Schizophrénie : chronique de Thierry Lhermitte dans le Magazine de la Santé
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- Опубликовано: 3 апр 2016
- Thierry Lhermitte a rencontré le Pr Dubertret qui mène des recherches sur la schizophrénie et teste l’efficacité de la stimulation magnétique transcranienne sur les symptômes résistants aux traitements chez des patients schizophrènes.
Courage à tous les patients et leurs famille
Bonne lectire
mercie
sans doute mais pas que 🙄
Courage à toutes les victimes et à leurs familles.
De quel courage tu parle !?
"victime"??
@Polo2 Polo92 non c'est un trouble psychique qui invalide les personnes
Victimes, oui, la plupart du temps. En plus d'avoir à affronter un trouble, il y a les douleurs et effets des traitements qui n'améliorent généralement que les apparences (sédation). Sans compter que la plupart des suicidaires se suicident avec les produits qui sont sensés les soigner. Les résultats sont objectivement inverses de ceux que nous sommes en droit d'attendre. Les méthodes employées contre-productives. Le suivi biaisé. L'endroctrinement à l'idéologie des traitements (euphémisation des effets), endoctrinement des proches également. Quant à l'isolement, renommé apaisement pour les exigences de l'euphemisation idéologique, je vous laisse imaginer les dégâts. Ça n'est pas les soucis des employés "soignants" qui ont un "capital empathie" très limité. Les scandales vis-à-vis des nombreux traitements dont nombreux sont tératogènes devraient mettre la puce à l'oreille. Au lieu de cela ils sont prescrits à tort et à travers.
Il est très difficile de comprendre avec aisance la schizophrénie dans une compréhension accentuer, parce-que,a notre époque, étant moi-même schizophrène,ma pensée est plus méprisable que celle de mon psychiatre,qui, visiblement,est, désactivé,en effet, vraiment dans une couche psychotique.Il est content de lui même,il se félicite de son expertise,les neurones profondes.C'est magnétique chez lui.......
Juste une remarque, les cas les plus graves n'ont pas "conscience" qu'on leur vole leurs pensées, n'ont pas l'impression d'avoir des hallucinations ni de vivre une autre réalité, c'est leur réalité et ils ne la remettent pas en question. Deux cas de schizophrénie dans ma famille, et quand ils ont pu verbaliser, avec un traitement qui les stabilisait, c'est ce qui ressortait principalement. Et on le voit bien d'ailleurs quand on parle à un schizophrène en crise, aucun argument rationnel ne sert, on est démuni.
C’est ce qu’on appelle le déni de morbidité il s’agit d’un trouble du jugement qu’on retrouve dans plusieurs pathologies psychiatriques le patient dit qu’il n’est pas malade se considère comme tout à fait normal
Jérôme Goupil je suis une mère en grande souffrance mon fils s isole de plus en plus et refuse de se faire soigner il ne se voit pas malade il est dans le déni complet, alors que sa vie a complètement changé! Merci pour votre témoignage.
@@lilasblanc5296 Jésus guérit cette maladie, il suffit de lire la Bible, de croire ce qui est écrit, de faire ce que Jésus demande et ensuite Jésus guérit !
Garantit 100% et gratuit.
Faut juste prendre la peine de se lancer dans la plus belle aventure de votre vie.
@@dime848 ça peut correspondre quasi plus spécifiquement à l'enkystement du délire de la personne schizophrène, ça fait partie de l'évolution de sa maladie..
@@dime848 peut-être est-il plus normal que le reste de.la population mais dans sa réalité qui ne vous appartient pas
Bon courage à tous les malades, c'est une maladie difficile à vivre 😐
Oh oui , ce procéder m'intéresse !
@@stephanerousseau5504 Êtes-vous à la recherche d'un traitement efficace à 100% et gratuit ?
