Tout ce que vous dites est vrai. C'est ce qui m'arrive en ce moment même. Trop besoin de désencombrer car jettouffe ce qui me renferme sur moi même. J'ai besoin de vide et surtout de renouveau en jetant des choses pour les remplacer par de plus belles choses . Le minimalisme va me sauver. D'ici 1 moi je verrai le fond du tuner car yen a des choses à faire
Belle psychologie de comptoir :-) mais je me rallie à la plupart des propos. Beaucoup de personnes (suisse) à qui je propose d’organiser leur maison trouve cela inutile et ne se voit pas payer qqun pour cela.. comment cela marche t il en Belgique? J’ai personnellement désencombrer depuis plus de 8 ans en passant par le zéro déchet, la spiritualité, le minimalisme, etc... et en effet ça nous change de l’intérieur. J’aime aussi la vision de Dominique Loreau dans « faire le ménage chez soi, faire le ménage en soi » ça donne également le goût du nettoyage 🧽 lol bref ok en revient tj à l’essentiel et au temps présent. L’accès au bonheur est simple à celui qui veut bien le voir 😍
Après en Suisse vous êtes réputé pour être des gens propres, ordonnés, organisés. Limite maniaques d'ailleurs. Puis les suisses sont aussi connu pour prendre leurs temps. Toutes les cultures ne portent pas ce genre de valeur mais parfois l'opposé. La culture américaine veut qu'on aille toujours plus vite, toujours plus grand, plus gros, toujours plus plus plus et encore plus. Et c'est plutôt la culture américaine qui influence le monde occidental plutôt que la culture suisse... Tout plein d'argent qu'ils sont dans le pays de la neutralité, il n'en sont pas moins effacer et invisible sur la scène du rayonnement culturel international. Je crois que la vrai richesse se mesure à la capacité à rayonné autour de soi cette richesse. La neutralité à enfermé nos chers amis suisse dans une bulle inconsciente du monde extérieur. L'ignorance est une pauvreté. Cette ignorance est largement commune à l'homme moderne. Oui le monde hors de vos frontières et pauvre, misérable et a besoin de toujours payé pour tout pour rattraper la casse de ces cultures de domination que nous subissons ici et là sur le globe. Car ce consumérisme, si il est toxique pour la planète par anti écologie l'est encore plus pour celui qui est sous la semelle du travailleur en burn out toujours trop presser, trop occuper, trop en retard. Les gens n'ont pas appris à jeter, et ce n'ai pas un savoir inné, c'est quelques choses que l'on acquiert ou pas. En Suisse comme au japon, vous apprenez ça dès le bac à sable presque tandis qu'en zone d'occident colonial on apprends à prendre, à exploiter, à racketer si il le faut. Il faut avoir à tout prix pour être, tout au moins montrer qu'on existe. Je crois que entre la bulle effacée et une exhibition de misérabilisme il y a un juste milieu où l'on redeviens enfin humain. J'aime croire que de travailler sur l'intérieur de notre rapport à l'espace, à l'être et à l'avoir mais aussi au temps et au désir en utilisant le concret de la vie quotidienne et matérielle pourrait être un super chemin pour trouver les réponses de ce que veux dire être humain. Pour cela les suisses sont surement plus prêt à payer pour consulter des décorateurs ou des accompagnateurs feng-shui mais ça m'étonnerais qu'il soient tant au-dessus de ça de la question de l'amélioration de son lieu de vie que ce que vous laissez croire.
Bonjour. Bien sur qu'il y a beaucoup à voir avec Elodie Wéry : c'est le même monde. Elodie et Nathalie ont deux parcours parallèles et sont toutes deux enseignantes expérimentées dans les mêmes matières. Et ce sont toujours les mêmes références. Ce n'est pas comme si l'une étant boulangère et l'autre coiffeuse : elles transmettent la meme chose.
On se reconnaît tellement dans tout ce que vous dites, c'est amusant...
Merci beaucoup. Un sujet qui concerne tout le monde. Et lié à notre état mental
oui. Et en meme temps, Nathalie prévoit une interview (de moi) pour parler de la charge mentale tellement ses étudiantes en souffrent
Tout ce que vous dites est vrai.
C'est ce qui m'arrive en ce moment même.
