Je réécoute une fois de plus cette magnifique interprétation de plume d'ange de Claude Nougaro... combien de fois depuis 1984? Et là magie est toujours là !!! Souvent,je passe sur les bords de Garonne, là où précisément Claude Nougaro a résidé,et j'ai toujours une petite pensée pour cet homme qui nous as laissé tellement de belles choses à écouter et à comprendre...! Merci monsieur Nougaro ✨!
C'est vraiment un bonheur de voir tous vos commentaires à propos de plume d'ange,ce fabuleux texte écrit et interprété par Claude Nougaro, cela me fait d'autant plus plaisir,car je constate qu'il y'a vraiment énormément de gens qui sont tombés sous le charme de cette magie histoire...! La première fois que j'ai écouté plume d'ange, c'était en 1984...et Aujourd'hui, trente sept ans après,je me rends compte que j'ai écouté plume d'ange des dizaines et des dizaines de fois... avec toujours autant de plaisir et toujours autant de magie... entre les oreilles ✨et dans la tête ✨!!!quel bonheur !!! Et cette richesse d'écriture... propre à Claude Nougaro... Les poumons du printemps exhalaient leur première haleines de peste paradisiaque...! Du bonheur à l'état pur !!! Magnifique Claude Nougaro !!!
Oui, il est fabuleux, c'est l'artiste que je place pour ma part le plus haut dans la chanson française, d'une courte tête devant Léo Ferré et Serge Gainsbourg. Je dirais même qu'avec son accent toulousain, qui lui fait prononcer les e non muets, il est l'incarnation de la Poésie dans ce que celle-ci peut avoir de plus pur, et qu'avec son parler plutôt que son chanter sur certaines musiques, très en avance sur son temps, on pourrait lui reconnaître une sorte de paternité du (bon) rap bien avant l'heure, je pense notamment aux divins alexandrins qu'il scande sur Paris mai... Mais je suis d'accord qu'il n'est jamais allé aussi loin (ce qui n'est pas peu dire...) qu'avec Plume d'ange...
Et je vais en rajouter une couche... de bleu...de merveilleux...car je me surprend une fois de plus en ce jour du 6 mai mai mai 2024, à réécouter encore un fois cette fabuleuse histoire de plume d'ange, dont je ne me lasserai jamais je pense...✨ Je saisis ce message en ayant toutes les meilleures pensées pour les gens qui comme moi... aime Claude Nougaro ...cet extraordinaire alchimiste des mots... qui nous font tous rêver... Je pense souvent à lui... à l'automne de ma vie et je me dis souvent qu'il est doux de suivre le chemin, en ayant ce que ce monsieur nous a laissé, entre les oreilles et au fond de nos cœurs... à tout jamais...! Good vibes à tous...😉...✨
Clau-de Nou-ga-ro, par son a-ppui des sy-lla-beus z'et des e non mu-ets, cré-a le rap a-vant l'heure (cf. "Paris Mai") et la po-é-sie la plus par-faite en ter-mes de pieds, tel un Bra-ssens, un F[é]-rré, voire un Bau-de-laire. Il y aurait tant à dire sur lui... Mais "Plume d'angeu !" reste à mes yeux, et plus encore à mes oreilles, son oeuvre la plus aboutie et la plus bouleversante.
J'aime tjrs autant... Ma -gi -que !!! Chaque fois qu'j'trouve une petite plume blanche ou qu'elle virevolte ds l'air frais du petit matin..., sais que Mon Bel Amour, parti trop tôt, n'est pas loin...
The heart and the artistic genius of man share a common language: the harmony of sound and music. It's a legacy from the dawn of time that will live on into eternity Yé Lassina Coulibaly
Chef d'oeuvre total !!! J'ai découvert ce morceau adolescent dans l'émission de Super Nana sur Skyrock !!!! chaque soir, je m'endormais avant la fin !!! Au fil du temps ce morceau est devenu ma berceuse. Le talent de Nougaro avec le génie de Jean Claude Vannier !
Je ne peux que souscrire lorsque vous mentionnez le génie créatif de Jean-Claude Vannier, un peu oublié dans la mémoire collective du grand public, pourtant compositeur d'une grande partie de l'album Histoire de Melody Nelson de Serge Gainsbourg, excusez du peu, et de tant d'autres perles... Concernant Claude Nougaro (qui se trouve être mon chanteur préféré, juste devant Léo Ferré, puis Serge Gainsbourg, puis Nino Ferrer et Philippe Léotard... je vais m'en tenir là car, sinon, j'y suis encore dans une heure) et plus précisément le morceau éponymme Plume d'ange, je dirais qu'il fait assurément partie du "top 5" des plus beaux joyaux de la chanson française, peut-être même du "top 1", lol. Pour ma part, en tout cas, je ne suis encore jamais parvenu à l'écouter sans verser quelques larmes à la toute fin de cette merveille... 🙃
Bonsoir. J'ai pour cette chanson une tendresse extrême.Je l'ai apprise par coeur comme une pièce théâtrale et je la récitais à l'envi pendant les pauses,à mes collègues de boulot qui n'en pouvaient mais,vu sa longueur. Quand ils en avaient marre (souvent) je leur récitais :"Jésus".Jésus ne réponds pas quand ton père te cause,c'est pour ton avenir que je trime comme dix,te rends-tu compte enfin des soucis que tu me causes,qu'est-ce que j'ai fait au bon Dieu pour avoir un tel fils?.......Claude était un vrai génie et je remercie un ancien camarade étudiant qui m'a initié à cet univers en cité universitaire,au début des années 70,moi qui étais un fan de rock progressif.J'ai élargi ma palette,Claude m'a accompagné jusqu'à sa mort qui m'a profondément attristé.
