CONFESSIONS SACRILÈGES, INSTRUMENT DE PERDITION. 14.01.2025. Abbé Désiré Mpanda

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  • Опубликовано: 5 фев 2025
  • . Cet enseignement est un message reçu sous forme de locution intérieure de la part de N.S.J.C. du 28 octobre 1975 publié dans le livre Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles de Mgr Ottavio Michelini (1906 - 1979) qui est prêtre, mystique et exorciste italien (Modena). La façon dont le sacrement de la confession est administré aujourd’hui ne répond pas au plan de la miséricorde de Dieu et de son amour, mais plutôt à un dessein pervers du Malin. Ce sacrement, moyen de résurrection et de vie, précieux fruit de la Rédemption de Jésus, a été obscurci, transformé en un instrument meurtrier de perdition. Tout prêtre doit être un juge droit, juste et impartial. Ce pouvoir ne vient pas d’eux, mais vient de Jésus, Juge Éternel. Un grand nombre exerce ce pouvoir comme s’il venait d’eux ; ils administrent ce pouvoir surnaturel avec une légèreté et une inconscience qui fait frémir ceux qui ont un tant soi peu de sensibilité spirituelle. On aide les pénitents à trouver toutes les justifications possibles à leurs péchés, concluant que la Miséricorde de Dieu est grande. Se comportant ainsi, ces prêtres administrent des CONFESSIONS SACRILÈGES. La Miséricorde de Dieu n’est pas seulement grande, elle est infinie, mais cela n’autorise personne à en abuser d’une façon aussi honteuse. C’est important, c’est pourquoi Jésus répète : D’administrateurs de la justice divine, ne devenez pas des complices du démon ; d’instruments du salut, ne devenez pas des instruments de perdition ! On ne se moque pas de Dieu impunément. Les paroles avec lesquelles Jésus a institué ce moyen de salut sont d’une clarté sans équivoque : REMETTRE ou RETENIR les péchés. Il ne peut pas y avoir de confession valide sans une contrition sincère ; il ne peut pas y avoir de contrition sincère sans un sérieux, efficace propos de ne vouloir plus pécher. Beaucoup de confessions sont nulles. Beaucoup sont deux fois sacrilèges. Qui se confesse sans avoir les dispositions requises, ou qui absout sans vérifier qu’il y a les dispositions requises, profane le sacrement et accomplit un sacrilège.
    Le prêtre qui se fait complice du mauvais dessein de Satan, avilit ce prodigieux moyen de salut, le changeant en moyen de perdition. Il ne cherche pas Dieu et le bien des âmes, mais il se cherche lui-même, et il est terrible de se préférer à Dieu.
    Le prêtre ne doit pas glisser dans une sotte rigueur, mais pratiquer la droiture et la justice. Jésus a dit à ses Apôtres et à leurs successeurs : “Allez, et à tous ceux auxquels vous remettrez les péchés, ils seront remis, à ceux auxquels vous les retiendrez, ils seront retenus ?” Il est évident que par ces paroles est requis un jugement sérieux et équilibré, qui n’admet de compromis avec personne, ni avec sa propre conscience, ni avec le pénitent et encore moins avec Jésus lui-même.
    Malheureusement, aujourd’hui, plus rien n’est péché Pour beaucoup de prêtres il est tellement facile d’absoudre, puisque plus rien n’est péché… La pureté n’est plus une vertu ; la paternité responsable, qui bien comprise est une bonne chose, est devenue motif de toutes les licences dans les rapports matrimoniaux. Sous le prétexte de favoriser la culture, on autorise les lectures les plus anticonformistes où les germes de la luxure et des erreurs philosophiques et théologiques sont jetées sans parcimonie. Tout aujourd’hui est basé sur la fraude, sur le vol ; la justice requiert que le confesseur s’assure du sérieux, efficace propos de restituer le bien mal acquis. Très souvent le pénitent n’est même pas averti de ce devoir strict. Au nom du progrès, pour convaincre le pénitent que le confesseur est un homme moderne à la hauteur des temps, on ferme les yeux.
    Ils glissent sur ces choses, ceux qui ont la responsabilité de combattre le mal à la racine, toujours, partout et sans arrêt, pour n’être pas opprimés (ce qui malgré cela arrivera) en cette obscure et terrible heure que vous êtes en train de vivre.
    Jésus reproche aux prêtres qui s’approchent du confessionnal dans une tenue qui n’a rien de sacré. Il souhaite voir les prêtres habillés en soutane, aube et étole pour confesser. Les sacrilèges ne se comptent plus et ils sont consommés avec une indifférence que peut-être Judas lui-même ne connut pas. Décidons de réparer les offenses, les insultes, les blasphèmes et les sacrilèges lors de la célébration des sacrements.
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