La loi "plein emploi" s’attaque aux précaires plutôt qu’à la précarité en, tant que militant politique je sais que, des pressions du ministère du travail, du gouvernement son faite sur les conseils départementaux au vue de réinscrire un maximum de personne à Pôle-Emploi (futur France Travail) puisque il sera obligatoire d'être inscrit à France Travail pour percevoir le RSA en contrepartie de 15h à 20h d'activité professionnelle. Des milliers de Français ont reçu un courrier de la part de leur Conseil Départemental au vue de leurs suspendre le RSA parmi ces personnes nous y trouvons y compris des aidants familiaux, des mères célibataire, des SDF, des personnes en situation de handicap. TOUT LE MONDE DOIT POUVOIR DISPOSER DE MOYENS D'EXISTENCE. QUELLE SOIT SA SITUATION. Après la réforme des retraites et celle de l’assurance-chômage, le gouvernement s’attaque au marché de l’emploi avec « France travail ». Derrière l’objectif du « plein-emploi », le gouvernement s'attaque aux précaires plutôt qu'à la précarité. Les mesures proposées auraient de lourdes conséquences sur les travailleurs précaires, les privés d'emploi, allocataires des minimas sociaux, travailleurs handicapés et jeunes en insertion. Élaboré à partir des propositions du rapport du Haut-commissaire à l’emploi, remis fin avril au gouvernement ( Lire le communiqué de presse CGT), le projet répond d'abord aux besoins immédiats des entreprises en forçant les plus précaires à accepter n’importe quel emploi vacant. Dans le projet France Travail, tout est pensé pour mettre la pression sur les travailleurs éloigné plus ou moins de l’emploi. À la paupérisation, le gouvernement répond par la contrainte, le chantage aux aides pour forcer les actifs à travailler, quel que soit l’emploi, quels que soient les risques et conditions. La CGT Pôle emploi a publié une analyse détaillée, très critique du projet et dénonce une "libéralisation" du service public de l’emploi et de l’insertion pour "satisfaire uniquement les besoins des employeurs et contraindre les usagers". La CGT dénonce la logique coercitive du projet de loi qui s’éloigne de la réponse aux besoins des travailleur, respectant leurs parcours et leurs qualifications. C'est un véritable projet de casse du modèle social au nom de la rentabilité économique au dépend du service à la population. De La Part D'un Girondin Amitié amis Marseillais.
Bravo a tous ❤❤❤❤❤
Merci pour votre bon sens ainsi que votre courage
Superbe !!!! BRAVO !
La loi "plein emploi" s’attaque aux précaires plutôt qu’à la précarité en, tant que militant politique je sais que, des pressions du ministère du travail, du gouvernement son faite sur les conseils départementaux au vue de réinscrire un maximum de personne à Pôle-Emploi (futur France Travail) puisque il sera obligatoire d'être inscrit à France Travail pour percevoir le RSA en contrepartie de 15h à 20h d'activité professionnelle. Des milliers de Français ont reçu un courrier de la part de leur Conseil Départemental au vue de leurs suspendre le RSA parmi ces personnes nous y trouvons y compris des aidants familiaux, des mères célibataire, des SDF, des personnes en situation de handicap. TOUT LE MONDE DOIT POUVOIR DISPOSER DE MOYENS D'EXISTENCE. QUELLE SOIT SA SITUATION. Après la réforme des retraites et celle de l’assurance-chômage, le gouvernement s’attaque au marché de l’emploi avec « France travail ». Derrière l’objectif du « plein-emploi », le gouvernement s'attaque aux précaires plutôt qu'à la précarité. Les mesures proposées auraient de lourdes conséquences sur les travailleurs précaires, les privés d'emploi, allocataires des minimas sociaux, travailleurs handicapés et jeunes en insertion. Élaboré à partir des propositions du rapport du Haut-commissaire à l’emploi, remis fin avril au gouvernement ( Lire le communiqué de presse CGT), le projet répond d'abord aux besoins immédiats des entreprises en forçant les plus précaires à accepter n’importe quel emploi vacant.
Dans le projet France Travail, tout est pensé pour mettre la pression sur les travailleurs éloigné plus ou moins de l’emploi.
À la paupérisation, le gouvernement répond par la contrainte, le chantage aux aides pour forcer les actifs à travailler, quel que soit l’emploi, quels que soient les risques et conditions. La CGT Pôle emploi a publié une analyse détaillée, très critique du projet et dénonce une "libéralisation" du service public de l’emploi et de l’insertion pour "satisfaire uniquement les besoins des employeurs et contraindre les usagers". La CGT dénonce la logique coercitive du projet de loi qui s’éloigne de la réponse aux besoins des travailleur, respectant leurs parcours et leurs qualifications. C'est un véritable projet de casse du modèle social au nom de la rentabilité économique au dépend du service à la population. De La Part D'un Girondin Amitié amis Marseillais.