"elles avouent une attirance" "elles déclarent* une attirance" Merci à Nathalie Bajos d'avoir corrigé. On avoue une faute en revanche on déclare une orientation sexuelle.
@simonsimon5120 Ne vous limiter pas à l'unique définition que vous connaissez de ce verbe. Vous avez Google au bout des doigts. Avouer : Reconnaître qu'une chose est ou n'est pas. (Dictionnaire Robert)
On peut regretter une chose : qu'il n'y ait pas une tentative d'interpréter les évolutions à l'oeuvre en fonction des évolutions sociales. Par exemple, la baisse moyenne de la sexualité, en particulier chez les adolescents, serait-elle liée à des questions de revenu ? Exemple typique : l'accès au logement, la stabilité professionnelle, etc. Cette baisse moyenne serait-elle liée à une évolution de la variance, avec par exemple de plus grandes inégalités corrélées au revenu ? Un jeune adulte qui a bon salaire, un bon diplôme, trouve facilement un appartement, vit dans une grande ville, a un bon réseau d'amis, a un bon accès au système de soins (exemple : les soins dentaires chez les adolescents) a-t-il une vie sexuelle plus épanouissante qu'un agriculteur ou un chômeur en zone rurale ? La différence si elle existe a-t-elle tendance à s'amplifier ?
@@lecommentaire4639 trop de liberté tue la liberté, comme trop d'urgences tue l'urgence. Être libre, c'est bien, mais ça ne te permet pas de faire tout ce que tu veux, genre se promener nu en ville.
@@lecommentaire4639 Tout dépend de la définition de la liberté. Quand Bolloré prend son jet privé plusieurs fois par jour, on peut s'accorder pour dire qu'il a trop de liberté
@@enomoeb ce n'est pas mon point de vue avec tous. Ils sont sans cesse emmené sur le clash, le commentaire de pacotille, la polémique au lieu de permettre à chacun de se faire une idée objective des projets. Ils pourraient faire leur travaille de journaliste, ils préfèrent soumettre les éléments de langage du gouvernement.
J’ai de gros doutes sur ce que raconte cette étude. On aurait de plus en plus de partenaires alors que l’on voit énormément de célibataires partout y compris dans les statistiques. Je pense pour ma part que la fréquentation massive de site a largement détruit les relations hommes femmes Cette consommation de porno a également conduit de nombreux sondés à penser que ce qu’ils voient sur ces sites est la norme et donc font des réponses en fonction de cela
Certes mais j’ai des doutes 8 partenaires en moyenne pour les femmes c’est bcp 16 pour les hommes c’est le double Je pense que ce biais statistique ne s’explique pas par autre chose que par l’affabulation. Je ne crois pas aux explications alambiquées
@Fabrice615 Il me semble que vous confondez "partenaire se*xuel" et "partenaire de couple". La se*ualité peut être liée à la notion de couple/mariage/romance, mais pas forcément. C'est un concept indépendant. D'où cette possible dissonance que vous notez entre le nombre de partenaires mais une augmentation du nombre de célibataire. Ceci dit, les sites pour adultes ont sûrement joué un rôle dans l'évolution des rapports H/F dans une dynamique de couple (et donc leur diminution ?), comme d'autres phénomènes : l'individualisation croissance de la société, la remise en question d'un patriarcat, le changement des attentes derrière la notion de couple, l'augmentation de l'autonomie des femmes... Pour ce qui du rapport sites pour adulte / évolution des pratiques... à nouveau, ça a sûrement joué, mais ce n'est pas le seul facteur. De part la simple augmentation du nombre de gens déclarant avoir des partenaires de même sexe/genre qu'eux, un appel d'air se fait pour l'augmentation de pratiques qui étaient alors plus minoritaires (car on ne fait pas pas le même sexe si c'est H/F que H/H ou F/F). L'affirmation "un rapport normal = une p*nétration va*inale" est simplement entrain de s'effriter au profit d'une question "comment, d'égal à égal, veut-on se faire plaisir ?".
@@Fabrice615Si vous aviez bien écouté, elles expliquent que les hommes comptent toutes leurs partenaires sexuelles, y compris les coups d'un soir, alors que les femmes ne prennent en compte que les partenaires qui ont compté (= pour qui elles ont eu des sentiments) quand elles répondent à la même question.
Mais je comprends pas, pourquoi ils ne conviendraient pas d'une définition commune dans leur etude sur ce qui constitue un partenaire sexuel? Ca fausse complètement leurs chiffres
ça le fausserait s'ils ne l'avaient pas remarqués… Je pense qu'ils ont fait ce qu'il fallait pour mesurer cette distorsion du sens en mesurant d'autres choses. C'est également intéressant de mesurer une différence genrée à propos d'une relation qu'on imagine toujours comme symétrique…
@@prosperproper8916 rien ne t'empêche de séparer en plusieurs questions pour intégrer chaque conception.. là ça donne un résultat statistiquement impossible donc une preuve que les chiffres ne sont pas fiables, si les chiffres sont pas fiables sur cette question ça mine la crédibilité de tout le reste
@@MrTaask oui, je crois qu'on est d'accord là dessus, et je pense que c'est précisément ce qu'ils ont fait pour en déduire que la distortion venait majoritairement d'une définition genrée, et pas d'une différence de comportement.
@@MrTaask Je pense que c'est justement la précision faite dans cette interview qui pose problème : Nous avons une question claire qui montre une nette disparité. On nous précise alors un sous-texte qui n'est pas évident qui nous parle d'une différence dans la manière de répondre selon que l'on soit une fille ou un garçon. Non seulement ce comportement semble sexiste (un homme ne penserait que rapport sans sentiment et une femme "oublierait" un rapport s'il n'a pas une certaine connotation sentimentale qui serait le seul trait de la femme...), Mais pire encore, il paraît que les sondeurs sont sur-qualifiés...ils devraient donc anticiper les réponses genrées pour obtenir les vrais chiffres et permettre une saine comparaison. Je pense là que soit la responsable veut faire dire ce qu'elle souhaite aux chiffres donnés, soit l'étude n'est pas sérieuse et on ne peut pas s'y fier... Dommage
C'est dommage que l'explication de la différence entre le nombre de partenaires entre hommes et femmes soit le fait d'un biais. Cela décrédibilise l'ensemble des chiffres donnés...
Le fait de découvrir que les femmes et les hommes n'ont pas la même définition de «partenaire» me semble être une découverte en soi, et le fait d'avoir réussi à l'isoler en posant des questions plus objectives sur la nature des rapports me semble au contraire montrer une approche assez solide.
Dire que les hommes ne pensent "qu'avec leur sexe" et les femmes avec leurs sentiments est sacrement réducteur et justement hyper sexiste. Les sondeurs si bien qualifiés doivent forcément connaître ce biais et peuvent avoir des réponses claires. L'étude n'a alors aucun sens ou les résultats montrent un résultat qui n'arrange pas la chargée d'étude qui était invitée...
@@prosperproper8916 cette définition de partenaire donnée en sous texte me semble faite au "doigt mouillé". Ce que peuvent aussi dire ces chiffres c'est que les hommes ont plus de rapports avec différentes femmes, mais aussi qu'un certain nombre de femmes ont bien plus de rapports que la moyenne des hommes!
30 000 personnes interrogées sur plus de 65 millions d'habitants je trouve pas que cela soit représentatif. L'explication des chiffres est intéressante. La sexualité des français évolue mais pas la définition d'un rapport sexuel. Je trouve ça surprenant.
9:13 "Les femmes ne comptent que les hommes qui ont compté" mais ça n'a aucun sens du coup, tout le résultat de l'enquête sociologique s'en retrouve faussé. Difficile de comprendre comment interpréter le terme "partenaire sexuel" autrement que "partenaire avec qui on a une relation sexuelle"...
@@yoyolewigolo4292 Oui mais question prestige les hommes en rajoute en règle générale. Moi j'ai 64 ans, si je compte les femmes qui ont compté dans ma vie, je suis largement en-dessous de 16. Pour les autres, je ne sais plus exactement, pas parce que j'en ai eu tellement de relations mais sur un espace de temps de plus de 40ans, j'ai la mémoire qui flanche.
Une question manque... ou un complément d'information sur cette étude, qu'en est-il de l'influence de la pornographie ou de l'usage de la pornographie ? Je m'étonne qu'il n'y ait pas eu de commentaires à ce sujet...
9:13 Mouais... je trouve surtout que les hommes répondent simplement à la question, sans détour, nombre de partenaires sexuels, point barre. Après on peut creuser sur pourquoi ce besoin de minorer en ne comptant que "ceux qui ont compté" chez les femmes...
