, si il passe sans transition du flirt à la console, il y a des chances que la fille pense que tout l'enjeu de la relation se résume à l'acte sexuel. Et si ce n'est pas le type de relation qu'elle recherche, elle passera probablement son chemin.
YeahObviously,je réponds à votre commentaire, comme dit la célèbre cinéaste Agnès Varda, une femme est faîte pour séduire un homme et sa féminité est faîte pour séduire la virilité d'un homme.Cordialement Georges
Bonjour, ce n'est pas une critique ,en effet et cela encore de nos jours : De la bouches de certaines femme ça s'appelle "le devoir conjugale" (le pour faire plaisir au partenaire). Je n'est pas encore écouter tout votée reportage je vais écouter. Par contre et au final : En gros les mecs on envie plus souvent DONC : Soit il faut les habituer à baisser le rythme (vous avez des pistes?) soit à se masturbez seul (et tolérer .... ?).
En tant que femme je ne comprends pas pourquoi certains ne tolèrent pas que leur partenaire se masturbe. Il est important de pouvoir se "satisfaire" sexuellement seul, même en couple. Masturbation et relation sexuelle sont deux choses différentes, donc pas de complexe à avoir. En plus le désir peut être différent d'une personne à l'autre, pas envie au même moment, pas aussi souvent, etc., donc c'est important.
Un rapport sexuel est un moment de partage et d'échange entre deux personnes donc effectivement, si l'un des deux n'a pas envie, l'air l'autre n'a pas à me forcer et peut tout à fait se masturber. La masturbation peut servir à évacuer une pulsion, à jouir rapidement à se "vider" (homme comme femme) alors que l'acte sexuel devrait être plus guidé par l'envie que l'on a de la PERSONNE en face que par la pulsion sexuelle ( "j'ai envie de baiser. Comment me soulager ?" Et la réponse à cette question ne devrait pas être "j'ai mon mec/ma meuf à disposition" mais "est-ce qu'il ou elle a envie ?")
Être en couple ne devrait pas signifier "avoir accès à tout moment et sans condition au corps d'une personne, qu'elle ait envie ou non, pour soulager mes pulsions sexuelles". C'est la définition même du "devoir conjugal" mais cette pratique devrait cesser pour le respect des personnes.
En fait je suis en train de comprendre qu alors que j avais 16 17 ans je refusais suscitait le désire et j partirais alors que je voulais la paix car je n etais juste pas prête.
le problème c'est que y a des filles qui disent non et ça veux dire oui... ça devient donc compliqué non? Et si vous pensez que ce n'est pas le cas, je pense que c'est autant du fantasme que le fantasme décrit par les interviews en début d'émission.
Oui enfin si la fille te dit non et repousse tes mains ... C'est bien un non! Après si c'est fait sous forme de ´jeu' oui là ok mais il faut en parler quand même pour au cas où si un jour elle ne veut pas jouer et que c'est vraiment non
Je pense que les filles qui se laissent faire et qui n'osent pas dire non sont immature sexuellement parlant vous ne pensez pas ? Je pense pas que l'histoire du consentement arrive à beaucoup de filles de plus de 22 ans on va dire. répondez à mon message dite moi ce que vous en pensez
Salut Qu'appelles-tu une immaturité sexuelle? Ce n'est pas parce que tu as eu beaucoup de rapports avec une personnes où plusieurs partenaire que tu t'es questionnée sur ton consentement. Donc non ce n'est pas une histoire d'âge
@@LuffY35260 c'est clairement pas généralisable à la grande majorité des cas. Et dans un acte aussi intime, à moins d'être si égocentrique que tu t'intéresses pas au plaisir de ton/ta partenaire tu le vois tout de suite si vous êtes pas sur la même longueur d'onde. Pas oser/réussir à dire non ça dépend de tellement de choses. Avec ce genre "d'évidence" que tu avance t'es juste en plein dans la culture du viol, requestionne toi un peu....
Faut pas exagérer ça dépend ce que tu appelles allumeuse si tu as un jeu de séduction c est pas être une allumeuse si t as une jupe courte non plus si tu embrasses et que tu fais genre viens on y va et que la tu dis stop tu dois obtenir l arret mais oui dans ce cas c est un peu limite et il faut peut-être donner une explication pourquoi ou ce qui se passe je trouve
@@kalimiro7360 D'accord avec toi. Mais dans tous les cas, même une bonne allumeuse a le droit de dire non. Si c'est une connasse, c'est une connasse, mais c'est pas pour autant qu'elle doit être punie pour ça. Lui dire simplement "tes gestes m'ont faits penser que .. Mais tu te rétracte. Je respecte mais ne reviens pas vers moi." Parce que même si elle allume le feu elle n'est en aucun cas forcée de l'entretenir.
Je veux pas être désagréable ou quoi. Mais je pense pas que ce soit la faute de la technique utilisée. Peut-être qu'il avait juste pas envie à la base, non ? Le mythe selon lequel les hommes ont toujours envie est faux.
Sur le désir feminin, tout est question d'attirance et de contexte. On peut crusher sur un mec en soirée tout de suite, aller le voir, passer la soirée avec et coucher avec parce qu'on en a envie.. Voilà ! Il faut le consentement féminin et masculin Et quand une femme dit NON c'est non.. Alors allez gérez vos frustrations les mecs.. Les femmes aussi on se fait rembarrer on nous dit non et on est pas des harceleuses ou violeuses en série O hommes à entendre le non sans problème et le respect du corps et de la psyché féminine et le respect des limites exprimées.. NON NON NON c'est non !!
Cet épisode est vraiment ultra ultra important ! En tant qu'homme qui se forme beaucoup sur la question, ça m'a pourtant rappelé les fois où je me suis forcé, ou plutôt où j'ai cru qu'il fallait que je me force, et où la fille respectait cela. Je ne pense pas que les garçons qui se forcent soient toujours dans la même situation que les femmes qui se forcent.
On s'en veut plutôt de n'avoir su jouer un rôle attendu de celui qui a toujours envie, ou capable de bander sur commande.
Merci encore pour tout ce travail et bravo !
Avoir besoin de se former pour respecter les femmes...
Bonjour ! Merci pour cette excellente émission que j'ai partagé au moins 2 fois !
L'obligation d'avoir des relations sexuelles pour prouver que je suis une adulte, que je suis normale, rassurer mon entourage proche, j'y ai cédé quand j'avais 19 ans. Et j'en ai souffert ! C'était à la fin des années 80 !
Il a fallu que j'attende d'avoir 45 ans, pour enfin faire ce que j'avais réellement envie de faire depuis mes 17 ans : choisir le célibat comme mode de vie valable, parce que cela me convient !
Toutes les relations sexuelles ont toujours été décevantes, pour moi, tout simplement parce que je n'en n'avais pas envie ! Il y a très peu d'hommes avec qui j'ai envie de faire l'amour ! Et il n'est pas toujours possible d'avoir des relations sexuelles avec la personne désirée, quoi qu'on en dise !
Il y a comme une injonction + ou - apparente, à l'obligation de vivre en couple et d'avoir des relations sexuelles, presque d'une manière hygiénique ! Je connais des adultes qui n'en n'ont jamais eu et qui se portent bien mieux que la moyenne des gens ! Par contre, ils sont obligés de n'en rien dire ! Les jugements sont très désagréables ! Immaturité supposée, problèmes psychologiques... Bla ! Bla ! Bla !
Je suis toujours tentée de leur rétorquer : " Occupez-vous de vos fesses, moi et mes amis abstinents, nous gérons les nôtres, comme bon nous semble ! La liberté, c'est d'avoir réellement le choix de ne pas faire le même choix que tout le monde, non ?!"
D'ailleurs, on peut très bien avoir une sexualité épanouie et satisfaisante, tout.e seul.e ! Avoir la possibilité de ne plus dépendre d'un.e partenaire, pour y arriver, c'est, me semble t-il, une preuve d'indépendance, d'autonomie, de débrouillardise et donc de maturité ! Et cela donne confiance en soi !
Il y a une véritable pression sociale, sociétale même, à laquelle je trouve légitime de résister !
Parce que, objectivement, entreprendre des relations hétérosexuelles, c'est risqué, pour ne pas dire dangereux ! Pour les femmes, c'est un peu comme "le loto de la mort" , quand on voit le nombre de féminicides, en France, par an !
Et les maladies vénériennes, ce n'est pas une utopie ! Tous les messieurs ne font pas des visites régulières chez un andrologue ! Même à 50 ans, pour surveiller la prostate et les risques de cancers génitaux...
C'est une source d'inquiétudes sous-jacente, refoulée, mais belle et bien là ! A t-on tiré le bon numéro ? Celui de la vie douce et facile, en toute sécurité ?
La communication masculine, c'est très problématique ! Ils sont mutiques, boudeurs... Ce sont des coffres forts !
