Bonjour M-Co, si j'ai bien compris l'élève fixe sa note objectif en début de trimestre. Il doit avoir 80%de réussite à 100 % des QCM pour avoir plus que 10. J'ai des questions : je ne vois pas la différence entre les interros briques et les QCM qui servent de fondation. Ces interros-briques portent-elles sur d'autres savoirs ? Pour les autres briques est-ce un point par brique ? Les briques dépendent-elles du niveau de l'élève (si un élève est bon pour avoir une brique validée il fera un exercice plus difficile qu'un élève plus faible ?) Merci pour ta réponse. J'ai le cerveau en surchauffe depuis une semaine que j'ai découvert ton travail !
Je pense que je faisais de l'évaluation ''en briques'' sans le savoir dans le primaire cycle 2. Les exercices étaient très rapides. La correction se faisait individuellement devant l'élève et par l'élève . Et comme les rythmes des élèves sont toujours différents et bien ils avaient par semaine des ateliers en autonomie assez agréables ( par les jeux) et toujours un exercice pour aller plus loin qu'on n'est pas obligé de réussir mais qu'on travaille et ils pouvaient avancer leurs devoirs ( toujours des révisions et ... un problème ouvert ). Donner à tous la possibilité d'avancer et d'être stimulés quel que soit son niveau. C'est le plus rude.
Sur le passage vers 5:00 Très connu sur la méthode globale mais les collègues ont tendance à oublier les conclusions de cette malheureuse méthode dont la seule chose qu'ils retiennent c'est que la lecture globale ne marche pas
Bonjour Coline, Malheureusement, le replay n'est plus disponible en ce moment. En revanche, je suis en train de préparer de nouvelles classes virtuelles qui auront lieu en juin. Pour être tenue au courant, le plus simple c'est de t'inscrire à ma mailing liste, j'enverrais les inscriptions par mail !
J'ai lu dans un bouquin sur les neurosciences qu'il fallait varier les thèmes pour que l'apprentissage soit plus efficace, donc enchainer des exercices identiques serait moins efficace que de faire des exercices différents à la suite. Comment faire coexister les deux notions ?
Je pensais que les interrogations briques étaient différentes des QCM et étaient des taches complexes ? (En Français : écrire un récit, produire à l’oral…)
L'expression /concept interrogation brique n'existe pas sur le net. Je n'ai trouvé que votre occurrence. Sur quelle expérimentation concrète vous vous êtes basée (article de revue de pédagogique? ou de neuropsy?) Concrètement dans quelle banque de sujet vous les prenez? Quelle forme ont ces éval? QCM, questionnaire à trou, schémas fléchés à compléter? Comment vous faites pour corriger pendant le cours? Comment vous comptabilisez ces notes dans la moyenne? Petit rappel : les élèves ne travaillent que pour la note, ça n'entre pas dans la moyenne, le boulot est saboté ou non fait.
Je ne partage pas votre point de vue madame wesolovski. La methode semble efficace: elle permet de travailler soi même au lieu de devoir attendre la fin de journée pour pouvoir le faire reellement. Elle permet aussi de depasser le non sens de travailler pour une note, comme s il s agirait d un salaire, principe stupide. J aurais aimé la pratiquer lors de mes études. Ce que j en vois c est que les eleves en sortent avec quelque chose d appris à vie. Reste à sélectionner des enseignements qui meritent d etre appris pour la vie
Si tu regardes dans ses anciennes vidéos tu trouveras beaucoup de réponses à tes questions. Rapidement : 1) elle crée elle même des banques de sujets, les élèves peuvent aussi les créer, si manque de temps, possibilité de prendre les sujets du manuel. 2) la forme des eval c'est EXACTEMENT les exercices de la banque de sujets. 3) pour corriger pendant le cours tu as juste à corriger pendant le cours, tu demandes aux élèves de travailler en autonomie pendant ce temps là et de te montrer à la fin ce qu'ils ont fait. 4) elle ne fonctionne pas avec une moyenne mais avec une note de trimestre (une vidéo entière est consacrée à ce sujet)
Quand les élèves ne travaillent que pour la note, c'est que le système pédagogique les incite à avoir ce comportement. Ce n'est pas lié à la nature humaine, mais à la structure pédagogique qui crée des contraintes qui rendent certains comportements plus rationnels et efficaces (ici travailler pour la note). Changer le système permet de supprimer le comportement. Par exemple, en demandant en début de trimestre aux élèves de choisir leur note de fin de trimestre.
@@yz.h2o merci pour la notation cela peut fonctionner en spécialité mais pas en tronc commun où l'institution exige un certain nombre dévaluation type bac pour valider la.moyenne. En fait après visionnage j'ai plus de questions que de réponses en particulier sur le curriculum : pour le contrôle continu c'est parfait, pour les spécificités ça ne fonctionne pas car la certification est faite sur les compétences.