@@dhulcarnain Dites moi
C'est une maladie très complexe et très dure à vivre avec
A qui vous le dite
Bonjour. Les traitements par antipsychotiques et toute nouvelle technique expérimentale sont du colmatage et un viol psychique. Ces intrusions sont basées sur une toute puissance médicale, aux certitudes fondées sur une idée de la Raison, qu'on est en droit de contester. Ce n'est pas parce qu'un plus grand nombre s'exprime qu'il détient une vérité faisant office de critère absolu et indiscutable. C'est lorsque la science s'associe au doute qu'elle est honnête envers elle-même et autrui. Dire que la schizophrénie est incurable alors qu'on n'en maîtrise aucunement les rouages profonds et les causes multiples, n'est pas cohérent. D'autre part si on pose un diagnostic en ne tenant compte que de l'avis de la médecine sans tenir compte de ce que clament les schizophrènes, rien ne fonctionnera car on aura qu'une parcelle d'arguments. On nous enferme, on nous médique, on tue notre cerveau, notre sexualité, tout cela dans une proportion trop grande. Oui, la schizophrénie est un enfer, oui on se suicide pour faire taire l'insoutenable. Vouloir nous aider est louable, mais estimer que l'on est incurable est fallacieux. Commet le savoir si on ne tente pas un sevrage ? Les psychiatres pour beaucoup refusent le sevrage, alors que beaucoup d'entre nous le réclamons. Il est cité dans un des commentaires l'association "Open dialogue" qui a un taux de guérison de la schizophrénie de 80 à 85 % avec une expérience de 40 ans. Dire qu'une personne "guérie " de la schizophrénie est soit qu'elle ne l'était pas, soit est un charlatan résulte d'un déni et est injurieux de qui nous sommes. Mais comme nous sommes les fous de la sociétés nous ne sommes jamais crédibles et cela conforte une norme, qui ne peut se sentir "norme" qu'en prolongeant l'éternelle et rassurante certitude que le fou est un déchet et un inférieur. La norme alors est dans le déni , et dans le refus de changer un confort que nous, fous, lui offrons au détriment du nôtre. La schizophrénie est l'envers du Réel, donc en fait partie et sans cette autre partie le Réel n'aurait aucun sens et aucun fondement. Il s'agit de porter son attention aux causes, pour beaucoup psychologiques, et non de les camoufler à vie sous une camisole chimique qui nous assure la mort à petit feu en raison des effets secondaires redoutables des molécules. Si nous mourons prématurément, ce n'est pas en raison du taux de suicides élevé, mais des pathologies qui voient le jour par les traitements. Un traitement est une maltraitance, un harcèlement bien souvent, avec une obligation de soins souvent mal évaluée basée sur un paternalisme scientifique que même les familles ne peuvent mettre en doute.Les piqûres sont un viol. Le patient qui donne son accord le donne souvent suite à un échange dominé par l'art de la manipulation verbale des psychiatres. Il existe aussi de bons soins, des comportements plus humains que d'autres, mais toujours dans un cadre psychiatrique avec interdiction de se rebeller. Tout se passe bien à partir du moment où nous sommes de dociles agneaux. Oui, le sevrage doit être lent et accompagné. Non, je ne suis pas malade. C'est juste que vous n'écoutez pas nos paroles. Vous ne cherchez pas le pourquoi nous refusons le mot de "malades". La définition de la schizophrénie n'est pas la même dans toutes les cultures et civilisations, pourquoi serions nous, en Europe, les seuls détenteurs des causes de ces manifestations de voix, hallucinations. Travailler sur d'autres causes, origines, apporterait beaucoup, mais elles apparaissent farfelus parce qu'il n'y a pratiquement aucune ouverture d'esprit pour autre chose qu'une Raison pourtant toute relative.
Vraiment, tant de points de vue sont à prendre en compte, plutôt qu'avancer voire imposer des sources scientifiques basées sur une subjectivité humaine aussi. Les publications, les résultats d'expériences, disent tout et son contraire ou vont parfois ou souvent dans un sens mu par des intérêts qui n'ont rien à voir avec une humilité et une humanité nécessaires et essentielles.
