Tu ne représente rien pour nous quand tu as fait reculer notre pays tu faisais que faire des discours tu as trahi ton ami tu travailles pour l'intérêt du pays Mr Mamadou Dia
Malheureusement l'Afrique ne produit plus de tels hommes, cultivés, dignes, très class, ouverts, modernistes. Au lieu de çelà, nous avons des gradés ignares , qui n'ont jamais lu un livre et qui sortent de on ne sait d'où , volent le pouvoir , n'ont ont aucune légitimité et font reculer leurs pays des siècles en arrière à cause de leur ignorance de la politique et de l'économie de leur arrogance, de leur malhonnêteté et écrasent toute les voix discordantes. L'UA doit exclure de son sein, tout régime militaire qui renverse un pouvoir civil.
Quel homme politique et de lettres un vrai senghor qui s'exprime dans la langue française propre grammaire par grammaire vraiment ses anciens élèves de lycée Marcellin Berthelo avait un professeur merci Leopol senghor sedar s'il était encore vivant ?
Oui. Un grand poète africain. L'ami de la France et ennemi du grand patriote Mamadou DIA et l'opposant du scientifique Cheikh A DIOP (borom carbone 14).
Mamadou Dia n'a rien fait ni pour l'Afrique ni pour le Sénégal. Heureusement que Mamadou Dia n'a pas dirigé le pays on allait faire comme le mali ou la gunnée ton pays d'origine
@@Galsaint D'abord africain et sympatisant des patriotes pour l'équité le travail et la fraternité Plus sénégalais que moi tu meurs. Sénégalais de souche. Enfant de Galloya fulbe adepte de Thierno Souleymane BAAL.
Son côté politique nous aurait été plus important que son côté littéraire. Doit-on vous rappeler qu'il était des même époque cheikh anta Diop pour que vous comprenez être littéraire n´empêche pas être homme politique patriote pour son pays?
Légui son côté littéraire pouvait nous mener où ofete on n'en avait besoin on avait besoin d'une bonne politique pour se développer mai po de la poésie
Comment écrire sur l'Afrique par Binyavanga Wainaina: Utilisez toujours le mot « Afrique » ou « Ténèbres » ou « Safari » dans votre titre. Les sous-titres peuvent inclure les mots « Zanzibar », « Massaï », « Zoulou », « Zambèze », « Congo », « Nil », « Vaste », « Ciel », « Ombre », « Tambour », « Soleil » ou « Révolu ». Sont également utiles des mots tels que « Guérillas », « Éternel », « Primordial » et « Tribal ». Notez bien que lorsqu’on dit « les gens », on parle des Africains qui ne sont pas noirs, tandis que « Le Peuple » signifie les Africains noirs. Ne choisissez jamais la photo d’un Africain équilibré et épanoui pour illustrer la couverture ou les pages de votre livre, à moins que cet Africain n’ait remporté le prix Nobel. Un AK-47, des côtes saillantes, des seins nus : choisissez plutôt ça. Si vous avez vraiment besoin d’un Africain, veillez à ce qu’il soit vêtu d’une robe Massaï, Zoulou ou Dogon. Dans votre texte, traitez l’Afrique comme s’il s’agissait d’un seul pays. Un pays chaud et poussiéreux avec des plaines vallonnées et d’immenses troupeaux d’animaux et des gens grands et minces qui meurent de faim. Ou bien un pays chaud et humide, où des gens tout petits mangent des primates. Ne vous enlisez pas dans des descriptions trop précises. L’Afrique est grande : cinquante-quatre pays, 900 millions de personnes qui sont trop occupées à avoir faim et à mourir et à se battre et à émigrer pour lire votre livre. Le continent regorge de déserts, de jungles, de hauts plateaux, de savanes et de bien d’autres choses, mais votre lecteur ne se soucie pas de tout cela, alors faites en sorte que vos descriptions soient romantiques, évocatrices et peu précises. Montrez bien que les Africains ont la musique et le rythme dans la peau, et qu’ils mangent des choses qu’aucun autre être humain ne mange. Ne mentionnez pas le riz, le bœuf et le blé ; en Afrique, le cerveau de singe est un mets de choix, de même que la chèvre, le serpent, les vers, les larves et toutes sortes de viandes de gibier. Montrez bien que vous êtes capable de manger ces aliments sans broncher, et décrivez comment vous apprenez à les apprécier - parce que c’est important pour vous. Sujets tabous : scènes domestiques ordinaires, amour entre Africains (sauf s’il est en lien avec la mort), références à des écrivains ou des intellectuels africains, mention d’enfants scolarisés qui ne souffrent pas d’infections cutanées, du virus Ebola ou de mutilations génitales féminines. Tout au long du livre, adoptez une voix feutrée et conspirez avec le lecteur sur le ton triste du je-m’y-attendais. Établissez très tôt une sensibilité de gauche, sans tache, et mentionnez dès le début combien vous aimez l’Afrique, comment vous en êtes tombé amoureux et pourquoi vous ne pouvez pas vivre sans elle. L’Afrique est le seul continent que vous pouvez aimer - tirez-en profit. Si vous êtes un homme, plongez-vous dans ses chaudes forêts vierges. Si vous êtes une femme, traitez l’Afrique comme un homme en veste de brousse qui s’éloigne dans le soleil couchant. L’Afrique est à plaindre, à vénérer ou à dominer. Quel que soit l’angle que vous choisirez, assurez-vous de donner l’impression que, sans votre intervention et votre livre important, l’Afrique est condamnée. Vos personnages africains peuvent être des guerriers nus, des serviteurs loyaux, des devins et des voyants, d’anciens sages vivant dans la splendeur d’un ermitage. Ou des politiciens corrompus, des guides polygames et incompétents, ou des prostituées avec qui vous avez couché. Le serviteur loyal se comporte toujours comme un enfant de sept ans et il a besoin d’une main ferme ; il a peur des serpents, il est bon avec les enfants et vous entraîne toujours dans ses psychodrames domestiques. L’Ancien Sage vient toujours d’une tribu noble (et non des tribus qui extorquent de l’argent comme les Gikuyu, les Igbo ou les Shona). Il a les yeux chassieux, il est proche de la Terre. L’homme africain moderne est gros, il travaille et chaparde au bureau des visas, et refuse de donner des permis de travail aux Occidentaux qualifiés qui se soucient vraiment de l’Afrique. C’est un ennemi du développement, toujours en train de tirer parti de son poste de fonctionnaire pour rendre difficile aux expatriés pragmatiques et de bonne volonté la création d’ONG ou de parcs naturels protégés. Ou bien c’est un intellectuel éduqué à Oxford qui est devenu politicien et tueur en série et qui porte un costume coupé sur mesure. C’est un cannibale qui aime le champagne Cristal, et sa mère est la riche sorcière qui, en réalité, dirige le pays.
Vos personnages africains peuvent être des guerriers nus, des serviteurs loyaux, des devins et des voyants, d’anciens sages vivant dans la splendeur d’un ermitage. Ou des politiciens corrompus, des guides polygames et incompétents, ou des prostituées avec qui vous avez couché. Le serviteur loyal se comporte toujours comme un enfant de sept ans et il a besoin d’une main ferme ; il a peur des serpents, il est bon avec les enfants et vous entraîne toujours dans ses psychodrames domestiques. L’Ancien Sage vient toujours d’une tribu noble (et non des tribus qui extorquent de l’argent comme les Gikuyu, les Igbo ou les Shona). Il a les yeux chassieux, il est proche de la Terre. L’homme africain moderne est gros, il travaille et chaparde au bureau des visas, et refuse de donner des permis de travail aux Occidentaux qualifiés qui se soucient vraiment de l’Afrique. C’est un ennemi du développement, toujours en train de tirer parti de son poste de fonctionnaire pour rendre difficile aux expatriés pragmatiques et de bonne volonté la création d’ONG ou de parcs naturels protégés. Ou bien c’est un intellectuel éduqué à Oxford qui est devenu politicien et tueur en série et qui porte un costume coupé sur mesure. C’est un cannibale qui aime le champagne Cristal, et sa mère est la riche sorcière qui, en réalité, dirige le pays. Parmi vos personnages, vous devez toujours inclure l’Africaine affamée, qui erre quasiment nue dans le camp de réfugiés en attendant la bienveillance de l’Occident. Ses enfants ont des mouches sur les paupières et le ventre gonflé, ses seins sont plats et vides. Il faut qu’elle ait l’air complètement sans défense. Elle ne peut avoir aucun passé, aucune histoire : de telles digressions ruinent la dramaturgie. Les gémissements, c’est bien. Elle ne doit jamais parler d’elle dans les dialogues, si ce n’est pour évoquer ses (indicibles) souffrances. Il faut également inclure une femme chaleureuse et maternelle qui a un énorme rire et qui se soucie de votre bien-être. Appelez-la Mama, tout simplement. Ses enfants sont tous des délinquants. Ces personnages devraient bourdonner autour de votre protagoniste comme des faire-valoir. Votre héros peut leur enseigner des choses, leur donner le bain, les nourrir ; il s’occupe de nombreux bébés et il a vu la Mort. Votre héros, c’est vous (s’il s’agit d’un reportage), ou une belle et tragique célébrité/aristocrate connue dans le monde entier qui s’intéresse à présent au sort des animaux (s’il s’agit de fiction). Les personnages négatifs d’Occidentaux peuvent être des enfants de ministres conservateurs, des Afrikaners, des employés de la Banque mondiale. Lorsqu’on évoque l’exploitation par des étrangers, il faut mentionner les commerçants chinois et indiens. Reprochez à l’Occident la situation de l’Afrique. Mais ne soyez pas trop précis. Les portraits brossés à gros coups de pinceau, c’est bien. Évitez de faire rire les personnages africains, ne les laissez pas se battre pour l’éducation de leurs enfants, ni tout simplement se débrouiller dans des circonstances banales. Faites en sorte qu’ils éclaircissent quelque chose sur l’Europe ou l’Amérique en Afrique. Les personnages africains doivent être colorés, exotiques, plus grands que nature - mais vides à l’intérieur, sans dialogue, sans conflit ni résolution dans leurs histoires, sans ces profondeurs et ces bizarreries qui compliquent tout. Décrivez en détail les seins nus (jeunes, vieux, conservateurs, récemment violés, grands, petits), ou les parties génitales mutilées, ou sublimées. Ou n’importe quel genre de parties génitales. Et des cadavres. Ou, mieux, des cadavres nus. Et surtout les cadavres nus en décomposition. N’oubliez pas que tout travail que vous soumettez dans lequel les gens ont l’air sale et malheureux sera considéré comme la « véritable Afrique », et vous voulez qu’on inscrive cela sur la couverture de votre livre. Ne vous sentez pas mal à l’aise : vous essayez de les aider à obtenir l’aide de l’Occident. Quand on écrit sur l’Afrique, le plus grand tabou est de décrire ou de montrer des Blancs morts ou qui souffrent. Les animaux, en revanche, doivent être traités comme des personnages équilibrés et complexes. Ils parlent (ou grognent en agitant fièrement leur crinière) et ont des noms, des ambitions et des désirs. Ils ont aussi des valeurs familiales : voyez-vous comment les lions éduquent leurs enfants ? Les éléphants, bienveillants, sont de bons féministes ou des patriarches dignes. Les gorilles aussi. Ne jamais, jamais rien dire de négatif sur un éléphant ou un gorille. Les éléphants peuvent s’attaquer aux biens des habitants, détruire leurs récoltes et même les tuer. Soyez toujours du côté de l’éléphant. Les grands chats ont un accent huppé. On peut s’en prendre aux hyènes, lesquelles auront des accents vaguement moyen-orientaux. Tous les petits Africains qui vivent dans la jungle ou le désert devront être représentés avec bonne humeur (à moins qu’ils ne soient en conflit avec un éléphant, un chimpanzé ou un gorille, auquel cas ils sont le mal absolu). Hormis les militants célèbres et les travailleurs humanitaires, les écologistes sont les personnes les plus importantes en Afrique. Ne les offensez pas. Il faut qu’ils vous invitent dans leur ranch giboyeux de trois hectares ou leur parc naturel protégé, car c’est la seule façon que vous aurez d’interviewer le militant célèbre. Souvent, une couverture de livre où figure un défenseur de l’environnement à l’allure héroïque fait merveille sur les ventes. Tout Blanc hâlé et vêtu de kaki qui a déjà possédé une antilope domestique ou une ferme est un défenseur de l’environnement qui préserve le riche patrimoine africain. Lorsque vous l’interviewez, ne lui demandez pas de combien d’argent il dispose ; ne lui demandez pas combien d’argent il tire de son gibier. Ne lui demandez jamais combien il paie ses employés. Les lecteurs seront déconcertés si vous ne mentionnez pas la lumière en Afrique. Et les couchers de soleil, le coucher de soleil africain est un must. Il est toujours grand et rouge. Il y a toujours un grand ciel. Les vastes espaces vides et le gibier sont essentiels - l’Afrique est le pays des vastes espaces vides. Lorsque vous écrivez sur le destin de la faune et de la flore, mentionnez bien que l’Afrique est surpeuplée. Quand votre personnage principal vit dans un désert ou dans une jungle avec des peuples indigènes (quiconque est petit), il est normal de mentionner que le Sida et la Guerre (mettez des majuscules) ont sévèrement dépeuplé l’Afrique. Vous aurez également besoin d’une boîte de nuit appelée Tropicana, où traînent des mercenaires, des nouveaux riches africains, des prostituées, des guérilleros et des expats. Terminez toujours votre livre par une citation de Nelson Mandela qui parle d’arcs-en-ciel ou de renaissances. Parce que c’est important pour vous.
