En effet, l’expression « toucher une femme qui lui est illicite » ne désigne pas le simple contact physique, dépourvu de désir, comme lors d’une poignée de main ordinaire. Le mot "toucher" a deux acceptions lorsqu’il est employé dans le Coran ou la Sunnah : Il peut désigner le rapport sexuel, comme cela est rapporté dans le commentaire d’Ibn `Abbâs de la formule coranique : « ou si vous avez touché les femmes » [8]. Ibn `Abbâs dit en effet : ""Toucher une femme" dans le Coran signifie avoir un rapport sexuel avec elle". L’examen des versets coraniques où figurent cette expression confirme manifestement cette interprétation : « Elle dit : "Seigneur ! Comment aurais-je un enfant, alors qu’aucun homme ne m’a touchée ?" » ; « Et si vous divorcez d’avec elles sans les avoir touchées » [10]. La Sunnah rapport par ailleurs que le Prophète - paix et bénédictions sur lui - approchait ses épouses sans les toucher. Il peut désigner les préliminaires de l’acte sexuel comme les baisers, les étreintes, les caresses, etc. C’est l’interprétation formulée par certains de nos pieux prédécesseurs. Il en est de même lorsque Dieu dit : « Ô vous qui croyez ! Quand vous épousez les croyantes et qu’ensuite vous divorcez avec elles avant de les avoir touchées, vous ne pouvez leur imposer un délai de viduité » [16] ; « Nul grief contre vous si vous divorcez avec des femmes que vous n’avez point touchées » 2-Ibn Hibbân, Al-Bazzâr, At-Tabarî et Ibn Mardawayh rapportent d’après Ismâ`îl Ibn `Abd Ar-Rahmân que sa grand-mère Umm `Atiyyah dit à propos du serment d’allégeance : « Le Messager d’Allâh - paix et bénédictions sur lui - tendit sa main de l’extérieur de la maison et nous tendîmes nos mains de l’intérieur de la maison, puis il dit : "Ô Dieu, sois Témoin" ». 3-Dans le hadîth suivant [celui de `Â’ishah dans le Sahîh d’Al-Bukhârî], Umm `Atiyyah dit dans le même ordre d’idées : « Une femme retira sa main » ce qui laisse sous-entendre que les femmes prêtaient serment d’allégeance avec la main. 4-Allâh - Exalté soit-Il - dit en effet : « En effet, vous avez dans le Messager d’Allâh un excellent modèle à suivre » Al-Bukhârî rapporte dans son Sahîh, dans le Livre de la Bienséance, d’après Anas Ibn Mâlik - qu’Allâh l’agrée - que : « Toute servante de Médine pouvait prendre la main du Messager d’Allâh - paix et bénédictions sur lui - et l’emmener où elle voulait ». » Dans une variante de ce récit, l’Imâm et les nourrices du Prophète sont bien connues. Aucune d’entre elles n’était médinoise, exceptée la mère de `Abd Al-Muttalib, grand-père du Prophète, qui s’appelait Salmâ Bint `Amr Ibn Zayd Ibn Labîd Ibn Khirâsh Ibn `Âmir Ibn Ghunm Ibn `Adî Ibn An-Najjâr. Umm Hirâm était quant elle la fille de Milhân Ibn Khâlid Ibn Zayd Ibn Jundub Ibn `Âmir Ibn Ghunm Ibn `Adî Ibn An-Najjâr. Les ascendances respectives de Umm Hirâm et de Salmâ se rejoignent donc au niveau de `Âmir Ibn Ghunm, leur premier aïeul commun. Ce n’est donc que par extension que l’on peut considérer Umm Hirâm comme la tante du Prophète, mais ce lien ne les rend aucunement interdits en mariage l’un à l’autre. On retrouve une telle extension de ce lien de parenté dans une parole du Prophète concernant Sa`d Ibn Abî Waqqâs : "Voici mon oncle". Sa`d était en effet issu des Banû Zuhrah, une tribu ayant des liens de parenté avec Âminah, la mère du Prophète. Néanmoins, Sa` d