JE SUIS TOUJOURS LÀ - Bande-annonce [STF]

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  • Опубликовано: 25 янв 2025

Комментарии • 9

  • @tatitwain8
    @tatitwain8 2 месяца назад +21

    Noossa eu moro na França há muitos anos mas o Brasil sempre esteve no meu coração. Acompanho de longe a vida política brasileira e não vejo a hora de ver esse filme, sobretudo num momento tão delicado. A Europa precisa de um homem como Alexandre de Moraes un vrai justicier 🇨🇵

    • @diogobordeaux
      @diogobordeaux 18 дней назад

      Le 15 janvier... j'y vais

    • @pierrickmouazan517
      @pierrickmouazan517 13 дней назад +2

      Acabo de assistir em "avant première"!!! Muito bom!!! Emocionante merrmo!!! O grannnnnde Brasil precisa desta introspecção sobre esse período doloroso. Fernanda Torres desempenha super bem, nossa! A mãe dela, Fernanda Montenegro aparece no fim tb!!

  • @joaomarz
    @joaomarz 6 дней назад +1

    Un film incroyable! Et la performance de Fernanda Torrer est Vraiment méritant D'un Oscar!

  • @user-ux4tq5yu3n
    @user-ux4tq5yu3n 7 дней назад +1

    Ce film faut le voir vraiment

  • @fabienbertoldi3406
    @fabienbertoldi3406 Месяц назад +12

    Svp c'est quoi la musique du début ?

    • @SofiaGCarneiro
      @SofiaGCarneiro 28 дней назад +15

      Jimmy, renda-se - Tom Zé

    • @Mellatchao
      @Mellatchao 2 дня назад

      le son est bon, chicre des années 70 🎉❤

  • @patriciapaula8038
    @patriciapaula8038 8 дней назад +2

    La dictature brésilienne était un mélange de civils et de militaires, car une partie des civils brésiliens craignaient les communistes et mettaient au pouvoir des militaires sans scrupules. Le soutien financier à la barbarie provenait d'hommes d'affaires brésiliens et de multinationales telles que Ford, Volkswagen, etc. qui voulaient investir dans un pays où ils pourraient avoir des travailleurs qui ne se plaindraient pas des bas salaires et des mauvaises conditions de travail. Les militaires ont gagné de l'argent grâce aux hommes d'affaires et ont garanti, par la violence, que les travailleurs ne se plaindraient pas. 21 années d'horreur que le peuple brésilien a affrontées avec musique et créativité : « sourire, nous allons sourire » n'est pas une phrase, c'est un style de résistance que les Brésiliens connaissent bien.