« Affirmer plutôt que nier » : Je vais un peu plus loin en ajoutant que le fait positif a plus d'impacts que le fait négatif. J'ai déjà eu à la plaider. Une personne est présumée de bonne foi donc si elle dit qu'un évènement est arrivé, c'est que c'est présumé être arrivé puisque la personne n'est pas présumé mentir. Alors que la personne qui dit ne pas avoir constaté l'évènement, peu simplement ne pas l'avoir vu alors qu'il est quand même arrivé. Notre métier est plein de subtilités ! 😉
Selon mon expérience, je parle surtout de cas d'arbitrage dans mon cas, les arbitres ont tendance a croire beaucoup plus le coté patronal que syndical quand ces une parole contre l'autre. Il est clair que la nervosité entre en ligne de compte, le directeur des ressources humaines aillant beaucoup d'expériences dans ces situations est beaucoup plus a l'aise devant l'arbitre, même s'il est de mauvaise foi, que le syndiqué qui lui, est très intimidé par tout ce cirque. Il est d'autant plus facile pour une compagnie de "monter" une mauvaise réputation contre un employé qui la défie continuellement dans l'applications de leurs règlements. C'est un peu comme faire toutes activités nouvelles, plus on en fait plus on est a l'aise et en cour c'est pareil sauf qu'a force de perdre tes premiers cas, tu te fais une mauvaise réputation et ça joue contre toi.
Merci pour ton commentaire! C'est vraiment intéressant comme point de vue! J'ai fait de l'arbitrage de griefs de manière intensive pendant un an (côté syndical), comme toi de ce que je peux comprendre, et mon patron, qui avait 30 ans d'expérience me disait, que si on avait une moyenne de 50% on était vraiment bon! Je pense que c'est normal de perdre beaucoup de dossier pour un procureur syndical, pour les raisons que tu mentionnes et pour plusieurs autres. Il ne faut pas perdre confiance et si on est bien préparé et que l'on a fait de notre mieux, il faut voir ça comme un bagage d'expérience qui aura une grande valeur plus tard 😉👍 lâche pas mon ami
Un gros merci pour vos judicieux conseils!
« Affirmer plutôt que nier » : Je vais un peu plus loin en ajoutant que le fait positif a plus d'impacts que le fait négatif. J'ai déjà eu à la plaider. Une personne est présumée de bonne foi donc si elle dit qu'un évènement est arrivé, c'est que c'est présumé être arrivé puisque la personne n'est pas présumé mentir. Alors que la personne qui dit ne pas avoir constaté l'évènement, peu simplement ne pas l'avoir vu alors qu'il est quand même arrivé.
Notre métier est plein de subtilités ! 😉
Selon mon expérience, je parle surtout de cas d'arbitrage dans mon cas, les arbitres ont tendance a croire beaucoup plus le coté patronal que syndical quand ces une parole contre l'autre. Il est clair que la nervosité entre en ligne de compte, le directeur des ressources humaines aillant beaucoup d'expériences dans ces situations est beaucoup plus a l'aise devant l'arbitre, même s'il est de mauvaise foi, que le syndiqué qui lui, est très intimidé par tout ce cirque. Il est d'autant plus facile pour une compagnie de "monter" une mauvaise réputation contre un employé qui la défie continuellement dans l'applications de leurs règlements. C'est un peu comme faire toutes activités nouvelles, plus on en fait plus on est a l'aise et en cour c'est pareil sauf qu'a force de perdre tes premiers cas, tu te fais une mauvaise réputation et ça joue contre toi.
Merci pour ton commentaire! C'est vraiment intéressant comme point de vue! J'ai fait de l'arbitrage de griefs de manière intensive pendant un an (côté syndical), comme toi de ce que je peux comprendre, et mon patron, qui avait 30 ans d'expérience me disait, que si on avait une moyenne de 50% on était vraiment bon! Je pense que c'est normal de perdre beaucoup de dossier pour un procureur syndical, pour les raisons que tu mentionnes et pour plusieurs autres. Il ne faut pas perdre confiance et si on est bien préparé et que l'on a fait de notre mieux, il faut voir ça comme un bagage d'expérience qui aura une grande valeur plus tard 😉👍 lâche pas mon ami