Bernard Stiegler, sur le climat: "Greta Thunberg dit vrai", rien n'a changé
HTML-код
- Опубликовано: 28 окт 2024
- Ce mardi, Nathalie Levy reçoit Bernard Stiegler, auteur de "Qu’appelle-t-on panser ? La leçon de Greta Thunberg", un livre sur le phénomène Greta Thunberg, sa présence à Davos, et son affirmation selon laquelle "rien n'a changé" pour sauver le climat.
ABONNEZ-VOUS pour plus de vidéos : bit.ly/radioE1
LE DIRECT : www.europe1.fr/...
Retrouvez-nous sur :
| Notre site : www.europe1.fr
| Facebook : / europe1
| Twitter : / europe1
| Pinterest : / europe1
Les gilets jaunes, les grévistes et les médias qui relaient les débats et revendications des gilets jaunes et des grévistes sont des héros !!!
A
Khabibullo Abdusamatov,
mathématicien et astronome à l'observatoire de Pulkovskaya de
l'académie des sciences russe : il montre que l'évolution de la
température peut être majoritairement imputée à l'activité solaire, qui a
été inhabituellement élevée.
Arun D. Ahluwalia, Géologue à l'Université de Punjab, membre du comité International Year of the Planet parrainé par l'ONU. Il déclare que « le
GIEC fonctionne en circuit clos, il n’écoute pas les autres. Ses
membres manquent de largeur de vue. … Je suis étonné que le Prix Nobel
ait été donné pour des conclusions inexactes par des gens qui ne sont
pas des géologues ».
Ralph B. Alexander,
physicien, diplômé d'Oxford. Ralph Alexander a été chercheur dans
différents laboratoire en Europe et en Australie et professeur à
l'université d'état de Wayne, Detroit. Il est auteur du livre Global Warming False Alarm[2].
Syun-Ichi Akasofu, ancien professeur de géophysique, fondateur de l'International Arctic Research Center au sein de l'université d'Alaska : « la
méthode d'étude adoptée par le GIEC est déficiente à la racine, ce qui
entraîne des conclusions sans fondement. [...] Contrairement à ce
qu'affirme le GIEC, il n'y à ce jour aucune preuve définitive que "la
plupart" du réchauffement actuel soit dû à l'effet de serre. [...] [Le
GIEC] aurait dû reconnaître que les variations climatiques passées ne
devaient pas être ignorées et donc que leurs conclusions étaient très
approximatives. Le terme "la plupart" dans leurs conclusions est sans
fondement. »
Claude Allègre,
géochimiste, lauréat de nombreux prix de premier plan, dont
l'équivalent du Nobel de la géologie, Institut de physique du globe
(Paris), un des premiers à avoir soulevé la possibilité d'un réchauffement climatique : il souligne que l'on ne connaît à peu près rien du rôle du CO2 d'origine humaine dans le réchauffement climatique
et que d'autres facteurs sont bien plus importants : vapeur d'eau,
formation des nuages, nuages de poussières et activité volcanique. Le
plus important facteur est l'activité solaire selon Allègre, « mieux corrélée avec le réchauffement que les variations du CO2 ».
David Archibald,
scientifique australien, spécialiste de l'activité solaire et de son
interaction avec le climat : il estime que c'est le soleil qui est le
véritable responsable de l'évolution du climat et prédit un refroidissement climatique au vu de l'évolution de l'activité solaire.
Hacène Arezki, géographe spécialisé en géographie physique, biogéographie et climatologie, nie dans son livre Climat, mensonges et propagande
(éd. Thierry Souccar, 2010) le caractère "sans précédent" de la récente
évolution climatique ainsi que l'hypothèse du rôle de premier plan joué
par les gaz à effet de serre ; il souligne le rôle essentiel du Soleil
pour le climat.
Robert H. Austin, physicien à Princeton, Ph.D. : signataire de l'Oregon Petition, il signe une lettre ouverte dans laquelle est écrit que « Les
enregistrements de températures, mesurées ou reconstruites, indiquent
que les changements climatiques du 20e et du 21e siècle ne sont ni
exceptionnels, ni persistants, et les relevés historiques ou géologiques
montrent de nombreuses périodes bien plus chaudes qu'aujourd'hui. [..]
Les modèles climatiques actuels semblent insuffisamment fiables pour
mesurer la part respective des contributions naturelles et humaines aux
changements climatiques passés et, plus encore, futurs »[3].
B
Sallie Baliunas,
astronome au Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics, Ph.D. en
astrophysique à Harvard : elle a souligné l'impossibilité que le
réchauffement climatique soit causé par les rejets humains de CO2. Elle a reçu de nombreuses récompenses et a écrit plusieurs dizaines d'articles scientifiques dans des revues de premier plan.