Mouais... je préfère faire confiance aux personnes qui ont sondé plus de 30 000 individus que vous... Concernant votre question sur les femmes par contre, personnellement je pense que c'est parce qu'il y a encore ce truc chez les hommes d'être plus un homme si t'as "fait du sexe" avec du monde, alors que chez les femmes il y a encore ce truc d'être moins une femme respectable si t'as fait du sexe avec du monde. La plupart des gens sont sortis de ces stéréotypes je pense mais c'est tellement ancré... ce serait à vérifier !
@@johnattend8987 Ben je trouve quand même que, n'ayant pas sondé approximativement 15 000 hommes, vous ne pouvez pas présager de leurs réponses "simples et sans détour" avec plus de crédibilité que les personnes ayant concrètement mené ces sondages. D'autant que cela sous-entend que les réponses des femmes ne seraient pas simples et avec des détours ? Perso je pense qu'en effet les femmes ne considèrent pas un pelotage comme une relation sexuelle, tandis que les hommes ont tendance à considérer le moindre baiser comme tel et donc céder à l'injonction qui leur est faite d'être un homme selon le nombre de partenaires séduites. Comme vous le dites, chacun amène ses distorsions, ducoup je préfère considérer les distorsions des meneurs de l'étude comme davantage crédibles. C'est une vigilance qu'il est important d'avoir selon moi car sinon les experts se retrouvent potentiellement au même "niveau" que des personnes random. Alors que si ça se trouve vous connaissez le sujet c'est possible, mais dans le doute...
@@13Meduses De ce que j'en sais en tout cas, c'est que d'une manière générale les enquêtes de type "déclaratif" sont soumises à des biais, donc toujours à prendre avec un certain recul... En gros on tend à dire ce qui nous paraît socialement acceptable (désirabilité sociale), après c'est intéressant de chercher à comprendre d'où viennent ces biais !
@@johnattend8987 Ah oui je suis complètement d'accord. Je vous recommande d'écouter Albert Moukheiber qui a été l'invité de "La Dernière" sur radio Nova, l'émission de Meurice. Il est spécialiste du sujet justement et il explique très bien les choses. Ce qui est rassurant c'est qu'il dit lui même que bien qu'ayant travaillé des années sur ces biais cognitifs, il n'est pas capable de pallier à tous ses propres biais. C'est marrant qu'on discute de ça alors que j'ai justement regardé la rediff de l'émission hier lol
je trouve ça scandaleux qu’en 2024, lorsque la penetration anale est abordée par des chercheur.es, îl ne soit toujours pas mentionné s’il est question de recevoir la penetration ou de penetrer, alors qu’un pourcentage important des hommes amène être pénètrés.
Question mémoire des femmes, Jeanne Moreau nous donne la réponse. J'ai la mémoire qui flanche J'me souviens plus très bien Comme il était très musicien Il jouait beaucoup des mains Tout entre nous a commencé Par un très long baiser Sur la veine bleutée du poignet Un long baiser sans fin J'ai la mémoire qui flanche J'me souviens plus très bien Quel pouvait être son prénom Et quel était son nom Il s'appelait, je l'appelais Comment l'appelait-t'on? Pourtant ç'est fou ce que j'aimais L'appeler par son nom J'ai la mémoire qui flanche J'me souviens plus très bien De quel couleur étaient ses yeux? J'crois pas qu'ils étaient bleus Étaient-ils verts, étaient-ils gris? Étaient-ils vert de gris? Ou changeaient-ils tout le temps de couleur Pour un non pour un oui? J'ai la mémoire qui flanche J'me souviens plus très bien Habitait-il ce vieil hôtel Bourré de musiciens Pendant qu'il me, pendant que je Pendant qu'on faisait la fête Tous ces saxos, ces clarinettes Qui me tournaient la tête J'ai la mémoire qui flanche J'me souviens plus très bien Lequel de nous deux s'est lassé De l'autre le premier? Était-ce moi? Était-ce lui? Était-ce donc moi ou lui? Tout ce que je sais c'est que depuis Je n'sais plus qui je suis J'ai la mémoire qui flanche J'me souviens plus très bien Voilà qu'après toutes ces nuits blanches Il me reste plus rien Rien qu'un p'tit air qu'il sifflotait Chaque jour en se rasant Pa dou dou di dou da dou di Dou dou di dou di dou, ah Padoubidoubidoubaba, baboubiboubibouda Pabadabadoubabibouba, parapadabibouba
"Cette enquête très attendue"... Par qui? Ras le bol de cette habitude nauséabonde des journalistes et autres "experts", qui veulent faire passer un acte d'amour, d'intimité et de mystère à la moulinette des sondages, des commentaires et de la politique.
Ben non C’est utile Beaucoup de gens sont coincés Ça fait du bien a ginette ou Juliette de savoir que sa visiblement sa voisine s’éclate plus qu’elle Ça peut la motiver! A la fin on s’amuse tous ensemble et le niveau de stress et de haine baisse..du coup la sté irait bien mieux! Tout est lié cher monsieur !
@@grutfrut5817 Vu l'état de la société et la dépression générale, Léopoldine est très contente d'avoir vécu sa jeunesse à une époque où tout était différent, plus simple et plus respectueux. Elle pense que les Kévin et les Jordan devraient s'en inspirer.
Au dela des failles méthodologiques (definition differente d'un partenaire sexuel et co), il est amusant de constater l'interpretation pour le moins orientée: quand elles expliquent que le mouvement mee too n'a pas eu d'impact sur la sexualité car l'inficateur de satisfaction a augmenté, il me semble que c'est une tres mauvaise interprétation. Pour ma part, je pense que c'est pas ce mouvement initial qui a posé problème, mais tout le déversement misandre qui l'a accompagné et toute l'anxiete que cela a impliqué autour du "premier pas" ou du "premier baisé" dans l'espace publique, une maladresse pouvant etre denoncé publiquement comme une authentique agression sexuelle prémédité. Et c'est pas sur l'indicateur de satisfaction sexuel que l'impact doit avoir lieu, mais sur l''age des premiers rapports, or justement ils reculent! Ceci illustre au passage clairement que la diminution masculine de la prise de risque de la drague ou du premier pas n'est aucunement contre balancée par une prise de risque de la drague ou du premier pas par les femmes. Ainsi, malgré les slogans féministes autour de l'autonomie et de la prise de pouvoir par les femmes, elles continuent globalement à etre passive dans les premiers pas. En france, un homme interessant, avec une bonne situation, beau gosse et respectueux n'aura de partenaires que s'il est actif. Le fameux slogan "laisser le charme agir" est une realité pour les femmes mais une publicité mensongère pour les hommes. Les résultats de cette enquête sont coherent avec cette interpretation.
9:12 Nombre de partenaires sexuels: c'est a ceux qui créent le questionnaire de définir ce qui compte et ce qui ne compte pas. Si le reste du questionnaire est à l'image de cette question, alors les réponses n'ont pas trop d'intérêt‼ ¯\_(ツ)_/¯
C'est aussi une étude comparative dans le temps. Les pratiques et les définitions ont dû fortement évoluer depuis 2006 et 1992, et elles évolueront d'ici là prochaine étude. La masturbation mutuelle sera-t-elle inclue d'ici là prochaine étude ? L'aurait-elle été en 1992?
@@yoyolewigolo4292 Vous avez parcouru les autres commentaires? Vous en avez plusieurs qui disent plus ou moins la même chose que moi. Si "la question est limpide et simple", les réponses auraient dû l'être aussi. Ca ne me dérange pas qu'à une question 'simple', des réponses floues vous conviennent. Moi, ça m'interpelle.
@ bon…est ce que la chercheuse dit que les hommes ont un biais sur ce sujet ? Non. Pkoi ? Parce que lorsque la chercheuse fait son questionnaire elle s’attend à une réponse. Réponse que les hommes interrogés donnent plus en fonction du sens de la question tandis que les femmes interrogées donnent une réponse selon leur interprétation de la question…. Et il parait que les hommes sont plus mauvais en communication. Et pour vous donner une preuve de la mauvaise foi des gens qui interviennent si demain on leur demande si votre mari ou compagnon a une relation sexuelle même sans lendemain avec une femme considérez vous ça comme une tromperie étrangement tu auras un oui massif et la bizarrement tu aura bcp moins d’interprétations…
Je réalise en écoutant l’émission que les « trucs que j’ai faits » ado et plus tard, avec des amies ( pas tellement non plus mais quand même) eh bien je ne les ai jamais « comptés « . Comme si c’était resté à part de ma vie sexuelle. Je n’ai rien oublié ni refoulé mais voilà, c’était autre chose. Peut-être que la différence avec 92, c’est que maintenant les jeunes femmes qui se considèrent « hétéros » savent que ces moments font partie de leur vie sexuelle. Grâce à la pop culture etc. Il y a 30 ans encore, tout était très hétérocentré, surtout pour les filles. Bon y’avait Madonna, mais elle ne s’affichait jamais en couple avec une femme. Je ne parle pas du tout d’un point de vue d’une jeune fille lesbienne, qui était forcément très différent.
