Je suis bon qu'à pper-ra, à causer du tort au Code Pénal Faut te rabattre quand mes rabzas, négros sont khabat À fond dans l'autre sens de la droiture Mes khos des pointures, toujours à l'avant dans la voiture Je te fais saigner quand t'as pas tes règles Je veux qu'on m'enterre avec une barrette J'ai le son qui dépouille comme les Touaregs J'ai pas de pareil et ceux qui essaient me font marrer Je suis déjà arrivé, ils ont pas démarré On est foutus, une clique de barbares On va tous y passer, comme le pape sans gilet pare-balles J'ai le vice et quand je vise c'est droit dans ton terma Toujours chaud, je vis dans un thermos On veut te baiser dès que tu montes Et je me demande si c'est truqué comme la Coupe du Monde Donc j'emmerde tout le monde Ici y a rien de tendre, rien à comprendre Les Hauts-de-Seine en Cosa Nostra Putain c'est grave comment on cause à notre âge Y a pas de feeling, et si tu veux tester mes égals On te baise ta race comme si c'est légal J'ai six millions de raisons de perdre la mienne Le système développe trop de pièges Les gars racistes occupent trop de sièges Immigré depuis le gène, faut que je maintienne Sur mon droit chemin, marche de travers Vivant, mais comme à quatre coudées sous terre On s'en sort car soudés comme l'a voulu le Mahdi au Soudan Dédicacé à mes nègres et mes crouilles sous écrou Prisonnier du ghetto du corps, et pire celui de l'esprit Chaque jour qu'on respire est une épreuve pour nous Mon trajet, une véritable tragédie Dans les ténèbres à chercher la lumière faut surtout pas que je dévie Ici-bas, je connais rien de l'avenir Vu que j'ai pas la prophétie délivrée à la tribu de Lévi Chaque fois ça pète et je reconstruis On est les plus divisés du monde C'est pour mes gars, civilisés ou non Mes troupes sont mobilisées Je vire dans le rouge mais je dois rester civilisé Ca pète et je reconstruis On est les plus divisés du monde C'est pour mes gars, civilisés ou non Mes troupes sont mobilisées Je vire dans le rouge mais je dois rester civilisé Je voulais être seul mais trop tard j'étais déjà né Pour tout baiser, pour être champion du monde comme Tidiani Enfance insalubre, comme un foetus j'avais qu'un calibre Et les putains qui crachent leur salive Mais moi j'ai le sourire comme à l'enterrement d'un flic Voir ma clique, retour en Afrique sans rapatriement Et pour me traquer sur le ciment Oublient leur jour du seigneur Ces fils de putains taffent le dimanche Fais pas de blabla, chante pas de balades Je reste dans le vrai même si faut que je graille, je te jure wallaye Et si je dois canner, naturellement ou d'une balle dans le dos Quand je partirai faudra que je sois dans le Dîne Improvise parmi les démons et les anges Compose textes après textes pendant mon éveil et mes songes Ecriture sacrée comme le Gange et ses crues Inévitable comme la femme et ses menstrues De quoi je te parle? De nos rimes et de nos instrus Des vérités que nos lèvres articulent Surveille le bien, le mal jusqu'à sa moindre particule Vu que le diable manipule, voudrait le monopole L'humanité divisée, pôle Sud contre Nord Civilisé je me dois d'être Cultive la science semée par les ancêtres Homme Kemite, original donc normal que nombreux imitent Tout comme les galaxies j'ai mes propres limites Même les étoiles s'éteignent, t'es pas éternel Bonhomme réfléchis une minute Orienté vers Mecqua, atteste que Dieu est unique Vers lui le retour, aussi sûr qu'additionner six, six, sept donne 19 Additionner six, six, sept donne 19 Chaque fois ça pète et je reconstruis On est les plus divisés du monde C'est pour mes gars, civilisés ou non Mes troupes sont mobilisées Je vire dans le rouge mais je dois rester civilisé Ca pète et je reconstruis On est les plus divisés du monde C'est pour mes gars, civilisés ou non Mes troupes sont mobilisées Je vire dans le rouge mais je dois rester civilisé On peut construire vu les connaissances qu'on a On peut détruire quand l'ignorance est là Civilisé, mes troupes sont mobilisées Je vire dans le rouge mais je dois rester civilisé Ca pète et je reconstruis On est les plus divisés du monde C'est pour mes gars, civilisés ou non Mes troupes sont mobilisées Je vire dans le rouge mais je dois rester civilisé Ca pète et je reconstruis On est les plus divisés du monde C'est pour mes gars, civilisés ou non Mes troupes sont mobilisées Je vire dans le rouge mais je dois rester civilisé Ca pète et je reconstruis Civilisé