Senghor est l'archétype de celui qui est un intrus de son propre peuple, une menace pour sa propre langue et culture , un écrivain tellement investi dans sa lutte pour "l'afrique" , si révolutionnaire, si "universaliste" qu'il n est pas lu par les siens . Il cherche sans cesse à attirer l'attention de Paris , ses médias , sa population , son opinion et crache sans cesse sur son peuple soit disant incapable de comprandre un problème et d'y trouver une solution (Même si ce problème les concerne directement ) Si quelques chose est accepté et acclamé par Paris (et les capitales occidentales) mais refusé et rejetté par les peuples locaux (adultes responsables de leurs vies et de ceux qui les entoure et ne connaissant pas du tout le français ) ; le "Senghor" ne ce fira qu'aux capitales occidentales. Si ce qu'il fait connu, acclamé par par Paris, sa population et ses médias et mais pas lu du tout par ses semblable ça lui importe peu car seul Paris compte. Si il écrivait en une langue que Paris ne comprends pas, ce serait un vrai problème. Car Paris est la seul à être capable de comprendre et résoudre un problème , pas lEs pEUpLeS LocAUx. Ils (Senghor , ses complaires , ses successeurs , ses adeptes à travers le continent) sont tout le contraire d'une quelconque autonomie et liberté et se sont toujours débrouillé pour ne jamais s'éloigner de Paris que ce soit politiquement, économiquement, linguistiquement (pour la langue des institutions officielles et littérairement) . Ils ne vouvaient et ne veuvent pas que leurs peuples (et leurs pays) s'éloignent de Paris , ils ne veulent pas briser les liens qui les retiennent à Paris et ont maintenué une relation à caractère dominant/dominé avec Paris (politiquement , économiquement , linguistique et même militairement) et n'ont jamais aboli tous les droits (et privilèges) spécifiques de Paris et de sa langue sur les peuples colonisés. Ils ont maintenu la suzeraineté des peuples colonisés (de leurs cultures et langues) plutôt que leurs souveraineté vis à vis de Paris. Et tout ça continue , c'est une tradition qui dure depuis plus de 60 ans et que nous devons mettre fin. Tout ça montre la nécessité de retirer le français de nos institutions officielles , littérature , éducation et médias ; pour libérer nos peuples d'une quelconque obligation envers le français , qu'ils ne soit en une quelconque façon obliger de l'apprendre pour pouvoir devenir ce qu'ils veulent : que les enfants dans les écoles soient libre de rêver devenir médecin , écrivains , instituteurs sans connaître aucun mot de français (car ils ne sont oas muet et parlent une langue ayant son vocabulaire, sa grammaire, ses tonalités et son histoire). Que si un individu veut apprendre le français , ce soit en toute liberté et que ce ne soit en aucun cas un critère de réussite (il n'aura jamais besoin nulle part dans sa vie de tous les jours , ni dans l'éducation , l'administration , le travail ou une quelconque institution officielle ; ce sera just par divertissement qu'il l'apprendra , en gros ce sera une option et non une obligation (une option qu'il ne trouvera ni dans les médias , l'éducation , les institutions et qu'ils devra trouver par ses propres moyens de la même façon qu' il apprendrait l'espagnol, le Turque , l'italien,le portugais ,le croate ou l'allemand)).
En effet nul n'est prophète chez soi. J'ai été fort impressionée du mépris répendu dans son pays d'origine en la mémoire de cet homme. Une chose est certaine, s'il y avait eu à son époque plusieurs personnes qui meilleurs et capables alors ces personnes auraient pu être élues et pas LSS. J'ai de la nausée de voir un peuple africain à sa source, mépriser la mémoire d'un homme qui a son niveau et compréhension des engeux, qui étaient tout aussi culturels a donné, je le répète à son niveau, le meilleur de lui même. Mais si vous êtss mieux, alors je m'incline devant votre grandeur et faites donc, comme vous le dites si bien, ce que LSS n'a pas su faire à vos yeux. Cordialement
sympas comme projet ba dans ce cas,on va vous retirer toutes lles écoles,tout ce qu'on a battit chez vous,vous voulez nos structures et vous rejetez la france,c'est pour que ça que vous avancez pas,c'est le bordel dans vos tetes
Yaw key legn nara ladj loy wakh ni Kou gagnou sakh nga meuné ko respecter gnak nga tarr torop Té del wakh loula worr Senghor est un grand homme un intellectuel
@@welovebasketball2885 yaw bougnou yépeu dh certe il est décédé on doit le respecter mais senghor n'a rien fait pour le Sénégal sé celui qui nous a vendu en premier tous nos problèmes sé à cause de lui
@@bilalkhalyfall9938yow danga dof tu ne fais que répéter ce que tu a entendu avec Senghor le Sénégal et la côte d'ivoire était les plus propséres et un Eldorado même les agriculteurs leurs revenus était très développé une auto-suffisance alimentaire. Le Sénégal n'appartient pas aux étranger
Vos personnages africains peuvent être des guerriers nus, des serviteurs loyaux, des devins et des voyants, d’anciens sages vivant dans la splendeur d’un ermitage. Ou des politiciens corrompus, des guides polygames et incompétents, ou des prostituées avec qui vous avez couché. Le serviteur loyal se comporte toujours comme un enfant de sept ans et il a besoin d’une main ferme ; il a peur des serpents, il est bon avec les enfants et vous entraîne toujours dans ses psychodrames domestiques. L’Ancien Sage vient toujours d’une tribu noble (et non des tribus qui extorquent de l’argent comme les Gikuyu, les Igbo ou les Shona). Il a les yeux chassieux, il est proche de la Terre. L’homme africain moderne est gros, il travaille et chaparde au bureau des visas, et refuse de donner des permis de travail aux Occidentaux qualifiés qui se soucient vraiment de l’Afrique. C’est un ennemi du développement, toujours en train de tirer parti de son poste de fonctionnaire pour rendre difficile aux expatriés pragmatiques et de bonne volonté la création d’ONG ou de parcs naturels protégés. Ou bien c’est un intellectuel éduqué à Oxford qui est devenu politicien et tueur en série et qui porte un costume coupé sur mesure. C’est un cannibale qui aime le champagne Cristal, et sa mère est la riche sorcière qui, en réalité, dirige le pays. Parmi vos personnages, vous devez toujours inclure l’Africaine affamée, qui erre quasiment nue dans le camp de réfugiés en attendant la bienveillance de l’Occident. Ses enfants ont des mouches sur les paupières et le ventre gonflé, ses seins sont plats et vides. Il faut qu’elle ait l’air complètement sans défense. Elle ne peut avoir aucun passé, aucune histoire : de telles digressions ruinent la dramaturgie. Les gémissements, c’est bien. Elle ne doit jamais parler d’elle dans les dialogues, si ce n’est pour évoquer ses (indicibles) souffrances. Il faut également inclure une femme chaleureuse et maternelle qui a un énorme rire et qui se soucie de votre bien-être. Appelez-la Mama, tout simplement. Ses enfants sont tous des délinquants. Ces personnages devraient bourdonner autour de votre protagoniste comme des faire-valoir. Votre héros peut leur enseigner des choses, leur donner le bain, les nourrir ; il s’occupe de nombreux bébés et il a vu la Mort. Votre héros, c’est vous (s’il s’agit d’un reportage), ou une belle et tragique célébrité/aristocrate connue dans le monde entier qui s’intéresse à présent au sort des animaux (s’il s’agit de fiction). Les personnages négatifs d’Occidentaux peuvent être des enfants de ministres conservateurs, des Afrikaners, des employés de la Banque mondiale. Lorsqu’on évoque l’exploitation par des étrangers, il faut mentionner les commerçants chinois et indiens. Reprochez à l’Occident la situation de l’Afrique. Mais ne soyez pas trop précis. Les portraits brossés à gros coups de pinceau, c’est bien. Évitez de faire rire les personnages africains, ne les laissez pas se battre pour l’éducation de leurs enfants, ni tout simplement se débrouiller dans des circonstances banales. Faites en sorte qu’ils éclaircissent quelque chose sur l’Europe ou l’Amérique en Afrique. Les personnages africains doivent être colorés, exotiques, plus grands que nature - mais vides à l’intérieur, sans dialogue, sans conflit ni résolution dans leurs histoires, sans ces profondeurs et ces bizarreries qui compliquent tout. Décrivez en détail les seins nus (jeunes, vieux, conservateurs, récemment violés, grands, petits), ou les parties génitales mutilées, ou sublimées. Ou n’importe quel genre de parties génitales. Et des cadavres. Ou, mieux, des cadavres nus. Et surtout les cadavres nus en décomposition. N’oubliez pas que tout travail que vous soumettez dans lequel les gens ont l’air sale et malheureux sera considéré comme la « véritable Afrique », et vous voulez qu’on inscrive cela sur la couverture de votre livre. Ne vous sentez pas mal à l’aise : vous essayez de les aider à obtenir l’aide de l’Occident. Quand on écrit sur l’Afrique, le plus grand tabou est de décrire ou de montrer des Blancs morts ou qui souffrent. Les animaux, en revanche, doivent être traités comme des personnages équilibrés et complexes. Ils parlent (ou grognent en agitant fièrement leur crinière) et ont des noms, des ambitions et des désirs. Ils ont aussi des valeurs familiales : voyez-vous comment les lions éduquent leurs enfants ? Les éléphants, bienveillants, sont de bons féministes ou des patriarches dignes. Les gorilles aussi. Ne jamais, jamais rien dire de négatif sur un éléphant ou un gorille. Les éléphants peuvent s’attaquer aux biens des habitants, détruire leurs récoltes et même les tuer. Soyez toujours du côté de l’éléphant. Les grands chats ont un accent huppé. On peut s’en prendre aux hyènes, lesquelles auront des accents vaguement moyen-orientaux. Tous les petits Africains qui vivent dans la jungle ou le désert devront être représentés avec bonne humeur (à moins qu’ils ne soient en conflit avec un éléphant, un chimpanzé ou un gorille, auquel cas ils sont le mal absolu). Hormis les militants célèbres et les travailleurs humanitaires, les écologistes sont les personnes les plus importantes en Afrique. Ne les offensez pas. Il faut qu’ils vous invitent dans leur ranch giboyeux de trois hectares ou leur parc naturel protégé, car c’est la seule façon que vous aurez d’interviewer le militant célèbre. Souvent, une couverture de livre où figure un défenseur de l’environnement à l’allure héroïque fait merveille sur les ventes. Tout Blanc hâlé et vêtu de kaki qui a déjà possédé une antilope domestique ou une ferme est un défenseur de l’environnement qui préserve le riche patrimoine africain. Lorsque vous l’interviewez, ne lui demandez pas de combien d’argent il dispose ; ne lui demandez pas combien d’argent il tire de son gibier. Ne lui demandez jamais combien il paie ses employés. Les lecteurs seront déconcertés si vous ne mentionnez pas la lumière en Afrique. Et les couchers de soleil, le coucher de soleil africain est un must. Il est toujours grand et rouge. Il y a toujours un grand ciel. Les vastes espaces vides et le gibier sont essentiels - l’Afrique est le pays des vastes espaces vides. Lorsque vous écrivez sur le destin de la faune et de la flore, mentionnez bien que l’Afrique est surpeuplée. Quand votre personnage principal vit dans un désert ou dans une jungle avec des peuples indigènes (quiconque est petit), il est normal de mentionner que le Sida et la Guerre (mettez des majuscules) ont sévèrement dépeuplé l’Afrique. Vous aurez également besoin d’une boîte de nuit appelée Tropicana, où traînent des mercenaires, des nouveaux riches africains, des prostituées, des guérilleros et des expats. Terminez toujours votre livre par une citation de Nelson Mandela qui parle d’arcs-en-ciel ou de renaissances. Parce que c’est important pour vous.