Merci pour ce podcast. En effet il y a des hommes qui ne s’en rendent pas compte. Chantage.. surtout en couple ou on nous culpabilise si l’on ne veut pas de ne pas faire « notre devoir ». Et où limite il y a ce nuage de la tromperie qui plane dans le sens où si l’on a refusé ce sera de notre faute. Lorsque l’on fini par céder cela semble tout à fait normal et donne l’impression que l’on est d’accord alors que pas du tout. Prise de conscience il y a peu, très violente et dure à digérer. Il y a un gros travail à faire sur le sujet. Mais pour avoir côtoyer pas mal d’hommes en tant que amis , aucun n’auraient admis que leur « pote » puisse être un violeur.
Petite précision, je suis une femme.
Quand j'étais enfant (~4ans) j'étais très câline. Je voulais faire des bisous et des calins à tout le monde. Et même ceux qui ne voulaient pas. Ma mère a commencé à m'expliquer que forcer qql1 à faire qql chose qu'il ne voulait pas c'était etre méchante (et plus tard, elle a employé le mot d'agression). Que je ne devais jamais forcer qql1 qui n'avait pas envie. Et toujours TOUJOURS m'arrêter immédiatement dès lors que la personne manifeste sa non-envie. Moi et mon petit frère par extension, avons grandi avec le "si qql1 dit non, c'est une agression."
A ce jour la question du consentement ne s'est jamais posé ni avec moi, ni avec mon frère (qui n'a jamais cédé à la pression viriliste. Il a tjr assumé d'être puceau et de ne pas avoir eu de copine. Il aime raconter que sa première fois ce soit passé après son mariage avec son premier et unique amour.)
Tout ça pour dire, oui, l'éducation au consentement est essentiellement pour ne pas faire de mal aux autres, ou de mal à soi.
Très cool ! ça montre que c'est pas si compliqué d'élever des enfants normalement.
Ces podcasts sont une bénédiction, merci Victoire !!
Merci tellement pour vos super podcasts variés, pertinents et inclusifs. C'est important aussi pour les garçons d'apprendre à respecter leur propre consentement qui est malheureusement un sujet à propos duquel on parle très peu mais quiest bien plus récurrent que ce que l'on pense. Le self-respect est sûrement aussi l'une des clés pour les hommes qui leur permet d'apprendre à respecter les femmes.
Merci pour votre travail. Cette série de podcasts est géniale.
J'aime beaucoup votre podcast. Je suis surpris que dans cet épisode vous ne reveniez pas sur la définition même de consentir. Le consentement ça revient à accorder quelquechose à autrui. Ça ne veut pas forcément dire qu'on en a envie. Par conséquent, le consentement d'une femme permet juste de respecter la loi afin que la relation sexuelle ne soit pas considérée comme un viol. Cela dit il me semble évident que respecter la loi n'est pas suffisant pour être heureux. Pour que la relation sexuelle soit vertueuse pour les deux partenaires, il est clair qu'il faut que les deux en aient envie. Il n'est pas si surprenant que des femmes qui ont consenti aient pourtant des remords par la suite car une relation sexuelle sans envie doit effectivement être traumatisante. M'est avis qu'il faut augmenter le niveau d'exigence et attendre des hommes qu'ils s'assurent que la femme en ai bien envie plutôt que de se contenter d'obtenir son consentement.
Je suis tout à fait d’accord, et c’est bien la première fois que je vois ce type de commentaire. Je pense que le consentement ne suffit pas, et personnellement je ne souhaiterais pas coucher avec une femme qui consent mais qui ne me désire pas.
Quelle tristesse de consentir à coucher avec quelqu’un alors qu’on n’a pas de désir !
@@tp230 mais tellement commun...
Parfois (souvent?), la femme se laisse faire par peur, par pression, pour cesser d'être harcelée. Elle ne dit pas "non"... Mais peut-on vraiment définir cela comme du consentement?
Je me souviens bien de ce ressenti, on n'a envie, on se laisse faire pourtant et après on ressent un mal être abyssale
Ce audio sur sexe sans consentement me fait écho. J'ai vécu plusieurs fois cette expérience : on se retrouve à avoir un rapport sexuel qu'on n' a pas désiré. J'essaie de me rappeler de ce que je pouvais ressentir à ce moment là et pourquoi j'en étais arrivée à me laisser faire. Au départ, il y a une rencontre et un avant sympathique et amical, on est souriante, gentille et l'homme croît que l'on a envie, on se laisse faire parce que on sent coupable d'un possible agichement. Après, c'est terrible, on se sent mal, sale, honteuse doublé d'un dégout profond. Et à l'âge que j'ai, je me souviens de ce moment là des années après...
Impossible de trouver une rediffusion du documentaire... c'est bien dommage !
On a grandi dans une société qui nous fait intégrer qu'une fille qui a suscité le désir d'un mec ne peut plus se défiler sinon elle est une "allumeuse". Évidemment le pendant masculin de l'allumeuse n'existe pas. L'allumeuse, c'est le concept qui va bien pour faire comprendre aux filles qu'elles doivent coucher avec un mec passé un certain "stade". Par exemple si tu es avec un mec chez lui, quand il aura envie de coucher avec toi, même si pour X raisons à ce moment là tu ne veux plus, bah tu crois que en tant que meuf tu dois le faire quand même.
Ne vas pas chez lui...
@@lafrancetartuffe euh moi personnellement ça ne risque pas de m'arriver. Mais pourquoi ? Pourquoi une fille ne pourrait pas aller chez un mec sans forcément avoir prévu le déroulement de la soirée au centième de seconde ?
@@el0oizak32 si elle le fait c'est qu'elle est stupide ou malhonnête ou les deux
@@lafrancetartuffe "Ne vas pas chez lui" "Elle est stupide ou malhonnête ou les deux" donc c'est de sa faute mais pas de celle du mec qui décide de la violer, c'est ça ?
Tu sais pas lire ? "si pour X raisons à ce moment là tu ne veux plus" si la meuf veut plus elle a le droit de refuser non ? Tu peux penser qu'elle est stupide ou malhonnête, on s'en fout. Si elle ne veut pas, alors elle ne veut pas et la forcer veut dire la violer. C'est tout, c'est pas plus compliqué que ça.
Vu comment tu penses, évites d'inviter des femmes chez toi, parce que si elles veulent partir, tu trouveras ça normal de les violer, et c'est très gênant. Mais t'en a conscience donc on peut dès aujourd'hui prévenir le pire en évitant que tu invites qui que ce soit. 👍
@@MrBanarium la faute de l'un n'excuse pas celle de l'autre... Médite ça bouffon
En espérant que les générations à venir soit assez prévenues/éducqués pour ne plus que cela arrive..
Ça va être long et compliqué certains commentaires ici sont d’une misogynie sans nom ...
L'un des meilleurs épisodes si ce n'est le meilleur. Très intéressant 18'55'' 22'25'' à 23'30" et 27' tout particulièrement
Merci pour cette vidéo c’était très intéressant ! Et merci d’avoir parlé de la situation où l’homme peut aussi être dans la position de victime et être forcée. En tant que féministe je peux comprendre que ça peut être délicat car on a peur que ça soit repris par des masculinistes par exemple contre nous pour décrédibiliser le fait que ce sont majoritairement les femmes les victimes mais c’est très important qu’on en parle et qu’on écoute sans préjugés les témoignages de ces hommes. C’est important car même en étant féministe on a biensur internalisé des stéréotypes comme tout le monde depuis le plus jeune âge et la déconstruction des stéréotypes, comme ici l’hypersexualité présumée des hommes, est un continuum. Je pense que cette pression sociale d’être hypersexuel vient en grande partie des autres hommes et d’eux même qui se disent qu’ils doivent tjs avoir envie, qu’ils ne sont pas un vrai homme si ce n’est pas le cas etc donc je pense qu’il y a de la culpabilité aussi, je pense aussi que c’est lié à de l’homophobie (« si tu n’as pas tout le temps envie de baiser c’est que tu dois être gay pcq un vrai homme a tout le temps envie de baiser » )mais c’est important de parler du rôle des femmes aussi, et la réaction de l’interviewé qui a rigolé lorsqu’elle a entendu le témoignage du gars et ne la pas pris au sérieux tout de suite montre l’importance d’en parler et de se déconstruire nous même les femmes, car ayant internalisé l’idée que les hommes sont hypersexuels on va voir comme anormal le fait qu’il n’ait parfois pas envie et cela peut nous conduire à insister, à le culpabiliser de ne pas avoir envie et à force d’insister il peut finir par « accepter ». Si nous, les femmes féministes n’en parlont pas qui va le faire ? Nous savons que les hommes victimes de viol sont beaucoup moins pris au sérieux, ils culpabilisent et n’en parlent pas. Il y a des hommes victimes et ils ne méritent pas moins notre soutien et notre empathie. J’ai réalisé que cette situation inverse où l’homme pouvait être victime dans un rapport sexuel pouvait exister notamment grâce au compte instagram @tubandes (à la base adressé aux hommes pour déconstruire leurs stéréotypes et préjugés et notamment leur apprendre à respecter le consentement des femmes) que je vous conseille qui avait partagé des témoignages anonymes d’hommes qui racontaient que ça leur était arrivé
De plus comme très peu d’hommes victimes en parlent car ils savent qu’ils ne seront pas pris au sérieux, on a très peu de chiffres et de statistiques à ce sujet.