L’effet inverse Les larmes se sont versées L’ignorance explosive face à l’incompréhension des versets Le cœur percé depuis que mon père s’est allé au porte du Janna Comme lady Diana La perle de l’islam, nous somme Tijani Et nos faces brillent comme diamants Les points fermés, la charge est lourde sur les épaules Frustré comme une femme en ménopause Je pose sur l’instru, instruis De par ma connaissance je suis l’intrus Un rappel que la vie est éphémère à chaque coup de pendule Mes douleurs sur papier, un jeu de maux qui fait mal au crâne, le pendu Nos anciens ne comprennent pas nos réalités Les temps ont changé, faudrait se faire à l’idée L’idiot possède une téléphone intelligent Intelligible sont mes propos Le bossu de notre dame a tout niquer et pris gros dos
Oh pour souffrir je souffle pour tout les sens que jappe aorte\à t'a porte j'ai apporté l'essence\ si fallais que je m'emporte une main sur ce monde et l'autre en poche\pour une fois j'aimerait poincer pouvoir pioncer au dessous des ponts\ou sous les roches demain remettre un autre coup de pioche\ou faire le sourd comme dhab et la je me saoul\attend donc que le jour se lève y'aura pas foule la si je me bute le plomb et bois pour pas finir suspendu comme d'autre\tête brûlé j'suis tout au fond et sache apprendre qu'y faut j'en laisse tout comme faut t'en prennent\car monotone sont tout mes rêves en plus de ça y faudrait que j'engraisse\putin c'est dur la vie nous faire marcher dessus je reste la a encavé j'ai du apprendre a vivre avant d'en crever\mon adn s'être entaché cet 'timpression a chaque emprunt d'être le chassé\assez et en plus d'ça la faim approche l'histoire ce répète y'a jamais fin faut dire\j'évite le pire espère que mes désastre sois loin derrière faut je guette mes angles mon art mon arc et que je guette mes sangles\bon vent les cendres pour mes convalescence me laisse aller les bras \m'ai chance en vol et y'a que le sol la pour me guider mes sens\a voir le pot j'suis tombé dedans depuis je danse je me réchauffe le coeur je fait claquer mes dents mon pote on dit le froid me colle\lance un oblique on dit la pluie sécoule\d'embler faudrait que j'oublie d'où j'viens\comme Astérix aucun trauma dinner comme Rex\avant le coma la plaque discute j'suis pris dedans main dans le sac\mon dos tiens l'coup viens voir mon dome\chaque pas font dum ceux que je nomme pas\ le printemps fait dumb quand l'automne part\ rallumer se phare quand le son parle quand je trouve plus mes mots et fait tout pour plaire\j'sent que les mots changent rien et que les maux se perdent\entre toi et moi c'est le complément\cet eaux la même pour nous\attention je perce seigneur mon sang je perd\père sermone tout comme si j'avais pissé sur mer atlas\comme d'hab je concède et bois ses conserve bois de cerfs\sachant trop bien que la lumière nous concerne\et des le réveil cerné dans se cauchemar je replonge\comme un éponge j'suis tout au fonds j'ai bien cherché des perles en vain\l'horloge qui toune le temps s'errode\évite les ferles là où je m'égare\ dès que le regard me vis d'un cran on me dit démarre\ alors je m'écarte\s'foutu train de 'vie la repart\j'ai mis les frain et laisse savoir ce grain\a croire que le cerveau s'entraîne et vassile\suce ma migraine les balaines chantent\moi j'danse au chant des sirènes des gyrophares\parler de la veille là tard le soir\a apprendre la semence pour art le jour mon dard\d'plus je me sent seul j'sent que cet marre la nous enseuvent\dans