Senghor est l'archétype de celui qui est un intrus de son propre peuple, une menace pour sa propre langue et culture , un écrivain tellement investi dans sa lutte pour "l'afrique" , si révolutionnaire, si "universaliste" qu'il n est pas lu par les siens . Il cherche sans cesse à attirer l'attention de Paris , ses médias , sa population , son opinion et crache sans cesse sur son peuple soit disant incapable de comprandre un problème et d'y trouver une solution (Même si ce problème les concerne directement ) Si quelques chose est accepté et acclamé par Paris (et les capitales occidentales) mais refusé et rejetté par les peuples locaux (adultes responsables de leurs vies et de ceux qui les entoure et ne connaissant pas du tout le français ) ; le "Senghor" ne ce fira qu'aux capitales occidentales. Si ce qu'il fait connu, acclamé par par Paris, sa population et ses médias et mais pas lu du tout par ses semblable ça lui importe peu car seul Paris compte. Si il écrivait en une langue que Paris ne comprends pas, ce serait un vrai problème. Car Paris est la seul à être capable de comprendre et résoudre un problème , pas lEs pEUpLeS LocAUx. Ils (Senghor , ses complaires , ses successeurs , ses adeptes à travers le continent) sont tout le contraire d'une quelconque autonomie et liberté et se sont toujours débrouillé pour ne jamais s'éloigner de Paris que ce soit politiquement, économiquement, linguistiquement (pour la langue des institutions officielles et littérairement) . Ils ne vouvaient et ne veuvent pas que leurs peuples (et leurs pays) s'éloignent de Paris , ils ne veulent pas briser les liens qui les retiennent à Paris et ont maintenué une relation à caractère dominant/dominé avec Paris (politiquement , économiquement , linguistique et même militairement) et n'ont jamais aboli tous les droits (et privilèges) spécifiques de Paris et de sa langue sur les peuples colonisés. Ils ont maintenu la suzeraineté des peuples colonisés (de leurs cultures et langues) plutôt que leurs souveraineté vis à vis de Paris. Et tout ça continue , c'est une tradition qui dure depuis plus de 60 ans et que nous devons mettre fin. Tout ça montre la nécessité de retirer le français de nos institutions officielles , littérature , éducation et médias ; pour libérer nos peuples d'une quelconque obligation envers le français , qu'ils ne soit en une quelconque façon obliger de l'apprendre pour pouvoir devenir ce qu'ils veulent : que les enfants dans les écoles soient libre de rêver devenir médecin , écrivains , instituteurs sans connaître aucun mot de français (car ils ne sont oas muet et parlent une langue ayant son vocabulaire, sa grammaire, ses tonalités et son histoire). Que si un individu veut apprendre le français , ce soit en toute liberté et que ce ne soit en aucun cas un critère de réussite (il n'aura jamais besoin nulle part dans sa vie de tous les jours , ni dans l'éducation , l'administration , le travail ou une quelconque institution officielle ; ce sera just par divertissement qu'il l'apprendra , en gros ce sera une option et non une obligation (une option qu'il ne trouvera ni dans les médias , l'éducation , les institutions et qu'ils devra trouver par ses propres moyens de la même façon qu' il apprendrait l'espagnol, le Turque , l'italien,le portugais ,le croate ou l'allemand)).
@@madmouse4400 Léopold Sédar Senghor est souvent présenté comme un intellectuel déconnecté de son peuple, mais cette vision ne rend pas justice à la complexité de son œuvre et de son engagement. Premièrement, il est important de reconnaître que Senghor a été un pionnier dans la redéfinition de l'identité africaine et dans la célébration des cultures noires. Son mouvement de la Négritude ne se limitait pas à une simple revendication culturelle ; il cherchait à établir un dialogue entre l'Afrique et le monde, à valoriser les traditions africaines tout en intégrant des influences extérieures. Sa volonté d'attirer l'attention de Paris était, en réalité, une stratégie pour mettre en lumière les enjeux de son continent sur la scène internationale, et non un rejet de son propre peuple. Senghor a toujours eu à cœur de promouvoir une éducation accessible, qui valorise les langues et cultures locales. Il croyait en la nécessité d'une synthèse entre modernité et traditions africaines. En ce sens, sa quête d'universalité ne signifie pas une soumission, mais plutôt une volonté d'élever la voix de l'Afrique tout en reconnaissant ses spécificités. Quant à l’idée que Senghor ne se soucie que de Paris, il faut rappeler que son engagement politique visait à construire un Sénégal indépendant et à affirmer la souveraineté de son peuple. Il a contribué à la fondation d'un État qui valorise ses traditions tout en se projetant dans le monde moderne. La langue française, bien qu'elle soit héritée de la colonisation, a été pour Senghor un outil de communication internationale, tout en encourageant la promotion des langues locales. De plus, il est réducteur de considérer que les peuples africains ne peuvent comprendre les problèmes qui les concernent. Senghor croyait en la capacité des Africains à s’auto-organiser et à trouver des solutions adaptées à leurs contextes. Son message était un appel à la responsabilité collective, non un dédain pour son peuple. Enfin, la question de la langue est complexe. Retirer le français des institutions pourrait sembler une solution, mais cela doit être envisagé avec soin. Senghor plaidait pour une coexistence des langues, permettant à chacun d'accéder à la richesse de ses racines tout en participant au dialogue mondial. En conclusion, Senghor, par son œuvre et son engagement, a jeté les bases d'une réflexion profonde sur l'identité africaine et la place de l'Afrique dans le monde. Le critiquer sans tenir compte de sa vision et de son héritage ne rend pas justice à son rôle de pionnier.
Senghor de partout et de nul part!! Senghor de Colette et de Juliette. Senghor le traitre de la nation senegalaise,senghor le blanc dans la peau noire,senghor le vallet de la France,Senghor un nom qui est synonyme de malheur et de tristesse pour ce beau pays qui est le Senegal.
@@welovebasketball2885 mdr senghor n'a rien fait pour le Sénégal arrêtes d'être l'avocat du diable walahi mm non parents et grands parents nous disent ça chak jour aujourd'hui si on est en retard sé à cause de senghor
@@BoringDad1272 mdr, j'ai plus de bon sens que toi , car moi je sais que senghor a trahi l'afrik ironi du sort mm 1 ambassadeur français n' etait pas à son enterrement , exple moi je sais que le fcfa ou eco de ouatara et macky est une arnaque de la france toi pas . donc tu est plus ignorant que moi.
@@BoringDad1272 senghor et houphouet les 2 pères de la francafrik + fcfa , Macky et ADO les 2 peres de l'eco=fcfa senegal et Cote d'ivoir peres de francafrik . Mdr
@@samsara450 c'est les nouveaux panafricain qui insultent Senghor mais en réalité quand seckou Touré massacré les peuhl fouta et que dans la sous région le tribalisme prenait son empleur Senghor bâtissait une nation unie fort,des liens à cousinage,la plaisenterie entre sérère et peuhls et diolas, c'est ça qui a fait du Sénégal un pays une famille unie
@@abdoukarimdiouf4473 😅😅mdr yén ay cinéma nguén mounane cousins à plaisanterie j sais koi lolou dafa développé lo réw on avait besoin d'une politique forte sé lui qui nous a vendu en premier à la France tay dji retard bignou am en grande partie sé à cause de lui mais bon
Comment écrire sur l'Afrique par Binyavanga Wainaina: Utilisez toujours le mot « Afrique » ou « Ténèbres » ou « Safari » dans votre titre. Les sous-titres peuvent inclure les mots « Zanzibar », « Massaï », « Zoulou », « Zambèze », « Congo », « Nil », « Vaste », « Ciel », « Ombre », « Tambour », « Soleil » ou « Révolu ». Sont également utiles des mots tels que « Guérillas », « Éternel », « Primordial » et « Tribal ». Notez bien que lorsqu’on dit « les gens », on parle des Africains qui ne sont pas noirs, tandis que « Le Peuple » signifie les Africains noirs. Ne choisissez jamais la photo d’un Africain équilibré et épanoui pour illustrer la couverture ou les pages de votre livre, à moins que cet Africain n’ait remporté le prix Nobel. Un AK-47, des côtes saillantes, des seins nus : choisissez plutôt ça. Si vous avez vraiment besoin d’un Africain, veillez à ce qu’il soit vêtu d’une robe Massaï, Zoulou ou Dogon. Dans votre texte, traitez l’Afrique comme s’il s’agissait d’un seul pays. Un pays chaud et poussiéreux avec des plaines vallonnées et d’immenses troupeaux d’animaux et des gens grands et minces qui meurent de faim. Ou bien un pays chaud et humide, où des gens tout petits mangent des primates. Ne vous enlisez pas dans des descriptions trop précises. L’Afrique est grande : cinquante-quatre pays, 900 millions de personnes qui sont trop occupées à avoir faim et à mourir et à se battre et à émigrer pour lire votre livre. Le continent regorge de déserts, de jungles, de hauts plateaux, de savanes et de bien d’autres choses, mais votre lecteur ne se soucie pas de tout cela, alors faites en sorte que vos descriptions soient romantiques, évocatrices et peu précises. Montrez bien que les Africains ont la musique et le rythme dans la peau, et qu’ils mangent des choses qu’aucun autre être humain ne mange. Ne mentionnez pas le riz, le bœuf et le blé ; en Afrique, le cerveau de singe est un mets de choix, de même que la chèvre, le serpent, les vers, les larves et toutes sortes de viandes de gibier. Montrez bien que vous êtes capable de manger ces aliments sans broncher, et décrivez comment vous apprenez à les apprécier - parce que c’est important pour vous. Sujets tabous : scènes domestiques ordinaires, amour entre Africains (sauf s’il est en lien avec la mort), références à des écrivains ou des intellectuels africains, mention d’enfants scolarisés qui ne souffrent pas d’infections cutanées, du virus Ebola ou de mutilations génitales féminines. Tout au long du livre, adoptez une voix feutrée et conspirez avec le lecteur sur le ton triste du je-m’y-attendais. Établissez très tôt une sensibilité de gauche, sans tache, et mentionnez dès le début combien vous aimez l’Afrique, comment vous en êtes tombé amoureux et pourquoi vous ne pouvez pas vivre sans elle. L’Afrique est le seul continent que vous pouvez aimer - tirez-en profit. Si vous êtes un homme, plongez-vous dans ses chaudes forêts vierges. Si vous êtes une femme, traitez l’Afrique comme un homme en veste de brousse qui s’éloigne dans le soleil couchant. L’Afrique est à plaindre, à vénérer ou à dominer. Quel que soit l’angle que vous choisirez, assurez-vous de donner l’impression que, sans votre intervention et votre livre important, l’Afrique est condamnée. Vos personnages africains peuvent être des guerriers nus, des serviteurs loyaux, des devins et des voyants, d’anciens sages vivant dans la splendeur d’un ermitage. Ou des politiciens corrompus, des guides polygames et incompétents, ou des prostituées avec qui vous avez couché. Le serviteur loyal se comporte toujours comme un enfant de sept ans et il a besoin d’une main ferme ; il a peur des serpents, il est bon avec les enfants et vous entraîne toujours dans ses psychodrames domestiques. L’Ancien Sage vient toujours d’une tribu noble (et non des tribus qui extorquent de l’argent comme les Gikuyu, les Igbo ou les Shona). Il a les yeux chassieux, il est proche de la Terre. L’homme africain moderne est gros, il travaille et chaparde au bureau des visas, et refuse de donner des permis de travail aux Occidentaux qualifiés qui se soucient vraiment de l’Afrique. C’est un ennemi du développement, toujours en train de tirer parti de son poste de fonctionnaire pour rendre difficile aux expatriés pragmatiques et de bonne volonté la création d’ONG ou de parcs naturels protégés. Ou bien c’est un intellectuel éduqué à Oxford qui est devenu politicien et tueur en série et qui porte un costume coupé sur mesure. C’est un cannibale qui aime le champagne Cristal, et sa mère est la riche sorcière qui, en réalité, dirige le pays.