Fabuleux poème en prose, que l'on peut associer à "Victor" comme fait sur le magnifique album en public, Nougaro 77. J'ai eu la chance de le voir lors de sa dernière tournée, comme pour lui dire adieu. Il me manque et je le considère comme le plus grand chanteur français de tous les temps.
Vous voyez cette plume ? Eh bien, c'est une plume...d'ange. Mais rassurez vous, je ne vous demande pas de me croire, je ne vous le demande plus. Pourtant, écoutez encore une fois, une dernière fois, mon histoire. Une nuit, je faisais un rêve désopilant quand je fus réveillé par un frisson de l'air. J'ouvre les yeux, que vois-je ? Dans l'obscurité de la chambre, des myriades d'étincelles...Elles s'en allaient rejoindre, par tourbillonnements magnétiques, un point situé devant mon lit. Rapidement, de l'accumulation de ces flocons aimantés, phosphorescents, un corps se constituait. Quand les derniers flocons eurent terminé leur course, un ange était là, devant moi, un ange réglementaire avec les grandes ailes de lait. Comme une flèche d'un carquois, de son épaule il tire une plume, il me la tend et il me dit : " C'est une plume d'ange. Je te la donne. Montre-la autour de toi. Qu'un seul humain te croie et ce monde malheureux s'ouvrira au monde de la joie. Qu'un seul humain te croie avec ta plume d'ange. Adieu et souviens toi : la foi est plus belle que Dieu. " Et l'ange disparut laissant la plume entre mes doigts. Dans le noir, je restai longtemps, illuminé, grelottant d'extase, lissant la plume, la respirant. En ce temps là, je vivais pour les seins somptueux d'une passion néfaste. J'allume, je la réveille : " Mon amour, mon amour, regarde cette plume...C'est une plume d'ange! Oui ! un ange était là... Il vient de me la donner...Oh ma chérie, tu me sais incapable de mensonge, de plaisanterie scabreuse... Mon amour, mon amour, il faut que tu me croies, et tu vas voir... le monde ! " La belle, le visage obscurci de cheveux, d'araignées de sommeil, me répondit: " Fous moi la paix... Je voudrais dormir...Et cesse de fumer ton satané Népal ! " Elle me tourne le dos et merde ! Au petit matin, parmi les nègres des poubelles et les premiers pigeons, je filai chez mon ami le plus sûr. Je montrai ma plume à l'Afrique, aux poubelles, et bien sûr, aux pigeons qui me firent des roues, des roucoulements de considération admirative. Je sonne. Voici mon ami André. Posément, avec précision, je vidai mon sac biblique, mon oreiller céleste : " Tu m'entends bien, André, qu'on me prenne au sérieux et l'humanité tout entière s'arrache de son orbite de malédiction guerroyante et funeste. À dégager ! Finies la souffrance, la sottise. La joie, la lumière débarquent ! " André se massait pensivement la tempe, il me fit un sourire ému, m'entraîna dans la cuisine et devant un café, m'expliqua que moi, sensible, moi, enclin au mysticisme sauvage, moi devais reconsidérer cette apparition. Le repos... L'air de la campagne... Avec les oiseaux précisément, les vrais ! Je me retrouvai dans la rue grondante, tenaillant la plume dans ma poche. Que dire ? Que faire ? " Monsieur l'agent, regardez, c'est une plume d'ange." Il me croit ! Aussitôt les tonitruants troupeaux de bagnoles déjà hargneuses s'aplatissent. Des hommes radieux en sortent, auréolés de leurs volants et s'embrassent en sanglotant. Soyons sérieux ! Je marchais, je marchais, dévorant les visages. Celui ci ? La petite dame ? Et soudain l'idée m'envahit, évidente, éclatante... Abandonnons les hommes ! Adressons-nous aux enfants ! Eux seuls savent que la foi est plus belle que Dieu. Les enfants...Oui, mais lequel ? Je marchais toujours, je marchais encore. Je ne regardais plus la gueule des passants hagards, mais, en moi, des guirlandes de visages d'enfants, mes chéris, mes féeriques, mes crédules me souriaient. Je marchais, je volais... Le vent de mes pas feuilletait Paris...Pages de pierres, de bitume, de pavés maintenant. Ceux de la rue Saint-Vincent... Les escaliers de Montmartre. Je monte, je descends et me fige devant une école, rue du Mont-Cenis. Quelques femmes attendaient la sortie des gosses. Faussement paternel, j'attends, moi aussi. Les voilà. Ils débouchent de la maternelle par fraîches bouffées, par bouillonnements bariolés. Mon regard papillonne de frimousses en minois, quêtant une révélation. Sur le seuil de l'école, une petite fille s'est arrêtée. Dans la vive lumière d'avril, elle cligne ses petits yeux de jais, un peu bridés, un peu chinois et se les frotte vigoureusement. Puis elle reprend son cartable orange, tout rebondi de mathématiques modernes. Alors j'ai suivi la boule brune et bouclée de sa tête, gravissant derrière elle les escaliers de la Butte. À quelque cent mètres elle pénétra dans un immeuble. Longtemps, je suis resté là, me caressant les dents avec le bec de ma plume. Le lendemain je revins à la sortie de l'école et le surlendemain et les jours qui suivirent. Elle s'appelait Fanny. Mais je ne me décidais pas à l'aborder. Et si je lui faisais peur avec ma bouche sèche, ma sueur sacrée, ma pâleur mortelle, vitale ? Alors, qu'est-ce que je fais ? Je me tue ? Je l'avale, ma plume ? Je la plante dans le cul somptueux de ma passion néfaste ? Et puis un jeudi, je me suis dit : je lui dis. Les poumons du printemps exhalaient leur première haleine de peste paradisiaque. J'ai précipité mon pas, j'ai tendu ma main vers la tête frisée... Au moment où j'allais l'atteindre, sur