Je vous remercie bcp car vous m'insufflez le courage d'aborder le contrepoint, ayant déjà un certain niveau en harmonie ( classique et jazz). Vos cours ont une telle vertu pédagogique.
Bravo et merci pour la transmission structurée et dynamique de vos connaissances ... La qualité pédagogique et votre érudition nous élèvent assurément vers le Parnasse.
Génial, c'est ce que j'attendais le plus sur votre chaine. ^^ J'ai des notions de contrepoints mais je ne suis jamais passé au conservatoire pour l'étudier dans la rigueur.
Formidable démarche, merci. Ps. Suggestion d’un élève soucieux de l’harmonie visuelle de vos vidéos : le câble du micro qui traverse votre illustre buste pourrait être davantage dissimulé.
Bonjour monsieur Fabre. Pourquoi dites-vous que l'harmonie n'est réservé qu'au système tonal ? J'ai en effet pu voir des partitions de chants traditionnels (bretons, entre autres) basés sur des mélodies modales, harmonisés à plusieurs voix ....Merci d'avance, et aussi pour toutes ces connaissances partagées présentes et à venir !
Bonjour, oui, vous avez raison bien sûr! Mais je me réfère à l'évolution historique. L'émergence de la conception harmonique, au XVIIème siècle, avec notamment Monteverdi, est tonale. La tonalité c'est alors imposée, et l'harmonie est indissociable de cette tonalité qui va exclure les modes. C'est le cas de la musique que je propose d'étudier avec ces nombreux compositeurs, Bach, Haydn, Mozart, Beethoven, Schubert, Schumann, Brahms et tant d'autres. Cependant, ce trésor harmonique, tonal à la base, pouvait constituer un outil formidable, et se tourner à nouveau vers la modalité, ce qu'il fit bien sûr, notamment avec des compositeurs comme Gabriel Fauré, ou encore les compositeurs russes ou espagnols, où l'harmonie s'est mise au service de la modalité. Depuis, l’harmonisation du chant populaire est chose courante, et a donné d'innombrables merveilles. Mais la base de l'écriture harmonique, celle des XVIIème, XVIIIème et XIXème siècles, est bien la tonalité. J'espère avoir répondu à votre question. Bien cordialement, Jean-Louis Fabre
un autre exemple ruclips.net/video/4SFkLea1qxc/видео.html, je pense qu'avec les retranscition à l'arrache, cela illustre le contre-point régulier =) Il suffit d'écouter.
En me penchant sur l'édition du Gradus aux éditions Gabriel Foucou, je suis resté perplexe sur un point en lisant le bas de la page 56 : Quand Aloysius explique à son élève que le cantus firmus est en ton de Ré, et que le fait d'écrire le contrepoint en ton de Sol est une erreur il n'y a pas de difficulté à comprendre cela... Par contre quand le maître précise qu'il a commencé à écrire en Sol avec les notes ( sol,ré, ut) , ce" ut" évoqué dans la parenthèse pose un problème de compréhension... Cela renvoie sans doute à des concepts et des terminologies anciennes (le statut du noms des notes à l'époque) mais peut être aussi à une erreur typographique... Qu'en pensez -vous ? Un éclairage serait fort apprécié. Merci d'avance.
Tout d'abord, je vous confirme qu'il n'y a pas d'erreur. Voici le texte original : "Cum enim praecedentis exempli Cantus firmus existentiam suam habeat in D (la, sol, ré), ut principium et finis monstrat, tu autem in G (sol, re, ut), inceperis, extra tonum te initium duxisse, clarum est." Les mentions qui sont systématiquement inscrites après la tonalité et entre parenthèses sont des références à des règles assez archaïques dites de solmisation, qu'il serait difficile d'expliquer ici. Vous trouverez dans la préface de notre ouvrage quelques explications sur ce sujet. Pour bien comprendre l'essentiel, il suffit de retenir la mention de la tonalité. Ici, le maître préfère rester dans le ton de ré, en commençant par l'octave ré ré. Gabriel Foucou
@@gradusadparnassumfr Merci d'avoir pris le temps de me répondre... J'avais bien lu dans votre préface très intéressante tout ce qui concerne la "solmisation" et les hexacordes... Vos explications sur ces points sont d'ailleurs beaucoup plus copieuses et explicites que ce que l'on trouve dans l"édition publique d' Alfred Mann. Il n'en reste pas moins que je vais avoir besoin de relire attentivement vos explications des pages 4 et 5 pour comprendre certains points de la terminologie de l'époque ...et peut être réussir à comprendre pourquoi la tonalité de Ré est évoquée par Fux avec (sol, ré, ut) ... Cela reste encore ésotérique pour l'instant mais je ne désespère pas de comprendre le raisonnement. Bien évidemment cela n'empêche en aucun cas d'avancer dans le traité et de saisir l'essentiel ( à savoir le respect de la tonalité donnée par le cantus firmus ). Je vous félicite pour votre travail d'éditeur et vous remercie encore d'avoir pris le temps de me répondre ici. PS : Le sens de la phrase page 4 : "L"hexacorde peut être placé sur certaines notes de la main" m'échappe totalement. Est-ce une allusion à un moyen mnémotechnique utilisant les doigts de la main ?