Vos personnages africains peuvent être des guerriers nus, des serviteurs loyaux, des devins et des voyants, d’anciens sages vivant dans la splendeur d’un ermitage. Ou des politiciens corrompus, des guides polygames et incompétents, ou des prostituées avec qui vous avez couché. Le serviteur loyal se comporte toujours comme un enfant de sept ans et il a besoin d’une main ferme ; il a peur des serpents, il est bon avec les enfants et vous entraîne toujours dans ses psychodrames domestiques. L’Ancien Sage vient toujours d’une tribu noble (et non des tribus qui extorquent de l’argent comme les Gikuyu, les Igbo ou les Shona). Il a les yeux chassieux, il est proche de la Terre. L’homme africain moderne est gros, il travaille et chaparde au bureau des visas, et refuse de donner des permis de travail aux Occidentaux qualifiés qui se soucient vraiment de l’Afrique. C’est un ennemi du développement, toujours en train de tirer parti de son poste de fonctionnaire pour rendre difficile aux expatriés pragmatiques et de bonne volonté la création d’ONG ou de parcs naturels protégés. Ou bien c’est un intellectuel éduqué à Oxford qui est devenu politicien et tueur en série et qui porte un costume coupé sur mesure. C’est un cannibale qui aime le champagne Cristal, et sa mère est la riche sorcière qui, en réalité, dirige le pays. Parmi vos personnages, vous devez toujours inclure l’Africaine affamée, qui erre quasiment nue dans le camp de réfugiés en attendant la bienveillance de l’Occident. Ses enfants ont des mouches sur les paupières et le ventre gonflé, ses seins sont plats et vides. Il faut qu’elle ait l’air complètement sans défense. Elle ne peut avoir aucun passé, aucune histoire : de telles digressions ruinent la dramaturgie. Les gémissements, c’est bien. Elle ne doit jamais parler d’elle dans les dialogues, si ce n’est pour évoquer ses (indicibles) souffrances. Il faut également inclure une femme chaleureuse et maternelle qui a un énorme rire et qui se soucie de votre bien-être. Appelez-la Mama, tout simplement. Ses enfants sont tous des délinquants. Ces personnages devraient bourdonner autour de votre protagoniste comme des faire-valoir. Votre héros peut leur enseigner des choses, leur donner le bain, les nourrir ; il s’occupe de nombreux bébés et il a vu la Mort. Votre héros, c’est vous (s’il s’agit d’un reportage), ou une belle et tragique célébrité/aristocrate connue dans le monde entier qui s’intéresse à présent au sort des animaux (s’il s’agit de fiction). Les personnages négatifs d’Occidentaux peuvent être des enfants de ministres conservateurs, des Afrikaners, des employés de la Banque mondiale. Lorsqu’on évoque l’exploitation par des étrangers, il faut mentionner les commerçants chinois et indiens. Reprochez à l’Occident la situation de l’Afrique. Mais ne soyez pas trop précis. Les portraits brossés à gros coups de pinceau, c’est bien. Évitez de faire rire les personnages africains, ne les laissez pas se battre pour l’éducation de leurs enfants, ni tout simplement se débrouiller dans des circonstances banales. Faites en sorte qu’ils éclaircissent quelque chose sur l’Europe ou l’Amérique en Afrique. Les personnages africains doivent être colorés, exotiques, plus grands que nature - mais vides à l’intérieur, sans dialogue, sans conflit ni résolution dans leurs histoires, sans ces profondeurs et ces bizarreries qui compliquent tout. Décrivez en détail les seins nus (jeunes, vieux, conservateurs, récemment violés, grands, petits), ou les parties génitales mutilées, ou sublimées. Ou n’importe quel genre de parties génitales. Et des cadavres. Ou, mieux, des cadavres nus. Et surtout les cadavres nus en décomposition. N’oubliez pas que tout travail que vous soumettez dans lequel les gens ont l’air sale et malheureux sera considéré comme la « véritable Afrique », et vous voulez qu’on inscrive cela sur la couverture de votre livre. Ne vous sentez pas mal à l’aise : vous essayez de les aider à obtenir l’aide de l’Occident. Quand on écrit sur l’Afrique, le plus grand tabou est de décrire ou de montrer des Blancs morts ou qui souffrent. Les animaux, en revanche, doivent être traités comme des personnages équilibrés et complexes. Ils parlent (ou grognent en agitant fièrement leur crinière) et ont des noms, des ambitions et des désirs. Ils ont aussi des valeurs familiales : voyez-vous comment les lions éduquent leurs enfants ? Les éléphants, bienveillants, sont de bons féministes ou des patriarches dignes. Les gorilles aussi. Ne jamais, jamais rien dire de négatif sur un éléphant ou un gorille. Les éléphants peuvent s’attaquer aux biens des habitants, détruire leurs récoltes et même les tuer. Soyez toujours du côté de l’éléphant. Les grands chats ont un accent huppé. On peut s’en prendre aux hyènes, lesquelles auront des accents vaguement moyen-orientaux. Tous les petits Africains qui vivent dans la jungle ou le désert devront être représentés avec bonne humeur (à moins qu’ils ne soient en conflit avec un éléphant, un chimpanzé ou un gorille, auquel cas ils sont le mal absolu). Hormis les militants célèbres et les travailleurs humanitaires, les écologistes sont les personnes les plus importantes en Afrique. Ne les offensez pas. Il faut qu’ils vous invitent dans leur ranch giboyeux de trois hectares ou leur parc naturel protégé, car c’est la seule façon que vous aurez d’interviewer le militant célèbre. Souvent, une couverture de livre où figure un défenseur de l’environnement à l’allure héroïque fait merveille sur les ventes. Tout Blanc hâlé et vêtu de kaki qui a déjà possédé une antilope domestique ou une ferme est un défenseur de l’environnement qui préserve le riche patrimoine africain. Lorsque vous l’interviewez, ne lui demandez pas de combien d’argent il dispose ; ne lui demandez pas combien d’argent il tire de son gibier. Ne lui demandez jamais combien il paie ses employés. Les lecteurs seront déconcertés si vous ne mentionnez pas la lumière en Afrique. Et les couchers de soleil, le coucher de soleil africain est un must. Il est toujours grand et rouge. Il y a toujours un grand ciel. Les vastes espaces vides et le gibier sont essentiels - l’Afrique est le pays des vastes espaces vides. Lorsque vous écrivez sur le destin de la faune et de la flore, mentionnez bien que l’Afrique est surpeuplée. Quand votre personnage principal vit dans un désert ou dans une jungle avec des peuples indigènes (quiconque est petit), il est normal de mentionner que le Sida et la Guerre (mettez des majuscules) ont sévèrement dépeuplé l’Afrique. Vous aurez également besoin d’une boîte de nuit appelée Tropicana, où traînent des mercenaires, des nouveaux riches africains, des prostituées, des guérilleros et des expats. Terminez toujours votre livre par une citation de Nelson Mandela qui parle d’arcs-en-ciel ou de renaissances. Parce que c’est important pour vous.
un vaurien de rien du tout, il nous a trop mis en retard. Vraiment, on s'en fout vraiment de ses poésies qui ne sont ni nos traditins, ni nos cultures, nos anciens ont fait une erreur monumentale en choisissant ce gars au lieu de Cheikh Anta Diop. Ce qui me fait le plus mal, Il a enfermé Mamadou Dia sans vraie raison prétextant un coup d'état falacieux jusqu'à le rendre aveugle.
Je respecte les séreres mais pas le poète agrégé en français tous ce que vous savez dans la vie c'est les mots, donc votre statue en tant que un homme politique responsable doit être remettre en question mon pauvre président très complexé envers les blancs.
Faut donner des explications à ce que vous dites Sur quoi vous basez vous pour le traiter de traître après tout ce qu'il a fait pour le Sénégal ? Avant de parler il faut bien réfléchir et analyser chaque action qu'il a pu faire selon le contexte de son exécution
Il a bcp fait pour ce pays. Il a sauvé ce pays en préservant le stabilité et la paix mais également la fraternité. Il a dégagé des visions qui nous ont permis aujourd'hui de mettre en oeuvre facilement des projets d infrastructure
@@abdoulazizndiaye705 koula bayi ya deugueur fiteu yaneu projet lafi senghor wala lafi senghor déf senghor n'a rien fait pour le Sénégal dou projet dou nada ay projet ay infrastructures si abdoulaye wade leu commençé peut-être chui d'accord ay djam instabilité entre les ethnies et tou mais développement lolou mom doussi senghor
Merci Léopold sedar Senghor
Le meilleur de sa generation!! Repose en paix
j'aime ce monsieur il a une rhétorique très avérée
Tu ne représente rien pour nous quand tu as fait reculer notre pays tu faisais que faire des discours tu as trahi ton ami tu travailles pour l'intérêt du pays Mr Mamadou Dia
merci frere tu as compris
De bons arguments s'il vous plaît
Cq ne sert à rien de parler juste pour parler
Vrais ignorants
Que la terre soit légère sur lui
Frère t'as pas le droit de prier pour lui en ce qui concerne la vie post-mortem. Si je ne me trompe pas t'es musulman.
Malheureusement l'Afrique ne produit plus de tels hommes, cultivés, dignes, très class, ouverts, modernistes. Au lieu de çelà, nous avons des gradés ignares , qui n'ont jamais lu un livre et qui sortent de on ne sait d'où , volent le pouvoir , n'ont ont aucune légitimité et font reculer leurs pays des siècles en arrière à cause de leur ignorance de la politique et de l'économie de leur arrogance, de leur malhonnêteté et écrasent toute les voix discordantes. L'UA doit exclure de son sein, tout régime militaire qui renverse un pouvoir civil.
Quel homme politique et de lettres un vrai senghor qui s'exprime dans la langue française propre grammaire par grammaire vraiment ses anciens élèves de lycée Marcellin Berthelo avait un professeur merci Leopol senghor sedar s'il était encore vivant ?
Oui. Un grand poète africain. L'ami de la France et ennemi du grand patriote Mamadou DIA et l'opposant du scientifique Cheikh A DIOP (borom carbone 14).
Mamadou Dia n'a rien fait ni pour l'Afrique ni pour le Sénégal. Heureusement que Mamadou Dia n'a pas dirigé le pays on allait faire comme le mali ou la gunnée ton pays d'origine
@@Galsaint D'abord africain et sympatisant des patriotes pour l'équité le travail et la fraternité Plus sénégalais que moi tu meurs. Sénégalais de souche. Enfant de Galloya fulbe adepte de Thierno Souleymane BAAL.
Fermes la à jamais.
Son côté politique ne nous intéresse pas mais plutôt son côté littéraire Senghor le grand
Surtout et c la raison pour laquelle je fouille dans ses vidéos ,je cherche à me cultiver davantage
Son côté politique nous aurait été plus important que son côté littéraire.
Doit-on vous rappeler qu'il était des même époque cheikh anta Diop pour que vous comprenez être littéraire n´empêche pas être homme politique patriote pour son pays?
Légui son côté littéraire pouvait nous mener où ofete on n'en avait besoin on avait besoin d'une bonne politique pour se développer mai po de la poésie
مبروك فوز السنغاليين اليوم
Vrai domharam moy senghor ya takh senegal et en retard do touss
Linga wakh ni Si lann nga ko tegg
Diokh gnou ay arguments you leer gnou meuna kham
Mame méré naniou leu trop. Tt ce retard du sénégal et de l'Afrique est du en grande partie à cause de vous. Mais nak repose en paix.
