Bonjour Iphi. Je salue votre courage et votre détermination que vous montrez à travers vos objectifs. J'approuve entièrement votre "stratégie". Mon expérience personnelle me faire juste dire qu'il faut être en même temps flexible, car parfois il y a des petits changements qui peuvent intervenir et il faut savoir retracer le chemin pour arriver à bon port. Concernant les langues étrangères, je suis étonnée que l'enseignement supérieur s'accroche toujours autant à transmission d'un savoir acacémique qui contraste avec la réalité quotidienne de la langue du pays en question. ça me rappelle la première fois où j'ai débarqué à Londres avec un très bon niveau et une licence en poche. Je louais une chambre dans la banlieue du Nord-Est (Leytonstone). Eh bien, j'ai méchamment galéré à comprendre les Anglais pendant au moins 2 mois, et ça m'a plutôt inquiété, je dois dire, ne serait-ce que pour demander où était le bureau de poste le plus proche, par exemple. C'est vrai que l'étude des extraits de roman de William Faulkner n'aide pas beaucoup là-dessus. Bon je me suis adapté parce que mon niveau grammatical et lexical était bon, mais il faut reconnaître qu'en France on est vraiment mal préparé à vivre dans le pays dont on apprend la langue. Bonnes fêtes de Noël, et bonne année 2025 à vous !
Je suis totalement d'accord avec vous. En prépa, on nous faisait également lire de la littérature, ce qui est normale car nous devions déjà avoir un niveau C1/C2, mais je trouve ça dommage qu'au collège et à la fac on s'attache tant à nous faire réfléchir sur des sujets de réflexion plutôt que sur la vie quotidienne. On n'arrive pas dans un pays pour débattre de philosophie et de sciences en général, et on n'est pas vraiment confronté à ça. J'apprends de mon côté l'italien, sur des choses plus concrètes et qui me serviront davantage une fois arrivée dans le pays. Merci pour votre commentaire et bonnes fêtes de fin d'année à vous :)
Bonjour Iphi.
Je salue votre courage et votre détermination que vous montrez à travers vos objectifs. J'approuve entièrement votre "stratégie". Mon expérience personnelle me faire juste dire qu'il faut être en même temps flexible, car parfois il y a des petits changements qui peuvent intervenir et il faut savoir retracer le chemin pour arriver à bon port.
Concernant les langues étrangères, je suis étonnée que l'enseignement supérieur s'accroche toujours autant à transmission d'un savoir acacémique qui contraste avec la réalité quotidienne de la langue du pays en question. ça me rappelle la première fois où j'ai débarqué à Londres avec un très bon niveau et une licence en poche. Je louais une chambre dans la banlieue du Nord-Est (Leytonstone). Eh bien, j'ai méchamment galéré à comprendre les Anglais pendant au moins 2 mois, et ça m'a plutôt inquiété, je dois dire, ne serait-ce que pour demander où était le bureau de poste le plus proche, par exemple. C'est vrai que l'étude des extraits de roman de William Faulkner n'aide pas beaucoup là-dessus. Bon je me suis adapté parce que mon niveau grammatical et lexical était bon, mais il faut reconnaître qu'en France on est vraiment mal préparé à vivre dans le pays dont on apprend la langue.
Bonnes fêtes de Noël, et bonne année 2025 à vous !
Je suis totalement d'accord avec vous. En prépa, on nous faisait également lire de la littérature, ce qui est normale car nous devions déjà avoir un niveau C1/C2, mais je trouve ça dommage qu'au collège et à la fac on s'attache tant à nous faire réfléchir sur des sujets de réflexion plutôt que sur la vie quotidienne. On n'arrive pas dans un pays pour débattre de philosophie et de sciences en général, et on n'est pas vraiment confronté à ça. J'apprends de mon côté l'italien, sur des choses plus concrètes et qui me serviront davantage une fois arrivée dans le pays. Merci pour votre commentaire et bonnes fêtes de fin d'année à vous :)