Un sujet épineux =) qu'est le contre point rigoureux =), les 5 ? lol, il y à moondog aussi qui à continuer à bosser sur ce sujet mis à part moi, et hamasian tigran ^^ Je peux ? ruclips.net/video/o26GGeo4khk/видео.html =* C'est mieux que du blabla =)
Je vous remercie bcp car vous m'insufflez le courage d'aborder le contrepoint, ayant déjà un certain niveau en harmonie ( classique et jazz). Vos cours ont une telle vertu pédagogique.
Bravo et merci pour la transmission structurée et dynamique de vos connaissances ... La qualité pédagogique et votre érudition nous élèvent assurément vers le Parnasse.
Bonjour M. Fabre. Merci pour vos passionnantes vidéos !
Un vrai cadeau de fin d'année ! 2020 chassera l'esprit chagrin, un grand merci :-)
J'espère que vos vœux pour l'année 2021 seront davantage exaucés que ceux de 2020 !!! Quelle année !
Génial, c'est ce que j'attendais le plus sur votre chaine. ^^ J'ai des notions de contrepoints mais je ne suis jamais passé au conservatoire pour l'étudier dans la rigueur.
Je viens de découvrir une incroyable chaîne, merci!
7:58 Merci pour ce rappel, qui devrait être entendu et appliqué dans toutes les écoles de musique.
Génial!
J'attendais avec impatience d'autres cours.
Merci beaucoup pour ce que vous partagez.
Mon Dieu que je suis heureux!
Remarquable explication ! Merci !
Merci beaucoup!
Un grand merci professeur !!
Enfin !! Merci beaucoup...
Merci beaucoup! 🇧🇷
Merci Monsieur!
Enfiiin du contrepoint, ça va bien compléter en plus de l'harmonie 🙂
Excellent merci 🙏🏼
Pour ceux qui désirent apprendre , comprendre et s'éveiller à l'art de la musique occidentale savante , dans son écriture même...c'est ici.
Seb merci !
Formidable démarche, merci.
Ps. Suggestion d’un élève soucieux de l’harmonie visuelle de vos vidéos : le câble du micro qui traverse votre illustre buste pourrait être davantage dissimulé.
Merci de votre intérêt pour le travail de Jean-Louis Fabre. Et merci de cette remarque, nous en tiendrons compte! L'équipe Gradus
Merci pour moi qui suit bleus rock ,vous vulgarisé tres bien (je decroche parfois) mais super intéressant merci....
La musique, peut-être la plus belle invention de l'Homme.
Bonjour monsieur Fabre. Pourquoi dites-vous que l'harmonie n'est réservé qu'au système tonal ? J'ai en effet pu voir des partitions de chants traditionnels (bretons, entre autres) basés sur des mélodies modales, harmonisés à plusieurs voix ....Merci d'avance, et aussi pour toutes ces connaissances partagées présentes et à venir !
Bonjour, oui, vous avez raison bien sûr! Mais je me réfère à l'évolution historique. L'émergence de la conception harmonique, au XVIIème siècle, avec notamment Monteverdi, est tonale. La tonalité c'est alors imposée, et l'harmonie est indissociable de cette tonalité qui va exclure les modes. C'est le cas de la musique que je propose d'étudier avec ces nombreux compositeurs, Bach, Haydn, Mozart, Beethoven, Schubert, Schumann, Brahms et tant d'autres.
Cependant, ce trésor harmonique, tonal à la base, pouvait constituer un outil formidable, et se tourner à nouveau vers la modalité, ce qu'il fit bien sûr, notamment avec des compositeurs comme Gabriel Fauré, ou encore les compositeurs russes ou espagnols, où l'harmonie s'est mise au service de la modalité. Depuis, l’harmonisation du chant populaire est chose courante, et a donné d'innombrables merveilles. Mais la base de l'écriture harmonique, celle des XVIIème, XVIIIème et XIXème siècles, est bien la tonalité.
