Il n'était pas encore sorti à l'époque de ce Blow-Up mais pour ceux que cette thématique intéresse, "Give me Liberty" de Kirill Mikhanovsky met en scène de nombreux personnages handicapés physiquement et/ou mentalement, joués par des acteurs eux-mêmes handicapés (pour moi ce n'est pas une obligation mais quand même ça fait plaisir). Et ce film est une pépite, un véritable coup de coeur en ce qui me concerne...
9:50 Pas que la vue en fait, mais aussi la parole et l'ouïe :p Pas de doute, sa guérison dans Tommy tient vraiment du miracle (oui, parce que j'ai pas du tout compris la symbolique du miroir brisé)
Très bonne vidéo ! Seul défaut pour moi on parle pas de personne sourde-muette, mais seulement de personne sourde (sauf bien sur dans le cas ou les deux handicaps sont associés). Le mutisme est une incapacité à produire des sons, hors une personne sourde peut en produire
Excellent top s'il en est. J'aurais aussi cité le film "Premier Regard" avec Val Kilmer en masseur aveugle, mais je conçois que cela soit trop... familier :-) !
Il y a quelques maladresses, on parle de "personnes handicapées " et pas "d"handicapé", le terme "personne" est très important. Et on parle aussi de "handicap psychique" plutôt que de handicap "mental". Ce sont des détails qui comptent. Mais vous avez réussi à parler de comment on nous traite au cinéma sans tomber dans le misérabilisme et/ou le pathos. Pour ça c'est cool. Par contre vous auriez pu évoquer le fait qu'on est souvent représenter de manière stéréotypée.
je suis d'accord. j'ajouterai que c'est aussi maladroit de parler de "faux handicapé" pour parler de personnes qui se lèvent d'un fauteuil, même si cela est vrai pour les personnages concernés, cela renforce l'idée qu'il faudrait être paraplégique pour "avoir le droit" d'utiliser un fauteuil. Je regrette aussi que vous n'ayez pas souligner que ces personnages handicapés sont quasiment tout le temps joués par des personnes valides. Et du coup je rejoins encore le commentaire auquel je réponds qui évoque la représentation stéréotypée.
@@Louariell Le véritable tort à faire à l'industrie du cinéma n'est pas de choisir des acteurs "valides" pour jouer les rôles de personnes handicapées, mais bien de ne pas donner aux acteurs handicapés de véritables rôles, sans que le handicap n'ait quelques chose à voir avec le dit rôle.
Personne handicapée ou juste handicapé, ça ne change rien. C'est comme dire qu'il faut dire "personnes de couleur" quand on parle ds quelqu'un qui n'est pas blanc. Complètement inutile. C'est faire son fragile pour rien.
Tous des films valido-centrés, perpétuant l'hégémonie du corps considéré comme "valide". Tous des acteurs valides pour jouer nos façons propres de nous mouvoir. Par ailleurs, il n'y aucun "paradoxe" à être handicapé et intelligent. Certains d'entre nous le sont, d'autres moins. Comme les personnes valides quoi.
Concernant le "paradoxe", vous semblez être en colère contre ce qui n'est ici qu'une maladresse de formulation pour évoquer une simple opposition entre deux ensembles d'un tout, le corps / l'esprit. Aussi, n'ayant jamais entendu le "valido-centré" que vous utilisez ici, je ne peut être certain du sens que vous lui prêtez mais je tenterai de vous répondre que le véritable tort à faire à l'industrie du cinéma n'est pas de choisir des acteurs "valides" pour jouer les rôles de personnes handicapées comme vous semblez vouloir le dénoncer, mais bien de ne pas donner aux acteurs handicapés de véritables rôles, sans que le handicap n'ait quelques chose à voir avec le dit rôle.
@@moonti6820 Concernant l'absence de recrutement d'acteur/d'actrice handicapé.e.s je suis totalement d'accord avec vous. Lorsque j'écrivais valido-centré, je soulignais justement que tous ces films se centrent autour du handicap du personnage (un handicap qui par ailleurs serait à "combattre", à "dépasser" alors que c'est plutôt la société qui devrait s'adapter à la multiplicité des corps), que c'est toujours la thématique du film ou une majeure en tout cas. Par exemple, Helen Keller a été une membre importante du Parti Socialiste américain, elle était une suffragette mais le film "The Miracle Worker" la confine dans son simple rôle "d'handicapée".