ma propre épaule, une pesante main s'est abattue. Je me retourne, ils étaient deux, ils empestaient le barreau " Suivez nous ". Le commissariat. Vous connaissez les commissariats ? Les flics qui tapent le carton dans de la gauloise, du sandwich... Une couche de tabac, une couche de passage à tabac. Le commissaire était bon enfant, il ne roulait pas les mécaniques, il roulait les r : " Asseyez vous. Il me semble déjà vous avoir vu quelque part, vous. Alors comme ça, on suit les petites filles ? Quitte à passer pour un détraqué, je vais vous expliquer, monsieur, la véritable raison qui m'a fait m'approcher de cette enfant. Je sors ma plume et j'y vais de mon couplet nocturne et miraculeux. - Fanny, j'en suis certain, m'aurait cru. Les assassins, les polices, notre séculaire tennis de coups durs, tout ça, c'était fini, envolé ! Voyons l'objet, me dit le commissaire. D'entre mes doigts tremblants il saisit la plume sainte et la fait techniquement rouler devant un sourcil bonhomme. - C'est de l'oie, ça... me dit il, je m'y connais, je suis du Périgord Monsieur, ce n'est pas de l'oie, c'est de l'ange, vous dis je ! Calmez vous ! Calmez vous ! Mais vous avouerez tout de même qu'une telle affirmation exige d'être appuyée par un minimum d'enquête, à défaut de preuve. Vous allez patienter un instant. On va s'occuper de vous. Gentiment, hein ? gentiment. " On s'est occupé de moi, gentiment. Entre deux électrochocs, je me balade dans le parc de la clinique psychiatrique où l'on m'héberge depuis un mois. Parmi les divers siphonnés qui s'ébattent ou s'abattent sur les aimables gazons, il est un être qui me fascine. C'est un vieil homme, très beau, il se tient toujours immobile dans une allée du parc devant un cèdre du Liban. Parfois, il étend lentement les bras et semble psalmodier un texte secret, sacré. J'ai fini par m'approcher de lui, par lui adresser la parole. Aujourd'hui, nous sommes amis. C'est un type surprenant, un savant, un poète. Vous dire qu'il sait tout, a tout appris, senti, perçu, percé, c'est peu dire. De sa barbe massive, un peu verte, aux poils épais et tordus, le verbe sort, calme et fruité, abreuvant un récit où toutes les mystiques, les métaphysiques, les philosophies s'unissent, se rassemblent pour se ressembler dans le puits étoilé de sa mémoire. Dans ce puits de jouvence intellectuelle, sot, je descends, seau débordant de l'eau fraîche et limpide de l'intelligence alliée à l'amour, je remonte. Parfois il me contemple en souriant. Des plis de sa robe de bure, il sort des noix, de grosses noix qu'il brise d'un seul coup dans sa paume, crac ! pour me les offrir. Un jour où il me parle d'ornithologie comparée entre Olivier Messiaen et Charlie Parker, je ne l'écoute plus. Un grand silence se fait en moi. Mais cet homme dont l'ange t'a parlé, cet homme introuvable qui peut croire à ta plume, eh bien, oui, c'est lui, il est là, devant toi ! Sans hésiter, je sors la plume. Les yeux mordorés lancent une étincelle. Il examine la plume avec une acuité qui me fait frémir de la tête aux pieds. " Quel magnifique spécimen de plume d'ange vous avez là, mon ami. Alors vous me croyez ? vous le savez ! Bien sûr, je vous crois. Le tuyau légèrement cannelé, la nacrure des barbes, on ne peut s'y méprendre. Je puis même ajouter qu'il s'agit d'une penne d'Angelus Maliciosus. Mais alors ! Puisqu'il est dit qu'un homme me croyant, le monde est sauvé... Je vous arrête, ami. Je ne suis pas un homme. Vous n'êtes pas un homme ? Nullement, je suis un noyer. Vous vous êtes noyé ? Non. Je suis un noyer. L'arbre. Je suis un arbre. " Il y eut un frisson de l'air. Se détachant de la cime du grand cèdre, un oiseau est venu se poser sur l'épaule du vieillard et je crus reconnaître, miniaturisé, l'ange malicieux qui m'avait visité. Tous les trois, l'oiseau, le vieil homme et moi, nous avons ri, nous avons ri longtemps, longtemps... Le fou rire, quoi !"
Merci pour le texte ✨ Vous êtes un amoureux de ce conte que Claude Nougaro nous conta à une époque...ce conte qui reste dans nos mémoires...! Vous nous donnez ce texte...et pour ça, je vous considère comme un ami que Claude Nougaro Est arrivé à réunir...✨ Quarante cinq ans que j'écoute plume d'ange...!et c'est pour moi quelque chose de Claude Nougaro qui ressemble à un phare de ma mémoire musicale...!
La première fois que j'ai écouté cette chanson c'était une nuit froide et pluvieuse dans une petite ville au Maroc.kasbah Tadla.je travaillais dans un lycée là bas. Et maintenant chaque fois que je l'écoute ça me rappelle cette belle époque.Ah Le bon vieux temps.
Un soir un poto débarque avec le disque c'était les années 85 nous étions jeunes on fumais le bédo dans ma chambre petite lumière tamisé puis on passe plume d'ange la on éteint la lumière première fois que j'écoutais nougaro on est resté scotché 😂à se dire qu'il avait rencontré l'ange malicieux qu'il avait visité pour finir en hp😂😂😂
Comment ça ? Vous fumiez du bédo ? Mais c'est très mal, ça, je vais le dire à ma mère ! Lol. 🙃 Oui, ce morceau, Plume d'ange, est à mon avis le plus beau titre de Claude Nougaro et le ou l'un des plus beaux titres de la chanson française tout court. Moi aussi, qui n'ai pourtant plus bédavé depuis une éternité (j'ai fait tellement pire que je ne peux même pas l'écrire ici), la première fois que j'ai entendu ce morceau je me suis senti comme sur une autre planète. Très belle journée à vous.