n’était le frère de Âminah ni par le sang ni par le lait". Le Hâfidh Ad-Dumyâtî ajoute : "Ceci d’une part. D’autre part, le Sahîh rapporte que le Prophète - paix et bénédictions sur lui - n’entrait chez aucune femme autre que ses épouses, à l’exception de Umm Sulaym. Lorsqu’on lui en fit la remarque, il expliqua : « J’éprouve de la compassion pour elle, car son frère a été tué alors qu’il était avec moi. » Le Prophète faisait allusion à Hirâm Ibn Milhân qui avait été tué à Bi’r Ma`ûnah"." En conclusion de cet exposé, je voudrais souligner deux choses : Premièrement, la poignée de mains entre un homme et une femme étrangers l’un à l’autre n’est permise que s’il n’y a pas de désir ni de crainte de séduction. S’il y a lieu de craindre la tentation d’un côté comme de l’autre, si le désir ou quelque plaisir d’ordre sexuel accompagnent l’acte, alors la poignée de mains est sans aucun doute illicite. Plus généralement, si l’une de ces deux conditions, que sont l’absence de désir et l’absence du risque de séduction, venait à manquer entre un homme et une de ses proches parentes définitivement interdites en mariage, comme sa tante maternelle, sa tante paternelle, sa sœur de lait, la fille de son épouse, l’épouse de son père ou la mère de son épouse, alors la poignée de mains devient illicite. Plus généralement encore, si ces deux conditions venaient à manquer entre un homme et un jeune adolescent, alors la poignée de mains devient illicite également. Dans certains milieux et pour certaines personnes, serrer la main à un jeune adolescent est en effet encore plus dangereux que serrer la main à une femme. Deuxièmement, la poignée de mains doit se limiter au strict nécessaire comme dans la situation décrite dans la question initiale. C’est le cas notamment des proches et des alliés qui sont des gens que l’on fréquente souvent et avec qui on a des liens forts. Il est préférable de ne pas accorder une poignée de main à n’importe qui, par obstruction aux prétextes de la tentation, pour s’écarter de toute situation douteuse, pour emprunter la voie la plus précautionneuse, et pour prendre exemple sur le Prophète - paix et bénédictions sur lui - dans la mesure où il n’y a aucune preuve explicite stipulant qu’il ait serré la main à une femme étangère. Il est par ailleurs préférable pour le musulman pratiquant et la musulmane pratiquante de ne pas tendre la main en premier. Mais si on lui tend la main, qu’il ou elle la tende alors. Nous avons émis ce verdict afin que ceux qui en ont besoin en usent sans avoir le sentiment d’avoir trahi leur religion, et sans qu’ils ne fassent l’objet de réprobation de la part de ceux qui les verraient agir ainsi. Car cette question admet l’ijtihâd.
faites attention les freres et soeur dans chaque video de cette chaine a un moment de la video il ya une voix moqueuse qui perturbe votre ecoute parfois c'est des voix de chevre et parfois juste un crie exemple a la minute 7:36 et ça plusieur fois dans TOUTE les videos je pense que ce compte et sois tenu par un non musulman qui toute en profitant de fair des vu sur le dos des musulmans s'amuse pendant les enregistrement de voix a a mettre ces son .
La question n'a rien d'emouvant personne n'a été ému , même les chaînes RUclips censée transmettre un message saint et musulman utlisent le buzz et mentent effrontement.