Les symptômes de la schizophrénie et ce que nous expliquons de nos souffrances, trouvent aussi racines là où seuls des esprits ouverts et larges peuvent aller. Mais alors, cette explication est interpréter comme symptôme, et non comme argument sensé. C'est pour cela qu'on avance pas, ou mal.
Voilà ce que je rapporte de ma descente dans les enfers de la schizophrénie, grâce au sevrage tout aussi difficile, mais sans lequel je n'aurais pu écrire cela, puisque les traitements avaient bloqué une évolution naturelle de ma psyché.
Sous traitement, pendant des décennies, je fus morte et décérébrée, docile, et si fière de prendre ces poisons qu'on nous serine d'ingérer bien sagement et sans remise en cause.
J'ai aussi connu l'écoute et la prise en compte de l'humain de la part de soignants.
Merci de m'avoir lue.
Sincèrement, n'arrêtez pas votre traitement d'un coup.
Bien cordialement.
@@mickaelbally8053 Bonjour Mickaël. Oui je vois tout à fait ce dont vous voulez parler. Les anciens (ou encore actuellement certains shamans) aussi maîtrisaient aussi ces "forces" et dimensions, oubliées par beaucoup de nos jours, et nous y reviendrons mais effectivement dans un temps à venir encore lointain. Nous vivons, en tant que schizophrènes, un chemin de vie étudié par la science comme incompréhensible, ou du moins ne correspondant pas à un Réel estimé seul critère pour être "normal". C'est juste que nous sommes, nous dits "malades mentaux" , au sein de perceptions tout aussi réelles, mais une forme d'envers de celui-ci, et l'englobant. Y accéder ou y être plongé est semblable aux quêtes de tout temps, et un périple non dénué de souffrances et de traversées infernales dans l'inconscient, individuel et collectif. Nous y baignons, schizophrènes, nous y avons accès pour diverses causes, alors que l'inconscient est un réservoir qui doit être occulté, et est occulté chez la plupart des personnes dites "normales". En ce sens aussi, cela veut dire que nous sommes dans la traversée de zones à risques, nous dits "fous", et nous expérimentons ce que tout le monde cherche, ces Mystères, nous les avons à portée de main et de conscience, ce que les "normaux " ne peuvent atteindre, sauf si en quête de sens de la vie de manière approfondie. Alors ces personnes non "malades" , qui plongent dans les secrets qui se dévoilent de leurs yeux peu à peu, cheminent comme nous, schizophrènes, mais ne l'extériorisent pas. Par ce que nous exprimons de souffrances, de visions, de clairaudience (même si les voix peuvent aussi être un retour de soi) nous révélons un monde, qui fait peur. Nous baignons dans ce que l'humanité cherche désespérément, et peut trouver, et pour certains trouvent dans des conditions à mon avis pas toujours agréables, non plus. Ce qu'il y a de terrible est que la façon dont nous exprimons notre monde intérieur, nous schizophrènes, est diagnostiqué "maladie" et par exemple ce que je viens d'écrire sera vu par les médecins, comme "preuve" que je suis bien "dérangée" "folle" "atteinte". Pour cela on va me donner un traitement, à vie souvent, et on va me juger "incurable". Alors on va me tuer, en raison de la chimie qui va dévaster mon cerveau, va provoquer des effets secondaires qui vont aussi limiter ma vie, aussi dans la durée. Tout cela avec l'argument fallacieux de me protéger, alors que la science me tue à petit feu. C'est absurde.
Je vous remercie de votre commentaire, et je pense que l'on se comprend, dans notre langage justement hermétique aux oreilles d'un grand nombre. Je vous souhaite bon courage. Lorsque les véritables causes, dans leur essence, de la schizophrénie auront été trouvées, effectivement que de dégâts seront constatés. Bonne journée Mickaël. Bien amicalement.