une lueur j'ai vu l'amore\prêt a ramener la meute parais que par une abscence de corp le coeur se meur hors que le mien pourisse moi je me sent libre\je sent que l'heure y est' remplire mon verre insi que les leurs\tous au 13modèrer vers sois de tout façon modeste\on m a dit ce que j'enviais et chaque goutte que j'ai eu\jai voulu ça v'la ce que j'ai eu eçus d'impôt requoi m'viré les poches boire a ma paume\connaître mon psalm\j'vais pas enchanter personne\parais que vous faite la pair parfaite\Son retourne donc revoir ton père\et sache dire non sache que le mien m'éffrais\maintenant tapprend tu fait parti de la mif\garde la tête haute et fière\devrais je me fier me méfier este fidèle à t'a mafia par terre j'veux pas ferler\le temps c'est pale\msentir aigrie tout amaigris\géométrique dans se miroir aigre\j'suis maitre dans l'art une langue se tourne\c'est l'heure que l'heure ce tourne les pouces\ jamais là trouille des maux de tête j'fait face aux eaux mon encre la jungle me charme j'suis comme un singe au zoe je cherche le feu ici mon arme c'est vent\ l'effroi m'alarme pour ses décompte ou se rado dérive déroge\l'éclipse dérange\ma route s'érrode\demande leur c'est rare j'dit faut tous cherche l'erreur a tout et puis faudra si faire\tout le monde attend son reigne les gens nous craignent loin d'être le seul regarde à la fenêtre t'est pas le seul qui saigne le seigneur me daigne dignement me ferme les portes et faigne\que mes plaies se soigne je plaide coupable\dans ses couloirs le rire se déraisonne capable du meilleur comme du pire\c'est mon tabac mon jeon le sourire jaune\se soir le son combuste autour de moi les demons tournent\plus que mon oinj a voir l'étoiles\j'ai dequoi passer mon tour j'ai dequoi tisser ma toile tourner ma teille moral stressé la fumer de mon oinj est grise ma tête est triste\les couleurs tombent dès le kung 'j'suis face au mur et jm'y cogne\vive la discorde ma corne dans se monde et tout ce qui m'en reste\ sentir l'épine d'une rose\dans l'ombre l'onde que l'on seme\se sombre rêve ou la pluie me ronge les ongles je nage la tête sous l'eau hors qu'on m'embaume\ sonder mes songes c'est pensé vite car j'y replonge l'ep d'une bombe hors éveil\vous d'viendrez barge ici y'a ni barque ni berge\29 gramme d'herbe mes boutures s'enterre\ sache qu'à là longue ça apèse\ les mensonges pèse et puis se perdent\se dispersent l'écris transperce traverse les rêves\dans ce sable le son les mots m'transgresse sur nos tête sache que le ciel nous tombe dessus\ j'effraie mes ombres tellement j'parle seul\les bouteille cassent la nuit et sur nos tête\ j'suis face au mur du temps j'ai beau creuser mais sur mon chemin y'a plus papel a prendre\chaque jour on apprend un peux mieux sur nous\ j'ai dû toucher du marbre parler tout haut tellement s'est sombre j'suis sous le poids des mots mon cerveau 'craque chaque semaine mon chèque de paie\et dès l'éveil croquer l'apple\j'ai dû manquer l'appel libérer la peste ou bien troquer la paix barrique en trop le monde deflictais d'un geste cet une reprise en main encore une brique en moin et m'y remet dès demain j'envoie la semaine entière la mesure mon point final et y'a pas que mon poing dans se mur mon destin me trompe j'en perd mémoire lorsqu'on m'estompe assidus mes prompts un système met mes pompes y'a qu'à t'a paume que je met pomme le plomb si met faut lever l'pont pouvoir ponctuer grandir j'ai cent réponse pour ça comment sentir j'aimerais sortir mentir mais pour l'instant ce foutu ordi me retiens pour ce qu'on détiens comme image la rétine me reviens et puis prévient moi si je te cerne\c'est jusqu'ici le temps m'est ferme\suivre nos voix comme un cafard que faire la à part fuire une nuisance\plus rien de jovial l'obéissance me quitte
![I.N "HALLUCINATION" | [Stray Kids : SKZ-PLAYER]](http://i.ytimg.com/vi/n5B5q1Hwt_U/mqdefault.jpg)
Cette version est l'originale !
L'un des plus grands morceaux de l'histoire du rap français !