Mon père, Pierre Llinares, ami de Claude Nougaro, joue du violon et de l'alto sur cette chanson. Les orchestrations quant à elles sont du grand Jean-Claude Vannier.
Pour Jean-Claude Vannier je le savais, mais le violon et l'alto sont aussi de magnifiques instruments et vous pouvez être vraiment très fière ou fier de votre père ! D'ailleurs, sur ce titre qui occupe toute la face A de ce disque, c'est bien simple, musicalement tout est magique.
avant, pendant et après la cérémonie de crémation de mon père, nous étions près d'une centaine à écouter cette chanson sur une sono puissante et bien réglée c'était beau émouvant et... ... nous avons bien ri 🌻🌷🌻
Dire que j'ai entendu cette chanson Live à Strasbourg, et que celà faisait 2 ans q je ne la trouvais pas sur le net. Merçi. P.S.: j'ignorais qu'il y avait 1 33t éponyme!
@@michelziegler67600 Je ne saurais pas vous dire... Par contre, si la mienne est bonne, de mémoire, je crois me rappeler que sur le disque vinyle le titre éponyme Plume d'ange faisait office d'ouverture de l'album et occupait toute la face A... ? Bonne soirée ! 🙂
Je l’écoute chaque année en pensant que le monde puisse etre sauvé, mais la majorité des gens incrédules a la véritable foi empêche à la joie...le fou-rire quoi...ah ah ah
La batterie ? C'est bien d'elle que vous parlez ? C'est vrai ! Elle est très discrète, très en retrait, mais elle (et aussi certaines percussions qui lui sont ajoutées) est d'une incroyable richesse en termes de palette des sons, de nuances et de rythme. D'ailleurs, la basse, bien qu'encore plus discrète, n'est pas dégueulasse non plus ! Et ces claviers "entêtants", mais au bon sens du terme...
L'album est sorti en 1977, comme je l'ai écrit, mais il n'y aurait en effet rien d'impossible à ce qu'il ait offert cette merveille en "avant-première" aux spectateurs venus l'écouter en concert un peu auparavant...
Magnifique et à la fois terrible, un vrai bijou malheureusement trop méconnu de Nougaro!
Malheureusement oui, trop méconnu, dommage car c'est une pure merveille! J'ai la chair de poule à chaque fois que je l'écoute ....
Une merveille ! Jamais oublié depuis que mon copain de mes 17 ans me l’a fait écouter... soit 37 ans plus tard 💖
Tellement d'accord
Ma préférée c'est "victor "
Je réécoute une fois de plus cette magnifique interprétation de plume d'ange de Claude Nougaro... combien de fois depuis 1984?
Et là magie est toujours là !!!
Souvent,je passe sur les bords de Garonne, là où précisément Claude Nougaro a résidé,et j'ai toujours une petite pensée pour cet homme qui nous as laissé tellement de belles choses à écouter et à comprendre...!
Merci monsieur Nougaro ✨!
Écrire ça c'est juste du pur génie. ÉNORME
C'était un génie ! merci de penser comme moi.
A chaque fois que je trouve une plume, je me dis que c'est une plume d'ange et je pense à Claude Nougaro et à cette magnifique histoire.
La plus belle des chansons françaises de tous temps avec l'hymne à l'amour....
Il y a tout dans cette chanson, de la poésie de l’humour et que dire des orchestrations qui donnent le frisson !
Merveilleux ❤
C'est vraiment un bonheur de voir tous vos commentaires à propos de plume d'ange,ce fabuleux texte écrit et interprété par Claude Nougaro, cela me fait d'autant plus plaisir,car je constate qu'il y'a vraiment énormément de gens qui sont tombés sous le charme de cette magie histoire...!
La première fois que j'ai écouté plume d'ange, c'était en 1984...et Aujourd'hui, trente sept ans après,je me rends compte que j'ai écouté plume d'ange des dizaines et des dizaines de fois... avec toujours autant de plaisir et toujours autant de magie... entre les oreilles ✨et dans la tête ✨!!!quel bonheur !!!
Et cette richesse d'écriture... propre à Claude Nougaro...
Les poumons du printemps exhalaient leur première haleines de peste paradisiaque...!
Du bonheur à l'état pur !!!
Magnifique Claude Nougaro !!!
Oui, il est fabuleux, c'est l'artiste que je place pour ma part le plus haut dans la chanson française, d'une courte tête devant Léo Ferré et Serge Gainsbourg. Je dirais même qu'avec son accent toulousain, qui lui fait prononcer les e non muets, il est l'incarnation de la Poésie dans ce que celle-ci peut avoir de plus pur, et qu'avec son parler plutôt que son chanter sur certaines musiques, très en avance sur son temps, on pourrait lui reconnaître une sorte de paternité du (bon) rap bien avant l'heure, je pense notamment aux divins alexandrins qu'il scande sur Paris mai... Mais je suis d'accord qu'il n'est jamais allé aussi loin (ce qui n'est pas peu dire...) qu'avec Plume d'ange...
Un poète y'a pas d'autres mots j'adore ❤
Et je vais en rajouter une couche... de bleu...de merveilleux...car je me surprend une fois de plus en ce jour du 6 mai mai mai 2024, à réécouter encore un fois cette fabuleuse histoire de plume d'ange, dont je ne me lasserai jamais je pense...✨
Je saisis ce message en ayant toutes les meilleures pensées pour les gens qui comme moi... aime Claude Nougaro ...cet extraordinaire alchimiste des mots... qui nous font tous rêver...