Bonjour, je vous écris car je vois énormément d’ouverture, d’expérience et de bienveillance dans votre message. J’aimerais vraiment avoir une réponse. J’ai un proche qui me semble être « malade ». Ça se manifeste par des « voix » qu’elle entend mais aussi des sensations physiques. Elle nettoie sans cesse à l’impression de voir des verts partout ect. Je ne sais pas comment interpréter ces symptômes. Apart ça son discours peut être très pertinent. Et je suis totalement perdu fasse à cette situation. Je n’ai pas envie de l’enfermer dans le cercle que vous décrivez avec les médecins. Mais extrêmement peur que cette personne que j’aime bcp se mette en danger. Svp j’ai besoin d’un conseil.
@@mickaelbally8053 bonjour, j’entends ce que vous me dites. Cependant qu’est ce que vous entendez par échouer ?
Pensez vous que cette personne peut avoir des envies de suicide ?
Comment l’aider à retourner vers le haut astral ?
@@kingloui7587 Bonsoir...Oui, j'ai eu ces sensations physiques aussi, alors que personne n'est présent à part moi. Il est un fait que si votre amie va voir un psychiatre, en expliquant qu'elle entend des voix, a des sensations physiques, tout cela va apparaître aux yeux des psys comme symptômes, et leur but est de supprimer ces symptômes, synonyme selon eux de "maladie". Je conçois ce dont il est question dans votre échange avec Mickaël aussi, le haut astral et le bas astral. Mais ce que j'ai aussi constaté par moi-même, grâce à mon sevrage progressif d'antipsychotiques, c'est qu'il y a bien aussi, en quantité, des voix programmées par soi, et qui résulte de traumatismes. L'inconscient se manifeste alors, et la personne pense que ces voix sont distinctes d'elle-même, alors que non, elle sont créées, une sorte d'aller retour de soi à soi. En toute sincérité, je l'ai étudié sur moi, et suis tombée dans le piège de penser ces voix comme celles d'un au-delà. Cela peut l'être aussi, je parlerais en d'autres termes, sur cette page, comme "des voix objectives et distinctes de soi". Mais il faut vraiment couper des lianes, traverser une jungle subjective et inconsciente avant de parvenir à une "sphère plus équilibrée et clairvoyante". Lorsque je parle du rôle fondamentale de notre inconscient, ce n'est pas pour jouer le jeu d'une psychiatrie aveugle des phénomènes incompréhensibles d'elle. Je suis une personne révoltée du manque d'ouverture d'esprit de cette discipline qui noue envoie, nous, "patients" droit au décès aussi, par les antipsychotiques, qui sont mortels par leurs effets secondaires. Qui nous endort, qui annihile non seulement notre intellect mais une conscience. Qui bloque l'évolution psychologique de la personne en raison de la force des molécules. Et plus le temps de prise de chimie est long, plus les dégâts sont considérables sur nous. Le cerveau peut rétrécir avec certains antipsychotiques. Plus le traitement est long, et plus un sevrage sera pénible et des séquelles de la chimie peuvent rester à vie. Encore faut-il trouver un médecin qui accepte un sevrage. Il est aussi trop souvent expliqué au "malade" qu'il est incurable, et qu'il devra prendre son traitement à vie. C'est honteux. Concernant votre amie, je ne connais pas sa situation précisément. Il existe des courants de "soins" qui dépassent largement l'étroitesse de la psychiatrie. Vous avez l'association "Open dialogue" qui n'existe pas en France, mais si vous êtes sur les réseaux sociaux, vous cherchez sur facebook = "Open dialogue francophone" ...Là vous avez des documents, des vidéos, une bibliographie, des échanges entre personnes schizophrènes par exemple, ou familles et proches des dits "malades mentaux". Sur internet de façon globale vous trouverez des renseignements de "Open dialogue" qui peut avoir recours aux médicaments, mais en l'occurrence, et dans beaucoup de cas, pas de façon prolongée. Il existe aussi le R.E.V. = le Réseau des Entendeurs de Voix. En France. Beaucoup de personnes entendent des voix, sans