Tim Ball,
Ph.D. en climatologie, ancien professeur à l'université de Winnipeg
(Canada) : il rappelle les faiblesses des modes de mesure de la
température et l'absence de fondement scientifique à la théorie liant
émissions de CO2 et réchauffement climatique. En 2019, il gagne un procès intenté en diffamation par Michael Mann, inventeur de la courbe en crosse de hockey.
Gary Becker,
Prix Nobel d’Économie, Professeur Université de Chicago : « Ce qui
menace la planète, ce n'est pas le réchauffement climatique, mais les
politiques économiques stupides qui pourraient en dériver, poussées par
des politiciens en quête d'une bonne cause. »
David Bellamy,
botaniste environnementaliste, ancien maitre assistant Université de
Durham : « Le réchauffement global est pour une large part un phénomène
naturel. Le monde dépense d'énormes sommes d'argent pour stabiliser
quelque chose qui ne peut l'être. »
Elliott D. Bloom, physicien, professeur à la Stanford University, membre de l'équipe du Stanford Linear Accelerator Laboratory qui reçut le prix Nobel de physique, lauréat du prix Senior Scientist Award
de la fondation Alexander von Humboldt, rappelle la complexité du
climat, son imprévisibilité, l'inadéquation des modèles invoqués par le
GIEC. La politique devrait laisser les mains libres à la science en ce
domaine, ce qui n'est pas le cas actuellement.[4].
Jean-Marc Bonnamy, ingénieur, expert climatologue pour la FAO, auteur de Réchauffement climatique : le pavé dans la mare
(éd. L'Harmattan, 2018), parle à propos du réchauffement climatique
d'un « débat d'opinions basé sur des interprétations contestables de
corrélations statistiques hasardeuses entre des données douteuses ». Il
affirme l’absence de tout effet possible de l’augmentation du taux de CO2 sur la température terrestre et dénonce les procédés utilisés par le GIEC, acculé, pour faire taire les faits.
Alain Bonnier, physicien canadien, dénonce l'imposture climatique et prédit un refroidissement climatique imminent.
Reid Bryson,
professeur émérite de météorologie à l'université du Wisconsin, Ph.D.
en météorologie, un des pères fondateurs de la climatologie moderne : il
considère que les variations climatiques ont toujours existé et que le
réchauffement climatique depuis le XIXe siècle est dû à la sortie du Petit Âge Glaciaire.
C
Bob Carter,
paléoclimatologue australien, professeur à la James Cook University
(Australie) : il rappelle que même les mesures du GIEC ne montrent aucun
réchauffement depuis 1998 et que les températures semblent au contraire
baisser. Il écrit ainsi : « Il y a tout lieu
de douter que le moindre réchauffement climatique soit en train d'avoir
lieu, et plus encore qu'il soit causé par l'activité humaine »[5].
John Christy,
professeur de sciences de l'atmosphère et directeur du centre des
sciences de la terre à l'université de l'Alabama, ancien rédacteur des
rapports du GIEC : « je ne vois venir ni la
catastrophe qu'on nous annonce, ni la preuve évidente que l'activité
humaine doive être mise en cause dans le réchauffement que l'on peut
observer. Je vois plutôt l'utilisation aveugle de modèles climatiques
(utiles mais qui ne sont jamais des "preuves") et la coïncidence entre
augmentation de la concentration en CO2 et réchauffement qui fonctionne de moins en moins avec le temps ». Son bureau à l'université a été visé par sept coups de feu en avril 2017, à l'occasion du "Jour de la Terre".
Ian Clark,
hydrogéologiste, professeur à l'université d'Ottawa et auteur de plus
d'une cinquantaine d'articles académiques : il écrit que les modèles
climatologiques fondés sur l'augmentation du CO2
et de la vapeur d'eau sous-estiment l'effet des nuages qui font baisser
la température atmosphérique. Pour Clark, c'est le soleil et la
variation de son activité qui est le principal responsable des
changements climatiques, comme dans le passé.
Piers Corbyn,
astrophysicien, spécialiste de la prévision météorologique à long terme
dont il fait une activité commerciale, notamment par le site
@t.
Vincent Courtillot,
géophysicien français, docteur en physique, professeur à l'université
de Paris VII et auteur de nombreux articles scientifiques dans Science ou Nature.
Richard Courtney, relecteur expert du GIEC, consultant en
science du climat et de l'atmosphère, admet qu'aucune preuve
convaincante d'un réchauffement climatique causé par l'homme n'a été
découverte.
Uberto Crescenti, professeur titulaire de géologie appliquée à
l’Université G. d’Annunzio de Chieti, fondateur et président en 2001 de
l’Association italienne « géologie et tourisme », est l'auteur d'une Pétition sur le réchauffement climatique anthropique
adressée aux autorités italiennes et signée par une centaine de
scientifiques. Il y affirme que « la responsabilité anthropique du
changement climatique observée au siècle dernier est exagérée de façon
injustifiée et les prévisions catastrophiques sont irréalistes ». @t
Avec le RIC, ce sera la fin des injustices et la même justice pour tous, la même justice sociale, financière, fiscale, légale, et les mêmes devoirs et obligations pour tous, et les mêmes droits et privilèges pour tous !