Salam aleykoum Je ne comprends pas une chose ||||||| Premièrement Prendre une photo avec des femmes c’est pas Toucher une femme Deuxièmement Toucher une femme c’est pas juste toucher sa main ou ect…… En effet, l’expression « toucher une femme qui lui est illicite » ne désigne pas le simple contact physique, dépourvu de désir, comme lors d’une poignée de main ordinaire. Le mot "toucher" a deux acceptions lorsqu’il est employé dans le Coran ou la Sunnah : Il peut désigner le rapport sexuel, comme cela est rapporté dans le commentaire d’Ibn `Abbâs de la formule coranique : « ou si vous avez touché les femmes » [8]. Ibn `Abbâs dit en effet : ""Toucher une femme" dans le Coran signifie avoir un rapport sexuel avec elle". L’examen des versets coraniques où figurent cette expression confirme manifestement cette interprétation : « Elle dit : "Seigneur ! Comment aurais-je un enfant, alors qu’aucun homme ne m’a touchée ?" » ; « Et si vous divorcez d’avec elles sans les avoir touchées » [10]. La Sunnah rapport par ailleurs que le Prophète - paix et bénédictions sur lui - approchait ses épouses sans les toucher. Il peut désigner les préliminaires de l’acte sexuel comme les baisers, les étreintes, les caresses, etc. C’est l’interprétation formulée par certains de nos pieux prédécesseurs. Il en est de même lorsque Dieu dit : « Ô vous qui croyez ! Quand vous épousez les croyantes et qu’ensuite vous divorcez avec elles avant de les avoir touchées, vous ne pouvez leur imposer un délai de viduité » [16] ; « Nul grief contre vous si vous divorcez avec des femmes que vous n’avez point touchées » 2-Ibn Hibbân, Al-Bazzâr, At-Tabarî et Ibn Mardawayh rapportent d’après Ismâ`îl Ibn `Abd Ar-Rahmân que sa grand-mère Umm `Atiyyah dit à propos du serment d’allégeance : « Le Messager d’Allâh - paix et bénédictions sur lui - tendit sa main de l’extérieur de la maison et nous tendîmes nos mains de l’intérieur de la maison, puis il dit : "Ô Dieu, sois Témoin" ». 3-Dans le hadîth suivant [celui de `Â’ishah dans le Sahîh d’Al-Bukhârî], Umm `Atiyyah dit dans le même ordre d’idées : « Une femme retira sa main » ce qui laisse sous-entendre que les femmes prêtaient serment d’allégeance avec la main. 4-Allâh - Exalté soit-Il - dit en effet : « En effet, vous avez dans le Messager d’Allâh un excellent modèle à suivre » Al-Bukhârî rapporte dans son Sahîh, dans le Livre de la Bienséance, d’après Anas Ibn Mâlik - qu’Allâh l’agrée - que : « Toute servante de Médine pouvait prendre la main du Messager d’Allâh - paix et bénédictions sur lui - et l’emmener où elle voulait ». » Dans une variante de ce récit, l’Imâm et les nourrices du Prophète sont bien connues. Aucune d’entre elles n’était médinoise, exceptée la mère de `Abd Al-Muttalib, grand-père du Prophète, qui s’appelait Salmâ Bint `Amr Ibn Zayd Ibn Labîd Ibn Khirâsh Ibn `Âmir Ibn Ghunm Ibn `Adî Ibn An-Najjâr. Umm Hirâm était quant elle la fille de Milhân Ibn Khâlid Ibn Zayd Ibn Jundub Ibn `Âmir Ibn Ghunm Ibn `Adî Ibn An-Najjâr. Les ascendances respectives de Umm Hirâm et de Salmâ se rejoignent donc au niveau de `Âmir Ibn Ghunm, leur premier aïeul commun. Ce n’est donc que par extension que l’on peut considérer Umm Hirâm comme la tante du Prophète, mais ce lien ne les rend aucunement interdits en mariage l’un à l’autre. On retrouve une telle extension de ce lien de parenté dans une parole du Prophète concernant Sa`d Ibn Abî Waqqâs : "Voici mon oncle". Sa`d était en effet issu des Banû Zuhrah, une tribu ayant des liens de parenté avec Âminah, la mère du Prophète. Néanmoins, Sa` d n’était le frère de Âminah ni par le sang ni par le lait". Le Hâfidh Ad-Dumyâtî ajoute : "Ceci d’une part. D’autre part, le Sahîh rapporte que le Prophète - paix et bénédictions sur lui - n’entrait chez aucune femme autre que ses épouses, à l’exception de Umm Sulaym. Lorsqu’on lui en fit la remarque, il expliqua : « J’éprouve de la compassion pour elle, car son frère a été tué alors qu’il était avec moi. » Le Prophète faisait allusion à Hirâm Ibn Milhân qui avait été tué à Bi’r Ma`ûnah"." En conclusion de cet exposé, je voudrais souligner deux choses : Premièrement, la poignée de mains entre un homme