subir le diagnostic lourd de conséquence de "schizophrènes" ou "psychotiques". Ces situations de personnes dites psychotiques, relèvent aussi du shamanisme, mais c'est chose délicate d'en trouver d'authentiques susceptibles d'aider. Ces approches peuvent peut-être vous aider, et aider par conséquent votre amie, vous apporter des réponses plus larges que ce que je pourrais vous dire, qui s'arrête en grande partie à ce que j'ai traversé et observé de moi-même. Car elle peut être en danger oui, tout dépend du "comportement de ses voix" d'où qu'elles viennent. J'espère avoir pu vous aider, et je vous souhaite bon courage de tout coeur :-) Sophie
@@mickaelbally8053 Bonsoir Mickaël, je vous remercie de vos encouragements :-) Belle soirée à vous. Sophie
Je voudrais savoir en quoi consiste le DIAGNOSTiC de la schizophrenie;il me semble que certains psychiatres vont un peu vite pour coller cette étiquette ;si qqn peut me renseigner merci
J'aime beaucoup T. Lhermitte mais... pourriez-vous donner la parole soit à des professionnels, soit à des patients experts ? A noter aussi que, l'exemple de la patiente qui a répondu positivement à ce traitement est, malheureusement, une exception. En Laponie, d'autres méthodes ont un taux de réussite incroyable, depuis 40 ans. L'Open Dialogue. Pourriez-vous en parler lors d'une autre émission sur la schizophrénie ? Pourriez-vous aussi parler des groupes de parole REV ?
Qu'est-ce que Thierry Lhermitte à avoir avec la médecine et la schizophrénie ?
Venir gratter quelques biftons ?
Bonjour
C'est la question que je me pose
Moi aussi je me suis demandé ;peut être qqn de sa famille ou un proche
moi je suis skysophrene j'en ai parler a mes pote et a mes parents je me sent mieux qu'avanr grace a eux
pour la guérison des maladies liées au cerveau telles que les AVC, DCL, SLA, SEP, la chorée de Huntington, la dystonie, etc ... contacter nous via whatsapp au 00229 915 291 82
Tu te trouves pas dangereux pour les autres ?
@@baidabou16 nn f juste en parler
J'ai eu un pote qui souffre d'hallucinations auditive les neuroleptique arrivait à l'apaiser il na jamais reussi à me décrire cette sensation
si les neuroleptique l'apaiser c'est déjà pas mal !
le problème c'est le manque de psychiatre, tellement de non moyen, tellement de problème de santé en France et dans le monde que ça deviens completement absurde de faire l'argent et la guerre, bref
Il y patauge pleinement
Une fois que le schizophrène a mis un pied dans la psychiatrie, il ne peut plus en sortir, dans le sens où, que ce soit à l'hôpital ou en ville, le malade est contraint de revoir son psychiatre au moins pour une raison importante, capitale, incontournable : pour son traitement. On n'en sort puisque, pour le moment, à notre époque, c'est un traitement à vie. D'ailleurs, Thierry Lhermitte le rappelle lui-même, à savoir que, même si on peut bien soigner la schizophrénie (au niveau de ses symptômes), on n'en guérit pas pour autant, malgré les médicaments.
On peut guérir mais la guérison reste très rare
@@othmanbatman1962 oui, très rare, malheureusement. C'est triste, parce que, contrairement à ce que beaucoup de gens croient, et surtout par rapport à leur mauvais jugement sur les schizophrènes, et même les malades mentaux en général, rappelons que la schizophrénie est une souffrance intense. Alors à vie, vous imaginez ? Ceci dit, les médicaments atténuent la douleur psychique. Il ne faut pas non plus être trop pessimiste.
@@francoiso3046 Exactement mon amis t'a tous dis on vit dans une société qui stigmatise la maladie mentale et c'est une souffrance à vie malheureusement pour la plus part après c'est vrai que les médicaments atténu la souffrance psychique (enfin le bon médicament qui nous convient bien évidemment)
@@othmanbatman1962 oui, on se comprend mon ami. Bon dimanche à toi. Et prends bien soin de toi.
@@francoiso3046 Merci toi aussi bon dimanche prends soin de toi mon ami
apres cymes un autre specialiste...
