.. donnez nous le nerf de de la guerre : 1/ ce que dégage cette exploitation en revenu dispo (ou résultat courant) en moyenne ces 5 dern années 2/ le montant de reprise 3/ les investissements à prévoir les 5-10 proch années ..
.. et 2 ans après : alors ?? l'exploitation a-t'elle été transmise ? à qui ? combien de personnes se sont installées ? .. et quel revenu va concentrer cette structure avec un prix du lait à 450 eu/1000L voire plus depuis 2 ans ?..
.. la SEULE CHOSE INTERESSANTE serait de savoir COMBIEN DE PERSONNES (installées) elle permettrait de rémunérer correctement ... (ce qui dépend directement du montant de reprise qui en est demandé et des investissement qui seront à faire, autrement dit, ds quel état elle est..).. réponse ?
Point fort la laiterie ,le prix du lait le plus élevé de tous les industriels. Prix des terre en corrélation avec la qualité des terres ou pression foncière faible ? De belles exploitation à céder ne trouvent pas preneur,les montent de reprises deviennent énormes avec le million d'euros peut être que le prix du lait pour de nombreux jeunes est trop faible pour que les études d'installation passent.
Tout est dit, investissement de un million d'euros, à moment donné, ce n est plus un problème de trouver des repreneurs mais une banque prête à suivre ... surtout dans le contexte de hausse des taux d intérêt... après il est légitime pour ces agriculteurs qui ont énormément bossé durant toute leur vie de vouloir vendre pour récupérer un pécule permettant de compléter les retraites agricoles peu élevées mais ce sont des exploitations difficilement reprenables.
@@cedricfontan5918 re ... il faut être honnête et dire la vérité : s'ils n'ont que peu de retraite aujourdhui c'est qu'ils l'ont choisi c'est à dire qu'ils ont fait moins de revenu et ont donc moins cotisé pour pour la retraite (cotisations selon le revenu) , ceci en préférant (et conseillé en ce sens .. mais c'est une d'abord culturel en agriculture, on ne veut pas payer d'impôts..) investir et créer des charges, sauf que cela coûte très cher et bien des investissements ne sont en réalité pas rentables, investt de luxe, de confort.. (ou placements ?). D'autre part, ces agriculteurs se sont installés il y a 30-40 ans avec des montants bien moindres et ont grossis et capitalisé au fur et à mesure. Que dire des subventions qui ont été capitalisées, notamment celles du PMPOA (= mise aux normes envt), aides à l'irrigation, aides aux matériels ..etc.. aides qui ont poussé à sur investir. Tout cela gonfle artificiellement la facture au final, elles devraient être retirées du montant de capital. Et ils demandent auj aux repreneurs de mettre sur la table de très gros montant, d'où faibles marges de manoeuvre et gros risques : eux mêmes le feraient ils auj ? et leurs enfants ? .. que leur disent ils d'ailleurs ?... Il faut arrêter aussi avec la rétorique que les agriculteurs ont plus bossé que les autres. Certe, ils trayent le WE, mais ils n'ont pas de patron, et ce sont eux qui choisissent de s'agrandir, de concentrer, de travailler de façon industrielle pour l'industrie avec tous les travers qui existent, et au final ils ne font que s'acheter du boulot, de la pression, deviennent exécrables. Personne ne les y oblige, je ne les plaindrai pas. D'autres alternatives existent, alternatives beaucoups plus vertueuses en tous sens. Je connais bien le fonctionnement de ce secteur, y baignant ts les jours.
@@AC-kv1qo Dans les elevages, l'astreinte et le temps de travail est plus importante qu'en grande culture quand même. Et ça bosse plus que des ouvriers à 35h, mais on est proche d'un artisan qui fait des devis et sa comptabilité le week end. Mais c'est vrai que tout est fait pour conseiller de s'agrandir et investir en matériel et batiment pour faire des charges déductibles. Je les vois plus victimes d'un système qui les a toujours poussé à produire plus pour enrichir les OS et les entreprises agro alimentaires que pleinement responsable. Quand on a le nez dans le guidon, dur de prendre du recul. Mais il est vrai que je doute que eux meme mettent autant d'argent sur la table (argent que seul la banque detient et dont ils seront les esclaves pendant 20 ans). Trop d'agriculteurs en deviennent aussi dependants des coopératives qui leur avance les intrants et les oblige du coup à leur vendre la production bien loin des prix du marché. Cette situation est difficile pour tout le monde et l'état ne fait que pourrir la situation avec la SAFER qui ne fait qu'entretenir la bulle spéculative sur le prix des terrains en pré-emptant à des prix totalement suréaliste pour les revendre à prix d'or aux jeunes installés tout ça en proclamant de soi disant les aider. Quand on voit le developement des cuma ou un cerealier qui s'installe n'a presque plus besoin de batiment ou de corps de ferme, quand on voit le developement du plein air intégral pour échapper aux contraintes des batiments, les futurs retraités qui veulent vendre leur ferme vont devoir s'asseoir sur leurs pretentions.