et une femme étrangers l’un à l’autre n’est permise que s’il n’y a pas de désir ni de crainte de séduction. S’il y a lieu de craindre la tentation d’un côté comme de l’autre, si le désir ou quelque plaisir d’ordre sexuel accompagnent l’acte, alors la poignée de mains est sans aucun doute illicite. Plus généralement, si l’une de ces deux conditions, que sont l’absence de désir et l’absence du risque de séduction, venait à manquer entre un homme et une de ses proches parentes définitivement interdites en mariage, comme sa tante maternelle, sa tante paternelle, sa sœur de lait, la fille de son épouse, l’épouse de son père ou la mère de son épouse, alors la poignée de mains devient illicite. Plus généralement encore, si ces deux conditions venaient à manquer entre un homme et un jeune adolescent, alors la poignée de mains devient illicite également. Dans certains milieux et pour certaines personnes, serrer la main à un jeune adolescent est en effet encore plus dangereux que serrer la main à une femme. Deuxièmement, la poignée de mains doit se limiter au strict nécessaire comme dans la situation décrite dans la question initiale. C’est le cas notamment des proches et des alliés qui sont des gens que l’on fréquente souvent et avec qui on a des liens forts. Il est préférable de ne pas accorder une poignée de main à n’importe qui, par obstruction aux prétextes de la tentation, pour s’écarter de toute situation douteuse, pour emprunter la voie la plus précautionneuse, et pour prendre exemple sur le Prophète - paix et bénédictions sur lui - dans la mesure où il n’y a aucune preuve explicite stipulant qu’il ait serré la main à une femme étangère. Il est par ailleurs préférable pour le musulman pratiquant et la musulmane pratiquante de ne pas tendre la main en premier. Mais si on lui tend la main, qu’il ou elle la tende alors. Nous avons émis ce verdict afin que ceux qui en ont besoin en usent sans avoir le sentiment d’avoir trahi leur religion, et sans qu’ils ne fassent l’objet de réprobation de la part de ceux qui les verraient agir ainsi. Car cette question admet l’ijtihâd.
Tout sexplique par la physique quantique. Le toucher ect. Dans tous les cas, en occident les hommes ont tellement l'habitude du nu que toucher une main fait plus deffet.
Nous y voila ! ...Allah le tout puissant commence la révélation par le mot "Ikra" selon son prophète Mohammed nous apprend Zakir Naik. Peut il nous expliquer pourquoi Allah n'avait pas commencer sa révélation par l'injonction, la recommandation: "Écris"? Je suppose que ce cheikh qui se prend pour un érudit de haut niveau, n'ignore pas qu'avant de lire, il faut d'abord qu'il y ait un écrit... Peut-on lire une feuille blanche Mr le cheikh du formatage des esprits?
Ohhhhh combien que oui Masha ALLAH hamdoullah Dr Zakir Naik est un digne héritier du prophète Mohamed Selela3 A3LEH wa Salem 😢🎉❤
Que Allah te récompense pour toute la connaissance que tu nous apprend
Amin 🤲
Qu'Allah vous recompense Dr. Zakir. Pour l'eclaircissement.
Qu allah le tres haut continue de nous aider musulmans amine yarraby allah
Que Dieu vous récompense infiniment.
Mashallah sheikh qu ALLAH vous donne le xifd et le salam amin❤❤❤
Qu'Allah vous récompense sheikh pour votre sincérité...
En effet, l’expression « toucher une femme qui lui est illicite » ne désigne pas le simple contact physique, dépourvu de désir, comme lors d’une poignée de main ordinaire. Le mot "toucher" a deux acceptions lorsqu’il est employé dans le Coran ou la Sunnah :
Il peut désigner le rapport sexuel, comme cela est rapporté dans le commentaire d’Ibn `Abbâs de la formule coranique :
« ou si vous avez touché les femmes » [8]. Ibn `Abbâs dit en effet : ""Toucher une femme" dans le Coran signifie avoir un rapport sexuel avec elle". L’examen des versets coraniques où figurent cette expression confirme manifestement cette interprétation : « Elle dit : "Seigneur ! Comment aurais-je un enfant, alors qu’aucun homme ne m’a touchée ?" »
; « Et si vous divorcez d’avec elles sans les avoir touchées » [10]. La Sunnah rapport par ailleurs que le Prophète - paix et bénédictions sur lui - approchait ses épouses sans les toucher.