C'est la collectionnite aigüe L'obssession guette.
On est plié 💀💀💀
le schizophrène construit des château dans les nuages, le psychotique y habite, le psychanalyste touche les loyers...???
Appel/WhatsApp +22962062392 pour le traitement définitif des problèmes de la trouble schizophrénie veuillez me contacter pour des remèdes naturels sans effet secondaire.
et le psyquiatre de l'hp fait redescendre tout le monde à grandes lampées de psychotropes 🤪🤪🤪😁💀☠
Le dîner de coin bleu comme l enfer
alors ça fait quoi ? 😏
Personnellement je trouve cette technique assez barbares… J'ai déjà entendu parler de ce soi-disant progrès thérapeutiques pour les personnes ayant de graves troubles psychiques qui par la simulation transcrânienne permet un relatif mieux être dans de graves dépression ou dans les symptômes positifs de la schizophrénie. Je me demande si surstimuler les neurones de façon brutale ne les détruit pas directement ou par une dégénérescence cellulaire . J'ai vu un reportage une fois on stimuler le cortex dorso-latérales d'un patient dépressif qui après quelques séances se retrouver le plus heureux... sachant que cette zone du cerveau est responsable de l'intelligence de la planification de l'organisation et que par ce qui ressemble à de la Sismo thérapie détruit les neurones et donc l'intelligence en vue d'un mieux-être pour la personne qui se ressentira sans doute plus heureuse mais certainement plus bête comme dit le dicton heureux les simples d'esprit . Dans ce cas présent je me demande si cette technique n'est pas dans le but de provoquer une atrophie cortical dans la zone fronto-temporale. Les hallucinations dans la schizophrénie sont dues à une stimulation sans perception que les neuroleptiques et l'inhibition de la dopamine hypothèse premières avancées par les psychiatres des symptômes positifs de la schizophrénie réduisent les symptômes positifs mais aggrave les symptômes négatifs c'est-à-dire au niveau frontal et au niveau mesolimbique réduisant ainsi la motivation le plaisir l'agressivité et l'intelligence . Pas étonnant que ça fasse cligner des paupières lol !
Je comprend tes inquiètudes mais la destruction des neurones est très relative.
J'ai subis une quinzaine d'électrochoques pour soigner une dépression majeure dû à mon troubles schizoaffectif.
Je n'ai pas perdu de point de QI pour autant mais surtout j'ai arrêté de souffrir comme un damné.
Une personne qui n'a jamais connu la dépression ne peu pas comprendre la douleur que cela procure.
J'ai perdu mon annulaire gauche, écrasé par une charge dans mon travail. Et bien ce n'est rien comme douleur.en comparaison.
Comme si la chimie n'avait aucun effet secondaire. Un traitement chimique, c'est à vie, et encore, si vous êtes interné, rien ne garantit que vous sortirez un jour. Heureusement qu'il y a des médecins qui cherchent à faire avancer la science, on en serait encore à frotter des cailloux avec de tels raisonnements. Je suis épileptique, une épilepsie récalcitrante, ça non plus ça ne se soigne pas, mais grâce aux avancées, à l'âge de 35 ans j'ai pu commencer à être stabilisé, et si j'apprenais qu'avec un courant magnétique je peux me passer de médicaments qui m'ont certainement bousillé le foie, les reins et le cœur, je n'hésiterais pas un instant.
Pour se guérir il faut être entouré des sien et surtout aller au bord d'une plage DT marché au long
Et la marmotte… ah non ils ont enlevé le papier alu… Par définition on ne guérit pas d'une schizophrénie.
@ si si on en guérit 😆
@Oui et les traumatismes liés aux traitements restent à vie (/à mort) en effet. J'ai toujours un petit peu peur qu'un voisin "bienveillant" me dénonce et me fasse enfermer. Et les marmottes meurent étouffées dans du papier d'alu.
Non cela ne suffira jamais.
@@dhulcarnain quel défaitiste🙄. Les bains de mer ça calme les fous😌 c'es bien connu ca 😏