Lourd
Je suis bon qu'à pper-ra, à causer du tort au Code Pénal
Faut te rabattre quand mes rabzas, négros sont khabat
À fond dans l'autre sens de la droiture
Mes khos des pointures, toujours à l'avant dans la voiture
Je te fais saigner quand t'as pas tes règles
Je veux qu'on m'enterre avec une barrette
J'ai le son qui dépouille comme les Touaregs
J'ai pas de pareil et ceux qui essaient me font marrer
Je suis déjà arrivé, ils ont pas démarré
On est foutus, une clique de barbares
On va tous y passer, comme le pape sans gilet pare-balles
J'ai le vice et quand je vise c'est droit dans ton terma
Toujours chaud, je vis dans un thermos
On veut te baiser dès que tu montes
Et je me demande si c'est truqué comme la Coupe du Monde
Donc j'emmerde tout le monde
Ici y a rien de tendre, rien à comprendre
Les Hauts-de-Seine en Cosa Nostra
Putain c'est grave comment on cause à notre âge
Y a pas de feeling, et si tu veux tester mes égals
On te baise ta race comme si c'est légal
J'ai six millions de raisons de perdre la mienne
Le système développe trop de pièges
Les gars racistes occupent trop de sièges
Immigré depuis le gène, faut que je maintienne
Sur mon droit chemin, marche de travers
Vivant, mais comme à quatre coudées sous terre
On s'en sort car soudés comme l'a voulu le Mahdi au Soudan
Dédicacé à mes nègres et mes crouilles sous écrou
Prisonnier du ghetto du corps, et pire celui de l'esprit
Chaque jour qu'on respire est une épreuve pour nous
Mon trajet, une véritable tragédie
Dans les ténèbres à chercher la lumière faut surtout pas que je dévie
Ici-bas, je connais rien de l'avenir
Vu que j'ai pas la prophétie délivrée à la tribu de Lévi
Chaque fois ça pète et je reconstruis
On est les plus divisés du monde
C'est pour mes gars, civilisés ou non
Mes troupes sont mobilisées
Je vire dans le rouge mais je dois rester civilisé
Ca pète et je reconstruis
On est les plus divisés du monde
C'est pour mes gars, civilisés ou non
Mes troupes sont mobilisées
Je vire dans le rouge mais je dois rester civilisé
Je voulais être seul mais trop tard j'étais déjà né
Pour tout baiser, pour être champion du monde comme Tidiani
Enfance insalubre, comme un foetus j'avais qu'un calibre
Et les putains qui crachent leur salive
Mais moi j'ai le sourire comme à l'enterrement d'un flic
Voir ma clique, retour en Afrique sans rapatriement
Et pour me traquer sur le ciment
Oublient leur jour du seigneur
Ces fils de putains taffent le dimanche
Fais pas de blabla, chante pas de balades
Je reste dans le vrai même si faut que je graille, je te jure wallaye
Et si je dois canner, naturellement ou d'une balle dans le dos
Quand je partirai faudra que je sois dans le Dîne
Improvise parmi les démons et les anges
Compose textes après textes pendant mon éveil et mes songes
Ecriture sacrée comme le Gange et ses crues
Inévitable comme la femme et ses menstrues
De quoi je te parle?