Il peut désigner les préliminaires de l’acte sexuel comme les baisers, les étreintes, les caresses, etc. C’est l’interprétation formulée par certains de nos pieux prédécesseurs.
Il en est de même lorsque Dieu dit : « Ô vous qui croyez ! Quand vous épousez les croyantes et qu’ensuite vous divorcez avec elles avant de les avoir touchées, vous ne pouvez leur imposer un délai de viduité » [16] ; « Nul grief contre vous si vous divorcez avec des femmes que vous n’avez point touchées »
2-Ibn Hibbân, Al-Bazzâr, At-Tabarî et Ibn Mardawayh rapportent d’après Ismâ`îl Ibn `Abd Ar-Rahmân que sa grand-mère Umm `Atiyyah dit à propos du serment d’allégeance : « Le Messager d’Allâh - paix et bénédictions sur lui - tendit sa main de l’extérieur de la maison et nous tendîmes nos mains de l’intérieur de la maison, puis il dit : "Ô Dieu, sois Témoin" ».
3-Dans le hadîth suivant [celui de `Â’ishah dans le Sahîh d’Al-Bukhârî], Umm `Atiyyah dit dans le même ordre d’idées : « Une femme retira sa main » ce qui laisse sous-entendre que les femmes prêtaient serment d’allégeance avec la main.
4-Allâh - Exalté soit-Il - dit en effet : « En effet, vous avez dans le Messager d’Allâh un excellent modèle à suivre »
Al-Bukhârî rapporte dans son Sahîh, dans le Livre de la Bienséance, d’après Anas Ibn Mâlik - qu’Allâh l’agrée - que : « Toute servante de Médine pouvait prendre la main du Messager d’Allâh - paix et bénédictions sur lui - et l’emmener où elle voulait ». » Dans une variante de ce récit, l’Imâm et les nourrices du Prophète sont bien connues. Aucune d’entre elles n’était médinoise, exceptée la mère de `Abd Al-Muttalib, grand-père du Prophète, qui s’appelait Salmâ Bint `Amr Ibn Zayd Ibn Labîd Ibn Khirâsh Ibn `Âmir Ibn Ghunm Ibn `Adî Ibn An-Najjâr. Umm Hirâm était quant elle la fille de Milhân Ibn Khâlid Ibn Zayd Ibn Jundub Ibn `Âmir Ibn Ghunm Ibn `Adî Ibn An-Najjâr. Les ascendances respectives de Umm Hirâm et de Salmâ se rejoignent donc au niveau de `Âmir Ibn Ghunm, leur premier aïeul commun. Ce n’est donc que par extension que l’on peut considérer Umm Hirâm comme la tante du Prophète, mais ce lien ne les rend aucunement interdits en mariage l’un à l’autre. On retrouve une telle extension de ce lien de parenté dans une parole du Prophète concernant Sa`d Ibn Abî Waqqâs : "Voici mon oncle". Sa`d était en effet issu des Banû Zuhrah, une tribu ayant des liens de parenté avec Âminah, la mère du Prophète. Néanmoins, Sa` d n’était le frère de Âminah ni par le sang ni par le lait". Le Hâfidh Ad-Dumyâtî ajoute : "Ceci d’une part. D’autre part, le Sahîh rapporte que le Prophète - paix et bénédictions sur lui - n’entrait chez aucune femme autre que ses épouses, à l’exception de Umm Sulaym. Lorsqu’on lui en fit la remarque, il expliqua : « J’éprouve de la compassion pour elle, car son frère a été tué alors qu’il était avec moi. » Le Prophète faisait allusion à Hirâm Ibn Milhân qui avait été tué à Bi’r Ma`ûnah"."
