Debout sur le Zinc // 02 - La valse misère [Debout sur le Zinc]

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  • Опубликовано: 3 дек 2024

Комментарии • 4

  • @jeandelafontaine9886
    @jeandelafontaine9886 4 года назад +2

    Du pur génie

  • @julinecarbone-vairon761
    @julinecarbone-vairon761 3 года назад +1

    Comment faites-vous pour écrire des chansons aussi belles ? Quel est votre secret ?

  • @elspleendeparis
    @elspleendeparis 4 года назад +5

    Bien sur on est emporté par la vie
    Comment fêtu de paille dans l'infini ?
    Et puis on est tenté de tout laisser tomber
    Et de ne plus lever, les yeux sur ses pieds
    Et puis si par hasard on a la chance
    De trouver de tenir l'amour, l'immense
    Alors on a tendance à oublier l'ami
    L'autre qui dort tout seul, dans le froid et l'oubli
    Je voudrai faire vœux
    De ne jamais détourner le regard
    Mais je sais bien que dans les gares
    On est toujours trop en retard
    J'aimerai bien faire valser la misère
    Jusqu'au bout de l'univers
    Jusqu'au confind du ciel
    Mais je redescends trop tôt sur terre
    Alors reprend le train-train quotidien
    Celui qui vous enveloppe si bien
    Celui qui par vos rêves, celui qui fait la trêve
    Avec la conscience d' Eve…..et du serpent
    La banque, la maison, la femme, les enfants
    Bientôt éffaceront tous les relans
    Relans d'élan de cœur, confondant dans un même
    Caramel éceurant, le diable et le bonheur
    Je voudrai faire vœux
    De ne jamais détourner le regard
    Mais je sais bien que dans les gares
    On est toujours trop en retard
    J'aimerai bien faire valser la misère
    Jusqu'au bout de l'univers
    Jusqu'au confind du ciel
    Mais je redescends trop tôt sur terre
    Evidemment on ne changera rien
    En chantant ou en frappant des deux poings
    Sur la table de la salle à manger eh rococo
    On risquerai de renverser les verres, et l'eau
    Pourtant si l'on y réfléchissait bien
    Le bonheur que l'on retient dès demain
    Pourrait il vraiment fuir, en tendant comme une fleur
    Une main, au bout d'un bras, ou bien sa main vers son bras
    Je voudrai faire vœux
    De ne jamais détourner le regard
    Mais je sais bien que dans les gares
    On est toujours trop en retard
    J'aimerai bien faire valser la misère
    Jusqu'au bout de l'univers
    Jusqu'au confind du ciel
    Mais je redescends trop tôt sur terre