Pour ne pas reproduire des actions de ce type il faut en avoir conscience et en parler. En avoir conscience permet de ne pas nous même faire subir cette pression à un homme si il nous dit qu’il n’a pas envie, ne pas insister et ne pas le faire culpabiliser de ne pas avoir envie. Lui faire comprendre qu’il a le droit de ne pas avoir envie, qu’il est légitime comme n’importe qui. Et ça revient à ce que vous dite et à comment l’interviewé éduque son fils qui est une très bonne chose je pense : lui apprendre à respecter son propre consentement pour respecter celui des autres (ex : ne pas lui imposer des bisous non désirés de la part de proches etc.).
Il est important d’en parler même si les situations où une femme est victime et un homme victime ne sont pas comparables dans le sens où les hommes ont surtout cette peur d’être moquée alors que les femmes ont davantage peur d’être tué par l’homme dans ce genre de situation. Les femmes ont peur physiquement des hommes car elles savent qu’ils sont plus forts physiquement qu’elle et que si ils voulaient être violents avec elle ils pourraient. Alors que les hommes n’ont généralement pas peur physiquement des femmes
Un truc vachement important qui a été traité de travers je trouve : toute la partie autour 11:50 sur le sujet "prendre du plaisir à être forcée". Je pense que la question est terriblement floue, il faut définir et rappeler les termes. De quel plaisir on parle ? On peut forcer quelqu'un à avoir un orgasme, et c'est particulièrement traumatisant pour certaines victimes de viol. L'orgasme est étroitement lié au plaisir, donc quand un sondage demande "peut-on prendre du plaisir à être forcé.e", il est inévitable que beaucoup entendent "peut-on ressentir du plaisir en étant forcé.e" et c'est très problématique.
Et qu'est-ce qu'on entend par "forcer" ? Parce qu'il y a des fantasmes, du role-play, des kink, et il y a mille niveaux de réalités, de sincérité et d'acceptation dans le fait d'être forcé. C'est tellement délicat de résumer toutes ces nuances en une question adressée à 1000 inconnus.
Super sujet, merci pour vos podcasts
Dommage que le doc ne soit plus visionnable
Heureuse de vous découvrir.
Merci, beau geste.
je découvre votre podcast et il est génial. Merci !
Moi aussi je suis un garçon et J'ai eu de nombreux rapports non consentis avec mes ex copines, et certains de mes amis aussi. Vous avez l'air de ne pas avoir conscience de ce cas de figure, les rôles peuvent s'inverser.
Le passage où vois dites "J'ai failli rire"... m'as. Beaucoup déstabilisé. De plus vous ressentez le besoin de justifier ce cas de figure par une injonction masculine systémique (qu'en savez vous d'ailleurs, ne parlez pas au nom des hommes) alors que dans les cas que je connais et que j'ai vécu... On parle bien d'un homme qui cède à une femme. Et ce ne sont pas que des cas isolés qui sont arrivé une fois, mais avec répétition. Je pense que la plupart des hommes on dû le vivre aussi.
Je suis sidérée que tu n’es eu qu’un like et aucune réponse à ton commentaire .je venais juste moi même d’émettre un avis semblable au tien ,la seule différence est que je parle en tant que femme . Je crois que c’est podcast sont très intéressants mais beaucoup trop féministe. Ça me gêne
Incroyable podcast, passionnant et fait beaucoup réfléchir ! J’ai pris note des 40 min et y ai rajouté des réflexions personnels... en tout cas top merci beaucoup!
Très intéressant, merci de cet épisode
A propos du consentement, une fois après un rdv un mec m'a demandé s'il pouvait m'embrasser. Pourquoi pas, même si je suis d'avis que ce genre d'acte se fait au feeling. Mais soit. Je tiens à préciser qu'y avait 0 ambiguïté entre nous et il ne me plaisait pas et je lui faisais bien sentir (sans être méchante hein). Peut-être l'a t-il senti mais il a voulu forcer. 1er forcage. Donc je lui ai dit "désolée, non". Il allait partir, il s'est ravisé et m'a quand même embrassée "sur la joue". Quelle horreur. Second forcage. D'y penser j'ai des frissons de dégoût, j'abuse même pas. Et j'ai pas bougé tellement j'étais hébétée. À QUEL MOMENT il se passe ça dans la tête de quelqu'un ? À quel moment un "non" explicite peut quand même inciter à FAIRE la chose ? putain mais l'horreur. Et là c'était "juste" un bisou et j'ai pas su bouger. Donc je peux facilement imaginer si ça avait été autre chose. Bref. Remballez votre fierté un moment.
Beaucoup de filles m'ont dit " Ta pas de copine ? Comment ça se fait ? " Non pas que je ne veuille pas, bien au contraire. Mais c'est juste que j'ai tellement peur d'importuner et de passer pour un mec qui ne pense qu'à ça, que mon réflexe de défense c'est juste de ne jamais parler aux filles. Du coup elles ont eu beau me dire qu'il fallait que je m'exprime, ça reste plus fort que moi. Résultat c'est une solitude certaine qui se profile.
N'ai plus peur d'exprimer tes désirs, exprimer ce n'est pas imposer.
@@ericnicolleau4331
Mdr attend avant d'exprimer son désir il peut commencer par "salut, ça va ?"
Celles qui posent ces questions sont indiscrètes et stupides. Vous pouvez répondre : Ben moi je questionne pas les gens sur leur vie privée. La gêne changera de côté.
intervenante au top , bravo
Excellent épisode
Pour ma première fois, j'ai dis une phrase qui a été mal interpréter par mon copain de l'époque. Il l'a pris pour une proposition à l'acte et quand il a demander confirmation, je n'ai pas oser lui dire non. Je n'en avais pas envie, je ne me sentais pas prête, mais j'avais peur de le décevoir et je me sentais coupable d'avoir dit quelque chose qui sous-entendait que j'avais envie de coucher avec lui donc j'ai accepté. Je n'ai eu aucun plaisir et je suis pas certaine qu'il en ait eu lui-même.
Deux semaines après il m'a quitté, je n'ai jamais su s'il y avait un lien, puisque je n'ai pas écouter ses explications. Mais ça m'a beaucoup marqué pendant plusieurs mois. Il m'a fallu 6 mois pour en parler avec une amie et pendant plusieurs années c'était comme un tabou pour moi. Je n'ai pas eu de répulsion envers tout ce qui touche au sexe, mais je me sentais coupable d'avoir accepter un acte dont je ne voulais pas et ça m'arrive encore de me sentir mal à l'aise en repensant à ce qui s'est passé.
Encore aujourd'hui, je suis mélanger entre l'envie de savoir ce qu'à ressenti mon ex et lui dire ce que j'ai vécu (étant donné on en a jamais parlé et que je ne pense pas qu'il est comprit que je n'en avais pas envie) et ne jamais en parler avec lui.
La dernière fois que j'ai expliqué à un prétendant que s'il avait envie de m'embrasser, je préférerais qu'il me demande à haute voix plutôt que d'essayer de décrypter mon pseudo langage corporel. Sa réponse : "j'aurais l'impression d'être un petit garçon, généralement les femmes non féministes apprécient mes initiatives" ..
D'autres femmes m'expliquent que "c'est quand meme vachement plus sexy de se faire prendre par surprise contre un mur". Tout ca parce qu'on se fait remplir la tete par les films, la television ou meme des romans, de ce qui est sexy et virile.
Il y a 10 ans, expliquer qu'on devait arrêter les préliminaires pour enfiler une capote, ca avait l'air rebutant et pas très sexy. Aujourd'hui, dans toutes les séries ou les films, cette pause est devenue anodine et entre parfaitement dans le rythme.
J'ose imaginer que dans 10 ans, les futures generations s'offusqueront de ne voir ni capote ni consentement lorsqu'ils visionneront ces "classiques" parce qu'ils auront appris à prendre leur temps et à se parler lors de leurs futurs rapports sexuels. Meme pour un simple plan cul.
En plus c'est des conneries ! Une fois j'ai demandé à une fille si je pouvais l'embrasser, elle m'a avouée plus tard que c'était un des trucs les plus sexy qu'on lui ai jamais dit. Depuis je demande l'autorisation pour certains trucs, et ça marche !