Plutôt à cause de vous et non grâce à vous
@@sashakia389 merci pour la leçon
Rectification faite
@@diaoabdou6888 il n'y a pas plus savant que celui qui admet ses erreurs respect à vous
Comment écrire sur l'Afrique par Binyavanga Wainaina:
Utilisez toujours le mot « Afrique » ou « Ténèbres » ou « Safari » dans votre titre. Les sous-titres peuvent inclure les mots « Zanzibar », « Massaï », « Zoulou », « Zambèze », « Congo », « Nil », « Vaste », « Ciel », « Ombre », « Tambour », « Soleil » ou « Révolu ». Sont également utiles des mots tels que « Guérillas », « Éternel », « Primordial » et « Tribal ». Notez bien que lorsqu’on dit « les gens », on parle des Africains qui ne sont pas noirs, tandis que « Le Peuple » signifie les Africains noirs.
Ne choisissez jamais la photo d’un Africain équilibré et épanoui pour illustrer la couverture ou les pages de votre livre, à moins que cet Africain n’ait remporté le prix Nobel. Un AK-47, des côtes saillantes, des seins nus : choisissez plutôt ça. Si vous avez vraiment besoin d’un Africain, veillez à ce qu’il soit vêtu d’une robe Massaï, Zoulou ou Dogon.
Dans votre texte, traitez l’Afrique comme s’il s’agissait d’un seul pays. Un pays chaud et poussiéreux avec des plaines vallonnées et d’immenses troupeaux d’animaux et des gens grands et minces qui meurent de faim. Ou bien un pays chaud et humide, où des gens tout petits mangent des primates. Ne vous enlisez pas dans des descriptions trop précises. L’Afrique est grande : cinquante-quatre pays, 900 millions de personnes qui sont trop occupées à avoir faim et à mourir et à se battre et à émigrer pour lire votre livre. Le continent regorge de déserts, de jungles, de hauts plateaux, de savanes et de bien d’autres choses, mais votre lecteur ne se soucie pas de tout cela, alors faites en sorte que vos descriptions soient romantiques, évocatrices et peu précises.
Montrez bien que les Africains ont la musique et le rythme dans la peau, et qu’ils mangent des choses qu’aucun autre être humain ne mange. Ne mentionnez pas le riz, le bœuf et le blé ; en Afrique, le cerveau de singe est un mets de choix, de même que la chèvre, le serpent, les vers, les larves et toutes sortes de viandes de gibier. Montrez bien que vous êtes capable de manger ces aliments sans broncher, et décrivez comment vous apprenez à les apprécier - parce que c’est important pour vous.
Sujets tabous : scènes domestiques ordinaires, amour entre Africains (sauf s’il est en lien avec la mort), références à des écrivains ou des intellectuels africains, mention d’enfants scolarisés qui ne souffrent pas d’infections cutanées, du virus Ebola ou de mutilations génitales féminines.
Tout au long du livre, adoptez une voix feutrée et conspirez avec le lecteur sur le ton triste du je-m’y-attendais. Établissez très tôt une sensibilité de gauche, sans tache, et mentionnez dès le début combien vous aimez l’Afrique, comment vous en êtes tombé amoureux et pourquoi vous ne pouvez pas vivre sans elle. L’Afrique est le seul continent que vous pouvez aimer - tirez-en profit. Si vous êtes un homme, plongez-vous dans ses chaudes forêts vierges. Si vous êtes une femme, traitez l’Afrique comme un homme en veste de brousse qui s’éloigne dans le soleil couchant. L’Afrique est à plaindre, à vénérer ou à dominer. Quel que soit l’angle que vous choisirez, assurez-vous de donner l’impression que, sans votre intervention et votre livre important, l’Afrique est condamnée.
Vos personnages africains peuvent être des guerriers nus, des serviteurs loyaux, des devins et des voyants, d’anciens sages vivant dans la splendeur d’un ermitage. Ou des politiciens corrompus, des guides polygames et incompétents, ou des prostituées avec qui vous avez couché. Le serviteur loyal se comporte toujours comme un enfant de sept ans et il a besoin d’une main ferme ; il a peur des serpents, il est bon avec les enfants et vous entraîne toujours dans ses psychodrames domestiques. L’Ancien Sage vient toujours d’une tribu noble (et non des tribus qui extorquent de l’argent comme les Gikuyu, les Igbo ou les Shona). Il a les yeux chassieux, il est proche de la Terre. L’homme africain moderne est gros, il travaille et chaparde au bureau des visas, et refuse de donner des permis de travail aux Occidentaux qualifiés qui se soucient vraiment de l’Afrique. C’est un ennemi du développement, toujours en train de tirer parti de son poste de fonctionnaire pour rendre difficile aux expatriés pragmatiques et de bonne volonté la création d’ONG ou de parcs naturels protégés. Ou bien c’est un intellectuel éduqué à Oxford qui est devenu politicien et tueur en série et qui porte un costume coupé sur mesure. C’est un cannibale qui aime le champagne Cristal, et sa mère est la riche sorcière qui, en réalité, dirige le pays.
Vos personnages africains peuvent être des guerriers nus, des serviteurs loyaux, des devins et des voyants, d’anciens sages vivant dans la splendeur d’un ermitage. Ou des politiciens corrompus, des guides polygames et incompétents, ou des prostituées avec qui vous avez couché. Le serviteur loyal se comporte toujours comme un enfant de sept ans et il a besoin d’une main ferme ; il a peur des serpents, il est bon avec les enfants et vous entraîne toujours dans ses psychodrames domestiques. L’Ancien Sage vient toujours d’une tribu noble (et non des tribus qui extorquent de l’argent comme les Gikuyu, les Igbo ou les Shona). Il a les yeux chassieux, il est proche de la Terre. L’homme africain moderne est gros, il travaille et chaparde au bureau des visas, et refuse de donner des permis de travail aux Occidentaux qualifiés qui se soucient vraiment de l’Afrique. C’est un ennemi du développement, toujours en train de tirer parti de son poste de fonctionnaire pour rendre difficile aux expatriés pragmatiques et de bonne volonté la création d’ONG ou de parcs naturels protégés. Ou bien c’est un intellectuel éduqué à Oxford qui est devenu politicien et tueur en série et qui porte un costume coupé sur mesure. C’est un cannibale qui aime le champagne Cristal, et sa mère est la riche sorcière qui, en réalité, dirige le pays.
Parmi vos personnages, vous devez toujours inclure l’Africaine affamée, qui erre quasiment nue dans le camp de réfugiés en attendant la bienveillance de l’Occident. Ses enfants ont des mouches sur les paupières et le ventre gonflé, ses seins sont plats et vides. Il faut qu’elle ait l’air complètement sans défense. Elle ne peut avoir aucun passé, aucune histoire : de telles digressions ruinent la dramaturgie. Les gémissements, c’est bien. Elle ne doit jamais parler d’elle dans les dialogues, si ce n’est pour évoquer ses (indicibles) souffrances. Il faut également inclure une femme chaleureuse et maternelle qui a un énorme rire et qui se soucie de votre bien-être. Appelez-la Mama, tout simplement. Ses enfants sont tous des délinquants. Ces personnages devraient bourdonner autour de votre protagoniste comme des faire-valoir. Votre héros peut leur enseigner des choses, leur donner le bain, les nourrir ; il s’occupe de nombreux bébés et il a vu la Mort. Votre héros, c’est vous (s’il s’agit d’un reportage), ou une belle et tragique célébrité/aristocrate connue dans le monde entier qui s’intéresse à présent au sort des animaux (s’il s’agit de fiction).
Les personnages négatifs d’Occidentaux peuvent être des enfants de ministres conservateurs, des Afrikaners, des employés de la Banque mondiale. Lorsqu’on évoque l’exploitation par des étrangers, il faut mentionner les commerçants chinois et indiens. Reprochez à l’Occident la situation de l’Afrique. Mais ne soyez pas trop précis.
Les portraits brossés à gros coups de pinceau, c’est bien. Évitez de faire rire les personnages africains, ne les laissez pas se battre pour l’éducation de leurs enfants, ni tout simplement se débrouiller dans des circonstances banales. Faites en sorte qu’ils éclaircissent quelque chose sur l’Europe ou l’Amérique en Afrique. Les personnages africains doivent être colorés, exotiques, plus grands que nature - mais vides à l’intérieur, sans dialogue, sans conflit ni résolution dans leurs histoires, sans ces profondeurs et ces bizarreries qui compliquent tout.
Décrivez en détail les seins nus (jeunes, vieux, conservateurs, récemment violés, grands, petits), ou les parties génitales mutilées, ou sublimées. Ou n’importe quel genre de parties génitales. Et des cadavres. Ou, mieux, des cadavres nus. Et surtout les cadavres nus en décomposition. N’oubliez pas que tout travail que vous soumettez dans lequel les gens ont l’air sale et malheureux sera considéré comme la « véritable Afrique », et vous voulez qu’on inscrive cela sur la couverture de votre livre. Ne vous sentez pas mal à l’aise : vous essayez de les aider à obtenir l’aide de l’Occident. Quand on écrit sur l’Afrique, le plus grand tabou est de décrire ou de montrer des Blancs morts ou qui souffrent.
Les animaux, en revanche, doivent être traités comme des personnages équilibrés et complexes. Ils parlent (ou grognent en agitant fièrement leur crinière) et ont des noms, des ambitions et des désirs. Ils ont aussi des valeurs familiales : voyez-vous comment les lions éduquent leurs enfants ? Les éléphants, bienveillants, sont de bons féministes ou des patriarches dignes. Les gorilles aussi. Ne jamais, jamais rien dire de négatif sur un éléphant ou un gorille. Les éléphants peuvent s’attaquer aux biens des habitants, détruire leurs récoltes et même les tuer. Soyez toujours du côté de l’éléphant. Les grands chats ont un accent huppé. On peut s’en prendre aux hyènes, lesquelles auront des accents vaguement moyen-orientaux. Tous les petits Africains qui vivent dans la jungle ou le désert devront être représentés avec bonne humeur (à moins qu’ils ne soient en conflit avec un éléphant, un chimpanzé ou un gorille, auquel cas ils sont le mal absolu).
Hormis les militants célèbres et les travailleurs humanitaires, les écologistes sont les personnes les plus importantes en Afrique. Ne les offensez pas. Il faut qu’ils vous invitent dans leur ranch giboyeux de trois hectares ou leur parc naturel protégé, car c’est la seule façon que vous aurez d’interviewer le militant célèbre. Souvent, une couverture de livre où figure un défenseur de l’environnement à l’allure héroïque fait merveille sur les ventes. Tout Blanc hâlé et vêtu de kaki qui a déjà possédé une antilope domestique ou une ferme est un défenseur de l’environnement qui préserve le riche patrimoine africain. Lorsque vous l’interviewez, ne lui demandez pas de combien d’argent il dispose ; ne lui demandez pas combien d’argent il tire de son gibier. Ne lui demandez jamais combien il paie ses employés.
Les lecteurs seront déconcertés si vous ne mentionnez pas la lumière en Afrique. Et les couchers de soleil, le coucher de soleil africain est un must. Il est toujours grand et rouge. Il y a toujours un grand ciel. Les vastes espaces vides et le gibier sont essentiels - l’Afrique est le pays des vastes espaces vides. Lorsque vous écrivez sur le destin de la faune et de la flore, mentionnez bien que l’Afrique est surpeuplée. Quand votre personnage principal vit dans un désert ou dans une jungle avec des peuples indigènes (quiconque est petit), il est normal de mentionner que le Sida et la Guerre (mettez des majuscules) ont sévèrement dépeuplé l’Afrique.
Vous aurez également besoin d’une boîte de nuit appelée Tropicana, où traînent des mercenaires, des nouveaux riches africains, des prostituées, des guérilleros et des expats.
Terminez toujours votre livre par une citation de Nelson Mandela qui parle d’arcs-en-ciel ou de renaissances. Parce que c’est important pour vous.
Toma esto te va venir muy bien
Voilà l'homme qui a bcp retardé le Sénégal
Senghor est l'archétype de celui qui est un intrus de son propre peuple, une menace pour sa propre langue et culture , un écrivain tellement investi dans sa lutte pour "l'afrique" , si révolutionnaire, si "universaliste" qu'il n est pas lu par les siens . Il cherche sans cesse à attirer l'attention de Paris , ses médias , sa population , son opinion et crache sans cesse sur son peuple soit disant incapable de comprandre un problème et d'y trouver une solution (Même si ce problème les concerne directement )
Si quelques chose est accepté et acclamé par Paris (et les capitales occidentales) mais refusé et rejetté par les peuples locaux (adultes responsables de leurs vies et de ceux qui les entoure et ne connaissant pas du tout le français ) ; le "Senghor" ne ce fira qu'aux capitales occidentales.