Heterocentré…moi perso j’ai l’impression qu’aujourd’hui le soit disant tabou de la sexualité est complètement deverouillle…on est clairement sexocentre….
@@chawarma1048 non mais vous plaisantez, la sexualité est un sujet très médiatisé… Je vous recommande d’aller dans des pays plus strictes pour vous en rendre compte. Ça parle de sodomie au petit-déjeuner, je sais pas ce qu’il vous faut dé plus.. Le terme tabou est ultra galvaude
Tiens, salut M. Barnier, voici une idée de là ou taper dans le budget. Je dis pas que c'est inintéressant. Je dis juste qu'à l'heure des restrictions budgétaires, c'est un exemple flagrant d'argent qui pourrait etre placé ailleurs Mais mnt que l'étude est faite, j'aimerais souligner que c'est la France, ils osent pas faire de classification ethnique. Mais ça parait assez évident que des personnes ayant une appartenance plus marquée à une communauté religieuse entrent plus tard dans leur vie sexuelle.
Est-ce que l'augmentation de l'âge du premier rapport a un lien avec un renouveau, dans les nouvelles générations, de la quotepart des personnes respectant les prescriptions religieuses?
Un mathématicien pourrait-il m'expliquer comment un homme a pu avoir 18 partenaires alors qu'une femme en a eu 8 en moyenne...? Qui ment ou fantasme? On dit que les hommes les comptent tandis que les femmes ne se souviennent que des partenaires qui ont eu de l'importance! MDR! Quel est l'intérêt de cette étude?
C'est une étude sociale donc il y a des gens et leurs biais. Les mathématiciens n'interrogent pas des gens au téléphone. Oui certain-es peuvent mentir, ça a toujours été. Il faut aussi regarder les tendances depuis 2006 et 1992
Ça peut être expliqué de pas mal de manières. Gonflage de chiffres sur les déclarations. Notion divergente de ce qu'est un rapport sexuel. Rapports homosexuels pris en compte ou pas. Prise en compte des prostituées dans le nombre de partenaires sexuels. Refus de personnes vierges de répondre au sondage. Tant que l'on n'a pas la précision de l'étude, comment elle a été menée, pas possible d'en déduire quoi que ce soit.
Femmes + fluides/orientation sexuelle?? Parmi celles interrogées, combien se sont tournées vers l'homosexualité (LGBT) consécutivement à des agressions sexuelles??
Quelle est la part d'influence de la p*rno dans la hausse de certaines pratiques, notamment homosecsuelles entre jeunes femmes et le secs anal qui sont si présents dans ce type de film. Aussi, avez-vous sondé les pratiques de geste violent dans les rapports ? Je me demande aussi s'il y a pas une régression autour du partage du plaisir, i.e. qu'il y a retour du plaisir centré sur les besoins des hommes ou qui les priorise.
On a l'impression que la sexualité des gens ressemble de plus en plus à celle qui est montrée dans les médias. C'est fou comme ça arrive souvent. C'est montré dans les médias et ça reflète le comportement des gens. La sexualité, l'angoisse climatique, les troubles mentaux chez les jeunes .... Je trouve ça parfait cette adéquation. Tout le monde est vraiment en phase.
Alors concernant la sexualité "montrée" dans les médias... De quels médias parlez-vous ? On parle bien des chaînes d'infos, les journaux, ce genre de truc ? Où voyez-vous un étalage de sexualité ? J'ai bien plus l'impression qu'il s'agit, comme beaucoup d'autres sujets important/intéressant, d'un grand silence généralisé, non ? Et à propos de l'angoisse climatique, les troubles mentaux chez les jeunes (et pas que)... oui... car les médias ne nourrissent de la population et la population se nourrit des médias. Je ne vois pas bien ce qu'il y a de si étrange... C'est même normal. Ca ne veut pas dire que TOUS les médias font TOUT LE TEMPS du bon travail, juste qu'il est normal que média et population s'alignent... au moins parfois. Car c'est le but initial d'un média non ? Se faire porte-parole et caisse de résonance ?
@phigou et bien on a souvent l'impression que la caisse de résonnance c'est pas exactement ce que vit le peuple mais ce que certains veulent mettre en avant. Et par contagion le peuple suit et après on constate que c'est devenu normal. En vrai il y a plein de phénomènes qui, si on en parlerait pas tant, ne se développeraient pas tant ou même disparaitraient. Les médias font plutôt de la propagande qu' office de caisse de résonnance. Et parfois sans s'en rendre compte parce que ça devient dans l'air du temps.
30% des femmes ont subi une agression ou tentative d'agression sexuelle. Quasiment une femme sur trois. Comment avoir de l'estime pour les hommes ensuite ?!?
Pas les hommes ni même 30% d'hommes déjà . Et puis se faire accuser quand on a rien fait ne donne pas spécialement d'estime envers les femmes non plus.
@@iziah4051 réponse rationnelle que les militantes et militants n'entendront pas, pas grave! cependant il y a une précision à donner: il est essentiel d'avoir de l'estime pour les femmes et d avoir la liberté de penser suffisante pour ne pas en avoir autant pour les militantes et les militants, nuance importante donc! d'autre part les hommes équilibrés et respecteux ne peuvent pas porter eternellement la souffrance des victimes d'homme déviants. Si on pense comme Sartre que l ‘homme est responsable de tout ce qui lui arrive et même au-delà de sa propre existence alors les hommes et elles femmes qui combattent le masculin pour des raisons militantes doivent également prendre la responsabilité de cette attaque et comprendre ce qu’elle veut dire vraiment ce qui n’est pas clair pour celles et ceux qui la pratique de manière réactive, indignée ou par simple pression professionnelle et sociétale . Les victimes doivent etre reconnues sans devenir des donneuses d'ordre ou des procureurs à charge du masculin. La haine du masculin ne vous appartient pas si j’ose dire les hommes eux mêmes peuvent rejeter ou être irrités ou par certain type de masculinité et pas seulement les masculinités déviantes ou condamnées pénalement.il n ‘y a pas deux féminités identiques, il n y a pas deux masculinités identiques.
@yohann2217 dès lors que les médias et les " scientifiques" disent aux citoyens ce qu'ils sont, ce qu'ils aiment et ce pourquoi il doivent se battre , j'ai quand même des doutes.
@@yohann2217 ll y a des gens qui sont parfois ou souvent militants qui choisissent leurs sujets d'étude et leur protocole et après ça passe pour des conclusions scientifiques. Et au final les gens pensent que c'est vrai.
Ben avoir plein de partenaires ca marche avec beaucoup plus de célibataire .. on s’amuse plus. Triomphe du libéralisme Et sur ce plan c’est tres bien. C’est logique
21mî de blabla, insupportable les mots essentiels sont majeur, important, marquant, plus et moins !!! Pour les infos : 3 infos chiffres et quelques…ON ATTEND LES RÉSULTATS, pas du blabla !!!
Il serait intéressant d'effectuer une étude sur le langage entre les genres, sans aller jusqu'à une meta etude, lier cette enquête sur la sexualité et le langage, histoire de savoir de quoi on parle. On entend surtout des postures, c'est étrange d'observer la subjectivité disant être objective (oui je suis subjectif mais je ne prétends pas le contraire, c'est tout l'enjeu ici) PS: concernant la conclusion sur la bisexualité plus importante chez les femmes, encore une fois ça fait 15ans que ça a commencé...
C’est vrai, il n’y a plus de sexualité = plus de sensualité.. Il y a du porno Commercial ( ça rapporte beaucoup d’argent ): Juste de la consommation , un mécanisme, On consomme du porno comme on consomme: de la drogue , l’alcool, la cigarette , du chocolat pour assouvir des envies.
Il fait beau aujourd'hui ! Ce commentaire ne devrait pas être envoyé à la cave par la super intelligence artificielle qui modère nos blagues☀ Tout ça parce que j'ai écrit "sodomie" ? Et que je disais que cette pratique était en nette progression depuis 2017 ?