@@cedricfontan5918 re je suis d'accord sur le fait que tout les poussent à s'agrandir et faire n'importe quoi au final mais ils ont aussi leur part de responsabilité car ils acceptent cela et voire même en jouissent, avec toutes les conséquences que çà produit à un moment ou à un autre = pénibilité, pression, installations de jeunes (ayant la tête sur les épaules..) impossible ou se saignent .. etc .. Il ne faut pas qu'ils viennent se plaindre, en tout cas pas auprès de moi. Il faut réfléchir avant de se jeter.
@@cedricfontan5918 .. concernant le bio, je suis d'accord avec vous : ils ne font pas tout bien mais quand même mieux que la plupart, notamment parce qu'ils travaillent énormément (trop) leurs sols et parce qu'ils utilisent encore TROP de produits (..il faut cependant être honnête, il en ont beaucoup moins à disposition, ce ne sont pas des produits de synthèse car ils leur sont interdits, et ce sont pr la plupart des produits moins dangereux au moins pr la santé..) et pas assez d'alternatives et notamment le vivant parce qu'ils n'ont pas appris et qu'on redécouvre tout cela aujourd'hui, justement parce qu'on ne veut plus de ces produits chimiques dont les impacts sont inconnus.. .
Vraiment une magnifique exploitation !
tout a fait hugo !!!! mais faut une motivation, a+
Tous ce qui brille n'est pas or...
@@jerseyscows8553 .. oh que oui alors !!!! .. revenons à la réalité !!.. tristesse !!
Très belle exploitation intéressante
Une belle ferme exploitée très sérieusement.
.. donnez nous le nerf de de la guerre : 1/ ce que dégage cette exploitation en revenu dispo (ou résultat courant) en moyenne ces 5 dern années 2/ le montant de reprise 3/ les investissements à prévoir les 5-10 proch années ..
.. et 2 ans après : alors ?? l'exploitation a-t'elle été transmise ? à qui ? combien de personnes se sont installées ? .. et quel revenu va concentrer cette structure avec un prix du lait à 450 eu/1000L voire plus depuis 2 ans ?..
Belle exploitation est-ce que elle est toujours disponible actuellement ? Je serai intéressé pour venir à la rencontre des exploitants.
Pourquoi pas Eurial/lait , c'est plus près de chez vous ?
68 ha 930 000 l bonjour l'indépendance alimentaire.
.. la SEULE CHOSE INTERESSANTE serait de savoir COMBIEN DE PERSONNES (installées) elle permettrait de rémunérer correctement ... (ce qui dépend directement du montant de reprise qui en est demandé et des investissement qui seront à faire, autrement dit, ds quel état elle est..).. réponse ?
Ben a l'arrivée du lait de nouvelles Zélande, on s'empresse de quitter le milieu du lait en France à tout bout de champ.....vive l'UE.
2:42 "du bon parcellaire , des bonnes parcelles" = des talus massacrés en gros ?
C'est combien ??
je suis intéressé !!!
tu est fou kkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkk
Point fort la laiterie ,le prix du lait le plus élevé de tous les industriels.
Prix des terre en corrélation avec la qualité des terres ou pression foncière faible ?
De belles exploitation à céder ne trouvent pas preneur,les montent de reprises deviennent énormes avec le million d'euros peut être que le prix du lait pour de nombreux jeunes est trop faible pour que les études d'installation passent.
Tout est dit, investissement de un million d'euros, à moment donné, ce n est plus un problème de trouver des repreneurs mais une banque prête à suivre ... surtout dans le contexte de hausse des taux d intérêt... après il est légitime pour ces agriculteurs qui ont énormément bossé durant toute leur vie de vouloir vendre pour récupérer un pécule permettant de compléter les retraites agricoles peu élevées mais ce sont des exploitations difficilement reprenables.
