FERNANDO PESSOA (1888-1935) : Celui qui était personne - Une vie, une œuvre [1987]
HTML-код
- Опубликовано: 7 фев 2025
- Fernando Pessoa, celui qui était personne.
Par Hubert Juin et Jean-Claude Loiseau.
Émission diffusée pour la première fois sur France Culture le 02.04.1987.
Intervenants : Teresa Rita Lopes, Jose Blanco, Philippe Albaizar, Michel Deguy et Ana de Carvalho.
Textes lus par Fred Personne et Anna de Carvalho.
Retrouvez toutes les émissions "Une Vie, une œuvre" ici : ruclips.net/p/PLagEsBu5pFhGf8L4FlFS1sYW93xRMYdLo
J'adore ! Heureusement qu'il existe France Culture, la fierté de nos radios de service public !
Qu'importe l'âge ! On apprend, on fait des découvertes, des connaissances tout le long de notre existence. C'est ça la magie de la vie. Merci pour tout cela France Culture.
Merci obrigado dommage que les voix se superpose dans les récitation de ses poèmes, merci à rien ne veut rien dire passez une bonne année 2021 merci à monsieur Jean-Claude loiseau qui a si bien contribué à France culture Pessoa comme disait Michel cazenave 'quelque chose qui nous dépasse et dont ne sais pas comment ça nous remue de partout reste in peace Fernando parmi les étoiles
Un très grand… Merci
Bravo encore France Culture, incomparable qualité de reportage sur les sujets hyper compliqué, difficile. Merci, 30 ans plus tard!
Merci pour le partage et pour l'effort géant et louable jusqu'à l'infini que vous déployez, pour moi votre chaîne est une précieuse trouvaille et une véritable aubaine
Je vous remercie infiniment pour ces très aimables paroles !
Jamais je n ai garde de troupeaux
Mais c est tout comme si j en gardais
Mon ame est semblable a un pasteur
(Pessoa)💃
Passionnant ❤
merci du partage
Merci pour l'émission ! Toutefois, le titre est ambigu et laisserait entendre qu'il n'était "rien". Or, le portugais est sans ambiguïté : l'absence de personne, le non-être, se dit "ninguem" (nenhum alguem : "aucun quelqu'un").
Cependant, l'émission clarifie bien les choses : "pessoa", c'est la personne en tant qu'être. Cela peut être aussi le masque, le personnage.
Transcendantalité
La pensée de Pessoa est claire et sans ambigüité.
Il se laisse aller à vivre,
avec une profonde rigueur,
la vie sans chichis,
sans l'illusion de la farce,
sans le confort désiré unanimement,
il ressent la vie comme une prière qui le consume jour et nuit,
comme une prière de la Nature
offerte à son bonheur d'être sur terre,
qu'il soit triste, gai, peu importe.
Cela ne compte pas.
Il est vivant.
Il traverse la vie tel un flambeau
qui éclaire nos existences,
mais solitaire tel un homme-chien
qui aurait tout compris
à l'absurde vide de l'illusoire
et même de penser.
Il recrée ce qui existe déjà.
Sarah G.
(Mon mari et moi postons séparément, mais sous ce même pseudo de Vince Taylor).
Merci , personne ......mais il a laissé des traces de lettres poétiques , comment allez-vous toutes et tous dans le confinement une pensée à tous ceux qui nous donnent encore des moments de découvertes . Merci beaucoup
La plus part des gens sont chez eux dans l'ombre de leur tourment. Ils ont peur; peut être ont-ils besoin, plus qu'avant, de prières et de mots.
Des mots de moralité ,d'amour ou d'amitié, qui remplacent les fleurs fanées dans l'ombre du confinement. Pour que les cœurs racontent et se racontent et les pensées pâlissent un chemin d'espoir et de liberté.
Des mots qui font humer le parfum de chaque moment restitué d'un monde déchu où les gens semblent passer à coté des belles choses à partager, souvent absorbés par un quotidien infernal qui étouffe et tarie en eux la finesse d'esprit, source de toute beauté infinie dans une si courte vie .
Une triste peine serre mon cœur, de voir qu'ici ou ailleurs , des gens meurent par milliers et d'autres sont branchés à une machine décidant leur sort à tout moment.
Je partage cette douleur avec ces gens dont je ne connais pas forcement ;mais je pense à eux à chaque fois que je regarde les informations et les chiffres des décès qui augmentent à tout moment.
Oui ,je pense à ce pauvre vieux , à cette femme âgée , à ce jeune ou enfant ignorant comment et à quel moment, vont partir de l'autre coté, à cause d'un virus ravageur et imprévisible.
COVID-19
L'ennemi de l'année, une leçon pour l'humanité -BENARICHA ABDELKADER-
---Dans sa grandeur et sa folie de pouvoir s'ériger en maître du monde, l'homme maîtrise-t-il la petitesse des quantités négligeables ? Le monde microscopique accessible à l'homme depuis l'invention de la science a-t-il les contours bien définis ?
Cette distance parcourue d'invention et de découverte, a-t-elle vraiment ouvert les portes de l'impossible ? L'homme a -t-il bien régler son microscope pour aller au delà de ce qu'il est capable d'apercevoir ?
Avait-il- la lumière suffisante pour voir l'invisible de visu ?
Tant de questions à se poser face à cette pandémie qui a fait preuve de la vulnérabilité de l'être humain devant le coronavirus que malheureusement vient de nous fragiliser et tuer des centaines de milliers de gens dans le monde.
Il y a ici dans le titre un contresens fréquent chez les commentateurs... approximatifs et non lusophones. Sans l'être, je sais que "pessoa" en portugais ne signifie pas "personne" (au sens de nobody), qui se dit "ninguém", mais une "personne" (un individu), au contraire donc : un être précis et défini!
Mais bravo pour diffuser ces émissions, que l'on peut d'ailleurs écouter et podcaster sur le site de France-Cu!
Je vous remercie pour votre commentaire et pour les précisions qu'il apporte. Je me dois en revanche de préciser que cette émission date de 1987, qu'elle n'a jamais été redifusée dans les Nuits de France Culture et qu'elle est donc (comme la plupart de mes archives) introuvable sur le site France Culture. Il n'y aurait pas grand intérêt à publier sur RUclips des documents que l'on pourrait facilement trouver ailleurs.
Peut-être pas contre sens, mais jeu de mots
Ça semble évident, il y aurait sans cela marqué: celui qui n'était personne.
@@biologz
Bien Evidemment toute la nuance est là, c est à se demander si les gens savent lire....
Je te revois encore Lisbonne et Tage et tout le reste,
passant inane de toi et de moi-même,
étranger ici comme partout,
accidentel dans ma vie comme dans mon âme,
fantôme* errant à travers des chambres de souvenirs,
au bruit des rats et des planches qui grincent
dans le château maudit de la vie qu'il faut vivre...
Lisbon revisited (1926)
Alvaro de Campos
*fantôme ou phantasme selon les traductions
🖤🖤🖤🖤🖤
La fameuse "malle pleine de gens" selon Antonio Tabucchi...
Quelqu'un connaîtrait le nom du poème à la 17eme minute svp?
À "un homme sans qualité" à Robert Musil
celui qui se disait
' personne
quel est le titre de la toute première chanson?
Mamina Boudina :)
***********************
+++++++
29:20