Je pense souvent à lui... à l'automne de ma vie et je me dis souvent qu'il est doux de suivre le chemin, en ayant ce que ce monsieur nous a laissé, entre les oreilles et au fond de nos cœurs...
à tout jamais...!
Good vibes à tous...😉...✨
Mais moi aussi, mon adolescence a été colorée par les textes et le génie de Claude Nougaro,.. Pas assez écouté de nos jours.. Dommage... '
la foi est plus belle que dieu, tellement vrai
-" La Foi est plus Belle que Dieu ."
UNE PURE MERVEILLE! JAMAIS JE ME LASSERAIS D'ECOUTER PLUME D'ANGE !!!!! NOUGARO MAIS QUEL ARTISTE, QUELLE MAITRISE DU VERBE, MAGIQUE !!!!
Magnifique, bouleversant, magistral monsieur Nougaro
Il y a 40 ans que j'ai écouté Plume d'Ange, nous avions le disque. Moments magiques que je n'ai jamais oublié ! Merci
Clau-de Nou-ga-ro, par son a-ppui des sy-lla-beus z'et des e non mu-ets, cré-a le rap a-vant l'heure (cf. "Paris Mai") et la po-é-sie la plus par-faite en ter-mes de pieds, tel un Bra-ssens, un F[é]-rré, voire un Bau-de-laire. Il y aurait tant à dire sur lui... Mais "Plume d'angeu !" reste à mes yeux, et plus encore à mes oreilles, son oeuvre la plus aboutie et la plus bouleversante.
Inoubliable
Merci à toi pour ce beau
Merveilleux
J'aime tjrs autant... Ma -gi -que !!!
Chaque fois qu'j'trouve une petite plume blanche ou qu'elle virevolte ds l'air frais du petit matin..., sais que Mon Bel Amour, parti trop tôt, n'est pas loin...
The heart and the artistic genius of man share a common language: the harmony of sound and music. It's a legacy from the dawn of time that will live on into eternity Yé Lassina Coulibaly
Inimitable et précieux Claude Nougaro..❤ Comment il serait désolé de voir ce qui se passe en France 😢
Magnifique chanson très beau message à l'humanité ❤️
Chef d'oeuvre total !!! J'ai découvert ce morceau adolescent dans l'émission de Super Nana sur Skyrock !!!! chaque soir, je m'endormais avant la fin !!! Au fil du temps ce morceau est devenu ma berceuse.
Le talent de Nougaro avec le génie de Jean Claude Vannier !
Je ne peux que souscrire lorsque vous mentionnez le génie créatif de Jean-Claude Vannier, un peu oublié dans la mémoire collective du grand public, pourtant compositeur d'une grande partie de l'album Histoire de Melody Nelson de Serge Gainsbourg, excusez du peu, et de tant d'autres perles... Concernant Claude Nougaro (qui se trouve être mon chanteur préféré, juste devant Léo Ferré, puis Serge Gainsbourg, puis Nino Ferrer et Philippe Léotard... je vais m'en tenir là car, sinon, j'y suis encore dans une heure) et plus précisément le morceau éponymme Plume d'ange, je dirais qu'il fait assurément partie du "top 5" des plus beaux joyaux de la chanson française, peut-être même du "top 1", lol. Pour ma part, en tout cas, je ne suis encore jamais parvenu à l'écouter sans verser quelques larmes à la toute fin de cette merveille... 🙃
Je vous conseille la bio de Jean Claude Vannier aux éditions les mots et le reste
@@othello4007
Bonsoir. J'ai pour cette chanson une tendresse extrême.Je l'ai apprise par coeur comme une pièce théâtrale et je la récitais à l'envi pendant les pauses,à mes collègues de boulot qui n'en pouvaient mais,vu sa longueur. Quand ils en avaient marre (souvent) je leur récitais :"Jésus".Jésus ne réponds pas quand ton père te cause,c'est pour ton avenir que je trime comme dix,te rends-tu compte enfin des soucis que tu me causes,qu'est-ce que j'ai fait au bon Dieu pour avoir un tel fils?.......Claude était un vrai génie et je remercie un ancien camarade étudiant qui m'a initié à cet univers en cité universitaire,au début des années 70,moi qui étais un fan de rock progressif.J'ai élargi ma palette,Claude m'a accompagné jusqu'à sa mort qui m'a profondément attristé.
Magnifique ❤️
Fabuleux poème en prose, que l'on peut associer à "Victor" comme fait sur le magnifique album en public, Nougaro 77. J'ai eu la chance de le voir lors de sa dernière tournée, comme pour lui dire adieu. Il me manque et je le considère comme le plus grand chanteur français de tous les temps.
Vous voyez cette plume ?
Eh bien, c'est une plume...d'ange.
Mais rassurez vous, je ne vous demande pas de me croire, je ne vous le demande plus.
Pourtant, écoutez encore une fois, une dernière fois, mon histoire.
Une nuit, je faisais un rêve désopilant quand je fus réveillé par un frisson de l'air.
J'ouvre les yeux, que vois-je ?
Dans l'obscurité de la chambre, des myriades d'étincelles...Elles s'en allaient rejoindre, par tourbillonnements magnétiques, un point situé devant mon lit.
Rapidement, de l'accumulation de ces flocons aimantés, phosphorescents, un corps se constituait.
Quand les derniers flocons eurent terminé leur course, un ange était là, devant moi, un ange réglementaire avec les grandes ailes de lait.
Comme une flèche d'un carquois, de son épaule il tire une plume, il me la tend et il me dit :
" C'est une plume d'ange. Je te la donne. Montre-la autour de toi.