Si ce qu'il fait connu, acclamé par par Paris, sa population et ses médias et mais pas lu du tout par ses semblable ça lui importe peu car seul Paris compte. Si il écrivait en une langue que Paris ne comprends pas, ce serait un vrai problème. Car Paris est la seul à être capable de comprendre et résoudre un problème , pas lEs pEUpLeS LocAUx.
Ils (Senghor , ses complaires , ses successeurs , ses adeptes à travers le continent) sont tout le contraire d'une quelconque autonomie et liberté et se sont toujours débrouillé pour ne jamais s'éloigner de Paris que ce soit politiquement, économiquement, linguistiquement (pour la langue des institutions officielles et littérairement) .
Ils ne vouvaient et ne veuvent pas que leurs peuples (et leurs pays) s'éloignent de Paris , ils ne veulent pas briser les liens qui les retiennent à Paris et ont maintenué une relation à caractère dominant/dominé avec Paris (politiquement , économiquement , linguistique et même militairement) et n'ont jamais aboli tous les droits (et privilèges) spécifiques de Paris et de sa langue sur les peuples colonisés.
Ils ont maintenu la suzeraineté des peuples colonisés (de leurs cultures et langues) plutôt que leurs souveraineté vis à vis de Paris.
Et tout ça continue , c'est une tradition qui dure depuis plus de 60 ans et que nous devons mettre fin.
Tout ça montre la nécessité de retirer le français de nos institutions officielles , littérature , éducation et médias ; pour libérer nos peuples d'une quelconque obligation envers le français , qu'ils ne soit en une quelconque façon obliger de l'apprendre pour pouvoir devenir ce qu'ils veulent : que les enfants dans les écoles soient libre de rêver devenir médecin , écrivains , instituteurs sans connaître aucun mot de français (car ils ne sont oas muet et parlent une langue ayant son vocabulaire, sa grammaire, ses tonalités et son histoire).
Que si un individu veut apprendre le français , ce soit en toute liberté et que ce ne soit en aucun cas un critère de réussite (il n'aura jamais besoin nulle part dans sa vie de tous les jours , ni dans l'éducation , l'administration , le travail ou une quelconque institution officielle ; ce sera just par divertissement qu'il l'apprendra , en gros ce sera une option et non une obligation (une option qu'il ne trouvera ni dans les médias , l'éducation , les institutions et qu'ils devra trouver par ses propres moyens de la même façon qu' il apprendrait l'espagnol, le Turque , l'italien,le portugais ,le croate ou l'allemand)).
En effet nul n'est prophète chez soi. J'ai été fort impressionée du mépris répendu dans son pays d'origine en la mémoire de cet homme. Une chose est certaine, s'il y avait eu à son époque plusieurs personnes qui meilleurs et capables alors ces personnes auraient pu être élues et pas LSS. J'ai de la nausée de voir un peuple africain à sa source, mépriser la mémoire d'un homme qui a son niveau et compréhension des engeux, qui étaient tout aussi culturels a donné, je le répète à son niveau, le meilleur de lui même. Mais si vous êtss mieux, alors je m'incline devant votre grandeur et faites donc, comme vous le dites si bien, ce que LSS n'a pas su faire à vos yeux.
Cordialement
sympas comme projet ba dans ce cas,on va vous retirer toutes lles écoles,tout ce qu'on a battit chez vous,vous voulez nos structures et vous rejetez la france,c'est pour que ça que vous avancez pas,c'est le bordel dans vos tetes
احتاج مصادر عن ليوبولد سنغور
@@chloeeshalom9580 Ceux qui le critiquent sont mus d'un complexe d'inferiorite!
@@starofsion8368 Tu rigoles! Apprends le Francais. Suis d'accord sur le point que ceux qui critiquent Senghor sont des imbeciles.
Un grand homme un homme de dieu hymne national du Sénégal parle de homme en général écoute vs coeur
Vrai domeram = senghor ! Il n’a rien foutu apart cendre le pays aux français . Tu racontes quoi toi ?
Yaw key legn nara ladj loy wakh ni
Kou gagnou sakh nga meuné ko respecter gnak nga tarr torop
Té del wakh loula worr Senghor est un grand homme un intellectuel
@@welovebasketball2885 yaw bougnou yépeu dh certe il est décédé on doit le respecter mais senghor n'a rien fait pour le Sénégal sé celui qui nous a vendu en premier tous nos problèmes sé à cause de lui
@@bilalkhalyfall9938yow danga dof tu ne fais que répéter ce que tu a entendu avec Senghor le Sénégal et la côte d'ivoire était les plus propséres et un Eldorado même les agriculteurs leurs revenus était très développé une auto-suffisance alimentaire. Le Sénégal n'appartient pas aux étranger
Sengor estenell
Ciudad de Ela Ndo Alogo
Il etait en avant sur son temps!!
Il était en avance sur rien du tout mdr
Vos personnages africains peuvent être des guerriers nus, des serviteurs loyaux, des devins et des voyants, d’anciens sages vivant dans la splendeur d’un ermitage. Ou des politiciens corrompus, des guides polygames et incompétents, ou des prostituées avec qui vous avez couché. Le serviteur loyal se comporte toujours comme un enfant de sept ans et il a besoin d’une main ferme ; il a peur des serpents, il est bon avec les enfants et vous entraîne toujours dans ses psychodrames domestiques. L’Ancien Sage vient toujours d’une tribu noble (et non des tribus qui extorquent de l’argent comme les Gikuyu, les Igbo ou les Shona). Il a les yeux chassieux, il est proche de la Terre. L’homme africain moderne est gros, il travaille et chaparde au bureau des visas, et refuse de donner des permis de travail aux Occidentaux qualifiés qui se soucient vraiment de l’Afrique. C’est un ennemi du développement, toujours en train de tirer parti de son poste de fonctionnaire pour rendre difficile aux expatriés pragmatiques et de bonne volonté la création d’ONG ou de parcs naturels protégés. Ou bien c’est un intellectuel éduqué à Oxford qui est devenu politicien et tueur en série et qui porte un costume coupé sur mesure. C’est un cannibale qui aime le champagne Cristal, et sa mère est la riche sorcière qui, en réalité, dirige le pays.
Parmi vos personnages, vous devez toujours inclure l’Africaine affamée, qui erre quasiment nue dans le camp de réfugiés en attendant la bienveillance de l’Occident. Ses enfants ont des mouches sur les paupières et le ventre gonflé, ses seins sont plats et vides. Il faut qu’elle ait l’air complètement sans défense. Elle ne peut avoir aucun passé, aucune histoire : de telles digressions ruinent la dramaturgie. Les gémissements, c’est bien. Elle ne doit jamais parler d’elle dans les dialogues, si ce n’est pour évoquer ses (indicibles) souffrances. Il faut également inclure une femme chaleureuse et maternelle qui a un énorme rire et qui se soucie de votre bien-être. Appelez-la Mama, tout simplement. Ses enfants sont tous des délinquants. Ces personnages devraient bourdonner autour de votre protagoniste comme des faire-valoir. Votre héros peut leur enseigner des choses, leur donner le bain, les nourrir ; il s’occupe de nombreux bébés et il a vu la Mort. Votre héros, c’est vous (s’il s’agit d’un reportage), ou une belle et tragique célébrité/aristocrate connue dans le monde entier qui s’intéresse à présent au sort des animaux (s’il s’agit de fiction).
Les personnages négatifs d’Occidentaux peuvent être des enfants de ministres conservateurs, des Afrikaners, des employés de la Banque mondiale. Lorsqu’on évoque l’exploitation par des étrangers, il faut mentionner les commerçants chinois et indiens. Reprochez à l’Occident la situation de l’Afrique. Mais ne soyez pas trop précis.
Les portraits brossés à gros coups de pinceau, c’est bien. Évitez de faire rire les personnages africains, ne les laissez pas se battre pour l’éducation de leurs enfants, ni tout simplement se débrouiller dans des circonstances banales. Faites en sorte qu’ils éclaircissent quelque chose sur l’Europe ou l’Amérique en Afrique. Les personnages africains doivent être colorés, exotiques, plus grands que nature - mais vides à l’intérieur, sans dialogue, sans conflit ni résolution dans leurs histoires, sans ces profondeurs et ces bizarreries qui compliquent tout.
Décrivez en détail les seins nus (jeunes, vieux, conservateurs, récemment violés, grands, petits), ou les parties génitales mutilées, ou sublimées. Ou n’importe quel genre de parties génitales. Et des cadavres. Ou, mieux, des cadavres nus. Et surtout les cadavres nus en décomposition. N’oubliez pas que tout travail que vous soumettez dans lequel les gens ont l’air sale et malheureux sera considéré comme la « véritable Afrique », et vous voulez qu’on inscrive cela sur la couverture de votre livre. Ne vous sentez pas mal à l’aise : vous essayez de les aider à obtenir l’aide de l’Occident. Quand on écrit sur l’Afrique, le plus grand tabou est de décrire ou de montrer des Blancs morts ou qui souffrent.
Les animaux, en revanche, doivent être traités comme des personnages équilibrés et complexes. Ils parlent (ou grognent en agitant fièrement leur crinière) et ont des noms, des ambitions et des désirs. Ils ont aussi des valeurs familiales : voyez-vous comment les lions éduquent leurs enfants ? Les éléphants, bienveillants, sont de bons féministes ou des patriarches dignes. Les gorilles aussi. Ne jamais, jamais rien dire de négatif sur un éléphant ou un gorille. Les éléphants peuvent s’attaquer aux biens des habitants, détruire leurs récoltes et même les tuer. Soyez toujours du côté de l’éléphant. Les grands chats ont un accent huppé. On peut s’en prendre aux hyènes, lesquelles auront des accents vaguement moyen-orientaux. Tous les petits Africains qui vivent dans la jungle ou le désert devront être représentés avec bonne humeur (à moins qu’ils ne soient en conflit avec un éléphant, un chimpanzé ou un gorille, auquel cas ils sont le mal absolu).
Hormis les militants célèbres et les travailleurs humanitaires, les écologistes sont les personnes les plus importantes en Afrique. Ne les offensez pas. Il faut qu’ils vous invitent dans leur ranch giboyeux de trois hectares ou leur parc naturel protégé, car c’est la seule façon que vous aurez d’interviewer le militant célèbre. Souvent, une couverture de livre où figure un défenseur de l’environnement à l’allure héroïque fait merveille sur les ventes. Tout Blanc hâlé et vêtu de kaki qui a déjà possédé une antilope domestique ou une ferme est un défenseur de l’environnement qui préserve le riche patrimoine africain. Lorsque vous l’interviewez, ne lui demandez pas de combien d’argent il dispose ; ne lui demandez pas combien d’argent il tire de son gibier. Ne lui demandez jamais combien il paie ses employés.
Les lecteurs seront déconcertés si vous ne mentionnez pas la lumière en Afrique. Et les couchers de soleil, le coucher de soleil africain est un must. Il est toujours grand et rouge. Il y a toujours un grand ciel. Les vastes espaces vides et le gibier sont essentiels - l’Afrique est le pays des vastes espaces vides. Lorsque vous écrivez sur le destin de la faune et de la flore, mentionnez bien que l’Afrique est surpeuplée. Quand votre personnage principal vit dans un désert ou dans une jungle avec des peuples indigènes (quiconque est petit), il est normal de mentionner que le Sida et la Guerre (mettez des majuscules) ont sévèrement dépeuplé l’Afrique.
Vous aurez également besoin d’une boîte de nuit appelée Tropicana, où traînent des mercenaires, des nouveaux riches africains, des prostituées, des guérilleros et des expats.
Terminez toujours votre livre par une citation de Nelson Mandela qui parle d’arcs-en-ciel ou de renaissances. Parce que c’est important pour vous.
