Dans la culture sa va c'est tranquil sa gagné bien ils ont pas a se plaindre le boulot n'est pas fatiguant contrairement à l'élevage qui est plus stressant plus dure financièrement
Bonjour Thomas, il faut un grand courage pour partir en Ukraine pour devenir agriculteur la bas , la terre est riche , mais c'est avec le climat se sa doit être difficile à gérer
Tu parles il veut juste s'enrichir là bas aucune contrainte des pesticides a gogo .... Voilà produire sans se soucier de rien aucune traçabilité aucune administration pour venir te faire chier.... Produire a bas coût... Et je compte même pas les dégradations faite par des speudo écolo
Bizarre, cette histoire de semoir vide. À ma connaissance, la quantité de graine se calcule à l'hectare et le semoir se règle en fonction. Comme il a quand même l'air de savoir ce qu'il fait (3e génération d'agriculteurs), je suis surpris qu'il se contente de _"on m'avait dit qu'il y en avait assez"._ Mais, bon. La critique est facile. Son projet est quand même courageux.
Thomas avais fait un topic sur un forum agricole de son expérience (le reportage date de 2010). Il explique qu'il a essayé d'émanciper ses ouvriers agricoles qui avaient été infantilisés par le système soviétique, en leur donnant quelques responsabilités (comme charger son semoir). Sauf que les ouvriers, quand tu ne leurs donnent pas un ordre précis, style "charge ton semoir en semence pour faire 20 hectares" bah ils ne comprennent pas précisément et donc font dans le vague.
@@rafaleetleclerc9445 Je découvre la vidéo. J'étais allé plusieurs fois en Roumanie, j'ai un ami qui a revendu sa ferme il y a 1 an. L'histoire du semoir me rappelle rendre visite à un agriculteur (originaire du côté de Nancy), ayant une affaire en location. En entrant au champ on soupçonne le chauffeur d'avoir touché au réglage: comme il a sous dosé, pendant le chantier à l'insu du patron des complices ont volé des sacs de semence. Il venait de remettre au réglage initial, comme si le patron n'allait pas émettre des doutes à la densité de levée. J'ai pu constater dans une autre ferme , que venant d'avoir vidangé d'huile les tracteurs, ils ont volé la bonne huile et re-balancé l'huile de vidange dans les tracteurs. Conséquence immédiate:J'ai pu voir un gros J-D avec les bielles déballées sur les tables de l'atelier.
Oui moi aussi déjà vu. Mais j'aime leurs façons de faire en Ukraine. Certains patrons Français auraient du mal à s'adapter si on pratiquait de la même manière en France.
@@rafaleetleclerc9445 non je pense qu'il a toujours l'exploitation il ont la vie plus commode j'ai un Ukrainien qui travaille sur mon exploitation en france il m'a dit que tout le monde peut s'installer
Partir hors de l’Union européenne cela signifie changer d’univers, ne plus obtenir de subventions, peut-être travailler avec moins de contraintes, trouver une main-d’œuvre moins chère et surtout pouvoir louer de très grandes surfaces. En ce moment les agriculteurs français ont du fuir le pays et subissent des pertes, de nombreuses exploitations ont été détruites ou pillées, le bétail volé ou relâché dans la nature, sans compter le blocage des céréales qui ne peuvent plus être exportées ou sont volées. Sans compter les terrains rendus inexploitables par des mines. Les producteurs de céréales en France vont certainement augmenter leur exportations.
@@rafaleetleclerc9445 De 2010 et pourtant le sujet est encore plus brûlant que jamais. L’Ukraine n’est pas seulement exportatrice de céréales (blé, colza, tournesol) mais aussi de semences et les semenciers français très présents là-bas s’inquiètent de la disponibilités de graines en 2023 ou plutôt en 2024. La production de semences en France n’arrive pas encore à compenser les pertes et demande aussi plus de travail et implique plus de contraintes. .
J'espère qu'il s'en sort bien avec la situation d'aujourd'hui
c'est une émission qui a plus d'une dizaines d'année
Dans la culture sa va c'est tranquil sa gagné bien ils ont pas a se plaindre le boulot n'est pas fatiguant contrairement à l'élevage qui est plus stressant plus dure financièrement
Et du coup en ce moment ça donne quoi? Courage
Bon et ben si ça vous dis d y aller.. Nous on a le pass.
Bonjour Thomas, il faut un grand courage pour partir en Ukraine pour devenir agriculteur la bas , la terre est riche , mais c'est avec le climat se sa doit être difficile à gérer
Tu parles il veut juste s'enrichir là bas aucune contrainte des pesticides a gogo .... Voilà produire sans se soucier de rien aucune traçabilité aucune administration pour venir te faire chier....
Produire a bas coût...
