Mont du Pain de sucre 392m - Echec 2016

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  • Опубликовано: 18 сен 2024
  • J'ai tenter de monter sans prendre le téléphérique au sommet du Mont du Pain de Sucre en 2016. Après 25 minutes d'effort je suis arrivé au limite de ce qui était réalisable en randonnée. Il fallait ensuite pratiquer de l'escalade plus complexe que de simplement poser ces mains sur une paroi car sans aucun équipement il m'était impossible de redescendre par le même chemin.
    J'ai donc dû faire de faire demi tour pour ma première ascension d'une montagne au Brésil.
    Je suis allé au Morro de Urca montagne intermédiaire d'où l'on peut prendre le téléphérique pour aller au Mont du Pain de Sucre.
    Lien du site du téléphérique du Mont du Pain de Sucre: bondinho.com.br/

Комментарии • 1

  • @JOrdan_Hezb0llah
    @JOrdan_Hezb0llah 15 дней назад

    Si, de Rudyard Kipling
    Ce poème fut écrit en 1910 par l’écrivain britannique Rudyard Kipling pour son fils John, alors âgé de 12 ans.
    SI, quand autour de toi tous perdent la tête,
    Toi tu peux rester libre et leur tenir tête ;
    Si tu peux croire en toi quand tous doutent de toi,
    Mais entendre ces doutes pour éclairer tes choix ;
    Si tu sais patienter autant que nécessaire…
    Si accablé de mensonges tu refuses de mentir ;
    Si ébranlé par la haine tu refuses de haïr ;
    Si tu sais être bon sans cesser d’être ferme ;
    Si tu sais être sage sans devenir terne :
    Si tu sais rêver sans n’être qu’un rêveur ;
    Si tu peux penser sans n’être qu’un penseur ;
    Si tu sais accueillir le succès et l’échec,
    Et aux deux imposteurs réserver la même fête ;
    Si tu peux supporter d’entendre tes propos
    Tordus par des escrocs pour mieux duper des sots ;
    Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie,
    Et te mettre à rebâtir avec des débris :
    Si tu peux amasser ce que tu as gagné,
    Et le remettre en jeu sur un seul coup de dés,
    Sans un soupir tout perdre et tout recommencer ;
    Si tu sais maîtriser ton cœur, tes nerfs, ton corps,
    Et quand ils t’ont lâché les faire servir encore,
    Et quand il n’y a plus rien en toi, tenir,
    Écouter la volonté seule qui crie : « Tenir ! »
    Si tu sais rester noble dans l’indigence ;
    Si tu sais rester humble dans l’opulence ;
    Si ennemi ni ami ne peut t’ébranler ;
    Si pour toi chacun compte sans qu’aucun ne compte trop ;
    Si dans cette vie, minute vite écoulée,
    Tu fais soixante pas sur un chemin qui vaut :
    Alors t’appartiendront la Terre les jours les ans,
    Mieux - tu mériteras le nom d’Humain, mon enfant !