Souvent je le regarde et je n'y crois pas Sa surface est lisse et belle, chaque forme forme Le parfait profil que lui demande la norme Cette norme qui catalogue chacun de ses mouvements Tout a l'air si beau, vu du côté brillant Mais allons plus loin ou plutôt de l'autre côté du miroir Là où le brouillard se mêle aux larmes Qui coulent à l’intérieur d'une paroi tenu en joue par l'arme De l'homme, de l'homme qui comptemple son objet Sans pour autant lui donner plus de liberté Mais la vanité est l'affiche de la bêtise Et son propriétaire en est rempli quand il s'agit de ses devises L'objet pleure souvent, rarement on le remarque Sauf quelques autres qui comme lui sont frappés de la même marque Il est là, devant moi et je vois qu'il souffre On l'a cloîtré dans un coin jusqu'à son dernier souffle Mais il vit toujours, même ébréché il garde sa fierté A la recherche du respect qu'on ne lui a jamais accordé On le préfère muet sans vie; Rarement j'en vois un qui sourit quand il me parle de sa vie... Tout à l'air si beau vu du côté brillant Mais l'intérieur a trop souvent l'odeur de l'exclusion La peur et la souffrance ont changé le goût de sa passion Dans sa pièce il est seul, de sa fenêtre il voit un monde hostile à sa réflexion Combien avant lui se sont fait casser à cause de leurs opinions ? Il essaye, il s'accroche, il s'organise Il lutte, il entend, il voit, il sent, il prend note et vise Mais l'objet est victime comme beaucoup du racisme On le sort seulement lors d'occasions bien spécifiques Pour embellir un moment précis qui peut rapporter du fric Car l'objet est doux, gracieux et manipulable Énormément d'entre eux n'ont qu'un statut d'esclave Pourtant combien de fois ils ont porté sur leurs épaules les malheurs du monde ? Chaque seconde j'en vois un qui meurt dans l'ombre Et on oppresse ceux qui restent, l'homme se sert de leurs faiblesses Pour imposer sa virilité et faire monter le stress Seuls, mais tellement nombreux dans la même situation Attendez vous bientôt à une révolution L'homme ne pourra jamais éteindre sa flamme Quand on sait que l'objet en question est la Femme
C'est un hymne à l'amour de la part de roquin pour les femmes respect.
Merci pour nous
Topissime !!!!!!
Un morceau qui m'a tout de suite beaucoup plu. Très intelligent dans l'écriture..
Respect
Nostalgie
Souvent je le regarde et je n'y crois pas
Sa surface est lisse et belle, chaque forme forme
Le parfait profil que lui demande la norme
Cette norme qui catalogue chacun de ses mouvements
Tout a l'air si beau, vu du côté brillant
Mais allons plus loin ou plutôt de l'autre côté du miroir
Là où le brouillard se mêle aux larmes
Qui coulent à l’intérieur d'une paroi tenu en joue par l'arme
De l'homme, de l'homme qui comptemple son objet
Sans pour autant lui donner plus de liberté
Mais la vanité est l'affiche de la bêtise
Et son propriétaire en est rempli quand il s'agit de ses devises
L'objet pleure souvent, rarement on le remarque
Sauf quelques autres qui comme lui sont frappés de la même marque
Il est là, devant moi et je vois qu'il souffre
On l'a cloîtré dans un coin jusqu'à son dernier souffle
Mais il vit toujours, même ébréché il garde sa fierté
A la recherche du respect qu'on ne lui a jamais accordé
On le préfère muet sans vie;
Rarement j'en vois un qui sourit quand il me parle de sa vie...
Tout à l'air si beau vu du côté brillant
Mais l'intérieur a trop souvent l'odeur de l'exclusion
La peur et la souffrance ont changé le goût de sa passion
Dans sa pièce il est seul, de sa fenêtre il voit un monde hostile à sa réflexion
Combien avant lui se sont fait casser à cause de leurs opinions ?
Il essaye, il s'accroche, il s'organise
Il lutte, il entend, il voit, il sent, il prend note et vise
Mais l'objet est victime comme beaucoup du racisme
On le sort seulement lors d'occasions bien spécifiques
Pour embellir un moment précis qui peut rapporter du fric
Car l'objet est doux, gracieux et manipulable
Énormément d'entre eux n'ont qu'un statut d'esclave
Pourtant combien de fois ils ont porté sur leurs épaules les malheurs du monde ?
Chaque seconde j'en vois un qui meurt dans l'ombre
Et on oppresse ceux qui restent, l'homme se sert de leurs faiblesses
Pour imposer sa virilité et faire monter le stress
Seuls, mais tellement nombreux dans la même situation
Attendez vous bientôt à une révolution
L'homme ne pourra jamais éteindre sa flamme
Quand on sait que l'objet en question est la Femme
Amour Sagesse Equilibre
Est-ce que quelqu'un a les chansons à la fin ?
rue Cartault ....paix
million de vue Xd
Respect à ma mère, ma sœur, ma fille, respect au sexe féminin, elles nous ont toutes mis au monde....!!!!!???? 🤔🤔🤔
sample: ruclips.net/video/J3ioEhSjkMY/видео.html