Ben, pour le truc de "se faire embrasser contre un mur", franchement j'ai envie de dire ça dépend de l'ambiance haha ! Si vous vous chauffez toute la soirée et que c'est entendu et évident, je peux comprendre que l'envie soit là... Après je suis plutôt d'avis qu'embrasser qqun c'est un truc qui se fait très naturellement (et c'est aussi très facile de refuser et on n'est pas considérées comme des "allumeuses" si on fait ça d'ailleurs..). Mais c'est sûr que si un mec qui me plaît bcp me demande, ça ne va évidemment pas me rebuter ^^
Victor Schneider je confirme je trouve ça également ultra sexy
Sur la question du consentement masculin, j'aimerais dire que quelque part, la situation est encore pire que pour les femmes. S'il est bien sûr atroce de forcer une femme à coucher sans son consentement, il me semble qu'en fait la question n'est même pas posé pour les garçons. Ce n'est même pas un sujet et surtout en couple. On part du principe "qu'ils ont tout le temps envie".
Vous imaginez une rhétorique pareille pour les femmes. Si on couchait avec vous sans vous demander parce que vous "avez tout le temps envie" et que le conditionnement culturel avait réussi à vous le faire croire ?
Complètement d'accord !
Ni les hommes, ni les femmes n'ont les bonnes clés pour parler de leur sexualité . On est tous coincés dans des rôles et des cases et ça commence à devenir étouffant .
Mais comment amener une forme de dialogue , avec un partenaire d'une nuit par exemple ?
Dans un couple c'est peut-être plus simple - même si ça demande de briser certains dictats également - parce qu'il y a l'amour qui permet de faciliter les choses .
Mais quand on a envie de s'amuser avec d'autres partenaires !? La communication c'est un enfer ... Alors qu'on aurait tous à y gagner .
"J'aime faire ci et ça, je l'aime comme ça, je donne autant et si ça marche, j'aimerai te revoir. La capote est obligatoire, pas de violence improvisée, pas de gorge profonde etc..."
Dans l'idéal on pourrait déposer un cahier des charges , mais en réalité ça semble impossible à mettre en place.
@@Calamity_Jem faut je pense revoir complètement les codes de séduction et arrêter le petit jeu "sous la table", où rien ne se dit mais tout se fait.
@@vinzstow Je crois qu'il faut qu'on apprenne à jouer carte sur table genre "ok, on sait tous les deux de quoi on a envie mais d'abord faut préciser COMMENT on en a envie"
J'imagine que si ça devient un réflex commun à tous ça aura plus rien de "tue l'amour"
@@Calamity_Jem Je pense que nous avons tendance à complexifier et que les choses ne sont pas aussi compliquées que ça. Je me dis que le plus simple est d'en parler, de demander, de proposer.
@@emelpuck5437 Les choses ne sont pas compliquées pour toi parce que tu ne te poses peut-être pas beaucoup de questions et que tu ne te met pas à la place d'une femme.
Peut-être que je me trompe à ton sujet, mais les hommes à qui je parle et qui savent de quoi il en retournent au sujet du consentement n'avancent pas qu'on a "tendance à tout complexifier" .
Ça m'est arrivé avec un collègue. Dîner et café chez lui. La tronche pitoyable lorsqu'il a compris que non je n'allais pas couché avec lui parce que j'avais accepté de monter chez lui. J'avais 20 ans et j'étais encore naïve. Il m'a pourri la vie après ça au taf'. Et puis le souvenir d'autres garçons adorables et d'une galanterie incroyable.
Oui mais t'as pas couché, donc oui, c'est possible.
Il y a aussi le problème de certaines relations, où même en demandant où en s'inquiétant, en cherchant le dialogue, l'autre peux décider de "faire plaisir" à l'autre ( homme où femme) d'ou l'importance d'avoir une discussion avant . Et si ça se passe spontanement, qu'un simple geste où un mot puisse arrêter l'acte et permettra une ouverture à la discussion
Expliquer pourquoi on ne veut pas c'est épuisant
Et il est inacceptable d'avoir à le faire... Le non-consentement ne se discute pas, personne ne devrait avoir à "se justifier"...
La seule chose à faire est d'écourter la rencontre au plus vite.
Ce podcast tombe à pique : j'ai vecu ca il y'a quelques semaines en allant chez un homme ou la soirée ne devait etre que jeux de société avec un couple d'amis à lui et apres voir le feu d'artifice.il y'a bien en eu le jeu de société et quand le couple d'amis et partie cette homme à eu rapport non consenti avec moi je lui ai dit non il entendait par là oui j'ai complétement dissocier...et pourtant tout mon corps lui disait non mais il a quand meme forcé
Il n’y a pas moyen d’avoir accès au documentaire ?? Il n’était qu’en accès limité à la télé ? J’aimerais beaucoup le voir
Je me souviens quand j'ai compris quelque chose d'essentiel : les femmes aussi aiment le sexe.
J'ai l'impression que c'est un mythe assez répandu chez les jeunes hommes selon lequel les femmes aiment moins le sexe que les hommes. Je devais avoir 19-20 ans quand j'ai pleinement compris ça, c'est si TARD !
Je comprends maintenant que j'ai du avoir des comportements nuls avec ma première copine, et qu'avec le recul, j'ai peut-être abusé de ma position de "petit ami" pour faire l'amour, "après tout c'est normal on est en couple", et elle devais le penser aussi. C'est assez douloureux d'y repenser...
Maintenant, je n'hésite pas à en parler avant, à demander l'autorisation pour certains actes, à déceler au mieux les gestes de l'autre qui trahissent un manque de désir. Je trouve tout cela plus facile, de par le simple fait de savoir qu'une femme peut avoir autant envie de moi que je peux avoir envie d'elle.
oh et bien bravo je connais tellement d'hommes qui n'ont toujours pas réalisé voire accepté qu'une femme aussi a besoin et envie de sexe et que ce n'est ni bien ni mal, ce sont des désirs et instinct de base, juste nous n'avons pas le droit de les exprimer.
Deux choix, soit on les exprime et on se fait humilier (on est une chaudasse) soit on les réprime et on passe dans le club des frustrées, dont font partie beaucoup de femmes. Oui la femme aussi connaît le manque de sexe, pourtant on croule sous les propositions mais...on a la barrière du jugement qui nous empêche d'accepter mais aussi le besoin d'être aimée pour se donner, d'avoir confiance (parce qu'un mauvais partenaire peut faire très mal).
Celles qui s'en fiche et y vont quand même, sont épanouies sexuellement mais on souvent des coups de blues parce que leurs partenaires ne rappellent jamais ce qui fout un coup à l'estime de soi.
Quel que soit notre comportement on sera toujours une salope, si l'on a couché ou salope si l'on n'a pas voulu...quelle triste impasse, comment en est-on arrivé là ?
Lire ce genre de commentaire me rassure. Si tous pouvaient raisonner comme toi... et 19/20 ans, finalement par rapport a la moyenne des autres garçons, c'est assez tôt pour t'en être rendu compte.
Je pense que tu es plus censé et plus empathique que la majorité.
Maintenant tout ton travail est de passer le mot à tes confrères !
@@cathy266 en un commentaire tu viens de résumer ce que j'ai toujours essayé d'expliquer aux hommes qui pensaient avoir une sexualité moins épanouissante que la notre, sous prétexte qu'on avait le choix. Alors que comme tu dis... il y a tous ces codes et ces jugements qui nous pesent dessus et qui peuvent parfois nous empêcher d'y aller ou d'exprimer nos désirs + les mauvais partenaires qu'il faut "trier", déceler au préalable, ou même faire face pour pouvoir simplement obtenir du sexe...
J'ai eu un sujet comme ça sur le consentement dans l'acte de soin. Est-ce qu'une fois que le patient est admis à l'hôpital, son consentement est irréversible durant tout son séjour dans l'établissement. Et la réponse est "non" évidemment. Ça paraît logique que la personne puisse changer d'avis à tout moment. Ce serait grave sinon.
Mais bon, pour les hommes c'est vraiment compliqué. Ils n'entendent que ce qu'ils veulent entendre. Et je pense qu'il faut être clair avec eux dès le départ. Si il y en a un qui nous invite chez lui et qu'on sait qu'on risque de passer à la casserole et bien on ne va pas au rendez-vous, point bar. Sinon ça peut vite mal tourner. A partir du moment où l'on se retrouve dans leur territoire, il n'y a plus de "je ne veux pas" qui tiennent.
De toute manière on apprend la vie par nos erreurs n'est-ce pas?
Ba non t'es censé pouvoir dire non n'importe quand même dans l'intimité... Même si c'est contre intuitif
Le viol, une erreur ?