Faire une étude qui se veut rigoureuse et, dans la présentation des résultats, émettre une hypothèse sur la manière de compter ses partenaires chez les hommes VS chez les femmes ? On est loin de la rigueur scientifique.
Ben si c'est justement de la rigueur scientifique en sociologie de s'intéresser à la façon dont les groupes se définissent et définissent leur pratique
Ces enquêtes sur la sexualité, c'est comme les enquêtes sur les revenus : les mythos multiplient par 4, les paranos divisent par 2. Rien de fiable, c'est bidon.
L'arrogance des "scientifiques" qui doivent justifier le coût de tout cela en expliquant que leurs résultats sont plus fiables que des sondages. La vérité c'est qu'ils n'en savent rien. C'est toujours du déclaratif.
Effectivement, c'est le premier problème. Les gens mentent même à leur psy, donc malgré la soit-disant "méthodologie rigoureuse", c'est léger. Ça fait plus de 15ans que les "déclarations" (plus que douteuses, surtout il y a 15ans) montrent une augmentation de l'âge des premiers rapports, ça aurait dû être pointé du doigt. Le fait que ça débute à 17ans visiblement ça plaisait, mais c'est plus nuancé, et la masse rend invisible les pratiques minoritaires. Un peu étrange de parler de rigueur lorsqu'il est question de prendre pour une vérité des interprétations basées sur des témoignages.
@b.g.2395 Pouah, quelqu'un qui préfère les sondages au travail universitaire, ça en dit long sur notre déchéance. En matière d'arrogance, c'est toi qui l'emporte.
@@ArnaudSibille il n'as pas dit qu'il préférait mais que c'etait autant pas fiable ( déclaratif). Les biais universitaires ça existe dans pas mal de disciplines. Pour ne pas dire toute et à chaque fois. Surtout dans les sciences sociales..
@@iziah4051 Sauf que c'est faux -- même si, effectivement, il y a toujours une part de mensonge dans les réponses que les gens font (ça se voit notamment en médecine, par exemple). A partir de ce constat, on peut malgré tout construire des travaux sérieux, qui pour le coup n'ont rien à voir avec les instituts de sondage. Les "biais universitaires" existent sans doute, parce que la science est faite par des gens, oui ; mais ils sont plus limités qu'ailleurs grâce à la méthodologie, au nombre et à la variété des universitaires, qui travaillent sur les mêmes sujets et corroborent leurs résultats. Mettre les universitaires et les sondeurs sur le même plan, au motif qu'une partie des gens ment de toute façon, c'est vraiment se planter dans les choux : il y a une vraie différence entre les sondages et les sciences sociales. Après, on peut leur reprocher tout le laïus que l'on sort habituellement contre les sciences humaines, ça ne change pas grand-chose à l'affaire.
Bravo champion, on t'invite à la prochaine émission ? L'émancipation de la femme, les couples qui font et se défont, l'avènement et le développement massif des applications de rencontre et du speed-dating, les sexualités et les pratiques qui évoluent, etc. Bon le porno bien-sûr, t'as un peu raison quand même
@vincev.5068 J étais simplement surpris qu'il n y ait aucune référence à la influence du porno durant l interview. Donc j' ai simplifié dans l'autre sens en qq mots😀
@@commercialcbc Ok mais là tu exclus les individus sans partenaires de la moyenne alors.16 et 16 femmes sont sur un bateau. H1...H16 ont tous une relation avec F1. Il y aura 1 femmes à 16 et 15 à 0. En moyenne cela fait un partenaire par femme... et par homme. Je pense qu'on exclut les partenaire sans relation. Et si H1a une relation avec chaque F, alors 16 en moyenne pour les hommes ("ayant eu des relations"), et 1 pour les F. Je ne vois pas d'autre explication. Non ?
@@grutfrut5817 Bien vu. Mais je me disais que les femmes aussi ont des relations homosexuelles. Pas de stigmatisation. A moins que les hommes homosexuels est bcp plus de partenaires que les femmes homosexuelles. Est-ce que cela suffit à expliquer un nombre de partenaire qui varie du simple au double pour l'ensemble de la population ?
@@b.g.2395 Par exemple, si les femmes homosexuelles ont en moyenne 8 partenaires, et si les hommes et femmes homosexuels représentent environ 10% de la population, il faut que la moyenne soit à 80 chez les hommes pour expliquer cet écart. Ça me paraît irréaliste. Au passage, l'hypothèse simplificatrice suivant laquelle on est soit homo soit hétéro ne change rien au problème.
08:20 : revoilà l'interprétation et le subjectif. D'ailleurs c'est toujours important en science "sociale" "humaine" de savoir qui parle. J'aurais aimé connaitre l'orientation sexuelle des chercheurs qui projettent souvent dans leurs analyses leurs propres pratiques et opinions.
Non non par contre ce n'est pas du féminisme ici, c'est un peu le bazar niveau méthodologique mais c'est parce qu'a été trouvé un écart important entre la réalité et ce qui est déclaré. Est-ce que ce serait lié à des expériences personnelles... ? Probablement. Par contre les assomptions, les biais évoqués plus tardivement, sont profondément faux et méprisants. Ce genre de discours fait du mal à notre société, le mépris est profondw et forcément c'est un cliché la personne qui nous dit cela. C'est dommage, et grave, de ne pas avoir conscience de l'importance de la communication pour des gens soit-disant "rigoureux" (aucune notion de la proportionnalité) En somme, on dirait une IA.
"elles avouent une attirance"
"elles déclarent* une attirance"
Merci à Nathalie Bajos d'avoir corrigé.
On avoue une faute en revanche on déclare une orientation sexuelle.
Y a des frais douaniers dessus ?
@simonsimon5120 Ne vous limiter pas à l'unique définition que vous connaissez de ce verbe. Vous avez Google au bout des doigts. Avouer : Reconnaître qu'une chose est ou n'est pas. (Dictionnaire Robert)
On peut regretter une chose : qu'il n'y ait pas une tentative d'interpréter les évolutions à l'oeuvre en fonction des évolutions sociales. Par exemple, la baisse moyenne de la sexualité, en particulier chez les adolescents, serait-elle liée à des questions de revenu ? Exemple typique : l'accès au logement, la stabilité professionnelle, etc. Cette baisse moyenne serait-elle liée à une évolution de la variance, avec par exemple de plus grandes inégalités corrélées au revenu ? Un jeune adulte qui a bon salaire, un bon diplôme, trouve facilement un appartement, vit dans une grande ville, a un bon réseau d'amis, a un bon accès au système de soins (exemple : les soins dentaires chez les adolescents) a-t-il une vie sexuelle plus épanouissante qu'un agriculteur ou un chômeur en zone rurale ? La différence si elle existe a-t-elle tendance à s'amplifier ?
@@Piotr27654 Bonnes questions
Peut-être peut-on tirer de cette étude la marque d'une sexualité davantage choisie qu'auparavant.
C'est fort possible !
On peut surtout déclarer qu'elle est plus libre, peut-être trop, qu'avant. A une époque, c'était mal vu d'être homo ou d'avoir plusieurs partenaires.
@@EtienneCourivaud "Trop" ? Comment peut-on avoir *trop* de liberté ?
@@lecommentaire4639 trop de liberté tue la liberté, comme trop d'urgences tue l'urgence. Être libre, c'est bien, mais ça ne te permet pas de faire tout ce que tu veux, genre se promener nu en ville.
@@lecommentaire4639 Tout dépend de la définition de la liberté. Quand Bolloré prend son jet privé plusieurs fois par jour, on peut s'accorder pour dire qu'il a trop de liberté
Et ben voilà, ils savent écouter et poser des questions. Pourquoi c'est différent quand c'est politique ?
Parce qu'ils doivent se sentir plus "experts" en politique qu'en sexualité?
Ben on a pas de religieux autour de la table
Lol
La politique beurkk
Parce que les politiques louvoient, sans bousculade vous n'aurez que de la langue de bois.
@@enomoeb ce n'est pas mon point de vue avec tous. Ils sont sans cesse emmené sur le clash, le commentaire de pacotille, la polémique au lieu de permettre à chacun de se faire une idée objective des projets. Ils pourraient faire leur travaille de journaliste, ils préfèrent soumettre les éléments de langage du gouvernement.
J’ai de gros doutes sur ce que raconte cette étude.
On aurait de plus en plus de partenaires alors que l’on voit énormément de célibataires partout y compris dans les statistiques.