J'espère avoir répondu à votre question.
Bien cordialement, Jean-Louis Fabre
Y a t-il un spécialiste de Bach qui pourrait me dire quel est le morceau entendu ici ruclips.net/video/c33B4mokZiA/видео.html
Il s'agit de l'invention à deux voix en fa majeur.
@@gradusadparnassumfr super merci ! :)
Merci
Une espèce,pas un espèce.exp une espèce de cretin faute récurrente ! Un million de fois merci pour ces cours
Pourriez-vous faire une approche des différents modes de Messiaen ?
un autre exemple ruclips.net/video/4SFkLea1qxc/видео.html, je pense qu'avec les retranscition à l'arrache, cela illustre le contre-point régulier =) Il suffit d'écouter.
En me penchant sur l'édition du Gradus aux éditions Gabriel Foucou, je suis resté perplexe sur un point en lisant le bas de la page 56 : Quand Aloysius explique à son élève que le cantus firmus est en ton de Ré, et que le fait d'écrire le contrepoint en ton de Sol est une erreur il n'y a pas de difficulté à comprendre cela... Par contre quand le maître précise qu'il a commencé à écrire en Sol avec les notes ( sol,ré, ut) , ce" ut" évoqué dans la parenthèse pose un problème de compréhension... Cela renvoie sans doute à des concepts et des terminologies anciennes (le statut du noms des notes à l'époque) mais peut être aussi à une erreur typographique... Qu'en pensez -vous ? Un éclairage serait fort apprécié. Merci d'avance.
Tout d'abord, je vous confirme qu'il n'y a pas d'erreur. Voici le texte original : "Cum enim praecedentis exempli Cantus firmus existentiam suam habeat in D (la, sol, ré), ut principium et finis monstrat, tu autem in G (sol, re, ut), inceperis, extra tonum te initium duxisse, clarum est." Les mentions qui sont systématiquement inscrites après la tonalité et entre parenthèses sont des références à des règles assez archaïques dites de solmisation, qu'il serait difficile d'expliquer ici. Vous trouverez dans la préface de notre ouvrage quelques explications sur ce sujet. Pour bien comprendre l'essentiel, il suffit de retenir la mention de la tonalité. Ici, le maître préfère rester dans le ton de ré, en commençant par l'octave ré ré. Gabriel Foucou
@@gradusadparnassumfr Merci d'avoir pris le temps de me répondre... J'avais bien lu dans votre préface très intéressante tout ce qui concerne la "solmisation" et les hexacordes... Vos explications sur ces points sont d'ailleurs beaucoup plus copieuses et explicites que ce que l'on trouve dans l"édition publique d' Alfred Mann. Il n'en reste pas moins que je vais avoir besoin de relire attentivement vos explications des pages 4 et 5 pour comprendre certains points de la terminologie de l'époque ...et peut être réussir à comprendre pourquoi la tonalité de Ré est évoquée par Fux avec (sol, ré, ut) ... Cela reste encore ésotérique pour l'instant mais je ne désespère pas de comprendre le raisonnement.
Bien évidemment cela n'empêche en aucun cas d'avancer dans le traité et de saisir l'essentiel ( à savoir le respect de la tonalité donnée par le cantus firmus ).
Je vous félicite pour votre travail d'éditeur et vous remercie encore d'avoir pris le temps de me répondre ici.
PS : Le sens de la phrase page 4 : "L"hexacorde peut être placé sur certaines notes de la main" m'échappe totalement. Est-ce une allusion à un moyen mnémotechnique utilisant les doigts de la main ?
Merci pour cette belle transmission de savoir mais je suis choqué de voir des publicités débiles interrompent vos séances.
Autre dimention plus explicite : ruclips.net/video/EidE2ETpCnU/видео.html
Qui est ici après la vidéo de Seb ?
Un sujet épineux =) qu'est le contre point rigoureux =), les 5 ? lol, il y à moondog aussi qui à continuer à bosser sur ce sujet mis à part moi, et hamasian tigran ^^ Je peux ?
ruclips.net/video/o26GGeo4khk/видео.html
=*
C'est mieux que du blabla =)
et bonne année =) ruclips.net/video/JN_DHZ_98iw/видео.html