Senghor est l'archétype de celui qui est un intrus de son propre peuple, une menace pour sa propre langue et culture , un écrivain tellement investi dans sa lutte pour "l'afrique" , si révolutionnaire, si "universaliste" qu'il n est pas lu par les siens . Il cherche sans cesse à attirer l'attention de Paris , ses médias , sa population , son opinion et crache sans cesse sur son peuple soit disant incapable de comprandre un problème et d'y trouver une solution (Même si ce problème les concerne directement )
Si quelques chose est accepté et acclamé par Paris (et les capitales occidentales) mais refusé et rejetté par les peuples locaux (adultes responsables de leurs vies et de ceux qui les entoure et ne connaissant pas du tout le français ) ; le "Senghor" ne ce fira qu'aux capitales occidentales.
Si ce qu'il fait connu, acclamé par par Paris, sa population et ses médias et mais pas lu du tout par ses semblable ça lui importe peu car seul Paris compte. Si il écrivait en une langue que Paris ne comprends pas, ce serait un vrai problème. Car Paris est la seul à être capable de comprendre et résoudre un problème , pas lEs pEUpLeS LocAUx.
Ils (Senghor , ses complaires , ses successeurs , ses adeptes à travers le continent) sont tout le contraire d'une quelconque autonomie et liberté et se sont toujours débrouillé pour ne jamais s'éloigner de Paris que ce soit politiquement, économiquement, linguistiquement (pour la langue des institutions officielles et littérairement) .
Ils ne vouvaient et ne veuvent pas que leurs peuples (et leurs pays) s'éloignent de Paris , ils ne veulent pas briser les liens qui les retiennent à Paris et ont maintenué une relation à caractère dominant/dominé avec Paris (politiquement , économiquement , linguistique et même militairement) et n'ont jamais aboli tous les droits (et privilèges) spécifiques de Paris et de sa langue sur les peuples colonisés.
Ils ont maintenu la suzeraineté des peuples colonisés (de leurs cultures et langues) plutôt que leurs souveraineté vis à vis de Paris.
Et tout ça continue , c'est une tradition qui dure depuis plus de 60 ans et que nous devons mettre fin.
Tout ça montre la nécessité de retirer le français de nos institutions officielles , littérature , éducation et médias ; pour libérer nos peuples d'une quelconque obligation envers le français , qu'ils ne soit en une quelconque façon obliger de l'apprendre pour pouvoir devenir ce qu'ils veulent : que les enfants dans les écoles soient libre de rêver devenir médecin , écrivains , instituteurs sans connaître aucun mot de français (car ils ne sont oas muet et parlent une langue ayant son vocabulaire, sa grammaire, ses tonalités et son histoire).
Que si un individu veut apprendre le français , ce soit en toute liberté et que ce ne soit en aucun cas un critère de réussite (il n'aura jamais besoin nulle part dans sa vie de tous les jours , ni dans l'éducation , l'administration , le travail ou une quelconque institution officielle ; ce sera just par divertissement qu'il l'apprendra , en gros ce sera une option et non une obligation (une option qu'il ne trouvera ni dans les médias , l'éducation , les institutions et qu'ils devra trouver par ses propres moyens de la même façon qu' il apprendrait l'espagnol, le Turque , l'italien,le portugais ,le croate ou l'allemand)).
@@madmouse4400 Léopold Sédar Senghor est souvent présenté comme un intellectuel déconnecté de son peuple, mais cette vision ne rend pas justice à la complexité de son œuvre et de son engagement.
Premièrement, il est important de reconnaître que Senghor a été un pionnier dans la redéfinition de l'identité africaine et dans la célébration des cultures noires. Son mouvement de la Négritude ne se limitait pas à une simple revendication culturelle ; il cherchait à établir un dialogue entre l'Afrique et le monde, à valoriser les traditions africaines tout en intégrant des influences extérieures. Sa volonté d'attirer l'attention de Paris était, en réalité, une stratégie pour mettre en lumière les enjeux de son continent sur la scène internationale, et non un rejet de son propre peuple.
Senghor a toujours eu à cœur de promouvoir une éducation accessible, qui valorise les langues et cultures locales. Il croyait en la nécessité d'une synthèse entre modernité et traditions africaines. En ce sens, sa quête d'universalité ne signifie pas une soumission, mais plutôt une volonté d'élever la voix de l'Afrique tout en reconnaissant ses spécificités.
Quant à l’idée que Senghor ne se soucie que de Paris, il faut rappeler que son engagement politique visait à construire un Sénégal indépendant et à affirmer la souveraineté de son peuple. Il a contribué à la fondation d'un État qui valorise ses traditions tout en se projetant dans le monde moderne. La langue française, bien qu'elle soit héritée de la colonisation, a été pour Senghor un outil de communication internationale, tout en encourageant la promotion des langues locales.
De plus, il est réducteur de considérer que les peuples africains ne peuvent comprendre les problèmes qui les concernent. Senghor croyait en la capacité des Africains à s’auto-organiser et à trouver des solutions adaptées à leurs contextes. Son message était un appel à la responsabilité collective, non un dédain pour son peuple.
Enfin, la question de la langue est complexe. Retirer le français des institutions pourrait sembler une solution, mais cela doit être envisagé avec soin. Senghor plaidait pour une coexistence des langues, permettant à chacun d'accéder à la richesse de ses racines tout en participant au dialogue mondial.
En conclusion, Senghor, par son œuvre et son engagement, a jeté les bases d'une réflexion profonde sur l'identité africaine et la place de l'Afrique dans le monde. Le critiquer sans tenir compte de sa vision et de son héritage ne rend pas justice à son rôle de pionnier.
Senghor de partout et de nul part!!
Senghor de Colette et de Juliette.
Senghor le traitre de la nation senegalaise,senghor le blanc dans la peau noire,senghor le vallet de la France,Senghor un nom qui est synonyme de malheur et de tristesse pour ce beau pays qui est le Senegal.
Qui a été le moteur de notre indépendance
Soyez sûrs de ce que vous avancez. Senghor est un grand homme
Add senghor qui donne notre territoire à la Mauritanie
@@tapha519 C'est ce qui fait de lui un traître ?
@@welovebasketball2885 mdr senghor n'a rien fait pour le Sénégal arrêtes d'être l'avocat du diable walahi mm non parents et grands parents nous disent ça chak jour aujourd'hui si on est en retard sé à cause de senghor
@@tapha519cette territoire appartient au mauritanien et temps c'est n'est que du désert
السلام عليكم.. كيف احصل على مصادر وكتب عن ليوبولد سيدار سنغور
Why you want?
@@aaaabbbbbb926 I'm a student . I have a master's thesis. Titled by President Leopold Senghor
Cet homme est vraiment immortel car il fait toujours preuve de son savoir.
Quel savoir
@@awayacinesylla savoir culturel
Il a lutté pour l'union de l'Afrique
Certe il avait le savoir, mais il l'un des plus grands traîtres au monde.
oui un grand monsieur
@@mouhamedcisse7749 sur les commentaires ya que les senegalais qui vont venir insulter la memoire de senghor et la preuve tu en es lexemple parfait
Ciudad de Santa Isabel Ndong
Senghor Domi kharam bi ya bone
Indépendance culturelle et cultuelle
Il fut 1 traitre à l'afrik car un bon serviteur du colon , des que l'interet d'afrik et du colon sont divergent.
Tu es un malade mental avec tes histoires de colon c pr ça Que tu es derriere les asiatiques sont devant les noirs , dèbile mental.
Laye Nfa Va a l'ecole! Essaie d'apprendre!
@@BoringDad1272 mdr, j'ai plus de bon sens que toi , car moi je sais que senghor a trahi l'afrik ironi du sort mm 1 ambassadeur français n' etait pas à son enterrement , exple moi je sais que le fcfa ou eco de ouatara et macky est une arnaque de la france toi pas . donc tu est plus ignorant que moi.
@@BoringDad1272 senghor et houphouet les 2 pères de la francafrik + fcfa , Macky et ADO les 2 peres de l'eco=fcfa senegal et Cote d'ivoir peres de francafrik . Mdr
@@layenfa8813 Va travailler! Cherches toi in boulot.
Provincia de San Kuwasi Balagoon
Mariano José Nsue Obama próximo presidente de la republica de San Rafael Nsue Nchama actual Guinea Ecuatorial
Le grand traître bordélique
Provincia de San Christopher Dorner
Provincia de San Jonathan Jackson
Provincia de Santa Josefa Ndong
Provincia de San Chokwe Lumumba
Ciudad de San Obama Ondo Nnomokono
Pourquoi est-ce que tout le monde ici traite cet homme de traître ? Qu'a-t-il fait pour mériter cet acharnement ?
Tout ce monde est sa descendance
@@mohameddia6486 Ça ne répond pas à ma question. Au dernières nouvelles, il y a toujours eu des ingrats.
@@samsara450 c'est les nouveaux panafricain qui insultent Senghor mais en réalité quand seckou Touré massacré les peuhl fouta et que dans la sous région le tribalisme prenait son empleur Senghor bâtissait une nation unie fort,des liens à cousinage,la plaisenterie entre sérère et peuhls et diolas, c'est ça qui a fait du Sénégal un pays une famille unie
@@abdoukarimdiouf4473 😅😅mdr yén ay cinéma nguén mounane cousins à plaisanterie j sais koi lolou dafa développé lo réw on avait besoin d'une politique forte sé lui qui nous a vendu en premier à la France tay dji retard bignou am en grande partie sé à cause de lui mais bon
Vendu !
Comment écrire sur l'Afrique par Binyavanga Wainaina:
Utilisez toujours le mot « Afrique » ou « Ténèbres » ou « Safari » dans votre titre. Les sous-titres peuvent inclure les mots « Zanzibar », « Massaï », « Zoulou », « Zambèze », « Congo », « Nil », « Vaste », « Ciel », « Ombre », « Tambour », « Soleil » ou « Révolu ». Sont également utiles des mots tels que « Guérillas », « Éternel », « Primordial » et « Tribal ». Notez bien que lorsqu’on dit « les gens », on parle des Africains qui ne sont pas noirs, tandis que « Le Peuple » signifie les Africains noirs.
Ne choisissez jamais la photo d’un Africain équilibré et épanoui pour illustrer la couverture ou les pages de votre livre, à moins que cet Africain n’ait remporté le prix Nobel. Un AK-47, des côtes saillantes, des seins nus : choisissez plutôt ça. Si vous avez vraiment besoin d’un Africain, veillez à ce qu’il soit vêtu d’une robe Massaï, Zoulou ou Dogon.
Dans votre texte, traitez l’Afrique comme s’il s’agissait d’un seul pays. Un pays chaud et poussiéreux avec des plaines vallonnées et d’immenses troupeaux d’animaux et des gens grands et minces qui meurent de faim. Ou bien un pays chaud et humide, où des gens tout petits mangent des primates. Ne vous enlisez pas dans des descriptions trop précises. L’Afrique est grande : cinquante-quatre pays, 900 millions de personnes qui sont trop occupées à avoir faim et à mourir et à se battre et à émigrer pour lire votre livre. Le continent regorge de déserts, de jungles, de hauts plateaux, de savanes et de bien d’autres choses, mais votre lecteur ne se soucie pas de tout cela, alors faites en sorte que vos descriptions soient romantiques, évocatrices et peu précises.
Montrez bien que les Africains ont la musique et le rythme dans la peau, et qu’ils mangent des choses qu’aucun autre être humain ne mange. Ne mentionnez pas le riz, le bœuf et le blé ; en Afrique, le cerveau de singe est un mets de choix, de même que la chèvre, le serpent, les vers, les larves et toutes sortes de viandes de gibier. Montrez bien que vous êtes capable de manger ces aliments sans broncher, et décrivez comment vous apprenez à les apprécier - parce que c’est important pour vous.
Sujets tabous : scènes domestiques ordinaires, amour entre Africains (sauf s’il est en lien avec la mort), références à des écrivains ou des intellectuels africains, mention d’enfants scolarisés qui ne souffrent pas d’infections cutanées, du virus Ebola ou de mutilations génitales féminines.
