Emmanuelle Bayamack-Tam : vie communautaire et amour libre dans « Arcadie »

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  • Опубликовано: 14 ноя 2018
  • Avec son dernier livre « Arcadie », la romancière Emmanuelle Bayamack-Tam imagine une communauté libertaire où vivent des individus inadaptés au monde extérieur, tous plus loufoques les uns que les autres… Parmi eux, Farah, une jeune fille en quête d’identité tout droit sortie d’un roman d’Amélie Nothomb ! Un ouvrage qu’elle publie aux éditions P.O.L.
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Комментарии • 12

  • @francisbalace4118
    @francisbalace4118 3 года назад +1

    J'ai beaucoup aimé ce roman , intelligent , amusant , subtil et très bien écrit

  • @irving2150
    @irving2150 3 года назад +2

    j'ai beaucoup aimé

  • @taniaz1486
    @taniaz1486 4 года назад +3

    Je vois pas en quoi c'est dérangeant d'écrire sur l'identité et le genre c'est très actuelle et ça parle à beaucoup de personnes

  • @sylvieweible1758
    @sylvieweible1758 4 года назад

    TTT Télérama
    [...] Un roman d’apprentissage d’une grande liberté, ultra contemporain et politique.
    Sous des dehors fantasques, voire grimaçants, et bien que merveilleusement délestés des lourdeurs et des épaisseurs du roman à thèse, les livres d’Emmanuelle Bayamack-Tam s’offrent pourtant comme des traités ­d’insoumission [...]
    des âmes rebelles dans des corps hors norme, bien décidées à faire mieux que survivre, à se colleter avec ce monde dysfonctionnel qui est le nôtre. Un monde où, dans l’intimité comme dans la sphère sociale, les conformismes sont érigés en certitudes, les conventions travesties en dogmes, les égoïsmes et les renoncements parés des attributs de la saine pondération. [...]
    Trente-six chapitres [...] scandent ce récit truculent et âpre, souvent très cru, des apprentissages de Farah dans son utopique éden [...] le monde extérieur [...] par petites touches précises, s’impose peu à peu dans le récit longtemps presque intemporel, pour finir par l’ancrer dans une géographie, une époque, une réalité historique et politique, incarnée par l’intrusion d’un jeune migrant sans papiers venu d’Erythrée.
    Emmanuelle Bayamack-Tam emprunte ici à Rilke (« car le beau n’est que le commencement du terrible […] ce que tout juste nous pouvons supporter… »), comme elle emprunte ailleurs à Emily Dickinson (« Voici ma lettre au monde… »), Mallarmé, Nabokov…, dressant en fin de volume la longue liste des voix dont elle irrigue subtilement sa propre écriture.
    Mêlant poésie et trivialité de façon plus virtuose et réjouissante que jamais, dans ce ­roman ultra contemporain et fermement politique. Pourtant, Emmanuelle Bayamack-Tam le sous-tend de motifs éternels [...]notamment face à la nature omniprésente dont l’auteure évoque les splendeurs avec un réalisme d’une beauté étincelante.
    www.telerama.fr/livres/arcadie%2Cn5763841.php

  • @christinerichard145
    @christinerichard145 5 лет назад +1

    un livre très étrange comme son auteur...

  • @FREEMAN....
    @FREEMAN.... 2 года назад +1

    Des dérangés

  • @vajra1171
    @vajra1171 5 лет назад

    🤮🤮🤮🤮🤮🤮🤮🤮🤮🤮🤮🤮🤮🤮🤮🤮🤮🤮🤮🤮

  • @Cazarace
    @Cazarace 5 лет назад +3

    Mais qu'avons-nous fait pour subir toutes ces horreurs ? La littérature française est malade. Elle a le cancer. Stoppez tout, débranchez l'assistance respiratoire.

    • @IskandarRabeendran
      @IskandarRabeendran 5 лет назад +1

      heureusement, l'amour triomphe de tout

    • @christinerichard145
      @christinerichard145 5 лет назад

      j'ai;lu "la tresse" et surtout "Bakkita", de bons livres, ainsi que "le lambeau", "chien loup""leurs enfants après eux" de bons romans français.

  • @karimbenamar7035
    @karimbenamar7035 4 года назад

    pretendu normalite 0.37 , incomprehensible , de quoi parle t il, le monde de intelligentsia littéraire est completement decadant , et c'est tres a la mode ? et il adore , sur france inter meme topo , je ne vais pas prendre le temps de le lire, apres cette presentation, ni hommes ni femmes, je suis un homme et cela suffit a mon existence