Qu'un seul humain te croie et ce monde malheureux s'ouvrira au monde de la joie.
Qu'un seul humain te croie avec ta plume d'ange.
Adieu et souviens toi : la foi est plus belle que Dieu. "
Et l'ange disparut laissant la plume entre mes doigts.
Dans le noir, je restai longtemps, illuminé, grelottant d'extase, lissant la plume, la respirant.
En ce temps là, je vivais pour les seins somptueux d'une passion néfaste.
J'allume, je la réveille :
" Mon amour, mon amour, regarde cette plume...C'est une plume d'ange! Oui ! un ange était là... Il vient de me la donner...Oh ma chérie, tu me sais incapable de mensonge, de plaisanterie scabreuse... Mon amour, mon amour, il faut que tu me croies, et tu vas voir... le monde ! "
La belle, le visage obscurci de cheveux, d'araignées de sommeil, me répondit:
" Fous moi la paix... Je voudrais dormir...Et cesse de fumer ton satané Népal ! "
Elle me tourne le dos et merde !
Au petit matin, parmi les nègres des poubelles et les premiers pigeons, je filai chez mon ami le plus sûr.
Je montrai ma plume à l'Afrique, aux poubelles, et bien sûr, aux pigeons qui me firent des roues, des roucoulements de considération admirative.
Je sonne.
Voici mon ami André.
Posément, avec précision, je vidai mon sac biblique, mon oreiller céleste :
" Tu m'entends bien, André, qu'on me prenne au sérieux et l'humanité tout entière s'arrache de son orbite de malédiction guerroyante et funeste. À dégager ! Finies la souffrance, la sottise. La joie, la lumière débarquent ! "
André se massait pensivement la tempe, il me fit un sourire ému, m'entraîna dans la cuisine et devant un café, m'expliqua que moi, sensible, moi, enclin au mysticisme sauvage, moi devais reconsidérer cette apparition.
Le repos... L'air de la campagne... Avec les oiseaux précisément, les vrais !
Je me retrouvai dans la rue grondante, tenaillant la plume dans ma poche.
Que dire ? Que faire ?
" Monsieur l'agent, regardez, c'est une plume d'ange."
Il me croit !
Aussitôt les tonitruants troupeaux de bagnoles déjà hargneuses s'aplatissent. Des hommes radieux en sortent, auréolés de leurs volants et s'embrassent en sanglotant.
Soyons sérieux !
Je marchais, je marchais, dévorant les visages. Celui ci ? La petite dame ?
Et soudain l'idée m'envahit, évidente, éclatante... Abandonnons les hommes ! Adressons-nous aux enfants ! Eux seuls savent que la foi est plus belle que Dieu.
Les enfants...Oui, mais lequel ?
Je marchais toujours, je marchais encore. Je ne regardais plus la gueule des passants hagards, mais, en moi, des guirlandes de visages d'enfants, mes chéris, mes féeriques, mes crédules me souriaient.
Je marchais, je volais... Le vent de mes pas feuilletait Paris...Pages de pierres, de bitume, de pavés maintenant.
Ceux de la rue Saint-Vincent... Les escaliers de Montmartre. Je monte, je descends et me fige devant une école, rue du Mont-Cenis.
Quelques femmes attendaient la sortie des gosses. Faussement paternel, j'attends, moi aussi.
Les voilà.
Ils débouchent de la maternelle par fraîches bouffées, par bouillonnements bariolés. Mon regard papillonne de frimousses en minois, quêtant une révélation.
Sur le seuil de l'école, une petite fille s'est arrêtée. Dans la vive lumière d'avril, elle cligne ses petits yeux de jais, un peu bridés, un peu chinois et se les frotte vigoureusement.
Puis elle reprend son cartable orange, tout rebondi de mathématiques modernes.
Alors j'ai suivi la boule brune et bouclée de sa tête, gravissant derrière elle les escaliers de la Butte.
À quelque cent mètres elle pénétra dans un immeuble.
Longtemps, je suis resté là, me caressant les dents avec le bec de ma plume.
Le lendemain je revins à la sortie de l'école et le surlendemain et les jours qui suivirent.
Elle s'appelait Fanny. Mais je ne me décidais pas à l'aborder. Et si je lui faisais peur avec ma bouche sèche, ma sueur sacrée, ma pâleur mortelle, vitale ?
Alors, qu'est-ce que je fais ? Je me tue ? Je l'avale, ma plume ? Je la plante dans le cul somptueux de ma passion néfaste ?
Et puis un jeudi, je me suis dit : je lui dis.
Les poumons du printemps exhalaient leur première haleine de peste paradisiaque.
J'ai précipité mon pas, j'ai tendu ma main vers la tête frisée... Au moment où j'allais l'atteindre, sur ma propre épaule, une pesante main s'est abattue.
Je me retourne, ils étaient deux, ils empestaient le barreau
" Suivez nous ".
Le commissariat.
Vous connaissez les commissariats ?
Les flics qui tapent le carton dans de la gauloise, du sandwich...
Une couche de tabac, une couche de passage à tabac.
Le commissaire était bon enfant, il ne roulait pas les mécaniques, il roulait les r :
" Asseyez vous. Il me semble déjà vous avoir vu quelque part, vous.
Alors comme ça, on suit les petites filles ?
Quitte à passer pour un détraqué, je vais vous expliquer, monsieur, la véritable raison qui m'a fait m'approcher de cette enfant.
Je sors ma plume et j'y vais de mon couplet nocturne et miraculeux.
- Fanny, j'en suis certain, m'aurait cru. Les assassins, les polices, notre séculaire tennis de coups durs, tout ça, c'était fini, envolé !
Voyons l'objet, me dit le commissaire.
D'entre mes doigts tremblants il saisit la plume sainte et la fait techniquement rouler devant un sourcil bonhomme.