En conclusion de cet exposé, je voudrais souligner deux choses :
Premièrement, la poignée de mains entre un homme et une femme étrangers l’un à l’autre n’est permise que s’il n’y a pas de désir ni de crainte de séduction. S’il y a lieu de craindre la tentation d’un côté comme de l’autre, si le désir ou quelque plaisir d’ordre sexuel accompagnent l’acte, alors la poignée de mains est sans aucun doute illicite.
Plus généralement, si l’une de ces deux conditions, que sont l’absence de désir et l’absence du risque de séduction, venait à manquer entre un homme et une de ses proches parentes définitivement interdites en mariage, comme sa tante maternelle, sa tante paternelle, sa sœur de lait, la fille de son épouse, l’épouse de son père ou la mère de son épouse, alors la poignée de mains devient illicite. Plus généralement encore, si ces deux conditions venaient à manquer entre un homme et un jeune adolescent, alors la poignée de mains devient illicite également. Dans certains milieux et pour certaines personnes, serrer la main à un jeune adolescent est en effet encore plus dangereux que serrer la main à une femme.
Deuxièmement, la poignée de mains doit se limiter au strict nécessaire comme dans la situation décrite dans la question initiale. C’est le cas notamment des proches et des alliés qui sont des gens que l’on fréquente souvent et avec qui on a des liens forts. Il est préférable de ne pas accorder une poignée de main à n’importe qui, par obstruction aux prétextes de la tentation, pour s’écarter de toute situation douteuse, pour emprunter la voie la plus précautionneuse, et pour prendre exemple sur le Prophète - paix et bénédictions sur lui - dans la mesure où il n’y a aucune preuve explicite stipulant qu’il ait serré la main à une femme étangère. Il est par ailleurs préférable pour le musulman pratiquant et la musulmane pratiquante de ne pas tendre la main en premier. Mais si on lui tend la main, qu’il ou elle la tende alors.
Nous avons émis ce verdict afin que ceux qui en ont besoin en usent sans avoir le sentiment d’avoir trahi leur religion, et sans qu’ils ne fassent l’objet de réprobation de la part de ceux qui les verraient agir ainsi. Car cette question admet l’ijtihâd.
@@louisduroussillon1791 Merci cher frère ❤️
बहुत-बहुत धन्यवाद डॉ. जाकिर नाइक❤
Depuis nouadhibou merci docteur zakir
MashaAllah la reponse est magistrale elle est tres instructive
Allah vous récompense pour la dâwâ.
Wa aleyküm selam wa rahmatu Allah wa barakatu 🇹🇷🇸🇩🇹🇷
Waw masha Allah
Masha Allah ❤❤❤❤
Alhamdoulillah ❤❤❤
Machallah ❤️
J’aimerais vous avoir comme enseignants ❤❤😊
Massallah, bel exemple !
Allah vous recompense
Macha allah
Machallah❤❤❤❤❤❤
Mascha'allah
M'ASCH 'ALLAH ❤
faites attention les freres et soeur dans chaque video de cette chaine a un moment de la video il ya une voix moqueuse qui perturbe votre ecoute parfois c'est des voix de chevre et parfois juste un crie exemple a la minute 7:36 et ça plusieur fois dans TOUTE les videos je pense que ce compte et sois tenu par un non musulman qui toute en profitant de fair des vu sur le dos des musulmans s'amuse pendant les enregistrement de voix a a mettre ces son .
Dabre daouda depui le Gabon merci
Un héritier du prophète Muhammad
👍👍👍👍👍♥️♥️
Rouler le R par la gorge non 2 code vocal cord. Vocal pour celui qui a parler au debut❤❤❤❤
S'il vous plaît je demande Dr Zakir il est de quelle nationalité. Je l'admire
Pas besoin de chimie pour faire du vin
Le jus de raisin , fermente et devient du vin
Et pour faire que coran, faut avoir argent pour manger se nourrir ect. Donc avoir papa maman riche
M'a Acha Alha la guide appartient à Alha
Ben, si on apprend pas le profane, plus de medecin 😁
La question n'a rien d'emouvant personne n'a été ému , même les chaînes RUclips censée transmettre un message saint et musulman utlisent le buzz et mentent effrontement.