Je ne suis pas d'accord sur la partie ´territoire de l'homme je ne me priverai pas de dire non si je ne veux pas franchir une étape, que cela soit celle d'un bisou, de s'arrêter aux préliminaires et de dire stop pour la pénétration ou encore pour une pratique que je n'ai pas envie de faire, que cela soit sur le moment ou pour toujours! Par exemple, je peux avoir bien voulu hier mais ne pas vouloir aujourd'hui !
Donc si on va au rendez vous et on dit stop quand Ca dépasse nos envies, il faut en parler 😊
Pour le consentement au soin, je suis tout à fait d'accord, pour le reste , pas vraiment. Le terme "passer à la casserole" veut tout dire , et là je trouve que c'est cher payer ses "erreurs".
Drôle d'hospitalité que de penser qu'on peut faire n'importe quoi à quelqu'un dès l'instant où il se trouve chez nous, sur notre territoire...En tant que femme, ça ne te viendrais même pas à l'idée de forcer qui que ce soit à quoi que ce soit, sous prétexte que tu l'a invité chez toi...Il est vrai que c'est notre responsabilité à tou(te)s de rester prudent(e) et de bien connaître quelqu'un avant de le suivre, mais en aucun cas cette imprudence peut servir d'excuse à l'agression. Cela doit être (ou devenir) clair pour tous.
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A propos du film : on ne connaît pas l'âge des hommes interrogés. Ce serait pourtant très intéressant. Car en vieillissant on a acquis les mots, le langage propre à la sexualité et surmonté certaines pudeurs : on dit les choses et on sait mieux entendre les réponses
c'est passionnant !
Ya une règle que je respecte c est que mes rdv se passe toujours en public et quand je vais chez la personne c est qu il m est devenu familier et que j ai décidé de passer à l l'acte,jamais avant, sa évite beaucoup de malentendus.
Et tu as raison. Dommage que certaines n aient pas ce bon sens.
Non mais on peut "décider de passer à l'acte" au resto et puis arrivée chez lui ne plus avoir envie.
@@pierretteperdrix5706 bien sur,a conditions de bien connaître la personne et être sur que notre volonté serait respectée
C’est bien de respecter une règle de prudence (qui n’est dans aucune loi)
C’est bcp mieux de respecter la loi qui interdit les viols.
Au passage, quand tu expliques tes règles qui t’ont protégées jusqu’ici, tu risques de culpabiliser des victimes qui n’auraient pas pu/su le faire.
@@Souxie123 si tu as perçu dans mes propos la culpabilité c est que je ne me suis pas bien exprimé,ma rédaction est a revoir 😊
Les hommes aussi bien que les femmes sont coincés dans les stéréotypes de genre : un homme doit être un mâle conquérant et soit-disant" viril" et une femme douce et soumise. De toute façon la vraie sexualité qui apprend le respect de l'autre est tabou. Face à cette question les gens se retrouvent face à leurs blocages et cela fait peur...
À partager en masse ❤🙏
Dans une relation
amoureuse,
l'injonction de défi ou
de challenge prime
sur le désir,
l'entendement, et
le consentement.
Sans ces derniers,
l'Amour est surréaliste.
CSN
Je crois peu au "fantasme de l'égalité" chez les gars (ou les nanas).... II me semble que la vision de l'homme est biaisée dès le départ, et qu'un mélange d'égoisme et de paresse intellectuelle font qu'ils ne se préoccupent parfois tout simplement pas du consentement de leur partenaire.... les filles manquant aussi parfois de recul;
l'éducation : le remède ?
Concernant l'éducation sexuelle je serai meme pour des groupes choisis par leurs participants. Et multiple. Si la meme personne a autant de cours homme, femme, non genré, sur Les rapports de couple et de célibat ... Cela permettrais de montrer plusieurs cas de figure et de permettre aussi parfois une certaine intimité pour libérer la parole.
J'ai une amie qui est amenée à dispenser des cours d'éducation sexuelle chez les jeunes. En Suisse. Elle m'expliquait qu'il est indispensable de poser les base en commun mais aussi de faire de petits groupes. Dans ces groupes à certains moments il ne mélange pas toujours les genres. Dans ces moments que ce soit pour les groupes de fille comme garçon, la parole se libére. Bref qu'il est important d'avoir plusieurs étapes et plusieurs types de groupes dans le processus. L'idée que à moment ils consistuent eux même leur groupe est très pertinente.
bonjour, ou puis-je trouver le documentaire hélas il n'est pas dispo...? help :(
Pureeeee, la mèche de cheveux !!! Et c la jeune génération !!
Hallucinant ! Puis le " ça c'est un bon indice. Heu ... ça peut être un mauvais mais ça peut être aussi un bon indice. " 🤔
Dans la réception féminine du consentement, j'aimerais pointer une chose. Il faut faire attention de ne pas coucher avec des garçons qui n'ont pas vérifié votre consentement ou qui n'en ont pas les moyens. Sinon, vous favorisez un comportement "jenfoutsite" des hommes au regard du consentement. Dans ce cadre, il faut faire attention au sexe lorsque vous êtes alcoolisées. C'est ok de baiser sous beaucoup d'alcool, si vous êtes en accord avec ça dès le départ, mais dîtes-vous que les hommes qui viendront vers vous dans cet état, eux n'en auront aucune idée. Et vous allez donc vous donner à des profiteurs et des "jenfoutistes" alors que "les mecs biens" eux n'iront pas draguer des nanas trop alcoolisées ne pouvant être sûrs de leur consentement.
@vinzstow waow, donc de victimes elles passent coupables, bravo ! Parce que ces pauvres messieurs ne pourront pas se contrôler et en plus ça nuira aux gentils messieurs qui n'y sont pour rien... Donc ne buvez pas d'alcool, et si vous en buvez c'est à vos risques et périls, faudra pas vous plaindre après ?!
@@Orianne_G vous n'avez même pas essayé de comprendre ce que je disais.
Te poserais tu la question, de savoir si un homme est bien consentant s'il est alcoolisé ?
Pourquoi voire une fille alcoolisé comme un être passif qui se fait draguer par des profiteurs.
Une fille alcoolisé peut très bien draguer un garçon,
si le garçon répond positivement à ses avances ça fait de lui un salaud ?
@@jeanbalecouye7974 oui, ça fait de lui un salaud.
@@vinzstow OK et si un garçon alcoolisé couché avec une fille qui ne l'est pas ça fait d'elle une salope alors selon ta logique ?
Il n y a pas que les garçons les hommes adultes aussi . C est incroyable et la femme se demande ce qu elle a pu faire pour que la situation évolue ainsi.
J ai un âge certain et la situation n évolue pas
ce que j'entends c'est souvent un rapport de force de la part de l'homme ?
Sujet intéressant, cela va m'aider dans la phase de séduction et de contact rapproché intense avec ma partenaire.
vive la binarité "les filles d'un côté les garçons de l'autre"
c'est la pire idée: tout ce qui est dit est valable dans tous les camps, c'est justement pour ça qu'il y a un grave manque de connaissances chez les garçons concernant le concentement et la vulve Tout le monde doit pouvoir avoir accès à la même information. Et puis de toute façon s'ils rigolent, et alors ? ça donne souvent l'occasion d'en discuter et ouvre des débats, permet aux jeunes de poser des questions
secondement, vous excluez les personnes non-binaires, ce qui est complétement horrible. 50% des jeunes trans tentent de se suicider, vouloir les mettre dans des cases juste parce qu'il ont un appareil génital spécifique ça s'appelle de l'agression/transphobie. c'est pas comme ça que ça va s'améliorer.
Emission intéressante mais j'ai vraiment pas aimé la fin quand on dit "oh la la c'est surtout les femmes qui se font agresser". Oui, c'est un fait, mais la façon dont vous le dites minimise beaucoup la situation des autres genres.
Très très intéressant. Je trouve néanmoins un peu dommage de n'avoir pas d'homme pour cette émission. Bien que je comprenne que l'émission se focalise sur le documentaire de Delphine Dhilly, il n'est (il semblerait) plus disponible, donc cela produit une écoute biaisée, ou partielle des propos. On a envie d'avoir cette "vue d'ensemble" donnée par le documentaire. Merci pour les références en descriptions!
Delfine Dhilly a dit qu'il serait intéressant de faire un documentaire sur ces hommes et leur rapport à ce consentement, face à ces injonctions de la société qui font qu'un homme est virile ou non, pourquoi un refus une non possibilité de la communication est pour eux un "oui". Nous devons être patientes et patients pour connaître le point de vue du sexe opposé.
Le documentaire se base sur des relations hétérosexuelles et une lumière sur la communauté LGBTQ+ pourrait encore plus ouvrir les yeux à tout le monde car, malheureusement, cette communauté reste toujours dans l'ombre.
le documentaire est bien disponible il est juste sortie plus tard de quand à été mise en ligne cette vidéo qui est vraiment intéressante. Je te donne le lien du documentaire si tu le cherches toujours -> ruclips.net/video/8Lqye0w4MH8/видео.html
Sur le documentaire officiel des hommes sont interviewés. Il a été diffusé hier et est dispo sur RUclips.