Je pense pour ma part que la fréquentation massive de site a largement détruit les relations hommes femmes
Cette consommation de porno a également conduit de nombreux sondés à penser que ce qu’ils voient sur ces sites est la norme et donc font des réponses en fonction de cela
Certes mais j’ai des doutes
8 partenaires en moyenne pour les femmes c’est bcp 16 pour les hommes c’est le double
Je pense que ce biais statistique ne s’explique pas par autre chose que par l’affabulation.
Je ne crois pas aux explications alambiquées
@@Fabrice61516 pour les hommes ça me paraît un peu juste
Possible, pour ma part en tout cas je me vois mal relationner s*xuellement avec un porn-addict.
@Fabrice615 Il me semble que vous confondez "partenaire se*xuel" et "partenaire de couple". La se*ualité peut être liée à la notion de couple/mariage/romance, mais pas forcément. C'est un concept indépendant. D'où cette possible dissonance que vous notez entre le nombre de partenaires mais une augmentation du nombre de célibataire.
Ceci dit, les sites pour adultes ont sûrement joué un rôle dans l'évolution des rapports H/F dans une dynamique de couple (et donc leur diminution ?), comme d'autres phénomènes : l'individualisation croissance de la société, la remise en question d'un patriarcat, le changement des attentes derrière la notion de couple, l'augmentation de l'autonomie des femmes...
Pour ce qui du rapport sites pour adulte / évolution des pratiques... à nouveau, ça a sûrement joué, mais ce n'est pas le seul facteur. De part la simple augmentation du nombre de gens déclarant avoir des partenaires de même sexe/genre qu'eux, un appel d'air se fait pour l'augmentation de pratiques qui étaient alors plus minoritaires (car on ne fait pas pas le même sexe si c'est H/F que H/H ou F/F). L'affirmation "un rapport normal = une p*nétration va*inale" est simplement entrain de s'effriter au profit d'une question "comment, d'égal à égal, veut-on se faire plaisir ?".
@@Fabrice615Si vous aviez bien écouté, elles expliquent que les hommes comptent toutes leurs partenaires sexuelles, y compris les coups d'un soir, alors que les femmes ne prennent en compte que les partenaires qui ont compté (= pour qui elles ont eu des sentiments) quand elles répondent à la même question.
Mais je comprends pas, pourquoi ils ne conviendraient pas d'une définition commune dans leur etude sur ce qui constitue un partenaire sexuel? Ca fausse complètement leurs chiffres
La masturbation à 2 ça compte ?
ça le fausserait s'ils ne l'avaient pas remarqués… Je pense qu'ils ont fait ce qu'il fallait pour mesurer cette distorsion du sens en mesurant d'autres choses. C'est également intéressant de mesurer une différence genrée à propos d'une relation qu'on imagine toujours comme symétrique…
@@prosperproper8916 rien ne t'empêche de séparer en plusieurs questions pour intégrer chaque conception.. là ça donne un résultat statistiquement impossible donc une preuve que les chiffres ne sont pas fiables, si les chiffres sont pas fiables sur cette question ça mine la crédibilité de tout le reste
@@MrTaask oui, je crois qu'on est d'accord là dessus, et je pense que c'est précisément ce qu'ils ont fait pour en déduire que la distortion venait majoritairement d'une définition genrée, et pas d'une différence de comportement.
@@MrTaask Je pense que c'est justement la précision faite dans cette interview qui pose problème :
Nous avons une question claire qui montre une nette disparité. On nous précise alors un sous-texte qui n'est pas évident qui nous parle d'une différence dans la manière de répondre selon que l'on soit une fille ou un garçon. Non seulement ce comportement semble sexiste (un homme ne penserait que rapport sans sentiment et une femme "oublierait" un rapport s'il n'a pas une certaine connotation sentimentale qui serait le seul trait de la femme...),
Mais pire encore, il paraît que les sondeurs sont sur-qualifiés...ils devraient donc anticiper les réponses genrées pour obtenir les vrais chiffres et permettre une saine comparaison. Je pense là que soit la responsable veut faire dire ce qu'elle souhaite aux chiffres donnés, soit l'étude n'est pas sérieuse et on ne peut pas s'y fier... Dommage
C'est dommage que l'explication de la différence entre le nombre de partenaires entre hommes et femmes soit le fait d'un biais. Cela décrédibilise l'ensemble des chiffres donnés...
Le fait de découvrir que les femmes et les hommes n'ont pas la même définition de «partenaire» me semble être une découverte en soi, et le fait d'avoir réussi à l'isoler en posant des questions plus objectives sur la nature des rapports me semble au contraire montrer une approche assez solide.
Non ça met le dois sur un fait sociologique, les hommes et les femmes ne conçoivent pas les choses de la même manière.
Dire que les hommes ne pensent "qu'avec leur sexe" et les femmes avec leurs sentiments est sacrement réducteur et justement hyper sexiste.
Les sondeurs si bien qualifiés doivent forcément connaître ce biais et peuvent avoir des réponses claires.
L'étude n'a alors aucun sens ou les résultats montrent un résultat qui n'arrange pas la chargée d'étude qui était invitée...
@@prosperproper8916 cette définition de partenaire donnée en sous texte me semble faite au "doigt mouillé".
Ce que peuvent aussi dire ces chiffres c'est que les hommes ont plus de rapports avec différentes femmes, mais aussi qu'un certain nombre de femmes ont bien plus de rapports que la moyenne des hommes!
éude pour pervers, tout le monde raconte ce qu'il veut
30 000 personnes interrogées sur plus de 65 millions d'habitants je trouve pas que cela soit représentatif.
L'explication des chiffres est intéressante.
La sexualité des français évolue mais pas la définition d'un rapport sexuel. Je trouve ça surprenant.
Saviez ne serait-ce ce que représente le travail pour interviewer 30 000 personnes et interpréter les résultats?
30mille personnes c’est énorme, ils utilisent des panel représentatifs de la société . Ils vont pas te prendre 30 milles gens au hasard comme ça…
Beaucoup de sondages n'ont que 1500 à 3000 personnes interrogées.
9:13 "Les femmes ne comptent que les hommes qui ont compté" mais ça n'a aucun sens du coup, tout le résultat de l'enquête sociologique s'en retrouve faussé. Difficile de comprendre comment interpréter le terme "partenaire sexuel" autrement que "partenaire avec qui on a une relation sexuelle"...
En réalité si tu considères les réponses des hommes commode plus fiables, tu peux en déduire que les femmes obtiennent peu ou proue le même résultat…
@@yoyolewigolo4292
Oui mais question prestige les hommes en rajoute en règle générale. Moi j'ai 64 ans, si je compte les femmes qui ont compté dans ma vie, je suis largement en-dessous de 16. Pour les autres, je ne sais plus exactement, pas parce que j'en ai eu tellement de relations mais sur un espace de temps de plus de 40ans, j'ai la mémoire qui flanche.
@ c’était la tendance
Avant c’est vrai maintenant ce n’est plus le cas puisque contrairement à ce qui est dit c’est
Aujourd’hui plutôt mal vu
Pour résumer, on fais moins de sexe mais de meilleure qualité. Plutôt positif ça !
Une question manque... ou un complément d'information sur cette étude, qu'en est-il de l'influence de la pornographie ou de l'usage de la pornographie ?
Je m'étonne qu'il n'y ait pas eu de commentaires à ce sujet...
9:13 Mouais... je trouve surtout que les hommes répondent simplement à la question, sans détour, nombre de partenaires sexuels, point barre. Après on peut creuser sur pourquoi ce besoin de minorer en ne comptant que "ceux qui ont compté" chez les femmes...
Mouais... je préfère faire confiance aux personnes qui ont sondé plus de 30 000 individus que vous... Concernant votre question sur les femmes par contre, personnellement je pense que c'est parce qu'il y a encore ce truc chez les hommes d'être plus un homme si t'as "fait du sexe" avec du monde, alors que chez les femmes il y a encore ce truc d'être moins une femme respectable si t'as fait du sexe avec du monde. La plupart des gens sont sortis de ces stéréotypes je pense mais c'est tellement ancré... ce serait à vérifier !