Jose pas demander le prix
Jorè dis l Islam conè les defeaus de fabrications HUMAIN,voila pour cois le les haram
trop rigide, manque d'humanité, et seul Dieu peut dire ce qui est péché, personne d'autre
Il y a des textes et les textes, c'est la parole de Dieu.
Salam aleykoum
Je ne comprends pas une chose |||||||
Premièrement Prendre une photo avec des femmes c’est pas Toucher une femme
Deuxièmement Toucher une femme c’est pas juste toucher sa main ou ect……
En effet, l’expression « toucher une femme qui lui est illicite » ne désigne pas le simple contact physique, dépourvu de désir, comme lors d’une poignée de main ordinaire. Le mot "toucher" a deux acceptions lorsqu’il est employé dans le Coran ou la Sunnah :
Il peut désigner le rapport sexuel, comme cela est rapporté dans le commentaire d’Ibn `Abbâs de la formule coranique :
« ou si vous avez touché les femmes » [8]. Ibn `Abbâs dit en effet : ""Toucher une femme" dans le Coran signifie avoir un rapport sexuel avec elle". L’examen des versets coraniques où figurent cette expression confirme manifestement cette interprétation : « Elle dit : "Seigneur ! Comment aurais-je un enfant, alors qu’aucun homme ne m’a touchée ?" »
; « Et si vous divorcez d’avec elles sans les avoir touchées » [10]. La Sunnah rapport par ailleurs que le Prophète - paix et bénédictions sur lui - approchait ses épouses sans les toucher.
Il peut désigner les préliminaires de l’acte sexuel comme les baisers, les étreintes, les caresses, etc. C’est l’interprétation formulée par certains de nos pieux prédécesseurs.
Il en est de même lorsque Dieu dit : « Ô vous qui croyez ! Quand vous épousez les croyantes et qu’ensuite vous divorcez avec elles avant de les avoir touchées, vous ne pouvez leur imposer un délai de viduité » [16] ; « Nul grief contre vous si vous divorcez avec des femmes que vous n’avez point touchées »
2-Ibn Hibbân, Al-Bazzâr, At-Tabarî et Ibn Mardawayh rapportent d’après Ismâ`îl Ibn `Abd Ar-Rahmân que sa grand-mère Umm `Atiyyah dit à propos du serment d’allégeance : « Le Messager d’Allâh - paix et bénédictions sur lui - tendit sa main de l’extérieur de la maison et nous tendîmes nos mains de l’intérieur de la maison, puis il dit : "Ô Dieu, sois Témoin" ».
3-Dans le hadîth suivant [celui de `Â’ishah dans le Sahîh d’Al-Bukhârî], Umm `Atiyyah dit dans le même ordre d’idées : « Une femme retira sa main » ce qui laisse sous-entendre que les femmes prêtaient serment d’allégeance avec la main.