- C'est de l'oie, ça... me dit il, je m'y connais, je suis du Périgord
Monsieur, ce n'est pas de l'oie, c'est de l'ange, vous dis je !
Calmez vous ! Calmez vous ! Mais vous avouerez tout de même qu'une telle affirmation exige d'être appuyée par un minimum d'enquête, à défaut de preuve.
Vous allez patienter un instant. On va s'occuper de vous. Gentiment, hein ? gentiment. "
On s'est occupé de moi, gentiment.
Entre deux électrochocs, je me balade dans le parc de la clinique psychiatrique où l'on m'héberge depuis un mois.
Parmi les divers siphonnés qui s'ébattent ou s'abattent sur les aimables gazons, il est un être qui me fascine. C'est un vieil homme, très beau, il se tient toujours immobile dans une allée du parc devant un cèdre du Liban. Parfois, il étend lentement les bras et semble psalmodier un texte secret, sacré.
J'ai fini par m'approcher de lui, par lui adresser la parole.
Aujourd'hui, nous sommes amis. C'est un type surprenant, un savant, un poète.
Vous dire qu'il sait tout, a tout appris, senti, perçu, percé, c'est peu dire.
De sa barbe massive, un peu verte, aux poils épais et tordus, le verbe sort, calme et fruité, abreuvant un récit où toutes les mystiques, les métaphysiques, les philosophies s'unissent, se rassemblent pour se ressembler dans le puits étoilé de sa mémoire.
Dans ce puits de jouvence intellectuelle, sot, je descends, seau débordant de l'eau fraîche et limpide de l'intelligence alliée à l'amour, je remonte.
Parfois il me contemple en souriant. Des plis de sa robe de bure, il sort des noix, de grosses noix qu'il brise d'un seul coup dans sa paume, crac ! pour me les offrir.
Un jour où il me parle d'ornithologie comparée entre Olivier Messiaen et Charlie Parker, je ne l'écoute plus.
Un grand silence se fait en moi.
Mais cet homme dont l'ange t'a parlé, cet homme introuvable qui peut croire à ta plume, eh bien, oui, c'est lui, il est là, devant toi !
Sans hésiter, je sors la plume.
Les yeux mordorés lancent une étincelle.
Il examine la plume avec une acuité qui me fait frémir de la tête aux pieds.
" Quel magnifique spécimen de plume d'ange vous avez là, mon ami.
Alors vous me croyez ? vous le savez !
Bien sûr, je vous crois. Le tuyau légèrement cannelé, la nacrure des barbes, on ne peut s'y méprendre.
Je puis même ajouter qu'il s'agit d'une penne d'Angelus Maliciosus.
Mais alors ! Puisqu'il est dit qu'un homme me croyant, le monde est sauvé...
Je vous arrête, ami. Je ne suis pas un homme.
Vous n'êtes pas un homme ?
Nullement, je suis un noyer.
Vous vous êtes noyé ?
Non. Je suis un noyer. L'arbre. Je suis un arbre. "
Il y eut un frisson de l'air.
Se détachant de la cime du grand cèdre, un oiseau est venu se poser sur l'épaule du vieillard et je crus reconnaître, miniaturisé, l'ange malicieux qui m'avait visité.
Tous les trois, l'oiseau, le vieil homme et moi, nous avons ri, nous avons ri longtemps, longtemps...
Le fou rire, quoi !"
Quel boulot ! Quel courage ! Merci infiniment, Dersou...
@@othello4007 Plaisir du partage, merci.
Merci infiniment pour les paroles, sublimes, inspirées, drôles, du très très grand Nougaro
Merci pour le texte ✨
Vous êtes un amoureux de ce conte que Claude Nougaro nous conta à une époque...ce conte qui reste dans nos mémoires...!
Vous nous donnez ce texte...et pour ça, je vous considère comme un ami que Claude Nougaro Est arrivé à réunir...✨
Quarante cinq ans que j'écoute plume d'ange...!et c'est pour moi quelque chose de Claude Nougaro qui ressemble à un phare de ma mémoire musicale...!
Merci derzou !
Merci de nous offrir cette magie merveilleuse a chaque écoute ,la même émotion qui me transperce…quel génie et quel talent irremplaçable…
Tant de souvenirs 😢
Mais le temps est passé . j'ai un super enfant,mon fils Léo.
Il m'a dit tu n'es pas Une célibataire mais une Célibatante.
J'aime 😘
"et....n' oublie pas ...la foi est plus belle que Dieu ..."
Je ne me lasse pas de ce bijou.... Tellement fort ... !!!
Merci ....
UNE MERVEILLE !!!!!
Magnifique chanson de Claude nouggaro
Mon enfance et ma triste vie .... Mais je pense avoir trouvée mon Ange ❤
un talent fantastique, ANGELIQUE, inégalé , inégalable, j'avais 17 ans ..........
C'est du bonheur quand j'écoute cette chanson .
Sii je peux me permettre cette remarque, je trouve que c'est aussi beaucoup de tristesse. Mais je crois comprendre ce que vous dites.
Une perle de la chanson française que je ne me lasserai jamais d'écouter !
Moi non plus !
En concert à Auxerre , j'avais 20 ans, 1975, eh oui , il l'a interprétée , petit bijou , merci Monsieur Nougaro
La première fois que j'ai écouté cette chanson c'était une nuit froide et pluvieuse dans une petite ville au Maroc.kasbah Tadla.je travaillais dans un lycée là bas.
Et maintenant chaque fois que je l'écoute ça me rappelle cette belle époque.Ah Le bon vieux temps.
merci de m avoir fais decouvrir ce
texte que je ne conaissais pas vraiment une perle de la langue francaise .