@@NekoHansi Elles ont interviewé des hommes à la plage et en soirée. Bonjour l'objectivité de la sélection des témoignages..
Donc même sur le consentement des filles/femmes, il faudrait l’avis d’hommes, hommes qui s’expriment partout, tout le temps et sur tout. Même sur l’avortement. Mais t’as pas honte ?
Quand j'étais jeune, on se susurrait à l'oreille "j'ai envie de toi" et du coup, on le savait à la réponse. Et cette petite phrase est super sexi...
A partir du moment où elle me demande de mettre la capote pour moi c'est assez claire.
Oui c’est évident qu’un peu de jeu fait partie de la séduction 🤷🏻♀️ ça ne veut pas dire que c’est grave et que c’est un non consentement,c’est juste que les femmes aiment bien faire attendre et se faire désirer .je trouve que vous avez tendance à trop analyser en profondeur et à trop intellectualiser .c’est nocif au final
d'autre part... quand un mec est respectueux avec une fille... gentil... prevenant, il est taxé de "moue".. pas viril.. on le prend pour un sous homme limite... je pense aussi qu'il faut remettre en question leducation des filles et qu'elles s'interrogent aussi...
cest quoi la virilite pour une fille?
non c'est non.
sans aller chercher l'éducation des filles
Ce n'est pas l'éducation des filles qu'il faut remettre en question mais la construction de la masculinité dans nos sociétés. Ce n'est pas que dans la tête des femmes qu'un homme qui ne répond pas à certains critères comme le fait d'être viril, musclé, etc. n'est pas considéré comme un "vrai" homme, mais c'est dans la conscience collective...
Ca vient clairement de l'éducation ce problème avant tout. Le virilisme c'est prouvé aux autres hommes qu'on est bien dans la bonne norme masculine. Bien sûr que les femmes sont socialisées aussi à accepter cela, mais beaucoup que les hommes étant donné qu'elles le subissent !
Shannon L’angoisse de devenir indésirable en devenant trop prévenant est un réel ressenti des hommes, souvent inspiré par l’observation des succès et des déconvenues des autres garçons. On peut le regretter, mais c’est comme ça! Et tout ce que vous avez à répondre, c’est si nous sommes plusieurs à préférer le bad boy, ou avoir trouvé des gars gentils fades, ben c’est pas de notre faute; c’est la construction de la masculinité dans nos sociétés, la conscience collective. Dommage, pour rester courtois!
Si vous êtes assez c... pour céder sans avoir envie, faut vous en prendre à vous mêmes... Vous dites non et vous y restez, c'est pas difficile. Je ne parle pas évidemment de contrainte, qui est à gerber et est un viol, mais de dire oui par "lassitude" ou par gentillesse ou pour passer à autre chose.
La personne qui continue à initier un rapport alors que l'autre personne dit non est à gerber. Et puis ça a clairement été dit qu'il y avait la peur qu'il y ait de la violence, que ça passe à un viol beaucoup plus traumatisant si la personne continue à dire non ou à se débattre.
Et la sidération?
@@ilsarno6452 La sidération qui fait band...r? Mdr
@@FlecheDeFer non, sidérer, ce n'est pas bander, c'est lorsque votre corps bous paralyse et fait voyager votre esprit ailleurs, pour ne pas vivre ce qui vient. Renseignez-vous, lisez, vous vous rendrez compte que c'est bien plus compliqué ....
Finalement, la meilleure solution pour être un homme ayant les bonnes valeurs masculines sans avoir les mauvaises et sans subir d'inconvénient est d'être autiste et d'avoir une apparence masculine très marquée. L'autisme permet d'avoir un sens de la justice exacerbé et une difficulté à voir, analyser et comprendre les codes sociaux. De cette manière, on évite les comportements malveillants. Et avoir un physique impressionnant permet d'éviter le harcèlement suscité par l'autisme et le fait de ne pas coller à la norme. Je dis cela car en y pensant, c'est exactement ce qui m'est arrivé. Je rajouterai le fait d'avoir un père autiste avec un sens du devoir exacerbé. Il s'occuper des tâches domestiques avec brio car lui aussi n'avait pas incorporé que c'était une affaire de femme.
Ton commentaire bourré de stéréotype, l'autisme varie d'une personne à l'autre.
Quoi ? Je connais pleins d'homme qui ont intégré toutes ces notions féministes et qui n'ont pas eu besoin d'être autiste.
Franchement, si on lit ton commentaire en diagonal on comprend : "faut être autiste pour faire la vaisselle"
@@victorschneider9164 non mais laisse, roen que sa dernière phrase avec son "affaire de femme".. C'est pas le torchon le plus nette du panier lui
@@emels1199 Effectivement, en me relisant, j'aurais du préciser que je parlais de mon cas personnel et que c'est de cette façon que j'explique ma masculinité aujourd'hui comme le fruit de cette expérience de jeunesse. Le virilisme dans le corps grâce à des avantages génétiques principalement mais une absence de virilisme dans l'esprit de part mon éducation et mes troubles autistiques et le fait d'avoir eu pour exemple un père qui assumait tout tandis que ma mère était une bipolaire clouée au lit. J'espère que c'est plus clair. Je ne recommande cela à personne au passage. Le fait d'avoir une mère bipolaire est particulièrement destructeur, je ne souhaite cela à personne.
On devrait arrêter le sexe non ?
Une fille qui consent elle va toucher son partenaire, le caresser...participer au coït. Si elle ne bouge pas, que l'expression de son visage est triste, embarassé ou horrifié...c'est qu'il y a un malaise. Ça se voit si la fille ne veut pas...faut arrêter hein.
Min 26:30 je suis anti-bisous, je remercie le covid pour ça. Ces rituels de famille à lécher la pomme de gens que tu croises une fois dans l'année ça m'agace. Et mes enfants ne feront de bisous à personne. Le "fait un bisous à la dame", que tu ne connais même pas je trouve ça naze.
Autant je suis pour le tactile, qui va te faire rentrer dans la bulle de quelq'un et marque une confiance mutuelle. Mais le bisou baveux de Tonton ou tata, c'est mort.
Merci Covid
C’est t’on un jour posé la question pour les hommes ? Ne sont ils pas parfois fatigués de leurs journées ?et si on les caresse on sait que 99% des fois leurs corps auront une réaction favorable alors que leur cerveau dit non …
Là aussi, l'homme ne doit pas craindre de dire je suis crevé, la femme aimante comprendra.
Personne ne DOIT être un distributeur automatique de plaisir
Mais en même temps si la fille ça l’amuse de jouer un peu avec le mec. C’est peut-être pas un jeu que pour eux peut-être que pour les filles aussi nan. Enfin certaines en tout cas. Desfois dire nan pour se faire désirer et prier c’est aussi quelque part pour flatter notre ego. Par contre si le mec devient violent ne serait ce que psychologiquement là on sort du jeu et on se barre c’est tout.
Mais en vrai dans la séduction la femme a quelque part le pouvoir puisque c’est elle qui décide au final qu’elle couche ou qu’elle couche pas c’est elle qui l’a voulu. A elle à se respecter dans le sens à s’écouter et à faire ce que elle elle veut vraiment sans se laisser influencer par l’intimidation ou la culpabilité ou que sais je
C'est pas explusif aux femmes. En tant qu'homme, j'ai moi aussi été dans le cas où je flirtait juste pour me faire désirer, sans vouloir aller plus loin. J'ai été en quelle que sorte un allumeur.
Bon c'est pas arrivé souvent, mais je note qu'à chaque fois, la femme n'a pas été rancunière ou violente.
bah oui elles sont jamais clair, c'est toujours ambigu avec les femmes, déjà elles ont presque jamais envie. Et elles sont toujours à te narguer à jouer à j'ai envie j'ai plus envie, j'ai reenvie, c'est bon quoi y'en à marre de ce cirque. Faudrait qu'elles se décoincent un peu et qu'on puisse leur demander si elles veulent baiser et qu'elles disent oui facilement, hors là y'a des gars qui ont fait le test sur RUclips et sur 1000 demandes aucune fille n'a voulu, alors que l'inverse presque tous les gars on accepté même beaucoup qui avaient une copine, ceux qui ont refusé c'est juste qu'ils sentaient l'arnaque ou étaient timide.
@@drefhill c'est faux de dire qu'on a presque jamais envie... et c'est ambigu parce que sûrement qu'elle ne se sent pas suffisamment en confiance avec toi.
Si tu laisses place à la communication, peut etre qu elle aura l occasion de t'exprimer ce qu'elle veut réellement. Parfois certaines ne savent pas, et c'est ok. Pas la peine de s'imaginer qu'elle le veut.