Bonjour M-Co, si j'ai bien compris l'élève fixe sa note objectif en début de trimestre. Il doit avoir 80%de réussite à 100 % des QCM pour avoir plus que 10. J'ai des questions : je ne vois pas la différence entre les interros briques et les QCM qui servent de fondation. Ces interros-briques portent-elles sur d'autres savoirs ? Pour les autres briques est-ce un point par brique ? Les briques dépendent-elles du niveau de l'élève (si un élève est bon pour avoir une brique validée il fera un exercice plus difficile qu'un élève plus faible ?) Merci pour ta réponse. J'ai le cerveau en surchauffe depuis une semaine que j'ai découvert ton travail !
Je pense que je faisais de l'évaluation ''en briques'' sans le savoir dans le primaire cycle 2. Les exercices étaient très rapides.
La correction se faisait individuellement devant l'élève et par l'élève .
Et comme les rythmes des élèves sont toujours différents et bien ils avaient par semaine des ateliers en autonomie assez agréables ( par les jeux) et toujours un exercice pour aller plus loin qu'on n'est pas obligé de réussir mais qu'on travaille et ils pouvaient avancer leurs devoirs ( toujours des révisions et ... un problème ouvert ).
Donner à tous la possibilité d'avancer et d'être stimulés quel que soit son niveau. C'est le plus rude.
Sur le passage vers 5:00 Très connu sur la méthode globale mais les collègues ont tendance à oublier les conclusions de cette malheureuse méthode dont la seule chose qu'ils retiennent c'est que la lecture globale ne marche pas
On est bien d’accord… les résultats de la recherche sont longs à diffuser…
Bonjour. Est-il encore possible d'avoir accès au replay de cette classe virtuelle ?
Bonjour Coline,
Malheureusement, le replay n'est plus disponible en ce moment. En revanche, je suis en train de préparer de nouvelles classes virtuelles qui auront lieu en juin. Pour être tenue au courant, le plus simple c'est de t'inscrire à ma mailing liste, j'enverrais les inscriptions par mail !
J'ai lu dans un bouquin sur les neurosciences qu'il fallait varier les thèmes pour que l'apprentissage soit plus efficace, donc enchainer des exercices identiques serait moins efficace que de faire des exercices différents à la suite. Comment faire coexister les deux notions ?
Identique dans la forme mais pas dans le thème je pense 🙂
Je pensais que les interrogations briques étaient différentes des QCM et étaient des taches complexes ? (En Français : écrire un récit, produire à l’oral…)
L'expression /concept interrogation brique n'existe pas sur le net. Je n'ai trouvé que votre occurrence. Sur quelle expérimentation concrète vous vous êtes basée (article de revue de pédagogique? ou de neuropsy?) Concrètement dans quelle banque de sujet vous les prenez? Quelle forme ont ces éval? QCM, questionnaire à trou, schémas fléchés à compléter? Comment vous faites pour corriger pendant le cours? Comment vous comptabilisez ces notes dans la moyenne? Petit rappel : les élèves ne travaillent que pour la note, ça n'entre pas dans la moyenne, le boulot est saboté ou non fait.
Je ne partage pas votre point de vue madame wesolovski. La methode semble efficace: elle permet de travailler soi même au lieu de devoir attendre la fin de journée pour pouvoir le faire reellement. Elle permet aussi de depasser le non sens de travailler pour une note, comme s il s agirait d un salaire, principe stupide. J aurais aimé la pratiquer lors de mes études. Ce que j en vois c est que les eleves en sortent avec quelque chose d appris à vie. Reste à sélectionner des enseignements qui meritent d etre appris pour la vie
Si tu regardes dans ses anciennes vidéos tu trouveras beaucoup de réponses à tes questions. Rapidement : 1) elle crée elle même des banques de sujets, les élèves peuvent aussi les créer, si manque de temps, possibilité de prendre les sujets du manuel. 2) la forme des eval c'est EXACTEMENT les exercices de la banque de sujets. 3) pour corriger pendant le cours tu as juste à corriger pendant le cours, tu demandes aux élèves de travailler en autonomie pendant ce temps là et de te montrer à la fin ce qu'ils ont fait. 4) elle ne fonctionne pas avec une moyenne mais avec une note de trimestre (une vidéo entière est consacrée à ce sujet)
Quand les élèves ne travaillent que pour la note, c'est que le système pédagogique les incite à avoir ce comportement. Ce n'est pas lié à la nature humaine, mais à la structure pédagogique qui crée des contraintes qui rendent certains comportements plus rationnels et efficaces (ici travailler pour la note). Changer le système permet de supprimer le comportement. Par exemple, en demandant en début de trimestre aux élèves de choisir leur note de fin de trimestre.
@@yz.h2o merci pour les précisions ! 👍
@@yz.h2o merci pour la notation cela peut fonctionner en spécialité mais pas en tronc commun où l'institution exige un certain nombre dévaluation type bac pour valider la.moyenne. En fait après visionnage j'ai plus de questions que de réponses en particulier sur le curriculum : pour le contrôle continu c'est parfait, pour les spécificités ça ne fonctionne pas car la certification est faite sur les compétences.