On est d'accord, la grève générale illimitée, c'est 1000 fois plus efficace que la violence physique ! Vive la grève générale illimitée !!!
La parole des politiques n'a aucune valeur, ils nous mentent en permanence depuis toujours, ils nous disent le contraire de ce qu'ils font et ne respectent pas leur engagement et leurs devoirs...
Bien sûr qu'elle dit vrai. Rien n'a changer depuis des siècles, même pas le climat......
A
Khabibullo Abdusamatov,
mathématicien et astronome à l'observatoire de Pulkovskaya de
l'académie des sciences russe : il montre que l'évolution de la
température peut être majoritairement imputée à l'activité solaire, qui a
été inhabituellement élevée.
Arun D. Ahluwalia, Géologue à l'Université de Punjab, membre du comité International Year of the Planet parrainé par l'ONU. Il déclare que « le
GIEC fonctionne en circuit clos, il n’écoute pas les autres. Ses
membres manquent de largeur de vue. … Je suis étonné que le Prix Nobel
ait été donné pour des conclusions inexactes par des gens qui ne sont
pas des géologues ».
Ralph B. Alexander,
physicien, diplômé d'Oxford. Ralph Alexander a été chercheur dans
différents laboratoire en Europe et en Australie et professeur à
l'université d'état de Wayne, Detroit. Il est auteur du livre Global Warming False Alarm[2].
Syun-Ichi Akasofu, ancien professeur de géophysique, fondateur de l'International Arctic Research Center au sein de l'université d'Alaska : « la
méthode d'étude adoptée par le GIEC est déficiente à la racine, ce qui
entraîne des conclusions sans fondement. [...] Contrairement à ce
qu'affirme le GIEC, il n'y à ce jour aucune preuve définitive que "la
plupart" du réchauffement actuel soit dû à l'effet de serre. [...] [Le
GIEC] aurait dû reconnaître que les variations climatiques passées ne
devaient pas être ignorées et donc que leurs conclusions étaient très
approximatives. Le terme "la plupart" dans leurs conclusions est sans
fondement. »
Claude Allègre,
géochimiste, lauréat de nombreux prix de premier plan, dont
l'équivalent du Nobel de la géologie, Institut de physique du globe
(Paris), un des premiers à avoir soulevé la possibilité d'un réchauffement climatique : il souligne que l'on ne connaît à peu près rien du rôle du CO2 d'origine humaine dans le réchauffement climatique
et que d'autres facteurs sont bien plus importants : vapeur d'eau,
formation des nuages, nuages de poussières et activité volcanique. Le
plus important facteur est l'activité solaire selon Allègre, « mieux corrélée avec le réchauffement que les variations du CO2 ».
David Archibald,
scientifique australien, spécialiste de l'activité solaire et de son
interaction avec le climat : il estime que c'est le soleil qui est le
véritable responsable de l'évolution du climat et prédit un refroidissement climatique au vu de l'évolution de l'activité solaire.
Hacène Arezki, géographe spécialisé en géographie physique, biogéographie et climatologie, nie dans son livre Climat, mensonges et propagande
(éd. Thierry Souccar, 2010) le caractère "sans précédent" de la récente
évolution climatique ainsi que l'hypothèse du rôle de premier plan joué
par les gaz à effet de serre ; il souligne le rôle essentiel du Soleil
pour le climat.
Robert H. Austin, physicien à Princeton, Ph.D. : signataire de l'Oregon Petition, il signe une lettre ouverte dans laquelle est écrit que « Les
enregistrements de températures, mesurées ou reconstruites, indiquent
que les changements climatiques du 20e et du 21e siècle ne sont ni
exceptionnels, ni persistants, et les relevés historiques ou géologiques
montrent de nombreuses périodes bien plus chaudes qu'aujourd'hui. [..]
Les modèles climatiques actuels semblent insuffisamment fiables pour
mesurer la part respective des contributions naturelles et humaines aux
changements climatiques passés et, plus encore, futurs »[3].
B
Sallie Baliunas,
astronome au Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics, Ph.D. en
astrophysique à Harvard : elle a souligné l'impossibilité que le
réchauffement climatique soit causé par les rejets humains de CO2. Elle a reçu de nombreuses récompenses et a écrit plusieurs dizaines d'articles scientifiques dans des revues de premier plan.