@@cedricfontan5918 re ... il faut être honnête et dire la vérité : s'ils n'ont que peu de retraite aujourdhui c'est qu'ils l'ont choisi c'est à dire qu'ils ont fait moins de revenu et ont donc moins cotisé pour pour la retraite (cotisations selon le revenu) , ceci en préférant (et conseillé en ce sens .. mais c'est une d'abord culturel en agriculture, on ne veut pas payer d'impôts..) investir et créer des charges, sauf que cela coûte très cher et bien des investissements ne sont en réalité pas rentables, investt de luxe, de confort.. (ou placements ?). D'autre part, ces agriculteurs se sont installés il y a 30-40 ans avec des montants bien moindres et ont grossis et capitalisé au fur et à mesure. Que dire des subventions qui ont été capitalisées, notamment celles du PMPOA (= mise aux normes envt), aides à l'irrigation, aides aux matériels ..etc.. aides qui ont poussé à sur investir. Tout cela gonfle artificiellement la facture au final, elles devraient être retirées du montant de capital. Et ils demandent auj aux repreneurs de mettre sur la table de très gros montant, d'où faibles marges de manoeuvre et gros risques : eux mêmes le feraient ils auj ? et leurs enfants ? .. que leur disent ils d'ailleurs ?... Il faut arrêter aussi avec la rétorique que les agriculteurs ont plus bossé que les autres. Certe, ils trayent le WE, mais ils n'ont pas de patron, et ce sont eux qui choisissent de s'agrandir, de concentrer, de travailler de façon industrielle pour l'industrie avec tous les travers qui existent, et au final ils ne font que s'acheter du boulot, de la pression, deviennent exécrables. Personne ne les y oblige, je ne les plaindrai pas. D'autres alternatives existent, alternatives beaucoups plus vertueuses en tous sens. Je connais bien le fonctionnement de ce secteur, y baignant ts les jours.
@@AC-kv1qo Dans les elevages, l'astreinte et le temps de travail est plus importante qu'en grande culture quand même. Et ça bosse plus que des ouvriers à 35h, mais on est proche d'un artisan qui fait des devis et sa comptabilité le week end. Mais c'est vrai que tout est fait pour conseiller de s'agrandir et investir en matériel et batiment pour faire des charges déductibles. Je les vois plus victimes d'un système qui les a toujours poussé à produire plus pour enrichir les OS et les entreprises agro alimentaires que pleinement responsable. Quand on a le nez dans le guidon, dur de prendre du recul.
Mais il est vrai que je doute que eux meme mettent autant d'argent sur la table (argent que seul la banque detient et dont ils seront les esclaves pendant 20 ans). Trop d'agriculteurs en deviennent aussi dependants des coopératives qui leur avance les intrants et les oblige du coup à leur vendre la production bien loin des prix du marché.
Cette situation est difficile pour tout le monde et l'état ne fait que pourrir la situation avec la SAFER qui ne fait qu'entretenir la bulle spéculative sur le prix des terrains en pré-emptant à des prix totalement suréaliste pour les revendre à prix d'or aux jeunes installés tout ça en proclamant de soi disant les aider.
Quand on voit le developement des cuma ou un cerealier qui s'installe n'a presque plus besoin de batiment ou de corps de ferme, quand on voit le developement du plein air intégral pour échapper aux contraintes des batiments, les futurs retraités qui veulent vendre leur ferme vont devoir s'asseoir sur leurs pretentions.
@@cedricfontan5918 re je suis d'accord sur le fait que tout les poussent à s'agrandir et faire n'importe quoi au final mais ils ont aussi leur part de responsabilité car ils acceptent cela et voire même en jouissent, avec toutes les conséquences que çà produit à un moment ou à un autre = pénibilité, pression, installations de jeunes (ayant la tête sur les épaules..) impossible ou se saignent .. etc .. Il ne faut pas qu'ils viennent se plaindre, en tout cas pas auprès de moi. Il faut réfléchir avant de se jeter.
@@cedricfontan5918 .. concernant le bio, je suis d'accord avec vous : ils ne font pas tout bien mais quand même mieux que la plupart, notamment parce qu'ils travaillent énormément (trop) leurs sols et parce qu'ils utilisent encore TROP de produits (..il faut cependant être honnête, il en ont beaucoup moins à disposition, ce ne sont pas des produits de synthèse car ils leur sont interdits, et ce sont pr la plupart des produits moins dangereux au moins pr la santé..) et pas assez d'alternatives et notamment le vivant parce qu'ils n'ont pas appris et qu'on redécouvre tout cela aujourd'hui, justement parce qu'on ne veut plus de ces produits chimiques dont les impacts sont inconnus.. .
Il parle des emploie extérieurs 😂
930 000L, un robot, 68ha...
mal proportionnée oui , faut un deuxième robot , et 2 fois plus d hectares pour être autonome !
@@herveblossier8794 tout à fait, un piège à cons
trop de travail et mal rémunérée kkkkkkk je ne suis pas fou