Parfois j'ai l'impression que les hommes se font des films, qu'ils s'imaginent ce qu'ils les arrangenent. Voient des signes ou il n'y en a pas et voient pas les signes quand il y en a.
Alors oui je suis daccord pour dire que l'ambiguïté peut vous perdre. Mais c'est aussi a vous de la casser, cette ambiguïté. Sinon c'est peut être aussi qu elle vous arrange........
Monoï Monoï les femmes on autant envie que les hommes tu n’as pas l’air d’y connaître grand chose. Arrête de croire qu’elle te nargue non stop tu te fais des films arrête de te donner autant d’importance !
Monoï faut pas confondre une femme qui joue avec une femme qui n’en a vraiment pas envie... et il ne faut pas non plus confondre une femme qui n’a jamais envie de sexe avec une femme qui n’a jamais envie de toi...
Non aucun plaisir quand on est objetisée, oui si c un jeu de rapport de forces et que la femme garde son pouvoir.
Oui le thème : résister ou se donner : moi je pense que résister c se respecter car s'estimer. Ça s'apprend en posant ses LIMITES.
Sans amour cela déraille tout le temps !
En fait ça déraille quand le mec comprend pas qu a un moment précis il ne pense qu a lui le plaisir éventuel de sa partenaire il s en fout
Exactement. J'ai remarqué que plus in mec était soucieux de notre propre plaisir, plus il avait des chances de poser des questions et de communiquer. Alors que ceux qui se font des films et qui pensent a performer, et obtenir ce plaisir, ce corps, s'enferment dans leur désir et se deconnectent totalement de la personne qui se tient en face, jusqu a parfois nier ou oublier que l'autre a peut être pas l'envie...
Finalement, l'ego est surpuissant et est la cause de tous problèmes.
Sur le désir feminin, tout est question d'attirance et de contexte. On peut crusher sur un mec en soirée tout de suite, aller le voir, passer la soirée avec et coucher avec parce qu'on en a envie..
Voilà ! Il faut le consentement féminin et masculin
Et quand une femme dit NON c'est non.. Alors allez gérez vos frustrations les mecs..
Les femmes aussi on se fait rembarrer on nous dit non et on est pas des harceleuses ou violeuses en série
O hommes à entendre le non sans problème et le respect du corps et de la psyché féminine et le respect des limites exprimées.. NON NON NON c'est non !!
Moi j'arrive pas à jouir si la femme ne pleure pas.
On pourrait aussi évoquer le consentement des hommes en cas de paternité..ce serait bien que les femmes soient moins lourdes lorsqu'elles réclament un mome à leur conjoint et que ce dernier est obligé de répeter 100 fois qu'il en veut pas
Ce sujet capital doit être abordé bien avant la vie commune
Alors oui le porno aggrave l image de la femme dans la societe, mais rien n est fait d obligatoire pour expliquer a toute la population que le porno c est un moment personnelle et un moment de détente, et que l amour c est complètement different. Les gens qui ne font pas la different la sa devient grave. Dans le cas où la grand majorité font la diff, le porno ne devient plus un problème majeur parce que l image de la femme soumise a mon avis vient essentiellement de la, car c est les premier image d un garçon qui ne connaît rien a l amour et donc il se construit sa sexualité autour du porno, qu il en a conscience ou pas.
C'est marrant on parle toujours de l'image que donne le porno de la femme, mais jamais de celle qu'il donne de l'homme.
Tout dépend si il y a eu ou pas traumatisme sexuel dans l'enfance. Ou tout autre violence d'ailleurs.
Va saisir les nuances du consentement après ça.
Le désir à des nuances, le consentement n'en a pas. C'est oui ou c'est non :)
@@Tohkar
Un partenaire peut dire oui pour un acte "lambda" et non pour l'une ou l'autre position ou activité sexuelle en fait.
Donc il y à une forme de nuance mais ca se rapproche davantage d'un enchaînement de oui/non que la nuance de gris habituelle.
Il faut vraiment arrêter, trop c'est trop !!!!!
Lorsqu'une femme veut coucher, il est presque impossible lui dire non, par peur de se faire lourder.
Le consentement concerne tout les mondes, les hommes comme les femmes.
Qu'appelez-vous "se faire lourder"?
@@pierretteperdrix5706 : Rupture du couple.
@@mickaelegalite8335 Pensez-vous vraiment qu'une femme qui vous quitte parce que vous lui refusez du sexe vaille la peine de rester avec elle?
@@pierretteperdrix5706 : Cela ne m'est jamais arrivé à moi personnellement.
Ceci dit, lorsqu'un homme est violent avec sa femme, et que cette femme reste quand même, vous dites quoi, qu'il n'en vaut pas la peine, pourtant beaucoup reste.
C'est bien triste mais c'est comme ça.
La pression psychologique existe dans un couple, que se soit du coté masculin ou féminin.
Là où je veux en venir, c'est que cette chaine parle des hommes, mais jamais de ce qu'ils subissent comme pression provenant des femmes, uniquement l'inverse.
@@mickaelegalite8335 peut-être parce qu’il faudrait que tu réalises que nous vivons en patriarcat depuis le début des temps. Et que tu réalise qu’être homme ne fait pas de toi une victime du système dont tu jouis
Les hommes n'osent pas demander parce qu'ils savent que la fille va probablement dire non. Ca n'a rien a faire avec l'érotisme. Les hommes ont horreur de se faire refuser. Dommage que vous semblez encore tout mettre sure le dos des filles et des femmes dans cette émission.
Réécoutez vous n avez pas compris
Je crois que vous avez complètement interprété ce podcast sans en comprendre le propos ! Réécoutez svp....
Il y a une part de vérité dans ce que tu dis, mais il y a aussi un tabou énorme qui pèse en général autour de la sexualité entre les femmes et les hommes.
C'est vrai que beaucoup d'himmes sont éduqués comme des enfants rois et qu'ils ne supportent pas la frustration ou etre rejeté par les femmes.
Mais je pense aussi que ce n'est pas que du a ca. Il y a un rôle à prendre des 2 cotés. Ils doivent également avoir peur être désinformés, pas assez attentifs aux femmes, mais trop a eux mêmes...
Il y a beaucoup de femmes qui n'acceptent pas qu'on leur refuse l'acte sexuel et qui deviennent odieuses et violentes, je pense qu'elles le sont beaucoup plus que les hommes qui ont l'habitude du refus.
peut-être des femmes qui se demandent si Monsieur n'a pas dépensé ses forces ailleurs...
@@astrolol3532Donc un homme ne travaille pas. Il n'a pas d'autres preoccupations et de responsabilite dans la vie que du sexe ? Et si la femme ne pense qu'ainsi n'est-ce pas le debut de l'harcelement moral ? Il y aura toujours un moment ou l'homme de par sa nature ne voudra pas ca peut prendre deux semaines tou comme un mois. Mais est-ce qu'il va se faire comprendre ?
Oui je suis pareille tu dois dire bonjour si en revanche mes enfants ne veulent pas de bisous bin foutez leur la paix
Faut que les femmes arrêtent d'avoir peur de perdre leur homme si elles n'ont pas envie. Faut qu'elles arrêtent de faire semblant de consentir, ou faire semblant de jouir pour avoir la paix, ou les 2 lol
Ah oui, donc c'est tout la faute des femmes en fait. Bravo champion ! T'as écouté l'épisode ou bien ?
@@Muahahaw Bien sûr que j'ai écouté l'épisode, mais la racine des problèmes c'est que beaucoup de femmes ne savent pas se faire respecter. Ce n'est pas une faute, c'est un atavisme résultant de toute une éducation durant des millénaires.
Je me rappelle qu'a mes 15 ans mon mec m'a dit "je sais que vous dites non mais en fait ça veut dire oui" et que j'ai rencontré beaucoup d'hommes qui voient comme impensable qu,une femme puisse prendre en main son désir et aller chercher et acter. C'est ouf.......
Une des raisons du malentendu, c'est la coquetterie de la femme. Elle aime séduire, on le voit avec cette manie féminine des selfies. Et les mecs en face croient à fond que c'est une invitation
@@astrolol3532 ils croient ce qu'ils VEULENT. Fzut accepter à un moment que les hommes soient juste égoistes et égocentriques. Le procès Mazan le prouve. Dans ce cas elle dormait carrément donc ou est l'excuse ?
Et puis même, le nombre de femmes "moches" qui se font violer aussi ... c'est quoi l'excuse la ?
Je me demande ce qu'une femme pense de son mec qui accepte sans sourciller son non consentement, ne va-t-elle pas imaginer que son mec ne s'intéresse plus voire pas à elle
Non, elle va penser qu'il la respecte.