@@johnattend8987 Ben je trouve quand même que, n'ayant pas sondé approximativement 15 000 hommes, vous ne pouvez pas présager de leurs réponses "simples et sans détour" avec plus de crédibilité que les personnes ayant concrètement mené ces sondages. D'autant que cela sous-entend que les réponses des femmes ne seraient pas simples et avec des détours ? Perso je pense qu'en effet les femmes ne considèrent pas un pelotage comme une relation sexuelle, tandis que les hommes ont tendance à considérer le moindre baiser comme tel et donc céder à l'injonction qui leur est faite d'être un homme selon le nombre de partenaires séduites. Comme vous le dites, chacun amène ses distorsions, ducoup je préfère considérer les distorsions des meneurs de l'étude comme davantage crédibles. C'est une vigilance qu'il est important d'avoir selon moi car sinon les experts se retrouvent potentiellement au même "niveau" que des personnes random. Alors que si ça se trouve vous connaissez le sujet c'est possible, mais dans le doute...
@@13Medusesles femmes sont plutôt médusées sur le sujet
@@13Meduses De ce que j'en sais en tout cas, c'est que d'une manière générale les enquêtes de type "déclaratif" sont soumises à des biais, donc toujours à prendre avec un certain recul... En gros on tend à dire ce qui nous paraît socialement acceptable (désirabilité sociale), après c'est intéressant de chercher à comprendre d'où viennent ces biais !
@@johnattend8987 Ah oui je suis complètement d'accord. Je vous recommande d'écouter Albert Moukheiber qui a été l'invité de "La Dernière" sur radio Nova, l'émission de Meurice. Il est spécialiste du sujet justement et il explique très bien les choses. Ce qui est rassurant c'est qu'il dit lui même que bien qu'ayant travaillé des années sur ces biais cognitifs, il n'est pas capable de pallier à tous ses propres biais. C'est marrant qu'on discute de ça alors que j'ai justement regardé la rediff de l'émission hier lol
je trouve ça scandaleux qu’en 2024, lorsque la penetration anale est abordée par des chercheur.es, îl ne soit toujours pas mentionné s’il est question de recevoir la penetration ou de penetrer, alors qu’un pourcentage important des hommes amène être pénètrés.
@@cerisebustarret "scandaleux" (rires)
Question mémoire des femmes, Jeanne Moreau nous donne la réponse.
J'ai la mémoire qui flanche
J'me souviens plus très bien
Comme il était très musicien
Il jouait beaucoup des mains
Tout entre nous a commencé
Par un très long baiser
Sur la veine bleutée du poignet
Un long baiser sans fin
J'ai la mémoire qui flanche
J'me souviens plus très bien
Quel pouvait être son prénom
Et quel était son nom
Il s'appelait, je l'appelais
Comment l'appelait-t'on?
Pourtant ç'est fou ce que j'aimais
L'appeler par son nom
J'ai la mémoire qui flanche
J'me souviens plus très bien
De quel couleur étaient ses yeux?
J'crois pas qu'ils étaient bleus
Étaient-ils verts, étaient-ils gris?
Étaient-ils vert de gris?
Ou changeaient-ils tout le temps de couleur
Pour un non pour un oui?
J'ai la mémoire qui flanche
J'me souviens plus très bien
Habitait-il ce vieil hôtel
Bourré de musiciens
Pendant qu'il me, pendant que je
Pendant qu'on faisait la fête
Tous ces saxos, ces clarinettes
Qui me tournaient la tête
J'ai la mémoire qui flanche
J'me souviens plus très bien
Lequel de nous deux s'est lassé
De l'autre le premier?
Était-ce moi? Était-ce lui?
Était-ce donc moi ou lui?
Tout ce que je sais c'est que depuis
Je n'sais plus qui je suis
J'ai la mémoire qui flanche
J'me souviens plus très bien
Voilà qu'après toutes ces nuits blanches
Il me reste plus rien
Rien qu'un p'tit air qu'il sifflotait
Chaque jour en se rasant
Pa dou dou di dou da dou di
Dou dou di dou di dou, ah
Padoubidoubidoubaba, baboubiboubibouda
Pabadabadoubabibouba, parapadabibouba
Quand même 16 femmes en même temps je sais pas si je pourrais...
Comment ça "en même temps"? Il s'agit des partenaires au cours d'une vie ?
Il y a des sujets qui sont un peu gênants à aborder, mais quand on est dedans, on se rend compte que tout le monde essaye un peu de tout.
c'est du pain béni pour les chroniques de matthieu noel cette émission
Et Daniel Morin 😅
@@virginied.3779Quand on a rien à dire on peut parler longtemps
"Cette enquête très attendue"... Par qui?
Ras le bol de cette habitude nauséabonde des journalistes et autres "experts", qui veulent faire passer un acte d'amour, d'intimité et de mystère à la moulinette des sondages, des commentaires et de la politique.
Etrange que vous preniez le temps d'écouter cette vidéo si vous n'êtes pas intéressé par l'enquête sociologique. Personne ne vous force à le faire
Ok Léopoldine.
Ben non
C’est utile
Beaucoup de gens sont coincés
Ça fait du bien a ginette ou Juliette de savoir que sa visiblement sa voisine s’éclate plus qu’elle
Ça peut la motiver!
A la fin on s’amuse tous ensemble et le niveau de stress et de haine baisse..du coup la sté irait bien mieux! Tout est lié cher monsieur !
@@Pothe0 Je ne l'ai pas écoutée. Le titre m'a suffi.
@@grutfrut5817 Vu l'état de la société et la dépression générale, Léopoldine est très contente d'avoir vécu sa jeunesse à une époque où tout était différent, plus simple et plus respectueux. Elle pense que les Kévin et les Jordan devraient s'en inspirer.
Au dela des failles méthodologiques (definition differente d'un partenaire sexuel et co), il est amusant de constater l'interpretation pour le moins orientée: quand elles expliquent que le mouvement mee too n'a pas eu d'impact sur la sexualité car l'inficateur de satisfaction a augmenté, il me semble que c'est une tres mauvaise interprétation.
Pour ma part, je pense que c'est pas ce mouvement initial qui a posé problème, mais tout le déversement misandre qui l'a accompagné et toute l'anxiete que cela a impliqué autour du "premier pas" ou du "premier baisé" dans l'espace publique, une maladresse pouvant etre denoncé publiquement comme une authentique agression sexuelle prémédité.
Et c'est pas sur l'indicateur de satisfaction sexuel que l'impact doit avoir lieu, mais sur l''age des premiers rapports, or justement ils reculent!
Ceci illustre au passage clairement que la diminution masculine de la prise de risque de la drague ou du premier pas n'est aucunement contre balancée par une prise de risque de la drague ou du premier pas par les femmes. Ainsi, malgré les slogans féministes autour de l'autonomie et de la prise de pouvoir par les femmes, elles continuent globalement à etre passive dans les premiers pas.
En france, un homme interessant, avec une bonne situation, beau gosse et respectueux n'aura de partenaires que s'il est actif. Le fameux slogan "laisser le charme agir" est une realité pour les femmes mais une publicité mensongère pour les hommes.
Les résultats de cette enquête sont coherent avec cette interpretation.
9:12 Nombre de partenaires sexuels: c'est a ceux qui créent le questionnaire de définir ce qui compte et ce qui ne compte pas.
Si le reste du questionnaire est à l'image de cette question, alors les réponses n'ont pas trop d'intérêt‼ ¯\_(ツ)_/¯
C'est aussi une étude comparative dans le temps. Les pratiques et les définitions ont dû fortement évoluer depuis 2006 et 1992, et elles évolueront d'ici là prochaine étude. La masturbation mutuelle sera-t-elle inclue d'ici là prochaine étude ? L'aurait-elle été en 1992?
@@yoyolewigolo4292 Vous avez parcouru les autres commentaires? Vous en avez plusieurs qui disent plus ou moins la même chose que moi.
Si "la question est limpide et simple", les réponses auraient dû l'être aussi.
Ca ne me dérange pas qu'à une question 'simple', des réponses floues vous conviennent. Moi, ça m'interpelle.
@ bon…est ce que la chercheuse dit que les hommes ont un biais sur ce sujet ? Non.
Pkoi ? Parce que lorsque la chercheuse fait son questionnaire elle s’attend à une réponse. Réponse que les hommes interrogés donnent plus en fonction du sens de la question tandis que les femmes interrogées donnent une réponse selon leur interprétation de la question….
Et il parait que les hommes sont plus mauvais en communication.