Tim Ball,
Ph.D. en climatologie, ancien professeur à l'université de Winnipeg
(Canada) : il rappelle les faiblesses des modes de mesure de la
température et l'absence de fondement scientifique à la théorie liant
émissions de CO2 et réchauffement climatique. En 2019, il gagne un procès intenté en diffamation par Michael Mann, inventeur de la courbe en crosse de hockey.
Gary Becker,
Prix Nobel d’Économie, Professeur Université de Chicago : « Ce qui
menace la planète, ce n'est pas le réchauffement climatique, mais les
politiques économiques stupides qui pourraient en dériver, poussées par
des politiciens en quête d'une bonne cause. »
David Bellamy,
botaniste environnementaliste, ancien maitre assistant Université de
Durham : « Le réchauffement global est pour une large part un phénomène
naturel. Le monde dépense d'énormes sommes d'argent pour stabiliser
quelque chose qui ne peut l'être. »
Elliott D. Bloom, physicien, professeur à la Stanford University, membre de l'équipe du Stanford Linear Accelerator Laboratory qui reçut le prix Nobel de physique, lauréat du prix Senior Scientist Award
de la fondation Alexander von Humboldt, rappelle la complexité du
climat, son imprévisibilité, l'inadéquation des modèles invoqués par le
GIEC. La politique devrait laisser les mains libres à la science en ce
domaine, ce qui n'est pas le cas actuellement.[4].
Jean-Marc Bonnamy, ingénieur, expert climatologue pour la FAO, auteur de Réchauffement climatique : le pavé dans la mare
(éd. L'Harmattan, 2018), parle à propos du réchauffement climatique
d'un « débat d'opinions basé sur des interprétations contestables de
corrélations statistiques hasardeuses entre des données douteuses ». Il
affirme l’absence de tout effet possible de l’augmentation du taux de CO2 sur la température terrestre et dénonce les procédés utilisés par le GIEC, acculé, pour faire taire les faits.
Alain Bonnier, physicien canadien, dénonce l'imposture climatique et prédit un refroidissement climatique imminent.
Reid Bryson,
professeur émérite de météorologie à l'université du Wisconsin, Ph.D.
en météorologie, un des pères fondateurs de la climatologie moderne : il
considère que les variations climatiques ont toujours existé et que le
réchauffement climatique depuis le XIXe siècle est dû à la sortie du Petit Âge Glaciaire.
C
Bob Carter,
paléoclimatologue australien, professeur à la James Cook University
(Australie) : il rappelle que même les mesures du GIEC ne montrent aucun
réchauffement depuis 1998 et que les températures semblent au contraire
baisser. Il écrit ainsi : « Il y a tout lieu
de douter que le moindre réchauffement climatique soit en train d'avoir
lieu, et plus encore qu'il soit causé par l'activité humaine »[5].
John Christy,
professeur de sciences de l'atmosphère et directeur du centre des
sciences de la terre à l'université de l'Alabama, ancien rédacteur des
rapports du GIEC : « je ne vois venir ni la
catastrophe qu'on nous annonce, ni la preuve évidente que l'activité
humaine doive être mise en cause dans le réchauffement que l'on peut
observer. Je vois plutôt l'utilisation aveugle de modèles climatiques
(utiles mais qui ne sont jamais des "preuves") et la coïncidence entre
augmentation de la concentration en CO2 et réchauffement qui fonctionne de moins en moins avec le temps ». Son bureau à l'université a été visé par sept coups de feu en avril 2017, à l'occasion du "Jour de la Terre".
Ian Clark,
hydrogéologiste, professeur à l'université d'Ottawa et auteur de plus
d'une cinquantaine d'articles académiques : il écrit que les modèles
climatologiques fondés sur l'augmentation du CO2
et de la vapeur d'eau sous-estiment l'effet des nuages qui font baisser
la température atmosphérique. Pour Clark, c'est le soleil et la
variation de son activité qui est le principal responsable des
changements climatiques, comme dans le passé.
Piers Corbyn,
astrophysicien, spécialiste de la prévision météorologique à long terme
dont il fait une activité commerciale, notamment par le site
@t.
Vincent Courtillot,
géophysicien français, docteur en physique, professeur à l'université
de Paris VII et auteur de nombreux articles scientifiques dans Science ou Nature.
Richard Courtney, relecteur expert du GIEC, consultant en
science du climat et de l'atmosphère, admet qu'aucune preuve
convaincante d'un réchauffement climatique causé par l'homme n'a été
découverte.
Uberto Crescenti, professeur titulaire de géologie appliquée à
l’Université G. d’Annunzio de Chieti, fondateur et président en 2001 de
l’Association italienne « géologie et tourisme », est l'auteur d'une Pétition sur le réchauffement climatique anthropique
adressée aux autorités italiennes et signée par une centaine de
scientifiques. Il y affirme que « la responsabilité anthropique du
changement climatique observée au siècle dernier est exagérée de façon
injustifiée et les prévisions catastrophiques sont irréalistes ». @t