Vous dites : "un handicap qui par ailleurs serait à "combattre", à "dépasser" alors que c'est plutôt la société qui devrait s'adapter à la multiplicité des corps". Certes, pour autant, bon nombre de films - et ce n'est pas propre au handicap - utilisent une caractéristique d'un personnage pour justement illustrer l'incapacité de la société à avancer sur certains sujets. Mais je suis d'accord avec vous : plus de films devraient mettre en scène une personne en situation de handicap sans que son handicap soit le moteur du récit. Je crois que le meilleur moyen d'avancer sur ce sujet au cinéma, c'est bien cette façon de procéder. Pour autant, le sujet de la vidéo est bien "le handicap au cinéma". Tacitement, on aura compris que les films cités illustreront la première option.
J'allais dire quelque-chose comm ca. Le problème des handicapés qui sont juste des handicapés et rien de plus, le problème des acteurs valide et surtout le problème de l'image du bon handicapé qui se bat pour dépasser ces capacités ou trou e un moyen d'être quelque part meilleur que les valide. Bref une vision très validiste (c'est ça le mot) du handicap, très réduite, très discriminante et très rassurante pour les valides qui ne nous aide pas du tout à être accepté pour ce qu'on est. J'avais envie aussi de dire qu'on a le droit d'être des connards désespéré comme les autres. Et aussi on ne voit que des personnes qui ne souffrent pas physiquement ou pas longtemps alors qu'il a beaucoup de maladies douloureuses et incurable entraînant un handicap. Et surtout jamais n'est évoqué le handicap invisible... Bref une vision telethon pour que les valides ce sentent mieux et que mémère verse sa petite larme en se sentant si empathique. Bien qu'il y ai des bons film.
@@nomokis5992Exactement. Je n'ai pas utilisé le mot "validiste" car les gens se braquent quand le prononce et je n'ai pas de temps à perdre avec les polémiques sur internet. Oui, aucun film ne montre que le handicap est une construction sociale (le handicap étant construit comme une différence qui justifierait, par nature, les inégalités alors qu'en réalité, cette différence est construite comme incapacité par la société). Le seul bon film que j'ai vu à ce jour est "Magarita with a straw". Je vous le conseille !
Il me semble que vous avez oublié deux films qui pourraient être des films majeurs sur le handicap : Hasta la vista ! Pour commencer, mais peut-être que le sujet est trop cru pour être cité puisque c'est un road movie de trois jeunes belges ayant chacun un handicap différent et souhaitant découvrir les plaisirs de la chair en allant au bordel en Espagne tout en disant à leurs parents qu'ils font un tour des vignobles français... En second Nationale 7, reprenant (je dirais encore malheureusement) la problématique de la sexualité et du handicap puisque c'est l'histoire d'un homme nouvellement arrivé dans un centre de rééducation entrainant ses compagnons d'infortune dans une aventure pour aller voir des prostitués, ceci afin d'éviter de rendre la vie impossible aux soignants... Bien que le sujet peut sembler grave, il est traité dans les deux cas avec beaucoup d'humour. Un humour qui peut être grinçant pour les biens pensant mais qui met au jour une réalité de la vie de nombreuses personnes à qui l'on n'accorde pas ce droit et qui sont nombreuses dans notre pays. Dommage, car votre rétrospective est, à défaut d'être excellente pour une fois, reste très bonne !
je regrette presque qu'on ai pas cité le directeur de chemin de fer dans "il était une fois dans l'ouest" dont le rêve était de rejoindre la côte pacifique rien que pour revoir l'océan et qui meurt en écoutant les ruissellement d'un ruisseau. sinon très bien comme d'habitude
Vous vous dîtes cinéphile et ne citez pas le fabuleux biopic "L'aigle vole au soleil (The wings of eagles-1957)" de John Ford avec un John Wayne magistral dans le rôle de Frank "Spigs" Wead ?