Je suis cette femme dont tu parles, et ce garçon, en me respectant de cette manière à multiples reprises, a gagné beaucoup de valeur à mes yeux. Je me souviens lui dire "en fait, non..." après des préliminaires, qu'il accepte, qu'on en discute ou pas, puis qu'on s'endorme tout les deux sourire aux lèvres de cet échange plein de compassion et de compréhension.
Après, je me souviens aussi que dans tout le chemin parcouru jusque là, j'ai ressenti et pensé des choses qui m'ont fait me questionner; je veux dire par là que chacun fait avec ce qu'il a, son expérience et sa compréhension de soi/de l'autre.
@@VictoireRenard c'est vrai que je me suis mal exprimé quand je dis"...qu'une femme pense de son mec..." car ça fait trop penser à un couple établi et stable où bien évidement le passage à l'acte n'est plus de rigueur où très souvent les simples câlins suffisent à la soudure du couple . Je pensais plutôt a un couple "débutant" se "cherchant" encore, dans les début d'une relation....le gars émets, d'une manière ou d'une autre, une proposition de partie de jambes en l'air et au premier "non j'ai pas envie" retourne à sa console vidéo sans rechigner...je suis sur que beaucoup de filles vont penser..: "bon il préfère son ordi plutôt que moi"
Oui, si il passe sans transition du flirt à la console, il y a des chances que la fille pense que tout l'enjeu de la relation se résume à l'acte sexuel. Et si ce n'est pas le type de relation qu'elle recherche, elle passera probablement son chemin.
je consens à aller travailler tous les matins...
mais c'est quoi le rapport mdr..
Tant mieux pour toi. Tu préférerais qu'on te force sans ton consentement ?
@@chunkatronic Consentir ce n'est pas désirer, fils...
@@lafrancetartuffe C'est vrai. M'enfin les gens qui baisent sans désirs font bien ce qu'ils veulent. Chacun est libre d'avoir une vie de merde.
YeahObviously,je réponds à votre commentaire, comme dit la célèbre cinéaste Agnès Varda, une femme est faîte pour séduire un homme et sa féminité est faîte pour séduire la virilité d'un homme.Cordialement Georges
Cool ! Ça veut dire qu'on peut se débarrasser de la virilité et de la féminité.
Bonjour, ce n'est pas une critique ,en effet et cela encore de nos jours : De la bouches de certaines femme ça s'appelle "le devoir conjugale" (le pour faire plaisir au partenaire). Je n'est pas encore écouter tout votée reportage je vais écouter. Par contre et au final : En gros les mecs on envie plus souvent DONC : Soit il faut les habituer à baisser le rythme (vous avez des pistes?) soit à se masturbez seul (et tolérer .... ?).
En tant que femme je ne comprends pas pourquoi certains ne tolèrent pas que leur partenaire se masturbe. Il est important de pouvoir se "satisfaire" sexuellement seul, même en couple. Masturbation et relation sexuelle sont deux choses différentes, donc pas de complexe à avoir. En plus le désir peut être différent d'une personne à l'autre, pas envie au même moment, pas aussi souvent, etc., donc c'est important.
Bonsoir, je compatie, hélas l'infidélité et un gros problème (je suis fidèle).
Un rapport sexuel est un moment de partage et d'échange entre deux personnes donc effectivement, si l'un des deux n'a pas envie, l'air l'autre n'a pas à me forcer et peut tout à fait se masturber.
La masturbation peut servir à évacuer une pulsion, à jouir rapidement à se "vider" (homme comme femme) alors que l'acte sexuel devrait être plus guidé par l'envie que l'on a de la PERSONNE en face que par la pulsion sexuelle ( "j'ai envie de baiser. Comment me soulager ?" Et la réponse à cette question ne devrait pas être "j'ai mon mec/ma meuf à disposition" mais "est-ce qu'il ou elle a envie ?")
Être en couple ne devrait pas signifier "avoir accès à tout moment et sans condition au corps d'une personne, qu'elle ait envie ou non, pour soulager mes pulsions sexuelles". C'est la définition même du "devoir conjugal" mais cette pratique devrait cesser pour le respect des personnes.
@@el0oizak32 on doit se faire chier avec toi
je vous plains les nouvelles filles, c est minable ces conversations. Surtout quand vous parlez des moins de 20 ans.
de mon temps, résister, c est pour qu' il pense que tu es épousable sinon, la fille est facile.
En fait je suis en train de comprendre qu alors que j avais 16 17 ans je refusais suscitait le désire et j partirais alors que je voulais la paix car je n etais juste pas prête.
le problème c'est que y a des filles qui disent non et ça veux dire oui... ça devient donc compliqué non?
Et si vous pensez que ce n'est pas le cas, je pense que c'est autant du fantasme que le fantasme décrit par les interviews en début d'émission.
Bien sûr, mais dans le doute : on demande, on vérifie
Oui enfin si la fille te dit non et repousse tes mains ... C'est bien un non! Après si c'est fait sous forme de ´jeu' oui là ok mais il faut en parler quand même pour au cas où si un jour elle ne veut pas jouer et que c'est vraiment non
Approche plus que superficielle…sans étayage réellement con-ceptuel 👺
Je pense que les filles qui se laissent faire et qui n'osent pas dire non sont immature sexuellement parlant vous ne pensez pas ? Je pense pas que l'histoire du consentement arrive à beaucoup de filles de plus de 22 ans on va dire. répondez à mon message dite moi ce que vous en pensez
Salut
Qu'appelles-tu une immaturité sexuelle?
Ce n'est pas parce que tu as eu beaucoup de rapports avec une personnes où plusieurs partenaire que tu t'es questionnée sur ton consentement. Donc non ce n'est pas une histoire d'âge
@@anaisnis6821 immaturié= manque de confiance, si ces femmes avaient confiance en elles, elles n'auraient pas de soucis à dire non.
Euh franchement j'aimerais bien savoir sur quoi tu te base pour dire ça
@@leeloors645 pour moi c'est une évidence mais pas pour tout le monde apparemment hehe
@@LuffY35260 c'est clairement pas généralisable à la grande majorité des cas. Et dans un acte aussi intime, à moins d'être si égocentrique que tu t'intéresses pas au plaisir de ton/ta partenaire tu le vois tout de suite si vous êtes pas sur la même longueur d'onde.
Pas oser/réussir à dire non ça dépend de tellement de choses.
Avec ce genre "d'évidence" que tu avance t'es juste en plein dans la culture du viol, requestionne toi un peu....
pour moi les allumeuses (ou l'équivalent masculin) je trouve ça pas très respectueux de l'autre et très malsain
Faut pas exagérer ça dépend ce que tu appelles allumeuse si tu as un jeu de séduction c est pas être une allumeuse si t as une jupe courte non plus si tu embrasses et que tu fais genre viens on y va et que la tu dis stop tu dois obtenir l arret mais oui dans ce cas c est un peu limite et il faut peut-être donner une explication pourquoi ou ce qui se passe je trouve
@@kalimiro7360 D'accord avec toi. Mais dans tous les cas, même une bonne allumeuse a le droit de dire non. Si c'est une connasse, c'est une connasse, mais c'est pas pour autant qu'elle doit être punie pour ça. Lui dire simplement "tes gestes m'ont faits penser que .. Mais tu te rétracte. Je respecte mais ne reviens pas vers moi."
Parce que même si elle allume le feu elle n'est en aucun cas forcée de l'entretenir.
Sauf que c’est toi qui interprète ses geste comme ça ! Le sexe ne t’es pas dû peu importe le comportement de la fille 😉
Dites à votre homme que vous avez envie de lui le mec fuit directe j ai 40 j ai eu plusieurs histoires d amour et c est un constat a 100%
et pourquoi il part du coup ?
souvent il attende que ça..
Ouais je comprends pas ton raisonnement
Je veux pas être désagréable ou quoi. Mais je pense pas que ce soit la faute de la technique utilisée. Peut-être qu'il avait juste pas envie à la base, non ?
Le mythe selon lequel les hommes ont toujours envie est faux.
T es sûre que tu leur plaisais? Une fille qui me plaît et qui me dit qu elle a envie de moi ça me pose aucun souci.
Ma propre mère m'a dit qu'il faut jouer la femme fermée... ce qui revient à donner raison au truc de "elle dit non mais veut dire oui"
Super sujet, merci pour vos podcasts
Dommage que le doc ne soit plus visionnable
Sur le désir feminin, tout est question d'attirance et de contexte. On peut crusher sur un mec en soirée tout de suite, aller le voir, passer la soirée avec et coucher avec parce qu'on en a envie..
Voilà ! Il faut le consentement féminin et masculin
Et quand une femme dit NON c'est non.. Alors allez gérez vos frustrations les mecs..
Les femmes aussi on se fait rembarrer on nous dit non et on est pas des harceleuses ou violeuses en série
O hommes à entendre le non sans problème et le respect du corps et de la psyché féminine et le respect des limites exprimées.. NON NON NON c'est non !!