Trop besoin de désencombrer car jettouffe ce qui me renferme sur moi même.
J'ai besoin de vide et surtout de renouveau en jetant des choses pour les remplacer par de plus belles choses .
Le minimalisme va me sauver.
D'ici 1 moi je verrai le fond du tuner car yen a des choses à faire
Pouche poucha je peux t’aider si tu veux
Pouche poucha je suis home organizer
Belle psychologie de comptoir :-) mais je me rallie à la plupart des propos. Beaucoup de personnes (suisse) à qui je propose d’organiser leur maison trouve cela inutile et ne se voit pas payer qqun pour cela.. comment cela marche t il en Belgique? J’ai personnellement désencombrer depuis plus de 8 ans en passant par le zéro déchet, la spiritualité, le minimalisme, etc... et en effet ça nous change de l’intérieur. J’aime aussi la vision de Dominique Loreau dans « faire le ménage chez soi, faire le ménage en soi » ça donne également le goût du nettoyage 🧽 lol bref ok en revient tj à l’essentiel et au temps présent. L’accès au bonheur est simple à celui qui veut bien le voir 😍
Après en Suisse vous êtes réputé pour être des gens propres, ordonnés, organisés. Limite maniaques d'ailleurs. Puis les suisses sont aussi connu pour prendre leurs temps. Toutes les cultures ne portent pas ce genre de valeur mais parfois l'opposé. La culture américaine veut qu'on aille toujours plus vite, toujours plus grand, plus gros, toujours plus plus plus et encore plus. Et c'est plutôt la culture américaine qui influence le monde occidental plutôt que la culture suisse... Tout plein d'argent qu'ils sont dans le pays de la neutralité, il n'en sont pas moins effacer et invisible sur la scène du rayonnement culturel international. Je crois que la vrai richesse se mesure à la capacité à rayonné autour de soi cette richesse. La neutralité à enfermé nos chers amis suisse dans une bulle inconsciente du monde extérieur. L'ignorance est une pauvreté. Cette ignorance est largement commune à l'homme moderne. Oui le monde hors de vos frontières et pauvre, misérable et a besoin de toujours payé pour tout pour rattraper la casse de ces cultures de domination que nous subissons ici et là sur le globe. Car ce consumérisme, si il est toxique pour la planète par anti écologie l'est encore plus pour celui qui est sous la semelle du travailleur en burn out toujours trop presser, trop occuper, trop en retard. Les gens n'ont pas appris à jeter, et ce n'ai pas un savoir inné, c'est quelques choses que l'on acquiert ou pas. En Suisse comme au japon, vous apprenez ça dès le bac à sable presque tandis qu'en zone d'occident colonial on apprends à prendre, à exploiter, à racketer si il le faut. Il faut avoir à tout prix pour être, tout au moins montrer qu'on existe. Je crois que entre la bulle effacée et une exhibition de misérabilisme il y a un juste milieu où l'on redeviens enfin humain. J'aime croire que de travailler sur l'intérieur de notre rapport à l'espace, à l'être et à l'avoir mais aussi au temps et au désir en utilisant le concret de la vie quotidienne et matérielle pourrait être un super chemin pour trouver les réponses de ce que veux dire être humain. Pour cela les suisses sont surement plus prêt à payer pour consulter des décorateurs ou des accompagnateurs feng-shui mais ça m'étonnerais qu'il soient tant au-dessus de ça de la question de l'amélioration de son lieu de vie que ce que vous laissez croire.
*Si on commence le Désencombrement par d'abord éliminer " au cas où " !*
Exact !
"au cas où", c'est un vestige des périodes de grande pénurie
Bonjour. Le ‘ça peut servir » peut-être problématique, en effet.
grave ! Le lien aux objets a parfois un coté pathologique ! ;)
Bonsoir il y a un peu voir beaucoup d’Élodie wery…
Bonjour. Bien sur qu'il y a beaucoup à voir avec Elodie Wéry : c'est le même monde. Elodie et Nathalie ont deux parcours parallèles et sont toutes deux enseignantes expérimentées dans les mêmes matières. Et ce sont toujours les mêmes références. Ce n'est pas comme si l'une étant boulangère et l'autre coiffeuse : elles transmettent la meme chose.