Mégafeux, la forêt des Landes pour comprendre | Reportage CNRS
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- Опубликовано: 6 фев 2025
- Comment les forêts d’hier peuvent-elles nous aider à protéger celles de demain ? En plongeant dans les sédiments des lacs landais, des scientifiques décryptent l’histoire des incendies et des écosystèmes passés. Leur objectif : comprendre les interactions entre végétation et feu à travers les millénaires pour mieux gérer les risques dans un climat en mutation.
👩🔬 Avec la participation de :
Adam Ali de l'Institut des Sciences de l’Évolution de Montpellier (ISEM - Université de Montpellier / CNRS / IRD / EPHE / Cirad / Inrap)
Damien Rius (CNRS) du laboratoire Chrono-environnement (CNRS / Université Marie et Louis Pasteur), Besançon
Florence Mazier (CNRS) et Maëlis Olivier du laboratoire Géographie de l’Environnement (GEODE - CNRS / Université de Toulouse Jean Jaurès)
💻 Pour en savoir plus :
Le reportage "Incendies : des chercheurs aux avant-postes"
👉 • Incendies : des cherch...
L'épisode "Feu et préhistoire" de la collection Brève de science
👉 • Feu et préhistoire | #...
Reportage sur le terrain
👉 images.cnrs.fr...
Reportage en laboratoire
👉 images.cnrs.fr...
📽 Production : CNRS Images
Images : Pexels.com
Musiques :
Time Against Us : J4POQ3KACSDKKZJ9
Sky Traveller : R0O0TV66BF51CAWY
Virtual Self : ZFJGPAMESVF1CJ1X
Icarus Landing : ONHUN0WTXZ8PJFS0
A Positive Charge : XH5JZV3HRZHDHY5B
© CNRS, janvier 2025
#CNRS #Science
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Très intéressant, on veut la suite !
" si tu plantes des conifères achète des canadairs "
Super boulot, Des formats plus longs svp 🙂
C'est pas une forêt, c'est une monoculture intensive de pin... avec tout l'aberration qui va avec
Le problème est effectivement d'appeler une plantation une forêt et vice-versa. On ferait pas la même chose avec un vergé.
C'est décevant du CNRS.
Wow, quel rebelle, demain tu vas voir un producteur de fraises et tu lui diras que c’est une monoculture de fraises?
@@Cedatiif😂un ecolo d'immeuble 🤡
@@CedatiifEt pourtant on persiste avec une méthode culturale aussi précaire que si votre maraîcher voulait faire pousser ses fraises sur une plage, et derrière ce sont nos impôts qui sont utilisés pour indemniser une aberration évidente. Je donne mon vote au rebelle.
Merci le CNRS
le bambou !!!!
des plantations de bambou, larges de 30 à 40 m de chaque coté de tous les chemins ( x 2 = largeur d'un terrain de rugby)
retardateur voire barrière pour le feu
sécurisation pour l'accès et/ou la fuite des services incendie.... et autre
Le bambou, ça fait tout !
du matériel pour la construction, pour diverses productions, pour de l'alimentaire, du pharmaco, cosmetico.... etc
ça fait du boulot !!!
filtration, dépollution, régénération
captation rapide du CO2
Vive le bambou !!!!
Ne pas oublier la faune sauvage et ses besoins de déplacements
@@novalame bien sûr, le terme barrière était employé en réaction à la problématique du feu. Disons plutôt des bandes de part et d'autre le long des chemins.... que les animaux pourront eux aussi emprunter pour échapper aux flammes. C'est modifié, J'espère que ça va mieux comme ça
La Science au service de la raison. En espérant que leurs voix importent plus que celles des lobbyists capitalistes.
on ne pourra JAMAIS sauver les campagnes sans mettre AUX NORMES les villes !!! en France les recyclages de l'eau et de la matière organique sont inexistants !! Les stations d'épuration sont des armes de désertification massive ! non seulement l'eau est jetée en rivières pollue TOUTES les rivières mais TOUTE la fertilité des sols ( la matière organique) disparait dans des incinérateurs ou des décharges ! 80% des assainissements collectifs français ne sont pas aux normes et polluent massivement TOUTES les rivières jusqu'à la mer en passant par les bassins ostréicoles ! On peut agir très vite puisque toutes les lois existent déjà, il suffit juste de les faire appliquer aux collectivités : tous les rejets (pluies et eaux usées) doivent être traités et infiltrés pour ne pas perturber le cycle de rechargement des nappes phréatiques, et quand les infiltrations ne sont pas possibles l'eau doit être recyclée pour des usages non domestiques comme l'arrosage. Les rivières sont le drainage naturel des sols et elles sont caractérisées uniquement par leurs sources, tous les apports supplémentaires (ruissellements, fossés et rejets de station d'épuration) amplifient le drainage naturel donc assèchent les nappes phréatiques et polluent
en tous cas des forets de pin maritimes ... c'est peut-être joli, mais faut pas faire tomber une allumette !