Bonjour superbe synthèse ! Pour ceux qui veulent un peu prolonger ce thème du handicap dans le cinéma, nous avons réalisé une série de podcasts à ce sujet : un invité, un film. Podcast "C'est pas du cinéma", sur auvio ou sur apple podcast. @t.
Donc mis à part le merveilleux Freaks (et aussi le 8e jour non mentionné) que des fictions avec des acteurs valides pour jouer des personnes en situation de handicap ?? Bah c'est pas gagné hein...
Référence à La Forme de l’Eau ( The Shape of Water ) sur l’amour d’une personne telle qu’elle est et non telle qu’elle est rapportée n’aurrait pas fais de mal. Mais très bonne vidéo comme toujours.
Professeur Xavier, pas Docteur... Mais bon, y'a eu pire comme erreur, donc je vais pas en chier une pendule (surtout que c'est vachement douloureux). Sinon, pour être raccord avec la majorité des autres com', beaucoup trop de films valido-centrés dans l'histoire du cinema, et ça continue...
Hasta La Vista, l'un des plus grands films sur le Handicap !
Surtout n’arrêtez jamais cette série, c’est parfait
Il n'était pas encore sorti à l'époque de ce Blow-Up mais pour ceux que cette thématique intéresse, "Give me Liberty" de Kirill Mikhanovsky met en scène de nombreux personnages handicapés physiquement et/ou mentalement, joués par des acteurs eux-mêmes handicapés (pour moi ce n'est pas une obligation mais quand même ça fait plaisir). Et ce film est une pépite, un véritable coup de coeur en ce qui me concerne...
Génial top 5 ! J'aurai rajouté "Dancer in the Dark" de Lars von Trier, pour l'esthétique étouffante et, pourtant, si prenante de la cécité.
Ah les vaches, terminer par City Lights ! Ça ne rate jamais, j’ai les larmes aux yeux, maintenant...
moi aussi...
J’aime beaucoup ce que vous faites… MERCI
Dans la liste des aveugles, il y a aussi Björk dans Dancer in the dark
Mais... j'ai pas vu Fenêtre sur cour :o
Sinon génial comme toujours!
sympa cette vidéo, merci :) Gilbert Grape est pas mal aussi !
9:50 Pas que la vue en fait, mais aussi la parole et l'ouïe :p Pas de doute, sa guérison dans Tommy tient vraiment du miracle (oui, parce que j'ai pas du tout compris la symbolique du miroir brisé)
Très bonne vidéo ! Seul défaut pour moi on parle pas de personne sourde-muette, mais seulement de personne sourde (sauf bien sur dans le cas ou les deux handicaps sont associés). Le mutisme est une incapacité à produire des sons, hors une personne sourde peut en produire
C'est pas Imcompatible
Excellent top s'il en est. J'aurais aussi cité le film "Premier Regard" avec Val Kilmer en masseur aveugle, mais je conçois que cela soit trop... familier :-) !
"De rouille et d'os" de Jacques Audiard avec Matthias Schoenaerts et Marion Cotillard, mais superbe vidéo comme toujours.
Mentionné déjà dès les 2 premières minutes de la vidéo! :D
Il y a quelques maladresses, on parle de "personnes handicapées " et pas "d"handicapé", le terme "personne" est très important. Et on parle aussi de "handicap psychique" plutôt que de handicap "mental". Ce sont des détails qui comptent. Mais vous avez réussi à parler de comment on nous traite au cinéma sans tomber dans le misérabilisme et/ou le pathos. Pour ça c'est cool. Par contre vous auriez pu évoquer le fait qu'on est souvent représenter de manière stéréotypée.
je suis d'accord. j'ajouterai que c'est aussi maladroit de parler de "faux handicapé" pour parler de personnes qui se lèvent d'un fauteuil, même si cela est vrai pour les personnages concernés, cela renforce l'idée qu'il faudrait être paraplégique pour "avoir le droit" d'utiliser un fauteuil. Je regrette aussi que vous n'ayez pas souligner que ces personnages handicapés sont quasiment tout le temps joués par des personnes valides. Et du coup je rejoins encore le commentaire auquel je réponds qui évoque la représentation stéréotypée.