Et pour vous donner une preuve de la mauvaise foi des gens qui interviennent si demain on leur demande si votre mari ou compagnon a une relation sexuelle même sans lendemain avec une femme considérez vous ça comme une tromperie étrangement tu auras un oui massif et la bizarrement tu aura bcp moins d’interprétations…
Je réalise en écoutant l’émission que les « trucs que j’ai faits » ado et plus tard, avec des amies ( pas tellement non plus mais quand même) eh bien je ne les ai jamais « comptés « . Comme si c’était resté à part de ma vie sexuelle. Je n’ai rien oublié ni refoulé mais voilà, c’était autre chose. Peut-être que la différence avec 92, c’est que maintenant les jeunes femmes qui se considèrent « hétéros » savent que ces moments font partie de leur vie sexuelle. Grâce à la pop culture etc. Il y a 30 ans encore, tout était très hétérocentré, surtout pour les filles. Bon y’avait Madonna, mais elle ne s’affichait jamais en couple avec une femme. Je ne parle pas du tout d’un point de vue d’une jeune fille lesbienne, qui était forcément très différent.
Votre témoignage est super intéressant merci beaucoup !
Heterocentré…moi perso j’ai l’impression qu’aujourd’hui le soit disant tabou de la sexualité est complètement deverouillle…on est clairement sexocentre….
@@yoyolewigolo4292 ah oui ? Moi je ne trouve pas justement.
@@chawarma1048 non mais vous plaisantez, la sexualité est un sujet très médiatisé…
Je vous recommande d’aller dans des pays plus strictes pour vous en rendre compte.
Ça parle de sodomie au petit-déjeuner, je sais pas ce qu’il vous faut dé plus..
Le terme tabou est ultra galvaude
@@yoyolewigolo4292 et 5oi tu est avant centre
C'est vrai aujourd'hui même les nonnes vont voir les Chippendales.
?!
Tiens, salut M. Barnier,
voici une idée de là ou taper dans le budget. Je dis pas que c'est inintéressant. Je dis juste qu'à l'heure des restrictions budgétaires, c'est un exemple flagrant d'argent qui pourrait etre placé ailleurs
Mais mnt que l'étude est faite, j'aimerais souligner que c'est la France, ils osent pas faire de classification ethnique. Mais ça parait assez évident que des personnes ayant une appartenance plus marquée à une communauté religieuse entrent plus tard dans leur vie sexuelle.
Est-ce que l'augmentation de l'âge du premier rapport a un lien avec un renouveau, dans les nouvelles générations, de la quotepart des personnes respectant les prescriptions religieuses?
Un mathématicien pourrait-il m'expliquer comment un homme a pu avoir 18 partenaires alors qu'une femme en a eu 8 en moyenne...? Qui ment ou fantasme? On dit que les hommes les comptent tandis que les femmes ne se souviennent que des partenaires qui ont eu de l'importance! MDR!
Quel est l'intérêt de cette étude?
C'est une étude sociale donc il y a des gens et leurs biais. Les mathématiciens n'interrogent pas des gens au téléphone.
Oui certain-es peuvent mentir, ça a toujours été. Il faut aussi regarder les tendances depuis 2006 et 1992
Personne ne ment, ça s’explique mathématiquement et socialement par un seul mot : l’hypergamie
Ça peut être expliqué de pas mal de manières.
Gonflage de chiffres sur les déclarations.
Notion divergente de ce qu'est un rapport sexuel.
Rapports homosexuels pris en compte ou pas.
Prise en compte des prostituées dans le nombre de partenaires sexuels.
Refus de personnes vierges de répondre au sondage.
Tant que l'on n'a pas la précision de l'étude, comment elle a été menée, pas possible d'en déduire quoi que ce soit.
Femmes + fluides/orientation sexuelle??
Parmi celles interrogées, combien se sont tournées vers l'homosexualité (LGBT) consécutivement à des agressions sexuelles??
Quelle est la part d'influence de la p*rno dans la hausse de certaines pratiques, notamment homosecsuelles entre jeunes femmes et le secs anal qui sont si présents dans ce type de film. Aussi, avez-vous sondé les pratiques de geste violent dans les rapports ? Je me demande aussi s'il y a pas une régression autour du partage du plaisir, i.e. qu'il y a retour du plaisir centré sur les besoins des hommes ou qui les priorise.
On a l'impression que la sexualité des gens ressemble de plus en plus à celle qui est montrée dans les médias.
C'est fou comme ça arrive souvent. C'est montré dans les médias et ça reflète le comportement des gens. La sexualité, l'angoisse climatique, les troubles mentaux chez les jeunes ....
Je trouve ça parfait cette adéquation. Tout le monde est vraiment en phase.
Oui. Question de scénario. Fréquemment repris chez les journalistes
@@jeanfeli-i4zune sexualité comme pendant la guerre ?
Alors concernant la sexualité "montrée" dans les médias... De quels médias parlez-vous ? On parle bien des chaînes d'infos, les journaux, ce genre de truc ? Où voyez-vous un étalage de sexualité ? J'ai bien plus l'impression qu'il s'agit, comme beaucoup d'autres sujets important/intéressant, d'un grand silence généralisé, non ?
Et à propos de l'angoisse climatique, les troubles mentaux chez les jeunes (et pas que)... oui... car les médias ne nourrissent de la population et la population se nourrit des médias. Je ne vois pas bien ce qu'il y a de si étrange... C'est même normal. Ca ne veut pas dire que TOUS les médias font TOUT LE TEMPS du bon travail, juste qu'il est normal que média et population s'alignent... au moins parfois. Car c'est le but initial d'un média non ? Se faire porte-parole et caisse de résonance ?
@phigou et bien on a souvent l'impression que la caisse de résonnance c'est pas exactement ce que vit le peuple mais ce que certains veulent mettre en avant. Et par contagion le peuple suit et après on constate que c'est devenu normal.
En vrai il y a plein de phénomènes qui, si on en parlerait pas tant, ne se développeraient pas tant ou même disparaitraient.
Les médias font plutôt de la propagande qu' office de caisse de résonnance. Et parfois sans s'en rendre compte parce que ça devient dans l'air du temps.
@@alah3517 toi fait une émission et on verra ton taf
30% des femmes ont subi une agression ou tentative d'agression sexuelle. Quasiment une femme sur trois. Comment avoir de l'estime pour les hommes ensuite ?!?
Pas les hommes ni même 30% d'hommes déjà . Et puis se faire accuser quand on a rien fait ne donne pas spécialement d'estime envers les femmes non plus.
@@iziah4051t'as rien compris
@@daviddavid1850 j'ai pas l'impression que toi tu ai compris.
@@iziah4051 réponse rationnelle que les militantes et militants n'entendront pas, pas grave! cependant il y a une précision à donner: il est essentiel d'avoir de l'estime pour les femmes et d avoir la liberté de penser suffisante pour ne pas en avoir autant pour les militantes et les militants, nuance importante donc! d'autre part les hommes équilibrés et respecteux ne peuvent pas porter eternellement la souffrance des victimes d'homme déviants. Si on pense comme Sartre que l ‘homme est responsable de tout ce qui lui arrive et même au-delà de sa propre existence alors les hommes et elles femmes qui combattent le masculin pour des raisons militantes doivent également prendre la responsabilité de cette attaque et comprendre ce qu’elle veut dire vraiment ce qui n’est pas clair pour celles et ceux qui la pratique de manière réactive, indignée ou par simple pression professionnelle et sociétale . Les victimes doivent etre reconnues sans devenir des donneuses d'ordre ou des procureurs à charge du masculin. La haine du masculin ne vous appartient pas si j’ose dire les hommes eux mêmes peuvent rejeter ou être irrités ou par certain type de masculinité et pas seulement les masculinités déviantes ou condamnées pénalement.il n ‘y a pas deux féminités identiques, il n y a pas deux masculinités identiques.
@@jazzhotline un tiers d'un groupe agressé mais aucune raison rationnelle de militer ! A partir de quand on peut militer ? A 1/2 ?
8 partenaires sexuels en moyenne par femme ? Il m'en faut 2 par semaine ! Cela se compte en centaines chez moi !
Dans une vie...si vous avez bien compris.
En tout cas on aura payé des gens pour l'étudier et en parler. Pour en faire quoi ?
Ce que les citoyens voudront bien en faire.
@yohann2217 dès lors que les médias et les " scientifiques" disent aux citoyens ce qu'ils sont, ce qu'ils aiment et ce pourquoi il doivent se battre , j'ai quand même des doutes.
@iziah4051 L'enquête ne dit pas ce qu'il faut penser. Elle donne juste un certain nombre de données. À nous d'en faire ce qu'on veut.
@@Marceaugu.71 voilà la démocratie c'est que tu perds ton temps à me répondre.
@@yohann2217 ll y a des gens qui sont parfois ou souvent militants qui choisissent leurs sujets d'étude et leur protocole et après ça passe pour des conclusions scientifiques. Et au final les gens pensent que c'est vrai.