Et je compte même pas les dégradations faite par des speudo écolo
Bizarre, cette histoire de semoir vide. À ma connaissance, la quantité de graine se calcule à l'hectare et le semoir se règle en fonction. Comme il a quand même l'air de savoir ce qu'il fait (3e génération d'agriculteurs), je suis surpris qu'il se contente de _"on m'avait dit qu'il y en avait assez"._
Mais, bon. La critique est facile. Son projet est quand même courageux.
Thomas avais fait un topic sur un forum agricole de son expérience (le reportage date de 2010). Il explique qu'il a essayé d'émanciper ses ouvriers agricoles qui avaient été infantilisés par le système soviétique, en leur donnant quelques responsabilités (comme charger son semoir). Sauf que les ouvriers, quand tu ne leurs donnent pas un ordre précis, style "charge ton semoir en semence pour faire 20 hectares" bah ils ne comprennent pas précisément et donc font dans le vague.
@@rafaleetleclerc9445 : Merci pour la précision. Je comprends mieux.
@@rafaleetleclerc9445 Je découvre la vidéo. J'étais allé plusieurs fois en Roumanie, j'ai un ami qui a revendu sa ferme il y a 1 an. L'histoire du semoir me rappelle rendre visite à un agriculteur (originaire du côté de Nancy), ayant une affaire en location. En entrant au champ on soupçonne le chauffeur d'avoir touché au réglage: comme il a sous dosé, pendant le chantier à l'insu du patron des complices ont volé des sacs de semence. Il venait de remettre au réglage initial, comme si le patron n'allait pas émettre des doutes à la densité de levée. J'ai pu constater dans une autre ferme , que venant d'avoir vidangé d'huile les tracteurs, ils ont volé la bonne huile et re-balancé l'huile de vidange dans les tracteurs. Conséquence immédiate:J'ai pu voir un gros J-D avec les bielles déballées sur les tables de l'atelier.
....ce document vidéo date de 1789 n'est plus valable de nos jours
Oui moi aussi déjà vu. Mais j'aime leurs façons de faire en Ukraine. Certains patrons Français auraient du mal à s'adapter si on pratiquait de la même manière en France.
Dans quelle domaine y a des patrons français , j'aimerais bien aller travailler laba
Oui oui moi je demande a des ukrainien de venir tenir une ferme française on va voir combien de temps ils vont tenir ...
Tout ça pour un tournevis ??? 😕
salut comme sa va en ukraine?
super idée d'être aller en Ukraine mdrrr
Le reportage date de 12 ans 🤣🤣🤣
Pas sur qu'il puisse rembourser sa famille avec la guerre aujourd'hui .
Un reportage qui date depuis des années Pff
MDR PR UN TOURNEVIS!!! WTF
qui vas semer les mains dans les poches surtout quand tu sais pas ce qu’il y’a dans le semoir
Malgré ça il y'a toujours la corruption j'en sur 🤔
Tiens, je croyais qu'il n'y avait qu'en France que l'administration était une plaie...
Déjà vue sur une autre chaîne
Moi aussi mais je me rappelle plus le nom de la chaîne
Vous confondez Russie et Ukraine, l'Ukraine n'est pas la Russie comme vous semblez vouloir le faire croître
une autre epoque, et le français se plaint!!!!!
Pourvu que cette histoire du covid ne les foutent pas en l'aire !
Le reportage date de 2010, depuis il est rentré en France.
@@rafaleetleclerc9445 non je pense qu'il a toujours l'exploitation il ont la vie plus commode j'ai un Ukrainien qui travaille sur mon exploitation en france il m'a dit que tout le monde peut s'installer
@@jeuneagriculteur35 Que deviennent-ils en ce moment ? vous qui semblez être de proximité de ses parents à Hargicourt.
Partir hors de l’Union européenne cela signifie changer d’univers, ne plus obtenir de subventions, peut-être travailler avec moins de contraintes, trouver une main-d’œuvre moins chère et surtout pouvoir louer de très grandes surfaces.
En ce moment les agriculteurs français ont du fuir le pays et subissent des pertes, de nombreuses exploitations ont été détruites ou pillées, le bétail volé ou relâché dans la nature, sans compter le blocage des céréales qui ne peuvent plus être exportées ou sont volées. Sans compter les terrains rendus inexploitables par des mines.
Les producteurs de céréales en France vont certainement augmenter leur exportations.
@@rafaleetleclerc9445 De 2010 et pourtant le sujet est encore plus brûlant que jamais. L’Ukraine n’est pas seulement exportatrice de céréales (blé, colza, tournesol) mais aussi de semences et les semenciers français très présents là-bas s’inquiètent de la disponibilités de graines en 2023 ou plutôt en 2024.
La production de semences en France n’arrive pas encore à compenser les pertes et demande aussi plus de travail et implique plus de contraintes. .
un fake