@@Louariell Le véritable tort à faire à l'industrie du cinéma n'est pas de choisir des acteurs "valides" pour jouer les rôles de personnes handicapées, mais bien de ne pas donner aux acteurs handicapés de véritables rôles, sans que le handicap n'ait quelques chose à voir avec le dit rôle.
@@moonti6820 oui c'est très très important, et c'est un point que j'aurai du souligner
Personne handicapée ou juste handicapé, ça ne change rien. C'est comme dire qu'il faut dire "personnes de couleur" quand on parle ds quelqu'un qui n'est pas blanc.
Complètement inutile. C'est faire son fragile pour rien.
Fermez la bon Dieu, arrêtez de toujours chercher le politiquement corrcet ! Si le mot « handicapé » existe, ce n’est pas pour rien.
C'est injuste de mettre la fin de City Lights, maintenant c'est moi qui voit plus rien de mon écran.
moi non plus...
Merciii
Tous des films valido-centrés, perpétuant l'hégémonie du corps considéré comme "valide". Tous des acteurs valides pour jouer nos façons propres de nous mouvoir. Par ailleurs, il n'y aucun "paradoxe" à être handicapé et intelligent. Certains d'entre nous le sont, d'autres moins. Comme les personnes valides quoi.
Concernant le "paradoxe", vous semblez être en colère contre ce qui n'est ici qu'une maladresse de formulation pour évoquer une simple opposition entre deux ensembles d'un tout, le corps / l'esprit.
Aussi, n'ayant jamais entendu le "valido-centré" que vous utilisez ici, je ne peut être certain du sens que vous lui prêtez mais je tenterai de vous répondre que le véritable tort à faire à l'industrie du cinéma n'est pas de choisir des acteurs "valides" pour jouer les rôles de personnes handicapées comme vous semblez vouloir le dénoncer, mais bien de ne pas donner aux acteurs handicapés de véritables rôles, sans que le handicap n'ait quelques chose à voir avec le dit rôle.
@@moonti6820 Concernant l'absence de recrutement d'acteur/d'actrice handicapé.e.s je suis totalement d'accord avec vous. Lorsque j'écrivais valido-centré, je soulignais justement que tous ces films se centrent autour du handicap du personnage (un handicap qui par ailleurs serait à "combattre", à "dépasser" alors que c'est plutôt la société qui devrait s'adapter à la multiplicité des corps), que c'est toujours la thématique du film ou une majeure en tout cas. Par exemple, Helen Keller a été une membre importante du Parti Socialiste américain, elle était une suffragette mais le film "The Miracle Worker" la confine dans son simple rôle "d'handicapée".
Vous dites : "un handicap qui par ailleurs serait à "combattre", à "dépasser" alors que c'est plutôt la société qui devrait s'adapter à la multiplicité des corps". Certes, pour autant, bon nombre de films - et ce n'est pas propre au handicap - utilisent une caractéristique d'un personnage pour justement illustrer l'incapacité de la société à avancer sur certains sujets. Mais je suis d'accord avec vous : plus de films devraient mettre en scène une personne en situation de handicap sans que son handicap soit le moteur du récit. Je crois que le meilleur moyen d'avancer sur ce sujet au cinéma, c'est bien cette façon de procéder. Pour autant, le sujet de la vidéo est bien "le handicap au cinéma". Tacitement, on aura compris que les films cités illustreront la première option.
J'allais dire quelque-chose comm ca. Le problème des handicapés qui sont juste des handicapés et rien de plus, le problème des acteurs valide et surtout le problème de l'image du bon handicapé qui se bat pour dépasser ces capacités ou trou e un moyen d'être quelque part meilleur que les valide. Bref une vision très validiste (c'est ça le mot) du handicap, très réduite, très discriminante et très rassurante pour les valides qui ne nous aide pas du tout à être accepté pour ce qu'on est. J'avais envie aussi de dire qu'on a le droit d'être des connards désespéré comme les autres. Et aussi on ne voit que des personnes qui ne souffrent pas physiquement ou pas longtemps alors qu'il a beaucoup de maladies douloureuses et incurable entraînant un handicap. Et surtout jamais n'est évoqué le handicap invisible... Bref une vision telethon pour que les valides ce sentent mieux et que mémère verse sa petite larme en se sentant si empathique.