Ben avoir plein de partenaires ca marche avec beaucoup plus de célibataire .. on s’amuse plus. Triomphe du libéralisme
Et sur ce plan c’est tres bien.
C’est logique
Approfondissons les analyses ouiii (ok je sors)
21mî de blabla, insupportable les mots essentiels sont majeur, important, marquant, plus et moins !!! Pour les infos : 3 infos chiffres et quelques…ON ATTEND LES RÉSULTATS, pas du blabla !!!
La voix larmoyante de Demorand me donne des tremblements d'agacement. Outre son ton journalistique insupportable et son non-professionnalisme.
La Salamé qui dit "sodomie" et qui a envie d'éclater de rire avec des tremblements dans la voix... on dirait une collégienne.
Il serait intéressant d'effectuer une étude sur le langage entre les genres, sans aller jusqu'à une meta etude, lier cette enquête sur la sexualité et le langage, histoire de savoir de quoi on parle. On entend surtout des postures, c'est étrange d'observer la subjectivité disant être objective (oui je suis subjectif mais je ne prétends pas le contraire, c'est tout l'enjeu ici)
PS: concernant la conclusion sur la bisexualité plus importante chez les femmes, encore une fois ça fait 15ans que ça a commencé...
Entre les sexes non ?
Ya plus de sexualité ya que du porno et masturbation 😂
ne prends-tu pas ton cas pour une généralité ?
La masturbation c'est une sexualité aussi, non ?
Sinon ça veut dire qu'il faudrait au moins être à deux ?
C’est vrai, il n’y a plus de sexualité = plus de sensualité..
Il y a du porno Commercial ( ça rapporte beaucoup d’argent ): Juste de la consommation , un mécanisme,
On consomme du porno comme on consomme: de la drogue , l’alcool, la cigarette , du chocolat pour assouvir des envies.
les "études" déclaratives................
Bon! Les femmes sont toujours plus sentimentales que les hommes. OUF!😉🧘🏻♀️
Les gens sensés ne répondent pas à de tels ''enquêtes''.
Il fait beau aujourd'hui ! Ce commentaire ne devrait pas être envoyé à la cave par la super intelligence artificielle qui modère nos blagues☀
Tout ça parce que j'ai écrit "sodomie" ? Et que je disais que cette pratique était en nette progression depuis 2017 ?
Dans les urnes ? Assurément.
En tout cas pour les prêtres et les enfants il y a du progrès. Enfin si on se base sur le déclaratif.
Faire une étude qui se veut rigoureuse et, dans la présentation des résultats, émettre une hypothèse sur la manière de compter ses partenaires chez les hommes VS chez les femmes ? On est loin de la rigueur scientifique.
Ben si c'est justement de la rigueur scientifique en sociologie de s'intéresser à la façon dont les groupes se définissent et définissent leur pratique
Ces enquêtes sur la sexualité, c'est comme les enquêtes sur les revenus : les mythos multiplient par 4, les paranos divisent par 2. Rien de fiable, c'est bidon.
quels sont les objectifs de cette enquête en dehors de rémunérer un groupe de personne pendant 5 ans ? elon musk va nous changer cela !!
L'intérêt ? La connaissance de la société.
L'arrogance des "scientifiques" qui doivent justifier le coût de tout cela en expliquant que leurs résultats sont plus fiables que des sondages. La vérité c'est qu'ils n'en savent rien. C'est toujours du déclaratif.
Effectivement, c'est le premier problème. Les gens mentent même à leur psy, donc malgré la soit-disant "méthodologie rigoureuse", c'est léger.
Ça fait plus de 15ans que les "déclarations" (plus que douteuses, surtout il y a 15ans) montrent une augmentation de l'âge des premiers rapports, ça aurait dû être pointé du doigt. Le fait que ça débute à 17ans visiblement ça plaisait, mais c'est plus nuancé, et la masse rend invisible les pratiques minoritaires. Un peu étrange de parler de rigueur lorsqu'il est question de prendre pour une vérité des interprétations basées sur des témoignages.
@b.g.2395 Pouah, quelqu'un qui préfère les sondages au travail universitaire, ça en dit long sur notre déchéance.
En matière d'arrogance, c'est toi qui l'emporte.
@@ArnaudSibille il n'as pas dit qu'il préférait mais que c'etait autant pas fiable ( déclaratif). Les biais universitaires ça existe dans pas mal de disciplines. Pour ne pas dire toute et à chaque fois. Surtout dans les sciences sociales..
@@iziah4051 Sauf que c'est faux -- même si, effectivement, il y a toujours une part de mensonge dans les réponses que les gens font (ça se voit notamment en médecine, par exemple). A partir de ce constat, on peut malgré tout construire des travaux sérieux, qui pour le coup n'ont rien à voir avec les instituts de sondage.
Les "biais universitaires" existent sans doute, parce que la science est faite par des gens, oui ; mais ils sont plus limités qu'ailleurs grâce à la méthodologie, au nombre et à la variété des universitaires, qui travaillent sur les mêmes sujets et corroborent leurs résultats.
Mettre les universitaires et les sondeurs sur le même plan, au motif qu'une partie des gens ment de toute façon, c'est vraiment se planter dans les choux : il y a une vraie différence entre les sondages et les sciences sociales. Après, on peut leur reprocher tout le laïus que l'on sort habituellement contre les sciences humaines, ça ne change pas grand-chose à l'affaire.
@@ArnaudSibille ça s'oppose, selon vous ?
En gros le porno a changé les mentalités sur les pratiques, car a force de visionage, les pratiques se normalisent cérébralement.
Bravo champion, on t'invite à la prochaine émission ?
L'émancipation de la femme, les couples qui font et se défont, l'avènement et le développement massif des applications de rencontre et du speed-dating, les sexualités et les pratiques qui évoluent, etc.
Bon le porno bien-sûr, t'as un peu raison quand même
@vincev.5068 J étais simplement surpris qu'il n y ait aucune référence à la influence du porno durant l interview. Donc j' ai simplifié dans l'autre sens en qq mots😀
Si en moyenne un homme connait 16 partenaires femmes alors il y a aussi en moyenne 16 partenaires hommes chez les femmes , non?
Pas forcément, pas si les hommes couchent tous avec la même femme.
@@commercialcbc Ok mais là tu exclus les individus sans partenaires de la moyenne alors.16 et 16 femmes sont sur un bateau. H1...H16 ont tous une relation avec F1. Il y aura 1 femmes à 16 et 15 à 0. En moyenne cela fait un partenaire par femme... et par homme. Je pense qu'on exclut les partenaire sans relation. Et si H1a une relation avec chaque F, alors 16 en moyenne pour les hommes ("ayant eu des relations"), et 1 pour les F. Je ne vois pas d'autre explication. Non ?
@@grutfrut5817 Bien vu. Mais je me disais que les femmes aussi ont des relations homosexuelles. Pas de stigmatisation. A moins que les hommes homosexuels est bcp plus de partenaires que les femmes homosexuelles. Est-ce que cela suffit à expliquer un nombre de partenaire qui varie du simple au double pour l'ensemble de la population ?
@@b.g.2395 Par exemple, si les femmes homosexuelles ont en moyenne 8 partenaires, et si les hommes et femmes homosexuels représentent environ 10% de la population, il faut que la moyenne soit à 80 chez les hommes pour expliquer cet écart. Ça me paraît irréaliste. Au passage, l'hypothèse simplificatrice suivant laquelle on est soit homo soit hétéro ne change rien au problème.
Le biais progressiste s'insinue toujours dans la parole du sociologue 😅
08:20 : revoilà l'interprétation et le subjectif. D'ailleurs c'est toujours important en science "sociale" "humaine" de savoir qui parle. J'aurais aimé connaitre l'orientation sexuelle des chercheurs qui projettent souvent dans leurs analyses leurs propres pratiques et opinions.
Non non par contre ce n'est pas du féminisme ici, c'est un peu le bazar niveau méthodologique mais c'est parce qu'a été trouvé un écart important entre la réalité et ce qui est déclaré. Est-ce que ce serait lié à des expériences personnelles... ? Probablement. Par contre les assomptions, les biais évoqués plus tardivement, sont profondément faux et méprisants. Ce genre de discours fait du mal à notre société, le mépris est profondw et forcément c'est un cliché la personne qui nous dit cela. C'est dommage, et grave, de ne pas avoir conscience de l'importance de la communication pour des gens soit-disant "rigoureux" (aucune notion de la proportionnalité)
En somme, on dirait une IA.