De nos rimes et de nos instrus
Des vérités que nos lèvres articulent
Surveille le bien, le mal jusqu'à sa moindre particule
Vu que le diable manipule, voudrait le monopole
L'humanité divisée, pôle Sud contre Nord
Civilisé je me dois d'être
Cultive la science semée par les ancêtres
Homme Kemite, original donc normal que nombreux imitent
Tout comme les galaxies j'ai mes propres limites
Même les étoiles s'éteignent, t'es pas éternel
Bonhomme réfléchis une minute
Orienté vers Mecqua, atteste que Dieu est unique
Vers lui le retour, aussi sûr qu'additionner six, six, sept donne 19
Additionner six, six, sept donne 19
Chaque fois ça pète et je reconstruis
On est les plus divisés du monde
C'est pour mes gars, civilisés ou non
Mes troupes sont mobilisées
Je vire dans le rouge mais je dois rester civilisé
Ca pète et je reconstruis
On est les plus divisés du monde
C'est pour mes gars, civilisés ou non
Mes troupes sont mobilisées
Je vire dans le rouge mais je dois rester civilisé
On peut construire vu les connaissances qu'on a
On peut détruire quand l'ignorance est là
Civilisé, mes troupes sont mobilisées
Je vire dans le rouge mais je dois rester civilisé
Ca pète et je reconstruis
On est les plus divisés du monde
C'est pour mes gars, civilisés ou non
Mes troupes sont mobilisées
Je vire dans le rouge mais je dois rester civilisé
Ca pète et je reconstruis
On est les plus divisés du monde
C'est pour mes gars, civilisés ou non
Mes troupes sont mobilisées
Je vire dans le rouge mais je dois rester civilisé
Ca pète et je reconstruis
Civilisé
merci
L’effet inverse
Les larmes se sont versées
L’ignorance explosive face à l’incompréhension des versets
Le cœur percé depuis que mon père s’est
allé au porte du Janna
Comme lady Diana
La perle de l’islam, nous somme Tijani
Et nos faces brillent comme diamants
Les points fermés, la charge est lourde sur les épaules
Frustré comme une femme en ménopause
Je pose sur l’instru, instruis
De par ma connaissance je suis l’intrus
Un rappel que la vie est éphémère à chaque coup de pendule
Mes douleurs sur papier, un jeu de maux qui fait mal au crâne, le pendu
Nos anciens ne comprennent pas nos réalités
Les temps ont changé, faudrait se faire à l’idée
L’idiot possède une téléphone intelligent
Intelligible sont mes propos
Le bossu de notre dame a tout niquer et pris gros dos
Oh pour souffrir je souffle pour tout les sens que jappe aorte\à t'a porte j'ai apporté l'essence\ si fallais que je m'emporte une main sur ce monde et l'autre en poche\pour une fois j'aimerait poincer pouvoir pioncer au dessous des ponts\ou sous les roches demain remettre un autre coup de pioche\ou faire le sourd comme dhab et la je me saoul\attend donc que le jour se lève y'aura pas foule la si je me bute le plomb et bois pour pas finir suspendu comme d'autre\tête brûlé j'suis tout au fond et sache apprendre qu'y faut j'en laisse tout comme faut t'en prennent\car monotone sont tout mes rêves en plus de ça y faudrait que j'engraisse\putin c'est dur la vie nous faire marcher dessus je reste la a encavé j'ai du apprendre a vivre avant d'en crever\mon adn s'être entaché cet 'timpression a chaque emprunt d'être le chassé\assez et en plus d'ça la faim approche l'histoire ce répète y'a jamais fin faut dire\j'évite le pire espère que mes désastre sois loin derrière faut je guette mes angles mon art mon arc et que je guette mes sangles\bon vent les cendres pour mes convalescence me laisse aller les bras \m'ai chance en vol et y'a que le sol la pour me guider mes sens\a voir le pot j'suis tombé dedans depuis je danse je me réchauffe le coeur je fait claquer mes dents mon pote on dit le froid me colle\lance un oblique on dit la pluie sécoule\d'embler faudrait que j'oublie d'où j'viens\comme Astérix aucun trauma dinner comme Rex\avant le coma la plaque discute j'suis pris dedans main dans le sac\mon dos tiens l'coup viens voir mon dome\chaque pas font dum ceux que je nomme pas\ le printemps fait dumb quand l'automne part\ rallumer se phare quand le son parle quand je trouve plus mes mots et fait tout pour plaire\j'sent que les mots changent rien et que les maux se perdent\entre toi et moi c'est le complément\cet eaux la même pour nous\attention je perce seigneur mon sang je perd\père sermone tout comme si j'avais pissé sur mer atlas\comme d'hab je concède et bois ses conserve bois de cerfs\sachant trop bien que la lumière nous concerne\et des le réveil cerné dans se cauchemar je replonge\comme un éponge j'suis tout au fonds j'ai bien cherché des perles en vain\l'horloge