Bien qu'il y ai des bons film.
@@nomokis5992Exactement. Je n'ai pas utilisé le mot "validiste" car les gens se braquent quand le prononce et je n'ai pas de temps à perdre avec les polémiques sur internet. Oui, aucun film ne montre que le handicap est une construction sociale (le handicap étant construit comme une différence qui justifierait, par nature, les inégalités alors qu'en réalité, cette différence est construite comme incapacité par la société). Le seul bon film que j'ai vu à ce jour est "Magarita with a straw". Je vous le conseille !
Il me semble que vous avez oublié deux films qui pourraient être des films majeurs sur le handicap : Hasta la vista ! Pour commencer, mais peut-être que le sujet est trop cru pour être cité puisque c'est un road movie de trois jeunes belges ayant chacun un handicap différent et souhaitant découvrir les plaisirs de la chair en allant au bordel en Espagne tout en disant à leurs parents qu'ils font un tour des vignobles français... En second Nationale 7, reprenant (je dirais encore malheureusement) la problématique de la sexualité et du handicap puisque c'est l'histoire d'un homme nouvellement arrivé dans un centre de rééducation entrainant ses compagnons d'infortune dans une aventure pour aller voir des prostitués, ceci afin d'éviter de rendre la vie impossible aux soignants... Bien que le sujet peut sembler grave, il est traité dans les deux cas avec beaucoup d'humour. Un humour qui peut être grinçant pour les biens pensant mais qui met au jour une réalité de la vie de nombreuses personnes à qui l'on n'accorde pas ce droit et qui sont nombreuses dans notre pays.
Dommage, car votre rétrospective est, à défaut d'être excellente pour une fois, reste très bonne !
En plus, je remarque qu'Arte a diffusé Nationale 7.
je regrette presque qu'on ai pas cité le directeur de chemin de fer dans "il était une fois dans l'ouest" dont le rêve était de rejoindre la côte pacifique rien que pour revoir l'océan et qui meurt en écoutant les ruissellement d'un ruisseau. sinon très bien comme d'habitude
Et "Paris je t'aime" alors ??? La scène incroyable de cet aveugle amoureux de cette jeune femme !
Et le méchant dans James Bond!
Sinon magnifique top 5!
« C’était des hommes »....premier film de brando les gars!!!!
Vous vous dîtes cinéphile et ne citez pas le fabuleux biopic "L'aigle vole au soleil (The wings of eagles-1957)" de John Ford avec un John Wayne magistral dans le rôle de Frank "Spigs" Wead ?
Passionnant, mais il manque vraiment Elle et Lui de McCarey et Cutter's Way d'Ivan Passer !
Van der Keuken, "L'Enfant aveugle", 1964 ...
Bonjour superbe synthèse ! Pour ceux qui veulent un peu prolonger ce thème du handicap dans le cinéma, nous avons réalisé une série de podcasts à ce sujet : un invité, un film. Podcast "C'est pas du cinéma", sur auvio ou sur apple podcast. @t.
Presque parfait:il manque juste "vol au-dessus d'un nid de coucou" non ?
bravo de terminer avec l'inoubliable Charlie Chaplin.
Stephen Dwoskin...
21:39 C'est quel film ?
c'est tiré d'un épisode de la série Lost
@@jean-remygloaguen5021 merci
Rain man..
Donc mis à part le merveilleux Freaks (et aussi le 8e jour non mentionné) que des fictions avec des acteurs valides pour jouer des personnes en situation de handicap ?? Bah c'est pas gagné hein...
En effet ... grandement dommage
Fenetre sur cour!
Référence à La Forme de l’Eau ( The Shape of Water ) sur l’amour d’une personne telle qu’elle est et non telle qu’elle est rapportée n’aurrait pas fais de mal. Mais très bonne vidéo comme toujours.
Professeur Xavier, pas Docteur... Mais bon, y'a eu pire comme erreur, donc je vais pas en chier une pendule (surtout que c'est vachement douloureux). Sinon, pour être raccord avec la majorité des autres com', beaucoup trop de films valido-centrés dans l'histoire du cinema, et ça continue...
Oui n'en chiez pas une pendule svp