Tout au long du livre, adoptez une voix feutrée et conspirez avec le lecteur sur le ton triste du je-m’y-attendais. Établissez très tôt une sensibilité de gauche, sans tache, et mentionnez dès le début combien vous aimez l’Afrique, comment vous en êtes tombé amoureux et pourquoi vous ne pouvez pas vivre sans elle. L’Afrique est le seul continent que vous pouvez aimer - tirez-en profit. Si vous êtes un homme, plongez-vous dans ses chaudes forêts vierges. Si vous êtes une femme, traitez l’Afrique comme un homme en veste de brousse qui s’éloigne dans le soleil couchant. L’Afrique est à plaindre, à vénérer ou à dominer. Quel que soit l’angle que vous choisirez, assurez-vous de donner l’impression que, sans votre intervention et votre livre important, l’Afrique est condamnée.
Vos personnages africains peuvent être des guerriers nus, des serviteurs loyaux, des devins et des voyants, d’anciens sages vivant dans la splendeur d’un ermitage. Ou des politiciens corrompus, des guides polygames et incompétents, ou des prostituées avec qui vous avez couché. Le serviteur loyal se comporte toujours comme un enfant de sept ans et il a besoin d’une main ferme ; il a peur des serpents, il est bon avec les enfants et vous entraîne toujours dans ses psychodrames domestiques. L’Ancien Sage vient toujours d’une tribu noble (et non des tribus qui extorquent de l’argent comme les Gikuyu, les Igbo ou les Shona). Il a les yeux chassieux, il est proche de la Terre. L’homme africain moderne est gros, il travaille et chaparde au bureau des visas, et refuse de donner des permis de travail aux Occidentaux qualifiés qui se soucient vraiment de l’Afrique. C’est un ennemi du développement, toujours en train de tirer parti de son poste de fonctionnaire pour rendre difficile aux expatriés pragmatiques et de bonne volonté la création d’ONG ou de parcs naturels protégés. Ou bien c’est un intellectuel éduqué à Oxford qui est devenu politicien et tueur en série et qui porte un costume coupé sur mesure. C’est un cannibale qui aime le champagne Cristal, et sa mère est la riche sorcière qui, en réalité, dirige le pays.
Vos personnages africains peuvent être des guerriers nus, des serviteurs loyaux, des devins et des voyants, d’anciens sages vivant dans la splendeur d’un ermitage. Ou des politiciens corrompus, des guides polygames et incompétents, ou des prostituées avec qui vous avez couché. Le serviteur loyal se comporte toujours comme un enfant de sept ans et il a besoin d’une main ferme ; il a peur des serpents, il est bon avec les enfants et vous entraîne toujours dans ses psychodrames domestiques. L’Ancien Sage vient toujours d’une tribu noble (et non des tribus qui extorquent de l’argent comme les Gikuyu, les Igbo ou les Shona). Il a les yeux chassieux, il est proche de la Terre. L’homme africain moderne est gros, il travaille et chaparde au bureau des visas, et refuse de donner des permis de travail aux Occidentaux qualifiés qui se soucient vraiment de l’Afrique. C’est un ennemi du développement, toujours en train de tirer parti de son poste de fonctionnaire pour rendre difficile aux expatriés pragmatiques et de bonne volonté la création d’ONG ou de parcs naturels protégés. Ou bien c’est un intellectuel éduqué à Oxford qui est devenu politicien et tueur en série et qui porte un costume coupé sur mesure. C’est un cannibale qui aime le champagne Cristal, et sa mère est la riche sorcière qui, en réalité, dirige le pays.
Parmi vos personnages, vous devez toujours inclure l’Africaine affamée, qui erre quasiment nue dans le camp de réfugiés en attendant la bienveillance de l’Occident. Ses enfants ont des mouches sur les paupières et le ventre gonflé, ses seins sont plats et vides. Il faut qu’elle ait l’air complètement sans défense. Elle ne peut avoir aucun passé, aucune histoire : de telles digressions ruinent la dramaturgie. Les gémissements, c’est bien. Elle ne doit jamais parler d’elle dans les dialogues, si ce n’est pour évoquer ses (indicibles) souffrances. Il faut également inclure une femme chaleureuse et maternelle qui a un énorme rire et qui se soucie de votre bien-être. Appelez-la Mama, tout simplement. Ses enfants sont tous des délinquants. Ces personnages devraient bourdonner autour de votre protagoniste comme des faire-valoir. Votre héros peut leur enseigner des choses, leur donner le bain, les nourrir ; il s’occupe de nombreux bébés et il a vu la Mort. Votre héros, c’est vous (s’il s’agit d’un reportage), ou une belle et tragique célébrité/aristocrate connue dans le monde entier qui s’intéresse à présent au sort des animaux (s’il s’agit de fiction).
Les personnages négatifs d’Occidentaux peuvent être des enfants de ministres conservateurs, des Afrikaners, des employés de la Banque mondiale. Lorsqu’on évoque l’exploitation par des étrangers, il faut mentionner les commerçants chinois et indiens. Reprochez à l’Occident la situation de l’Afrique. Mais ne soyez pas trop précis.
Les portraits brossés à gros coups de pinceau, c’est bien. Évitez de faire rire les personnages africains, ne les laissez pas se battre pour l’éducation de leurs enfants, ni tout simplement se débrouiller dans des circonstances banales. Faites en sorte qu’ils éclaircissent quelque chose sur l’Europe ou l’Amérique en Afrique. Les personnages africains doivent être colorés, exotiques, plus grands que nature - mais vides à l’intérieur, sans dialogue, sans conflit ni résolution dans leurs histoires, sans ces profondeurs et ces bizarreries qui compliquent tout.
Décrivez en détail les seins nus (jeunes, vieux, conservateurs, récemment violés, grands, petits), ou les parties génitales mutilées, ou sublimées. Ou n’importe quel genre de parties génitales. Et des cadavres. Ou, mieux, des cadavres nus. Et surtout les cadavres nus en décomposition. N’oubliez pas que tout travail que vous soumettez dans lequel les gens ont l’air sale et malheureux sera considéré comme la « véritable Afrique », et vous voulez qu’on inscrive cela sur la couverture de votre livre. Ne vous sentez pas mal à l’aise : vous essayez de les aider à obtenir l’aide de l’Occident. Quand on écrit sur l’Afrique, le plus grand tabou est de décrire ou de montrer des Blancs morts ou qui souffrent.
Les animaux, en revanche, doivent être traités comme des personnages équilibrés et complexes. Ils parlent (ou grognent en agitant fièrement leur crinière) et ont des noms, des ambitions et des désirs. Ils ont aussi des valeurs familiales : voyez-vous comment les lions éduquent leurs enfants ? Les éléphants, bienveillants, sont de bons féministes ou des patriarches dignes. Les gorilles aussi. Ne jamais, jamais rien dire de négatif sur un éléphant ou un gorille. Les éléphants peuvent s’attaquer aux biens des habitants, détruire leurs récoltes et même les tuer. Soyez toujours du côté de l’éléphant. Les grands chats ont un accent huppé. On peut s’en prendre aux hyènes, lesquelles auront des accents vaguement moyen-orientaux. Tous les petits Africains qui vivent dans la jungle ou le désert devront être représentés avec bonne humeur (à moins qu’ils ne soient en conflit avec un éléphant, un chimpanzé ou un gorille, auquel cas ils sont le mal absolu).
Hormis les militants célèbres et les travailleurs humanitaires, les écologistes sont les personnes les plus importantes en Afrique. Ne les offensez pas. Il faut qu’ils vous invitent dans leur ranch giboyeux de trois hectares ou leur parc naturel protégé, car c’est la seule façon que vous aurez d’interviewer le militant célèbre. Souvent, une couverture de livre où figure un défenseur de l’environnement à l’allure héroïque fait merveille sur les ventes. Tout Blanc hâlé et vêtu de kaki qui a déjà possédé une antilope domestique ou une ferme est un défenseur de l’environnement qui préserve le riche patrimoine africain. Lorsque vous l’interviewez, ne lui demandez pas de combien d’argent il dispose ; ne lui demandez pas combien d’argent il tire de son gibier. Ne lui demandez jamais combien il paie ses employés.
Les lecteurs seront déconcertés si vous ne mentionnez pas la lumière en Afrique. Et les couchers de soleil, le coucher de soleil africain est un must. Il est toujours grand et rouge. Il y a toujours un grand ciel. Les vastes espaces vides et le gibier sont essentiels - l’Afrique est le pays des vastes espaces vides. Lorsque vous écrivez sur le destin de la faune et de la flore, mentionnez bien que l’Afrique est surpeuplée. Quand votre personnage principal vit dans un désert ou dans une jungle avec des peuples indigènes (quiconque est petit), il est normal de mentionner que le Sida et la Guerre (mettez des majuscules) ont sévèrement dépeuplé l’Afrique.
Vous aurez également besoin d’une boîte de nuit appelée Tropicana, où traînent des mercenaires, des nouveaux riches africains, des prostituées, des guérilleros et des expats.
Terminez toujours votre livre par une citation de Nelson Mandela qui parle d’arcs-en-ciel ou de renaissances. Parce que c’est important pour vous.
Provincia de San Cosmo Ausar Setepenra
Provincia de San George Jackson
Provincia de San Rafael Ismaaiyl Brinsley
Le vieux manteur da fen bâ dé domeram yalla nako yalla kharé safara ak abdou diouf ak ablaye wade ak macky sall
Ciudad de San Carmelo Obama Mefuman
Le plus grand traître que l'humanité a vu.
Provincia de San Shaka Sankofa
Provincia de San Pedro Obama
Provincia de San Ambrosio Nsue
Senghor l'homme fort
Senghor et houphouet les 2 pere de la feancAfrik , du fcfa juste des traite à leur especes ,
Ciudad de Santa María Obono
Provincia de San Malcolm X
Bounty
un vaurien de rien du tout, il nous a trop mis en retard. Vraiment, on s'en fout vraiment de ses poésies qui ne sont ni nos traditins, ni nos cultures, nos anciens ont fait une erreur monumentale en choisissant ce gars au lieu de Cheikh Anta Diop. Ce qui me fait le plus mal, Il a enfermé Mamadou Dia sans vraie raison prétextant un coup d'état falacieux jusqu'à le rendre aveugle.
Provincia de San Lucas Obama
Je respecte les séreres mais pas le poète agrégé en français tous ce que vous savez dans la vie c'est les mots, donc votre statue en tant que un homme politique responsable doit être remettre en question mon pauvre président très complexé envers les blancs.
Parle un bon français avant de critiquer
Tu ne connais pas assez Senghor
ce lui la est simplemen poési il n'est rien fait au senegal
C vraie un parleur
😂😂
Il a pourtant réussi à consolider la cohésion sociale pas de haine ethnique au Sénégal comme la Guinée,la civ et la majorité des pays africains
Voilà ceux qui ont bâti la vraie Afrique
Toubab bou nioul akh. Sonko lagnou wakh
I wonder if this man speaks English
Just only French
@@vanmovanmo5884 Actually he was an expert in Greek and Latin.
He spoke english and allemand
Tu as trahi ton peuple
et cest regrettable il nous a trahi vraiment
Faut donner des explications à ce que vous dites
Sur quoi vous basez vous pour le traiter de traître après tout ce qu'il a fait pour le Sénégal ?
Avant de parler il faut bien réfléchir et analyser chaque action qu'il a pu faire selon le contexte de son exécution
At night, the Norman Senghor dreams as a white man.
Ak Macky Sall aussi
Mais il est mieux que tous ceux qui sont venus après lui diouf Wade et pire maky sall !
Maluma singing
traitre
Pourquoi ?
Tu peux donner une explication ?
En quoi ta poésie a contribué pour le développement de l Afrique .c est regrettable traitre
Je suis pas sûr qu'il vous répondra sur un commentaire RUclips
Rien
Il a bcp fait pour ce pays. Il a sauvé ce pays en préservant le stabilité et la paix mais également la fraternité. Il a dégagé des visions qui nous ont permis aujourd'hui de mettre en oeuvre facilement des projets d infrastructure
@@abdoulazizndiaye705 koula bayi ya deugueur fiteu yaneu projet lafi senghor wala lafi senghor déf senghor n'a rien fait pour le Sénégal dou projet dou nada ay projet ay infrastructures si abdoulaye wade leu commençé peut-être chui d'accord ay djam instabilité entre les ethnies et tou mais développement lolou mom doussi senghor
Le premier a vendu le Sénégal
bunti
Un président poète mdrrr
Merci senghor mais Ô
Provincia de San Mark Essex