Quel poète ❤️
Je redécouvre avec bonheur
Nougaro 😊
La foi est plus belle que Dieu
Une merveille!!
Comme c'est beau ....Merci je ne la connaissais pas
Il parlait comme dans ses chansons ... Pour l'avoir rencontré sous le Pont neuf ... On peut vivre dans nos rêves ... Il nous éclaire.
Bonsoir, en tant que toulousaine je me dois de vous poser cette question , l'avez vous vraiment rencontré ? Quelle chance...
Merci !!
Un soir un poto débarque avec le disque c'était les années 85 nous étions jeunes on fumais le bédo dans ma chambre petite lumière tamisé puis on passe plume d'ange la on éteint la lumière première fois que j'écoutais nougaro on est resté scotché 😂à se dire qu'il avait rencontré l'ange malicieux qu'il avait visité pour finir en hp😂😂😂
Comment ça ? Vous fumiez du bédo ? Mais c'est très mal, ça, je vais le dire à ma mère ! Lol. 🙃 Oui, ce morceau, Plume d'ange, est à mon avis le plus beau titre de Claude Nougaro et le ou l'un des plus beaux titres de la chanson française tout court. Moi aussi, qui n'ai pourtant plus bédavé depuis une éternité (j'ai fait tellement pire que je ne peux même pas l'écrire ici), la première fois que j'ai entendu ce morceau je me suis senti comme sur une autre planète. Très belle journée à vous.
Souvenir de toi, c'est la 2eme que je l'écoute depuis ce temps
Extraordinaire...Souvenir d enfance ...Merveilleux Merveilleux !!!
Eblouissant , l' écriture est raffiné et puissante , rare .....
Mon père, Pierre Llinares, ami de Claude Nougaro, joue du violon et de l'alto sur cette chanson. Les orchestrations quant à elles sont du grand Jean-Claude Vannier.
Pour Jean-Claude Vannier je le savais, mais le violon et l'alto sont aussi de magnifiques instruments et vous pouvez être vraiment très fière ou fier de votre père ! D'ailleurs, sur ce titre qui occupe toute la face A de ce disque, c'est bien simple, musicalement tout est magique.
Merci bien@@othello4007
@@nordmusic1778 De rien !
Quel talent ton papa !
D une beauté insoutenable...Merci Monsieur Nougaro.
avant, pendant et après la cérémonie de crémation de mon père, nous étions près d'une centaine à écouter cette chanson sur une sono puissante et bien réglée
c'était beau
émouvant
et...
... nous avons bien ri 🌻🌷🌻
je viens d avoir la même idée pour la cérémnie de mon père, je viens de trouver ce texte dans son tiroir
@@zeliasurlaterrecommeauciel3448
n'hésite pas 🌹
Merci otthello400 sa fait bien 40 ans que je l'avais pas entendue cette perle du père Claude Nougaro. 👍
Aujourd hui ça fait un superbe slam
Merci pour ce partage, le son est infiniment de qualité, et quel plaisir cette pochette originale !
Dire que j'ai entendu cette chanson Live à Strasbourg, et que celà faisait 2 ans q je ne la trouvais pas sur le net. Merçi. P.S.: j'ignorais qu'il y avait 1 33t éponyme!
Si, bien sûr ! Il est sorti en 1977. Bonne journée à vous !
@@othello4007
Merçi pour l'info; il y eût un Polen... spécial Claude Nougarot en 2001 si ma mémoire est bonne.
@@michelziegler67600 Je ne saurais pas vous dire... Par contre, si la mienne est bonne, de mémoire, je crois me rappeler que sur le disque vinyle le titre éponyme Plume d'ange faisait office d'ouverture de l'album et occupait toute la face A... ? Bonne soirée ! 🙂
@@othello4007
MERÇI. C'était au Palais de la Musique et Des Congrès à Strasbourg 67000.
Je l’écoute chaque année en pensant que le monde puisse etre sauvé, mais la majorité des gens incrédules a la véritable foi empêche à la joie...le fou-rire quoi...ah ah ah
😂
la folie de la furie.
Merci ! :)
wooooooooooooooooooooooooooooooow mezmerizing
Merci ! Je ne connais pas...
Je suis un Arbre !!!!
Poésie majuscule
👍👍👍👍👍👍👍
Trop beau je me font
Son plus bel héritage....
merci othello (jalousie ?) super version . mais connais tu celle de l album à l olympia de 1977 également . un petit rien de magie supplémentaire .
Moi je te crois
Ce que vous venez d'écrire est merveilleux.
La bat de fond !
La batterie ? C'est bien d'elle que vous parlez ? C'est vrai ! Elle est très discrète, très en retrait, mais elle (et aussi certaines percussions qui lui sont ajoutées) est d'une incroyable richesse en termes de palette des sons, de nuances et de rythme. D'ailleurs, la basse, bien qu'encore plus discrète, n'est pas dégueulasse non plus ! Et ces claviers "entêtants", mais au bon sens du terme...
Ya des gens né après 1990 ou je suis perdu ?
Vous voulez dire AVANT 1990... ?
@@othello4007 ok je me suis perdu
@@hugointhesky Y'a pas de mal à ça !...
j'en suis sûre, la beauté de ce titre, sa poésie n'est pas réservée à une tranche d'âge en particulier, il suffit d'écouter
Tu vas te retrouver...
Rectificatif , 1975 voire 76 77
L'album est sorti en 1977, comme je l'ai écrit, mais il n'y aurait en effet rien d'impossible à ce qu'il ait offert cette merveille en "avant-première" aux spectateurs venus l'écouter en concert un peu auparavant...
Oui effectivement j'ai rectifié , sûrement 77 , merci Othello , cette chanson peu connue , mais quelle merveille
Disque d zeb