4-Allâh - Exalté soit-Il - dit en effet : « En effet, vous avez dans le Messager d’Allâh un excellent modèle à suivre »
Al-Bukhârî rapporte dans son Sahîh, dans le Livre de la Bienséance, d’après Anas Ibn Mâlik - qu’Allâh l’agrée - que : « Toute servante de Médine pouvait prendre la main du Messager d’Allâh - paix et bénédictions sur lui - et l’emmener où elle voulait ». » Dans une variante de ce récit, l’Imâm et les nourrices du Prophète sont bien connues. Aucune d’entre elles n’était médinoise, exceptée la mère de `Abd Al-Muttalib, grand-père du Prophète, qui s’appelait Salmâ Bint `Amr Ibn Zayd Ibn Labîd Ibn Khirâsh Ibn `Âmir Ibn Ghunm Ibn `Adî Ibn An-Najjâr. Umm Hirâm était quant elle la fille de Milhân Ibn Khâlid Ibn Zayd Ibn Jundub Ibn `Âmir Ibn Ghunm Ibn `Adî Ibn An-Najjâr. Les ascendances respectives de Umm Hirâm et de Salmâ se rejoignent donc au niveau de `Âmir Ibn Ghunm, leur premier aïeul commun. Ce n’est donc que par extension que l’on peut considérer Umm Hirâm comme la tante du Prophète, mais ce lien ne les rend aucunement interdits en mariage l’un à l’autre. On retrouve une telle extension de ce lien de parenté dans une parole du Prophète concernant Sa`d Ibn Abî Waqqâs : "Voici mon oncle". Sa`d était en effet issu des Banû Zuhrah, une tribu ayant des liens de parenté avec Âminah, la mère du Prophète. Néanmoins, Sa` d n’était le frère de Âminah ni par le sang ni par le lait". Le Hâfidh Ad-Dumyâtî ajoute : "Ceci d’une part. D’autre part, le Sahîh rapporte que le Prophète - paix et bénédictions sur lui - n’entrait chez aucune femme autre que ses épouses, à l’exception de Umm Sulaym. Lorsqu’on lui en fit la remarque, il expliqua : « J’éprouve de la compassion pour elle, car son frère a été tué alors qu’il était avec moi. » Le Prophète faisait allusion à Hirâm Ibn Milhân qui avait été tué à Bi’r Ma`ûnah"."
En conclusion de cet exposé, je voudrais souligner deux choses :
Premièrement, la poignée de mains entre un homme et une femme étrangers l’un à l’autre n’est permise que s’il n’y a pas de désir ni de crainte de séduction. S’il y a lieu de craindre la tentation d’un côté comme de l’autre, si le désir ou quelque plaisir d’ordre sexuel accompagnent l’acte, alors la poignée de mains est sans aucun doute illicite.
Plus généralement, si l’une de ces deux conditions, que sont l’absence de désir et l’absence du risque de séduction, venait à manquer entre un homme et une de ses proches parentes définitivement interdites en mariage, comme sa tante maternelle, sa tante paternelle, sa sœur de lait, la fille de son épouse, l’épouse de son père ou la mère de son épouse, alors la poignée de mains devient illicite. Plus généralement encore, si ces deux conditions venaient à manquer entre un homme et un jeune adolescent, alors la poignée de mains devient illicite également. Dans certains milieux et pour certaines personnes, serrer la main à un jeune adolescent est en effet encore plus dangereux que serrer la main à une femme.
Deuxièmement, la poignée de mains doit se limiter au strict nécessaire comme dans la situation décrite dans la question initiale. C’est le cas notamment des proches et des alliés qui sont des gens que l’on fréquente souvent et avec qui on a des liens forts. Il est préférable de ne pas accorder une poignée de main à n’importe qui, par obstruction aux prétextes de la tentation, pour s’écarter de toute situation douteuse, pour emprunter la voie la plus précautionneuse, et pour prendre exemple sur le Prophète - paix et bénédictions sur lui - dans la mesure où il n’y a aucune preuve explicite stipulant qu’il ait serré la main à une femme étangère. Il est par ailleurs préférable pour le musulman pratiquant et la musulmane pratiquante de ne pas tendre la main en premier. Mais si on lui tend la main, qu’il ou elle la tende alors.
Nous avons émis ce verdict afin que ceux qui en ont besoin en usent sans avoir le sentiment d’avoir trahi leur religion, et sans qu’ils ne fassent l’objet de réprobation de la part de ceux qui les verraient agir ainsi. Car cette question admet l’ijtihâd.
Tout sexplique par la physique quantique. Le toucher ect. Dans tous les cas, en occident les hommes ont tellement l'habitude du nu que toucher une main fait plus deffet.
Nous y voila ! ...Allah le tout puissant commence la révélation par le mot "Ikra" selon son prophète Mohammed nous apprend Zakir Naik.
Peut il nous expliquer pourquoi Allah n'avait pas commencer sa révélation par l'injonction, la recommandation: "Écris"?
Je suppose que ce cheikh qui se prend pour un érudit de haut niveau, n'ignore pas qu'avant de lire, il faut d'abord qu'il y ait un écrit...
Peut-on lire une feuille blanche Mr le cheikh du formatage des esprits?