qui toune le temps s'errode\évite les ferles là où je m'égare\ dès que le regard me vis d'un cran on me dit démarre\ alors je m'écarte\s'foutu train de 'vie la repart\j'ai mis les frain et laisse savoir ce grain\a croire que le cerveau s'entraîne et vassile\suce ma migraine les balaines chantent\moi j'danse au chant des sirènes des gyrophares\parler de la veille là tard le soir\a apprendre la semence pour art le jour mon dard\d'plus je me sent seul j'sent que cet marre la nous enseuvent\dans une lueur j'ai vu l'amore\prêt a ramener la meute parais que par une abscence de corp le coeur se meur hors que le mien pourisse moi je me sent libre\je sent que l'heure y est' remplire mon verre insi que les leurs\tous au 13modèrer vers sois de tout façon modeste\on m a dit ce que j'enviais et chaque goutte que j'ai eu\jai voulu ça v'la ce que j'ai eu
eçus d'impôt requoi m'viré les poches boire a ma paume\connaître mon psalm\j'vais pas enchanter personne\parais que vous faite la pair parfaite\Son retourne donc revoir ton père\et sache dire non sache que le mien m'éffrais\maintenant tapprend tu fait parti de la mif\garde la tête haute et fière\devrais je me fier me méfier
este fidèle à t'a mafia par terre j'veux pas ferler\le temps c'est pale\msentir aigrie tout amaigris\géométrique dans se miroir aigre\j'suis maitre dans l'art une langue se tourne\c'est l'heure que l'heure ce tourne les pouces\ jamais là trouille des maux de tête j'fait face aux eaux mon encre la jungle me charme j'suis comme un singe au zoe je cherche le feu ici mon arme c'est vent\ l'effroi m'alarme pour ses décompte ou se rado dérive déroge\l'éclipse dérange\ma route s'érrode\demande leur c'est rare j'dit faut tous cherche l'erreur a tout et puis faudra si faire\tout le monde attend son reigne les gens nous craignent loin d'être le seul regarde à la fenêtre t'est pas le seul qui saigne le seigneur me daigne dignement me ferme les portes et faigne\que mes plaies se soigne je plaide coupable\dans ses couloirs le rire se déraisonne capable du meilleur comme du pire\c'est mon tabac mon jeon le sourire jaune\se soir le son combuste autour de moi les demons tournent\plus que mon oinj a voir l'étoiles\j'ai dequoi passer mon tour j'ai dequoi tisser ma toile tourner ma teille moral stressé la fumer de mon oinj est grise ma tête est triste\les couleurs tombent dès le kung 'j'suis face au mur et jm'y cogne\vive la discorde ma corne dans se monde et tout ce qui m'en reste\ sentir l'épine d'une rose\dans l'ombre l'onde que l'on seme\se sombre rêve ou la pluie me ronge les ongles je nage la tête sous l'eau hors qu'on m'embaume\ sonder mes songes c'est pensé vite car j'y replonge l'ep d'une bombe hors éveil\vous d'viendrez barge ici y'a ni barque ni berge\29 gramme d'herbe mes boutures s'enterre\ sache qu'à là longue ça apèse\ les mensonges pèse et puis se perdent\se dispersent l'écris transperce traverse les rêves\dans ce sable le son les mots m'transgresse sur nos tête sache que le ciel nous tombe dessus\ j'effraie mes ombres tellement j'parle seul\les bouteille cassent la nuit et sur nos tête\ j'suis face au mur du temps j'ai beau creuser mais sur mon chemin y'a plus papel a prendre\chaque jour on apprend un peux mieux sur nous\ j'ai dû toucher du marbre parler tout haut tellement s'est sombre j'suis sous le poids des mots mon cerveau 'craque chaque semaine mon chèque de paie\et dès l'éveil croquer l'apple\j'ai dû manquer l'appel libérer la peste ou bien troquer la paix barrique en trop le monde deflictais d'un geste cet une reprise en main encore une brique en moin et m'y remet dès demain j'envoie la semaine entière la mesure mon point final et y'a pas que mon poing dans se mur mon destin me trompe j'en perd mémoire lorsqu'on m'estompe assidus mes prompts un système met mes pompes y'a qu'à t'a paume que je met pomme le plomb si met faut lever l'pont pouvoir ponctuer grandir j'ai cent réponse pour ça comment sentir j'aimerais sortir mentir mais pour l'instant ce foutu ordi me retiens pour ce qu'on détiens comme image la rétine me reviens et puis prévient moi si je te cerne\c'est jusqu'ici le temps m'est ferme\suivre nos voix comme un cafard que faire la à part fuire une nuisance\plus rien de jovial l'obéissance me quitte
jolis les petits effets aquatiques...c'est quel logiciel si c'est pas secret?
on s'en blc des effets c rien
@@sofianelelegendairelgsctrv8092sauf que le diable se cache dans les détails
Filmora
@@wangx948 merci!
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