Les compagnies doivent arriver à démocratiser le transport aérien en Afrique. L'avion ne doit plus être vu comme un luxe en Afrique mais bien un moyen de transport accessible à tous, une nécessité. Il faut aussi à nos compagnies aériennes une cohérence dans la tarification des billets. On ne peut du tout, par exemple, admettre ou comprendre que sur une distance de 450 kilomètres en domestique qu'une même compagnie aérienne facture au même coût le billet que sur une distance de près de 2000 kilomètres en vols inter-états. Nous ne sommes pas l'Europe mais plusieurs pays dans ce continent ont réussi à faire de l'avion un moyen de transport en commun ouvert, accessible à tous. Rien que dans les années 80, par exemple, avec la compagnie aérienne française Air Inter qui n'existe plus, il n'était pas rare de voir sur la ligne Paris/Marseille (1 heure de vol) des fonctionnaires de l'état ou du privé qui allait tous les jours du lundi au vendredi à leur travail à Marseille pour rentrer le soir sur Paris et refaire le même trajet le lendemain. On devrait pouvoir en Afrique arriver à envisager ce genre de scénarii. Bon courage !
Depuis la RDC
Les compagnies doivent arriver à démocratiser le transport aérien en Afrique. L'avion ne doit plus être vu comme un luxe en Afrique mais bien un moyen de transport accessible à tous, une nécessité.
Il faut aussi à nos compagnies aériennes une cohérence dans la tarification des billets. On ne peut du tout, par exemple, admettre ou comprendre que sur une distance de 450 kilomètres en domestique qu'une même compagnie aérienne facture au même coût le billet que sur une distance de près de 2000 kilomètres en vols inter-états.
Nous ne sommes pas l'Europe mais plusieurs pays dans ce continent ont réussi à faire de l'avion un moyen de transport en commun ouvert, accessible à tous.
Rien que dans les années 80, par exemple, avec la compagnie aérienne française Air Inter qui n'existe plus, il n'était pas rare de voir sur la ligne Paris/Marseille (1 heure de vol) des fonctionnaires de l'état ou du privé qui allait tous les jours du lundi au vendredi à leur travail à Marseille pour rentrer le soir sur Paris et refaire le même trajet le lendemain.
On devrait pouvoir en Afrique arriver à envisager ce genre de scénarii.
Bon courage !