Réunion Cesyp Les Messagers #13 19 06 2024

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  • Опубликовано: 2 авг 2024
  • Etude hebdomadaire au Cesyp du livre Les Messagers, psychographie de Chico Xavier par l'Esprit André Luiz.
    Nous sommes heureux de vous inviter à participer avec nous de l'étude en ligne sur le livre Les Messagers psychographié par le médium Francisco Cândido Xavier et dicté par l'Esprit André Luiz, tous les mercredis de 19h à 20h30 sur Zoom.
    Pour plus d infos voir notre page Facebook facebook/cesypcagnessurmer
    Programme de ce mercredi 12/06/2024 :
    Chapitre 13 Les réflexions de Vincent
    Lecture d'harmonisation : Chapitre 13
    du livre Contes d' ici et d' ailleurs aussi psychographié par Chico Xavier dicté par l'Esprit Frère X (Humberto de Campos).
    Suggestion de lecture :
    L’ÉVANGILE SELON LE SPIRITISME - CHAPITRE XIII - QUE VOTRE MAIN GAUCHE NE SACHE PAS CE QUE DONNE VOTRE MAIN DROITE
    "Le denier de la veuve
    5. Jésus étant assis vis-à-vis du tronc, considérait de quelle manière le peuple y jetait de l'argent, et que plusieurs gens riches y en mettaient beaucoup. - Il vint aussi une pauvre veuve qui y mit seulement deux petites pièces de la valeur d'un quart de sou. - Alors Jésus ayant appelé ses disciples, leur dit : Je vous dis en vérité, cette pauvre veuve a plus donné que tous ceux qui ont mis dans le tronc ; - car tous les autres ont donné de leur abondance, mais celle-ci a donné de son indigence, même tout ce qu'elle avait et tout ce qui lui restait pour vivre. (Saint Marc, ch. XII, v. de 41 à 44. - Saint Luc, ch. XXI, v. de 1 à 4.)
    6. Beaucoup de gens regrettent de ne pouvoir faire autant de bien qu'ils le voudraient, faute de ressources suffisantes, et s'ils désirent la fortune, c'est, disent-ils, pour en faire un bon usage. L'intention est louable, sans doute, et peut être très sincère chez quelques-uns ; mais est-il bien certain qu'elle soit chez tous complètement désintéressée ? N'y en a-t-il pas qui, tout en souhaitant faire du bien aux autres, seraient bien aises de commencer par s'en faire à eux-mêmes, de se donner quelques jouissances de plus, de se procurer un peu du superflu qui leur manque, sauf à donner le reste aux pauvres ? Cette arrière-pensée, qu'ils se dissimulent peut-être, mais qu'ils trouveraient au fond de leur coeur s'ils voulaient y fouiller, annule le mérite de l'intention, car la vraie charité pense aux autres avant de penser à soi. Le sublime de la charité, dans ce cas, serait de chercher dans son propre travail, par l'emploi de ses forces, de son intelligence, de ses talents, les ressources qui manquent pour réaliser ses intentions généreuses ; là serait le sacrifice le plus agréable au Seigneur. Malheureusement la plupart rêvent des moyens plus faciles de s'enrichir tout d'un coup et sans peine, en courant après des chimères, comme les découvertes de trésors, une chance aléatoire favorable, le recouvrement d'héritages inespérés, etc. Que dire de ceux qui espèrent trouver, pour les seconder dans les recherches de cette nature, des auxiliaires parmi les Esprits ? Assurément ils ne connaissent ni ne comprennent le but sacré du spiritisme, et encore moins la mission des Esprits, à qui Dieu permet de se communiquer aux hommes ; aussi en sont-ils punis par les déceptions. (Livre des Médiums, n° 294, 295.)
    Ceux dont l'intention est pure de toute idée personnelle doivent se consoler de leur impuissance à faire autant de bien qu'ils le voudraient par la pensée que l'obole du pauvre, qui donne en se privant, pèse plus dans la balance de Dieu que l'or du riche qui donne sans se priver de rien. La satisfaction serait grande sans doute de pouvoir largement secourir l'indigence ; mais si elle est refusée, il faut se soumettre et se borner à faire ce qu'on peut. D'ailleurs, n'est-ce qu'avec l'or qu'on peut tarir les larmes, et faut-il rester inactif parce qu'on n'en possède pas ? Celui qui veut sincèrement se rendre utile à ses frères en trouve mille occasions ; qu'il les cherche, et il les trouvera ; si ce n'est d'une manière, c'est d'une autre, car il n'est personne, ayant la libre jouissance de ses facultés, qui ne puisse rendre un service quelconque, donner une consolation, adoucir une souffrance physique ou morale, faire une démarche utile ; à défaut d'argent, chacun n'a-t-il pas sa peine, son temps, son repos, dont il peut donner une partie ? Là aussi est l'obole du pauvre, le denier de la veuve."
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